La venue d'un Takani à Kumo

.:Gon Takani, l'aspirant ninja arrive à Kumo !:.

Non loin du sommet d’une des montagnes du nord, un homme marchait, lentement très lentement. Le vent soufflait fort, malgré tous les vêtements qu’il portait, il était totalement gelé. Son corps était vidé de toute sa force, mais son esprit restait inflexible. Il fallait qu’il marche, toujours et encore. Il ne pouvait pas faillir, pas si proche de son but. Encore un peu, il devait grimper. Avec un peu de chance, il arriverait à trouver ce qu’il recherchait depuis des jours. Il avait été contraint de quitter les vallons balisé. Des bandits l’avaient attaqué et il avait dû fuir. Bien qu’il ait tenté plusieurs fois de retourner sur ses pas pour retrouver le chemin, il avait à chaque fois échoué. Maintenant, sa seule chance était de monter très haut, le plus haut possible pour dominer tout ce qui l’entoure. De là-haut, il espérait découvrir une trace de vie, de la fumée. La laine qu’il portait était encombrante, alourdit par l’eau et la neige. Pourtant, l’hiver était terminé, à des altitudes normales, les arbres recommençaient à pousser. Par endroit, des plantes avaient déjà refleurie.

A quelques mètres du sommet, Gon Takani, épuisé, tomba à genou. Il resta là, quelques secondes, sans bouger. Puis sa main s’avança, s’agrippant à un rocher, il se releva péniblement. Ses cheveux noirs étaient cachés sous un capuchon. Dans ces yeux, on pouvait voir qu’il n’en pouvait plus. Ses joues commençait à se resserré et on pouvait facilement imaginer que le reste de son corps devait-être dans le même piteux état dû au manque de nourriture. Il ne manquait pas de boisson, grâce à la neige, et c’est sans doute ce qui avait permis de le maintenir en vie. Ce n’était encore qu’un enfant, et pourtant, il se sentait vieillard. Il gravit les derniers mètres qui le séparaient du sommet. Le spectacle qui se dessinait devant lui était époustouflant. Le soleil était en train de décroitre à l’horizon. Tout autour de lui se dressait des pics enneigé. Des immenses bandes d’oiseaux revenaient dans les montagnes. Tout en bas, on pouvait voir des ruisseaux qui s’étaient transformé en torrent à cause de la fonte des glaces. Et un peu plus bas, de la lumière, de la fumée. Kumo, le village caché de la foudre, il l’avait enfin trouvé.

Il ferma les yeux, quelques secondes, debout, les bras écartés. Maintenant, il fallait qu’il redescende. Aurait-il la force de continuer. Il le fallait. Un brusque courant d’air lui fit perdre l’équilibre, il bascula sur le côté. Lorsqu’il heurta le sol, il se sentit commencer à glisser. Il essaya de se retenir à quelque chose, mais c’était trop tard, il prenait de la vitesse. Il se retourna, regarda devant lui. A une trentaine de mètre, c’était le vide. Il fallait qu’il s’arrête. Il planta ses ongles dans la neige. L’un d’eux ne tint pas le coup et se brisa. Sa faisait très mal, mais il ne pouvait pas penser à la douleur. Il fallait qu’il s’arrête. Il restait seulement cinq mètres. Deux mètres.

« Et Merrr… Geeeeuuu »

L’une des fermetures de son sac s’était pincée entre deux rochers. L’arrêt fut si brutal qu’il faillit se démettre une épaule. Il haleta pendant quelques instants. Il avait eu de la chance. S’il aurait bien fermé son sac, comme lui disait de faire sa mère, il aurait passé en bas du rocher et se serait écrasé cinquante mètres plus bas. Comme quoi, il ne faut pas forcément toujours écouter ses parents.

Il lui fallut au moins 5 minutes pour se relever. Il avança, vacillant, essayant de s’accrocher le plus souvent possible à quelque chose. La descende dura des heures, qui lui parurent une éternité. La nuit était tombée. Des loups se faisaient entendre au loin. Ces régions étaient bien différentes que celle que Gon avait connu jusqu’alors. Durant son enfance, il avait beaucoup voyagé, mais jamais dans des régions montagneuses. Il était partit, poussé par son clan qui voulait qu’il rejoigne Kumo pour devenir l’un de leur ninja, pour qu’il apprenne à maitriser le chakra pour qu’il puisse un jour le transmettre au clan tout entier. Tous étaient médecins, mais non pas ninja médecin qui représentait l’avenir de ce métier, mais des ninjas traditionnels, qui permettaient de soigner pratiquement tous les maux, mais pas aussi parfaitement et rapidement que pouvait le faire un ninja médecin. Gon était l’espoir du clan Takani. C’était un lourd fardeau, pour quelqu’un de seulement 15 ans.

Après quatre heures de marche, il vit enfin les portes du village. Il avait réussi. Il y était arrivé. Les hommes qui se trouvaient là s’approchèrent prudemment de lui. Ils voyaient bien qu’il était mal en point, mais restaient prudent, dans le cas ou sa aurait été un piège. Gon leur tomba dans les bras, puis perdit connaissance. Les hommes l’emmenèrent dans la maison d’un vieux sage qui devait sans doute être le médecin du village. Gon resta au lit pendant trois jours. Il était tellement faible que ses repas lui était servi au lit et il se rendormait immédiatement après l’avoir pris.

Le troisième jour, il se sentait déjà bien mieux. Il se sentait même capable de marcher un peu. Il se dit qu’il était temps de découvrir un peu le village qu’il allait bientôt devoir protéger de sa vie.

.:Un vieil homme ? Non, un médecin !:.

Avant de sortir de la petite clinique qui s’était occupé de lui durant quelques jours, un vieil homme s’approcha de lui. Une des femmes qu’il avait rencontrées à son réveil lui avait dit que s’il s’était rétabli si rapidement, c’était grâce à cet homme. Gon lui était très reconnaissant, il voulut le lui faire savoir, mais avant qu’il n’eut dit un mot, l’homme lui fit signe de garder le silence. Il disparut dans l’un des couloirs. Gon resta debout pendant quelques instants, sans bouger, puis, croyant qu’il ne reviendrait pas, commença à se diriger vers la sortie. Ses jambes lui faisaient encore très mal, notamment une cheville qui semblait foulée. A vrai dire, il avait tout simplement mal partout, mais le fait de marcher réveillait les brûlures musculaires de ses jambes. En marchant vers la porte de sortie, il dut se retenir plusieurs fois à des objets, craignant que ces jambes ne tiennent pas sous son poids. Lorsqu’il toucha la poignée de la porte, il sentit une vive douleur sur son crâne.

« Aïe ! »

Gon fit une grimace et se frotta la tête. Il se retourna, cherchant des yeux ce qui avait bien pu le cogner. Le vieux était là, un bâton dans la main. C’était avec ça qu’il avait frappé. Mais pourquoi ? Gon ne lui avait rien fait.

« Ah, les jeunes d’aujourd’hui, ils n’ont aucune patience. »

Gon se frotta encore la tête. Il en était certain, il allait avoir une grosse bosse, une de plus.

« Mais vous êtes fou, pourquoi m’avez-vous frappé ? »

« Parce que tu n’as pas attendu. »

Le jeune homme commençait à s’énerver. Si le vieux voulait vraiment qu’il ne parte pas tout de suite, pourquoi ne le lui avait-il pas dit ? Non seulement, il était vieux, mais il avait un sale caractère. Ce qu’il ne savait pas, c’était que cet homme était le médecin du village. Il était très compétent dans son domaine, bien qu’il ne connaisse pas vraiment l’utilisation du chakra. Il avait la totalité du village comme client, ce qui lui donnait énormément de travail, en particulier l’hiver. Souvent, il se plaignait de ne pas avoir de temps pour lui, il disait qu’il était indispensable à la survie du village et que personne ne pouvait le remplacer. Sur ce point-là, il n’avait pas vraiment tors. Pendant des années, il avait recherché un remplaçant, sans succès. Les seules personnes qui semblaient capable de l’aider réellement dans sa tâche étaient des ninjas, ce qui impliquait qu’ils n’avaient pas le temps de s’occuper des civils du village. Sur ce point-là aussi, le vieil homme n’arrêtait pas de se plaindre.

« Si vous vouliez que j’attende, pourquoi ne me l’avez-vous pas dit. »

Le vieux fit un air surpris, resta sans bougé quelques secondes. Gon pensa brièvement qu’il allait lui donner raisons, avant de se reprendre un coup de bâton encore plus violent que le précédent.

« IDIOT ! »

Le vieil homme se tourna et regarda par la fenêtre, le regard dans le vide. Il tenait le bâton dans son dos. Gon l’observa, écoutant ce qu’il avait à dire, sans dire un mot.

« Je me nomme Iroh et sa fait maintenant plus de 40 ans que je soignes les gens de ce village. Lorsque j’étais encore jeune, le village n’était que peu peuplé et il n’y avait pas de daimyo ni de grand prêtre. C’était un petit village, paisible et chaleureux. Mais avec l’apparition du grand prêtre et de ces prophétie, tout deviens… plus compliqué. Le Daimyo s’établie ici et la population commença à croitre. Mon travail devenait plus conséquent de jour en jour. Maintenant je me fais vieux et je dois continuer de travailler, car personne n’a pris le relai. Tous les jeunes veulent devenir ninja et même ceux qui ont un talent pour la médecine n’ont pas le temps de venir m’aider dans ma clinique. Alors tu vois, lorsque je soigne de gens, j’aimerais qu’ils restent en santé et pas qu’ils se blessent inutilement. Tu vas donc faire plaisir à un vieux ronchon et tu vas prendre ce bâton, il t’aidera à te déplacer. »

L’histoire d’Iroh était assez déroutante aux yeux de celui qui voulait devenir aspirant ninja. Iroh ne trouvait personne pour le succéder et pourtant, la totalité du clan Takani s’était réfugié dans le pays de la foudre. Aucun ne maitrisait le chakra, mais tous étaient médecin. Sans doute, si Gon le leur demanderait, une ou deux personnes se dévoueraient pour venir aider le village. Mais bon, en tant que nouvel arrivant, il ne pouvait pas faire une promesse de ce type à ce vieil homme. Il se devait d’abord d’apprendre à connaitre le village, à accomplir son rêve en devenant ninja, puis, après, pourquoi pas.

Gon accepta le bâton sans dire un mot. Il le prit, fit un signe de tête au vieil homme puis lui tourna le dos, se dirigeant vers la sortie. Il en était certain, cette fois le vieil homme ne le frapperait pas, il se contentait sans doute de le regarder sortir de ce bâtiment, les deux mains dans le dos. Lorsque la clochette sonna et que Gon eut refermé la porte, il secoua la tête.

« Encore un talent gâché ! »

Savait-il que Gon faisait partie de la famille Takani, savait-il qu’il comptait devenir ninja médecin ? Beaucoup de question sans réponse. Tout ce qui était certain, c’était que le vieil homme n’aurait pas d’apprenti cette année encore.

.:Le village de Kumo, Gon ne peut pas encore devenir Ninja:.

Après être sorti de la clinique, Gon se balada dans le village de Kumo. Celui-ci n’était pas bien grand et possédait vraiment le minimum d’infrastructure. Pas de bibliothèque, pas d’école pour ninja, pas d’hôpital à proprement parler. Il n’était pas compliqué de comprendre que le village n’était âgé que de quelques années et que c’était visiblement le temple qui avait fait venir la grande majorité des habitants. Tout était neuf, hormis quelques maisons qui se trouvaient dans un triste état qui se trouvaient assez éloignée du temple, proche du lac. Sans doute ces bâtiments provenaient de l’ancienne Kumo, celle qui se trouvait là bien avant le Daimyo, le grand prêtre et tous leurs larbins. Gon avait de la peine à comprendre, le cadre de cet endroit était vraiment idyllique, un paradis sur terre. De magnifique montagne, de la neige, un lac et des fleurs partout en ce début de printemps. Mais alors pourquoi la croissance de ce village ne s’est-elle pas faite avant l’arrivée du Daimyo. Tout en marchant, Gon réfléchit à la chose avant de comprendre. Le gros problème de ce village, c’était son accès, qui était très difficile. C’était une évidence, le village avait du potentiel, mais sans en améliorer l’accès, il resterait un petit hamo et non un des villages les plus importants du monde, comme le désirait le Daimyo.

Gon serait assez tenté d’aider à la réalisation de cet immense projet mais pour le moment il ne pouvait rien faire. Pour pouvoir faire des travaux importants, il devait devenir un Shinobi et dans l’état qu’il se trouvait, il ne servait à rien d’aller se présenter pour ce job. On ne donne pas le travail de protecteur du village, de soldat au service de la population à un garçon de quinze ans blessé et fatigué. Non, il fallait qu’il donne tout de suite une bonne impression, voilà pourquoi il ne pouvait pas encore se présenter. Il devait attendre. Attendre d’être rétabli. Cependant, il n’avait pas d’argent et n’avait nul par où aller. Comment pouvait-il s’en sortir. Ce n’est certainement pas en mendiant qu’il s’attirerait les bonnes grâces du seigneur du pays de la foudre, non. Il fallait qu’il se trouve provisoirement un job. Mais que faire. Depuis sa plus tendre enfance, il voulait devenir soldat et lorsqu’il apprit l’existence la création des villages ninjas, il savait qu’il voulait rejoindre le village de Kumo. Sa voie était toute tracée, il ne s’était jamais demandé ce qu’il pourrait faire d’autre s’il ne pouvait pas devenir ninja. Bien sûr, il pouvait sans problème devenir médecin, mais sans l’utilisation du chakra, il trouvait cette voie tout de suite moins intéressante. Bucheron, aucune chance que sa lui plaise. Menuisier ? Non, il n’était pas fait pour travailler le bois. Le fer lui plaisait plus. Il avait déjà créé quelques outils durant ces voyages et sa lui avait bien plus. Pourquoi ne pas retenter l’expérience. Mais bon, le problème restait le même. Il était blessé, alors jouer au forgeron en tenant à peine debout, c’était tout bonnement impossible.

Tout le reste de la journée, Gon resta devant le grand temple, à le contempler et à se demander si les dieux existent vraiment.

**Tant de misère se passe dans ce monde. Pourquoi les dieux n’interviennent-ils pas. Ne sont-ils pas là pour protéger les hommes ? Traitent-ils tout le monde de la même manière ou protègent-ils seulement ceux qui croient en eux.**

Gon n’avait jamais été très croyant. Bien sûr, il avait été plusieurs fois obligé de suivre des cérémonies, mais il n’avait jamais cru vraiment en un dieu. Pourtant, devant la splendeur de ce temple, il se sentait minuscule, insignifiant. Y avait-il vraiment des êtres qui ont droit de vie et de mort sur les hommes ? Au commencement, il devait bien y avoir quelque chose, mais quoi ? Est-ce que la foi rend les hommes plus forts ? Tant de question sans réponse. Un jour, Gon avait l’espoir d’obtenir des réponses, mais pour le moment, il devait se résigner à vivre dans l’incertitude.

Lorsque le soleil commença à décroitre, il se leva, descendit du bloc de pierre sur lequel il s’était assis et reprit la route menant à la clinique. Là-bas, le vieil homme devait sans doute l’attendre pour lui donner ses médicaments. Gon marcha en se frottant la tête, sachant pertinemment que ça allait faire mal.

.:Kumo... un nouveau foyer:.

Le lendemain matin, lorsque Gon se réveilla le soleil était déjà bien haut. Il s’étira, se frotta les yeux et pu constater qu’une tisane encore chaude se trouvait au pied de son lit, ainsi que quelques crèmes et médicament qu’il se devait de prendre.

**Ce vieil homme est décidément quelqu’un d’étrange**

Gon se dit cela en se grattant la tête. Ce matin, il avait envie de le remercié de sa gentillesse, tandis que la vieil, les coups sur la tête qu’il lui avait donné l’aurait plus facilement poussé à l’entêté. Gon but la tisane en trois gorgé. Il enleva ses bandages, nettoya ses plaies, appliqua les baumes guérisseurs dessus et remis des bandages fraichement lavés. Ensuite, il prit les quelques pilules et s’habilla. Il avait toujours très mal, mais sentait tout de même que ses blessures étaient moins infectées qu’elle ne l’était lors de son arrivée au village.

Après avoir mis ses chaussures, il sortit de la pièce et discrètement, sortit de la maison. Les rues de Kumo était déjà bourrée d’activité. Les gens travaillaient, mettant du cœur à la tâche. Une vieille dame qui avait vu le jeune Takani la veille lui fit de gros signe de main pour lui souhaiter le bonjour. Gon alla vers elle et lui rendit son salut. Ils papotèrent quelques instants, puis la vielle dame retourna à ses occupations. Elle commença à suspendre son linge bien trempé. Cependant, Gon ne put s’empêcher de constater qu’à chaque fois qu’elle se baissait pour reprendre un autre habit, elle mettait une main dans son dos. Ni une, ni deux, Gon alla vers elle et lui dit de s’asseoir sur un banc qui se trouvait devant sa maison. Gon s’occupa d’étendre le linge à sa place.

Le travail dura pratiquement une heure, mais une fois fini, Gon s’assit auprès de la vieil dame, content de son travail. La vieille dame lui remercia et lui donna quelques trucs à grignoter. Après s’être dit adieu, Gon retourna dans la rue. Il se rendit au quartier commerçant. Il entra dans une boutique d’arme et fit le tour du magasin, inspectant la marchandise. Visiblement, il y avait de tout, certaine chose était de qualité médiocre tandis que d’autre semblait l’œuvre d’artisans reconnu. Gon n’avait malheureusement pas l’argent pour s’acheter un tel matériel. Cependant, au fond de lui, il ne voulait pas ressortir les mains vides de cet endroit. Dans un coin du magasin, dans un grand tonneau se trouvaient des Bô. C’étaient de longs bâtons de bois fait pour le combat. Gon en inspecta quelques-uns. Tous semblaient de bien mauvaise qualité, mais il devrait s’en contenté. Il prit celui qui lui semblait le plus potable et se dirigea vers le comptoir du magasin.

Gon sortit de la boutique content de son achat. Il n’était pas ressorti les mains vides… mais maintenant, c’était sa bourse qui l’était. Il rentra chez le vieil homme. Celui-ci l’attendait devant le seuil d’entrer. Gon passa devant lui. Le vieil homme le retint.

« Sa fait déjà quelques jours que tu vis sous mon toit. Il serait peut-être temps pour toi de me payer. »

Les yeux de Gon sortirent de ses orbites. Il n’avait pas pensé que le vieux lui demanderait quelque chose. Maintenant, avec l’achat de son arme, il ne lui restait plus rien.

« Payer ??? »

Le vieil homme semblait avoir compris. Il saisit le bâton de Gon et essaya de le frapper sur la tête. Mais Gon était déjà partit en riant. L’homme le poursuivit pendant un bon moment, cassant plusieurs choses dans la maison.

« Viens ici, bon à rien ! »

Après une bonne centaine de coup de bâton, dont un fortement mal placé, le vieux se calma. Gon était couvert d’hématome, avait la lèvre enflée et un œil gonfle.

**Le vieux pratique une drôle de médecine. **

Après une bonne discussion, ils mirent au point un accord. Gon pourrait rester dans cette maison tant que le vieux aura de la place, mais en contrepartie, il devrait s’occuper d’aller chercher les plantes médicinales qu’Hiro lui demanderait. Les closes du marché convenait totalement à Gon qui s’empressa de l’accepté. Ensuite, il alla se coucher et quelques secondes après être tombé habillé dans son lit, il s’endormit.

Kumo était un village étrange. Bien que Gon n’était là que depuis quelques jours, il s’y plaisait et se sentait chez lui. Ses douleurs commençaient à disparaitre. Il allait bientôt pouvoir se présenter au Daimyo afin de l’informer de son envie de devenir Ninja. Ce qu’il ne savait pas, c’était que le jour où il se présenta pour au Daimyo, celui-ci l’envoya tout de suite en mission, mission qui s’annonça en plus fort dangereuse.

Gon Takani : +25XP

Pense à retirer à faire un post où tu notes ton achat et où tu retires l'argent nécessaire.

La venue d'un Takani à Kumo

Sujets similaires

Sujets similaires

Rechercher

Résultats par : Messages Sujets
Recherche avancée