Présentation de Gon Takani

Choisir sa Destinée

Je suis un SHINOBI

Choisir sa Faction

Je suis originaire du PAYS DE LA FOUDRE.

Choisir son Nindo

Ma voie principale est L'EISEI tandis que mes voies de soutiens sont le ninjutsu non élémentaire et le ninjutsu de combat

Créer son Personnage

Je m’appelle Gon Takani. Je suis un homme de 14 ans. Je suis devenu ce que je suis parce que je veux faire évoluer la pratique de la médecine de la famille Takani, qui depuis des siècles utilisent leur savoir dans la médecine traditionnelle afin d'aider ou de soigner tout ceux qui croisent leur chemin, vers une médecine plus puissante et rapide qu'est l'Eisei.

Mon histoire

Dans le pays de la montagne, à quelques dizaines de kilomètre de Kagero no Sato, aussi appelé village de la vapeur, une petite troupe de vagabond s’affairait à monter leur tente au sommet d’une petite colline. Leur choix n’était pas vraiment judicieux. Le vent était fort et, d’où ils se trouvaient, on pouvait les remarqué à des kilomètres. Cependant, c’était leur but, ils voulaient être vus.

Les hommes montaient les tentes. Certaines petites, visiblement construite pour permettre à une femme et un homme de se coucher dessous et de se serré pour ne pas avoir trop froid tandis que d’autres étaient beaucoup plus grande mais était laissée vide. Seule une table assez haute, quelques tabourets ainsi qu’une grosse malle se trouvaient dans ces tentes. Dans une tente, plus haute et plus grandes que toutes les autres, était entreposé dessus une table une petite statuette en bois. Visiblement, c’était le lieu de culte. Autour de chaque tente avait été creusée une petite tranchée servant à évacuer l’eau en cas de forte pluie. Non loin du campement avait été construit un parc pour accueillir les bœufs. Un peu de nourriture avait été mise dans une puissante malle non loin du centre du campement ou un feu avait été allumé, tandis que le reste était toujours entreposé dans les chariots qui avaient été laissé à côté du parc.

Les femmes, quant à elles, ne cessaient de faire des allés-retours entre le campement et la rivière, portant de lourd vase qu’elles déposaient soit à côté du feu, soit devant leur tente. Certaines d’entre elle était également occupées à cuire un sanglier sur le feu, préparant de la sauce avec quelques champignons qu’elles avaient trouvé sur le chemin ainsi que quelques nouilles. Le repas était presque prêt. Lorsque les hommes eurent finis de monter les tentes, soient-ils remplacèrent leurs femmes qui portaient de l’eau, soient-ils prenaient une pelle et une pioche afin d’aller creusé quelques trous autour d’un grand arbre, qu’ils allaient ensuite entourer d’une toile tenu par des piquets en bois afin que celui qui aille aux commodités puisse garder un peu de pudeur. Aucuns hommes n’allaient aider les femmes à la cuisine. Surtout pas, aucun d’eux ne savaient cuisiner. Le seul garçon qui savait le faire était également le seul absent. Mais où pouvait-il bien être.

En bas de la colline, une petite fille était à la recherche de son seul ami de son âge. En effet, la troupe de vagabond ne comptait que deux enfants, une petite fille très sage et gentille appelée Yumi et un garçon qui ne faisait que des bêtises et qui n’arrêtaient pas de disparaitre et qui s’appelait Gon. Ces deux enfants étaient cousins, bien sûr, vu que tous les vagabonds de ce groupe faisaient partis de la famille Takani et ils allaient tous deux vers leurs douzièmes années.

Yumi était plutôt petite, avaient les cheveux châtains toujours coiffé en couette. Ces yeux étaient bleu clair. Comme tous les Takanis, elle savait lire et écrire. Ensuite, elle était capable de jouer de la guitare et aimaient coudre des pulls pour Gon. Elle savait qu’elle n’était encore pas très douée en couture et que Gon acceptait toujours ses cadeaux avec un grand plaisir mais qu’ils finissaient toujours réduit en lambeaux après quelques jours. Elle jurait qu’il faisait exprès, mais bon, en refaisant à chaque fois ses vêtements, elle ne cessait de s’améliorer, ce n’était donc pas trop grave.

Après avoir marché une bonne dizaine de minutes, Yumi vit une ruine devant elle. C’était la ruine qu’elle avait pu observer depuis le campement. Connaissant Gon, il ne faisait aucun doute qu’il se trouvait-là. Elle s’approcha un peu. Les ruines étaient constituées d’une grande tour à moitié effondré et d’une immense maison dévastée et visiblement abandonnée depuis des lustres. Gon se trouvait devant la maison, assis en tailleur. Visiblement, il attendait quelques choses.

Un peu plus grand que Yumi, il avait des cheveux noirs coupé court et des yeux verts. Il portait un T-shirt bleu légèrement cousu de travers (c’était la marque de fabrique de Yumi) déchiré à quelques endroits (et ça, c’était le travail de Gon). Un pantalon déchiré au niveau du genou et taché d’un peu de sang d’un côté tandis que de l’autre il était tout simplement coupé comme si c’était un short. Yumi était furieuse, il avait recommencé, elle devait à nouveau tout refaire, mais là, en plus, il s’était blessé. Elle s’approcha, les yeux plissés de colère, la mâchoire serrée tout comme les poings qu’elle balançait avec force. Arrivé à quelques centimètres de Gon, elle mit ses points sur ses hanches, comme le fait une personne qui veut vous faire la morale.

« Qu’as-tu encore fait ? Je t’ai offert ces vêtements ce matin et tu as vu dans quel état ils sont ? Et ta jambe, tu t’es encore blessé. »

Gon regardait toujours l’entrée de la maison. Il ne semblait en rien troublé par Yumi. Toutes les fenêtres étaient barricadés, la porte également et il semblait pratiquement impossible de rentrer à l’intérieur. Cependant, Gon avait vraiment envie d’y pénétrer. C’était plus fort que lui, il ne pouvait s’empêcher de courir vers l’aventure, de se fixer des petits objectifs et de tout faire pour y parvenir. Cette fois, son objectif était simple, il voulait aller voir à l’intérieur. Et… il venait de trouver le moyen d’y parvenir.

« Yumi, je t’attendais. Tu en as mis du temps. »

Yumi arrêta tout de suite de l’engueulé. Elle parut tout d’abord surprise, puis à la fois réticente et curieuse. Réticente, car elle savait que Gon allait lui demander quelque chose.

« Tu… Oh, et puis zut. De toute façon, tu vas le faire, que je t’aide ou non. Alors qu’elle est ton plan ? »

Gon ne put s’empêcher de sourire. Toujours sans regarder Mito, il montra un petit report en dessus de la porte, petit, mais suffisant pour servir de bonne prise. Ensuite, une brique ressortait légèrement quelques mètres plus hauts et finalement, le tuyau d’évacuation des eaux de pluie et le chéneau.

« Tu vas m’aider à monter sur le rebord en dessus de la porte, puis je me hisserais jusqu’à la gouttière grâce à cette brique et finalement, je l’escaladerais et m’accrocherait au chéneau. Ensuite, je n’aurais aucun mal à monter sur le toit. Là-haut, vu l’époque et la silhouette de cette bâtisse, je devrais trouver une fenêtre qui mène à l’intérieur et comme elle doit-être en hauteur, je doute qu’elle soit barrée. »

Yumi secoua la tête. Encore une fois, elle arrivait à la conclusion que Gon était tout simplement marteau. A la moindre erreur, il se blesserait gravement. Sans compté qu’il avait des chances également de finir paralyser ou encore il pouvait se rompre le cou. Mais bon, tout ce qu’elle pouvait faire s’était l’aider, sinon il finirait par trouver un autre chemin qui, sans nul doute possible, serait encore plus dangereux. Elle s’avança donc vers la porte et appuya son dos contre celle-ci. Elle saisit sa main gauche avec sa droite et les descendit à la hauteur de sa taille. Gon prit de l’élan.

« Fait attention à toi quand même. »

Il ne répondit que par un sourire, puis il fonça droit sur Yumi. Celle-ci ferma les yeux. Elle sentit le contacte d’un des pieds de Gon sur ses mains puis ce contacte disparu. Elle rouvrit les yeux et regarda en dessus d’elle. Gon était déjà en train d’escalader le tuyau d’évacuation des eaux de pluie. Lorsqu’il mit la main sur la gouttière, un grand crack se fit entendre et un morceau de brique tomba à quelques centimètres de Yumi.

« Oups ! Ne reste pas là. »

Gon continua son ascension et disparu sur le toit. Yumi recula, s’éloignant de la porte, comme si elle espérait encore pouvoir voir Gon. Un bruit de vase brisé se fit entendre, suivit d’un grand « Boum ». Puis, le silence pendant quelques instants. Yumi était nerveuse, Gon s’était-il blessé ? Finalement, à nouveau du bruit. Cette fois, c’était devant la porte. Puis un bruit de serrure, la poignée qui descend et Gon qui apparait devant la porte. Il avait réussis. Mais bon, quelle victoire ! Cette fois, il n’avait plus de T-shirt et de sa jambe ou pouvait voir ressortir l’un de ses os. La jeune fille était horrifiée, elle poussa un cri aigu. Gon, quand à lui, se grattait la tête.

« Désolé, j’ai mal géré l’atterrissage. »

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