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| | Sujet: Marché - Maison de Natsu Lun 10 Juin - 0:13 | |
| Marché - Maison de Natsu La maison de Natsu, un riche marchand de Konoha, se situe au centre du marché du village. C'est une grande bâtisse entièrement construite en bois. L'entrée principale donne sur la rue, mais elle possède également une entrée à l'arrière du bâtiment, sûrement pour plus de sécurité. La maison s'étend sur deux étages, un escalier en bois permet l'accès. L'intérieur est sobrement décoré. Un garde surveille la maison en l’absence du marchand, pour surveiller que personne n'entre dans sa chambre, où celui-ci entrepose la majeure partie de ses richesses. *** La nuit tombe sur Konoha, je suis allé chercher mon équipement, je suis désormais posté devant la maison de Natsu, il ne devrait pas tarder à sortir. Sa maison n'a pas l'air gardée, j'espère ne pas tomber sur quelqu'un. Enfin bon, je suis prêt à toute sorte d'éventualité. Je n'ai jamais tué personne, et j'espère que ce soir ne sera pas une première. Mon art c'est le vol, et non le meurtre. Amateratsu m'a donné de quoi faire tomber nos ennemis sans les tuer, je ne suis pas un assassin, ce n'est pas ma destinée. Je devrai redoubler d'attention, Natsu semble être un riche marchand, il y a quand même de grande chance pour qu'il est engagée des mercenaires pour veiller sur ses biens. Mais pourquoi se ballade-t-il sans escorte alors ? Pour ne pas attirer l'attention ? Je me pose trop de questions, et je n'ai aucune réponse, c'est la première fois que cela m'arrive. J'aurais peut être du mener une enquête plus approfondie ? Non, il faut que je me fie à ma Déesse, c'est elle qui dicte la moindre de mes actions, je ne peux que réussir ma mission.
Le voilà qui sort. Il est accompagné de deux gardes cette fois-ci. Il y a donc bien des mercenaires. Fais chier. Espérons qu'il n'y en ait pas une dizaine, sa va s'annoncer vraiment difficile sinon. Bon, j'attends encore quelques minutes, et j'y vais. J'ai repéré une porte à l'arrière de la maison, elle ne devrait pas être trop compliquée à ouvrir, j'ai testé mes crochets sur quelques unes des portes de la ville, aucune de m'a résisté. Bon, j'ai tout ce qu'il me faut, il est temps d'y aller. Qu'Amateratsu soit avec moi.
Je descends du toit sur lequel j'observais les allées et venues de ma cible, mes vêtements sombre me permettant de me dissimuler dans l'obscurité. Je me déplace sans bruit, je contourne la maison. Personne. La Déesse semble être de mon côté, signe que mon entreprise est juste. Je m'approche lentement de ma porte. J'y colle mon oreille, pour voir si je peux entendre quelques bruits m'indicants la présence de gardes. Encore une fois, rien. Je me penche au niveau de la serrure, et j'abaisse la poignée. Fermée, je m'en doutais. Je sors un crochet de ma poche, et j'entame l'effraction. Au bout de quelques instants, j'entends le verrou sonner. La porte est ouverte. Je tourne la poignée et m'introduit dans la demeure.
Il fait sombre, seulement une lueur rougeâtre s'échappe du bout du couloir. J'avance avec précaution, tachant de faire le moins de bruit possible. J'ouvre la première porte sur ma droite, m'insère dans la pièce, et la referme aussitôt. Mes yeux s'habituent rapidement à l'obscurité, et j'arrive à distinguer les différents éléments de la pièce. Une cuisine si je ne me trompe pas. Rien d'intéressant dans cette pièce-ci donc. Il faut que je change. Je ne vais pas m'éterniser au rez de chaussée, il faut que je me concentre sur la chambre du marchand, ça doit être dans celle-ci qu'il stock la majeur partie de ses biens. Et généralement, les chambres sont à l'étage. Je sors de la cuisine, et me retrouve de nouveau dans le couloir. La faible lueur brille toujours en provenance du fond du couloir. Je n'irai donc pas là-bas, c'est certain, je ne dois pas prendre de risque. L'escalier est un peu avant sur la gauche, personne ne vient, c'est le moment. Je m'accroupis le plus possible et avance avec le plus de rapidité, tout en restant silencieux. J'arrive à hauteur des escaliers. Je commence à monter.
Malheureusement, ils sont en bois, et mon poids les fait grincer. J'entends alors un objet tomber, sûrement une chaise, et des bruits de pas. Le garde m'a repéré. Que faire ? Je gravis le plus rapidement possible les escaliers, puis j'ouvre la première porte à gauche. Une fenêtre, c'est parfait. Je m'empresse de l'ouvrir, et je agrippe au rebord. J'entends l'homme courir en direction de l'étage, les escaliers grincer de nouveau. Il faut que je garde mon calme, la Déesse veille sur moi, il ne m'arrivera rien. La porte de la pièce s'ouvre. Je peux désormais entendre la respiration du garde. Il reste quelques instants, il doit sûrement observer l'intérieur de la pièce. Puis je l'entends soupirer. « Faut que j'arrête le saké, je commence à être parano. »*La Déesse est bel et bien de mon côté. Ou alors c'est l'influence de Makata Buniko, avec sa manie pour la pseudo sécurité qui est entrain de corrompre tout le monde. Je ne pensais pas que son emprise était telle sur les habitants du pays. Il faut que je remédie à ça, et ce soir, ce sera le début de la chute de l'ère Buniko !*Je me redresse et fait mon retour dans la pièce. Cet abruti de garde n'a même pas remarqué que la fenêtre était ouverte, enfin tant mieux pour moi j'ai envie de dire, je ne vais pas me plaindre, sinon j'aurais du la brisée, et ça aurait pu attirer de nouveau son attention. Je semble être dans la chambre du marchand, de nombreuses pierres précieuses sont disséminées un peu partout. Je sors un sac, et m'empresse de mettre un maximum d'objets à l'intérieur. Des bijoux, des chandeliers, toute sorte de chose qui a de la valeur. En fouillant un petit peu la chambre, je trouve un rouleau scellé. *Le Domaine des Souvenirs. Qu'est ce que c'est que ce truc ? Le Genjustu ? L'art de créer des illusions, et d'altérer l'esprit des gens ? Cela me permettrait d'affiner mon art encore plus ! Je dois me renseigner encore plus à ce sujet. Hélas, c'est le seul rouleau qu'il possède à ce sujet. Je l'emmène avec moi. Je le regarderai plus en détail demain. De toute façon j'ai déjà un paquet de ses bijoux je n'ai plus rien à faire ici.*J'engouffre le rouleau dans le sac, et saute par la fenêtre restée ouverte. Par chance, l'étage n'était pas très haut, si bien que j'arrive à réceptionner ma chute, sans le moindre bruit. Mis à part le métal s'entrechoquant dans le sac. Mais personne ne réagit. Je remercie Amateratsu de m'avoir soutenu, et je me volatilise dans la nuit. |
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Ibuki SenjagoAspirant de Konoha | Sujet: Re: Marché - Maison de Natsu Mer 19 Juin - 16:59 | |
| Il n'était même pas midi et déjà, un tapage monstre devant la demeure du riche Natsu dérangeait la plupart des voisins. Adossé au mur d'une maison adjacente, Ren et son groupe — le Hotaru's Band — s'échangeait quelques pièces, pariant sur les événements futurs. Si les quatre Uchiha étaient plutôt invisibles, avec leur look ombrageux, c'était peu dire de celui qui attisait toute cette foule. Natsu la Main Basse, c'est ainsi qu'on le surnommait dans son dos, pour décrire cet homme sans scrupule qui n'hésitait pas à tout faire pour s'attirer les meilleures aubaines. Sa cupidité était légendaire, et sa baraque, sans grandes fioritures, évoquait bien cet aspect de sauvegarde de sa richesse. Hier, il s'était fait cambrioler, et le matin, dès que les passants pouvaient former un joli petit troupeau, il était monté sur une caisse, accompagné de son samuraï personnel, son garde, et avait attiré l'attention en brandissant au bout de son frêle bras un collier de perles qui devait valoir une petite fortune non-négligeable. Ainsi, il avait informé la population du cambriolage, que le larcin ne devait pas rester impuni et d'autres stupidités du genre. Bien sûr, il promettait de l'argent et d'autres bien à ceux qui l'aidaient à retrouver ce voleur envolé. Ren et ses compagnons se moquaient bien du vieil homme qui, à trop cacher sa fortune, avait fini par la perdre. Il était coupable pour où il avait péché, forcément.
Ren sourit, tandis qu'il refilait dix Ryos à Teruki, suite à un paris perdu sur lequel des deux gars, plus loin, avancerait dans la foule le premier. Il venait de penser à une nouvelle gageure pour se refaire la main. Il s'avança de quelques pas, se retourna vers son band et ouvrit les bras, avenant. « Je paris que nous parviendrons à retrouver les bijoux du vieux, dit-il, et son regard brillait de malice. — Ah ouais ? Et tu paris quoi ? répondit Teruki, narquois. — Sora. — Ta copine ? Tu peux pas parier ta copine, t'es taré, enchaîna aussitôt l'autre, haussant les épaules vers Koshi et Uchiki, qui rirent avec lui. — Bah quoi ? C'est pas la seule... Non ? O.K., well well.... Alors je paris ma part de la récompense, fit Ren d'un sourire vers Uchi-kun et Koshi, qui sourirent à leur tour, visiblement emballé par la proposition de l'aspirant. — Ouais... T'es taré. Si on ne réussit pas, on n'a pas de récompense, et t'as rien à donner. — Fuck you Teruki-kun, t'es beaucoup trop malin pour moi, ironisa Hotaru, en se retournant, les poings sur les hanches. Alors, vous embarquez oui ou merde ? » Teruki n'eut qu'à s'avancer et poser une main sur l'épaule du chef du groupe, suivit aussitôt par Uchiki et Koshi. Souvent, Ren avait des plans foireux, mais ils étaient toujours très emballants !
Le quatuor pénétra le petit attroupement, tandis que Natsu-san terminait de donner les informations nécessaires à la réussite de la capture du voleur. Selon lui, le mécréant était aussi large que grand, et possédait de puissantes techniques ninjas... Bien que toutes ces affirmations sonnaient bien fausses. Les Uchiha devinaient que la Main Basse enjolivait le larcin, pour ne pas perdre de sa réputation d'homme de marque. Cela aiderait Ren dans son entreprise. Aussi, Ren s'avança, faisant mine à ses compagnons de bien l'encadrer, et ils s'avancèrent, confiants. Ce fut Ren qui prit la parole en premier. « Excusez-moi. Poussez-vous. Milice de Konoha. Excusez-moi, et ils arrivèrent au devant de l'attroupement grâce aux inepties et aux fameux jeux de coudes des quatre Uchiha. Bien le bonjour, Natsu-sama. (Les riches aimaient bien que l'on les entretienne ainsi, de ce que savait Ren) Milice de Konoha. Uchiha. N'est-il pas un peu tôt pour tout ce tapage ? — Mais qui êtes-vous ? fit le vieil homme, hautain ; Teruki donna un coup de coude dans le dos de Ren, qui lui fit signe de patienter, que c'était normal. — Je viens de vous le dire : milice de Konoha, du clan Uchiha. Et vous, qui êtes-vous pour ainsi rameuter toutes ces bonnes gens ? — Natsu-sama, comme vous l'avez mentionnez, fit-il d'un ton pompeux. Écoutez, gamins, je n'ai pas le temps de jouer avec vous, j'ai une affaire urgente à... — Très bien, si vous n'avez pas le temps... Qu'on l'escorte jusqu'au poste, où il s'expliquera personnellement avec Toshiro Uchiha, du Lion du Concile, dit Ren, à l'intention de ses partenaires. » Les trois autres s'avancèrent et se mirent à écarter la foule. L'aspirant, lui, fit mine de se retourner et de donner des ordres, de sorte à montrer clairement l'éventail brodé sur le dos de sa veste aux yeux du vieux Natsu. Puis Uchiki, le batteur aux muscles brachiaux impressionnants, s'avança vers le vieil homme, pour le faire descendre. Son chien de garde porta sa main à son katana et fit un pas, également, se mettant dans la trajectoire du Uchiha. Ren s'interposa aussitôt. « Gardez en laisse votre samuraï, Natsu-sama. Nous ne sommes pas ici pour la bagarre... Et sachez que nous sommes versés tous les arts shinobis qui ont vus le jour jusqu'à aujourd'hui. — Mmmh... Je vois, songea intérieurement Natsu. Momoshi, nous rentrons. Fais en sorte que mes chers concitoyens quitte le pavé de ma maison. Et que nul ne nous dérange ! ordonna-t-il, avant de descendre de son piédestal et de sourire difficilement à Ren. Messieurs, si vous voulez bien me suivre. » Ren fit un sourire à ses compagnons, avant de mener le band à la suite de la Main Basse.
* * *Ils prirent place dans le salon, où une causeuse faisait face à un imposant sofa, dans lequel les quatre garçons se serrèrent. Du thé avait été déposé sur la table basse entre les deux meubles, mais seulement deux coupes. Comme l'aurait parier Ren, mis à part la vieille horloge contre le mur du fond, visiblement importé, qui donnait sur l'escalier, ainsi que les meubles où s'installèrent les cinq hommes, et la table basse, rien ne décorait le salon. Vieil avard, pensèrent tous bas les quatre Uchiha. Natsu, d'une gorgé, l'air pincé : « Vous me semblez tout de même bien jeunes pour être de la milice.— Si vous préférez, nous n'engagerons désormais plus que des adultes, bien que cela risque de donner un coup à la sécurité générale du village.— Mmmh, non non, c'est parfait... C'est parfait.— Donc, ce vol ?— Oui, donc, comme je disais, enchaîna rapidement Natsu, comme vexé de se faire rappeler à l'ordre par un gamin. Cela s'est passé hier soir, alors que j'étais sorti pour une affaire pressante. Il a d'abord assommé Momoshi pour ensuite monter à l'étage, et voler mes bijoux.— Assommez Momoshi, votre garde ? Celui au katana, que nous avons vus dehors ? Momoshi était armé, je présume... Pourquoi ne pas l'avoir tout simplement tué ?— Et bien... Je présume que ce n'était pas professionnel, s'irrita le vieil homme. — Hum, oui oui, je présume aussi, je présume aussi... fit pour lui-même Ren. Mais vous vous rendez compte de la situation ? Ce n'est plus un simple vol, s'il est aussi dangereux. Il devient primordiale de l'arrêter !— Effectivement ! Et c'est pourquoi je discutes avec vous ! Arrêtons de tourner autour du pot, voulez-vous ? » Ren eut un sourire agacé. Il fit signe à Teruki de se lever, qui se leva. Koshi et Uchiki se levèrent aussi. Teruki lui jeta un regard noir, que Hotaru ignora. « Vous permettez que mes partenaires inspectent le lieu du crime ?— Bien sûr, bien sûr, procédez, procédez, fit nonchalant Natsu, d'un signe de la main. » Teruki et les autres montèrent. Ren s'étendit d'avantage, confortable. « ... Vous comprenez ? Je crois qu'il serait plus judicieux pour vous de faire appel au Concile, pour employer les services militaires à la disposition des concitoyens.— Vous ne pouvez pas vous en charger personnellement ?— J'aimerais bien. Mais voyez, nous n'avons pas finis notre patrouille, et nous ne pourrions n'agir que de soir, devant se reposer la nuit. Cela prendrait un temps incroyablement long, et je crains que le voleur n'est le temps de disparaître définitivement... Voir pire, de recommencer. Et qui sait si ce ne sera pas l'un des généreux marchands, encore une fois, la prochaine victime ? baratina habilement l'Uchiha. — Hum oui, bien sûr, c'est d'une évidence...— Fracassante ! ajouta Ren, suffisant. — Oui... se rembrunit le vieil homme, tout en se levant ; l'aspirant l'imita, devinant par là que la conversation arrivait à son terme. Merci de m'avoir aidé. J'informerai le village comme convenu.— Je veillerai personnellement à ce que votre requête soit bien entendue. » Ils se serrèrent la main, tous deux assez distants l'un de l'autre. Au même moment, Teruki redescendit, faisant mine à Ren de bien venir le rejoindre. Il lui parla à l'oreille, lui montrant un bout de tissu sombre... que l'oeil de la Main Basse n'eut aucun mal à apercevoir. Hotaru se retourna ensuite vers Natsu, un grand et faux sourire aux lèvres. « Une fois attrapé, nous aurons assez de preuves pour inculper ce malfrat de haut vol. Ne vous inquiétez pas, Natsu-sama, nous veillons au grain !— Je l'espère bien. Bon, messieurs, vous connaissez la sorti, indiqua-t-il, du bras. » Les quatre garçons s'y dirigèrent, d'un sérieux professionnel. Alors qu'ils franchissaient la porte, la voix chevrotante du marchand interpella Momoshi, le samuraï encore posté dehors : « Imbécile ! Viens ramasser la pagaille que ces petits cons on fait chez moi ! » Vieux salaud, se dirent en choeur les quatre garçons, sourires aux lèvres, fiers de leur coup. * * *« T'es un génie, Hotaru-kun ! se réjouit Koshi. — Ah non, attends. Le coup du morceau de tissu, c'était fantastique. Teruki, je ne te savais pas aussi habile... Et dire que je croyais ce voleur plus intelligent, laisser un indice pareil...— Ah t'inquiètes vieux, le tissu, c'est moi qui l'a inventé, répliqua Teruki. — Ah bah.... Tu l'as complètement bluffé, this asshole !» Ils rirent un bon coup, tout en bifurquant dans une ruelle, où ils prirent le temps de faire le point. « Bon, et la suite ? s'interrogea, fébrile d'excitation, Koshi. — Bah, il va faire appelle aux shinobis et...— Hey ! s'emballa Teruki. C'est quoi cette arnaque ? Comment tu veux qu'on dégotte le gros lot maintenant ?— Yo, calm down dude. T'oublies que je suis aspirant. Je n'ai qu'à dégoter la mission, l'accomplir en parallèle avec vous, c'est tout simple. J'ai pensé à tout ! T'oublies que vous êtes ma famille ou quoi ? J'vous laisserais pas tomber... Jamais ! tenta de faire dans le sentiment Ren, en empoignant solidement Uchiki par le cou, s'y balançant presque ; Koshi, devant éclata de rire, tandis que Teruki émis un sourire. J'te l'dis, c'est dans la poche mec. Je perds jamais mes paris. » Il perdait toujours ses paris, mais son entrain était foutrement emballant : Teruki n'avait pas le choix d'accepter. Les quatre garçons se dirigèrent donc à leur planque secrète, pratiquer un morceau, attendant la fin de la matinée pour laisser à Ren le soin de ramener la petite mission.
Dernière édition par Ren Uchiha le Mar 25 Juin - 22:30, édité 3 fois |
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Shinjin IsatsuAspirant de Konoha | Sujet: Re: Marché - Maison de Natsu Ven 21 Juin - 11:12 | |
| Mitsuko était venu lui rendre visite pour l’informer du vol de Natsu. Il ne savait pas encore pourquoi, mais il lui importait que des marchands de Konoha se sentent en sécurité dans l’enceinte du village. Ce qui était logique de la part du Senjago à la tête de la Compagnie du Fer. Ce qui est étonnant, c’est le silence du la Compagnie du Bois sur ce sujet… ils seraient à même de résoudre cette énigme les doigts dans le nez, si on en croit les légendes sur leurs liens avec les insectes. Et en ce moment, les légendes s’avéraient cacher une partie de véracité, les unes après les autres. Tant qu’on ne touchait pas à la sienne… Il ne perdit rien de la scène qui se passait devant lui. Comme d’habitude, il avait débauché Aïdan, qui se tenait à ses côtés. Pendant que Kakouko fumait une cigarette, Aïdan, adossé contre un mur, un pied à plat dessus, taillait un bout de bois avec un kunaï. C’est lui qui regardait la scène à laquelle le Senjago tournait le dos. Natsu faisait connaître le larcin. Aïdan - Il y a de l’activité. Quatres Uchihas s’en mêlent, jeunes, et inconnus. Aucune raison que Kakouko s’en mêle, c’était le boulot qu’on leur avait attribuer : surveiller la village, et ce qu’il s’y passe. Mais le Senjago se retourna quand même, et regarda l’édifice. Kakouko – Tu ferais comment pour t’y prendre ? Son coéquipier haussa un sourcil : encore une question rhétorique. Kakouko – c’est bien ce que je pensais : trop risqué par l’avant, et il y a une porte par derrière. Ils se dirigèrent ver l’arrière de la maison ? Effectivement, il y avait bien une porte, beaucoup moins imposante que l’entrée principale. De leur côté, les Uchiha venaient de se faire inviter à l’intérieur de la maison, la diversion parfaite. Chance ou esprit calculateur de Senjago, Aïdan n’en savait rien, mais ça avait l’avantage de marcher. Ils inspectèrent la porte : aucune trace d’effraction. Kakouko avait été amené à faire des serrures métalliques dans sa formation de forgeron. Il savait très bien qu’il était possible de les crocheter, et ça avait la fâcheuse tendance à ne pas se voir. Même en démontant la serrure, il n’était pas possible d’identifier des traces typiques de crochetages d’une erreur : le propriétaire s’étant trompé de clé, ou de l’usure. Il essaya d’entrer. C’était ouvert. Intéressant… si le voleur était entré par là, il n’avait pas prit la peine de refermer derrière lui. Kakouko fit signe à Aïdan de cacher son bandeau. En entrant, Kakouko regarda par terre. Aucune trace de pas sur le parquet. Du salon, ils entendirent les Uchiha discuter avec le marchand. Avec Aïdan, ils continuèrent leur avancée, sans trop cacher qu’ils étaient là. Après tout, en journée, personne ne cacherait sa présence, entre les domestiques ou les mercenaires. Ils montèrent les escaliers, au même moment trois Uchiha descendirent les marches. Aïdan et Kakouko les saluèrent poliment. Au culot, et ça marchait. En plus, eux été étrangers à la maison, ils ne remarquaient rien. Ils continuèrent. En haut des escaliers, ils entendirent un bruit. Quatre Uchiha : un dans le salon, trois qu’ils venaient de croiser. Le bonhomme faisait partie de la maison. Ils ouvrient la première porte, et s’engouffrèrent dans la pièce en refermant derrière eux. En se concentrant sur ses pas, ils comprirent qu’ils étaient grillés. Aïdan ouvrit la fenêtre, fit un petit signe de la main à Kakouko, et sauta par la fenêtre. Kakouko se cacha derrière la porte. Le garde entra, vérifia la pièce, et ressortit en refermant la porte, et enlevant sa cachette à Kakouko, surpris que cette ruse marche encore. Il alla à la fenêtre. Aïdan était en dessous. Combien de temps qu’il n’avait pas plu ? une semaine, peut-être ? Il y avait des traces de poussière, mais quelqu’un s’était suspendu. Aïdan ? Surement, oui. D’un autre côté, le garde n’avait pas sillé sur la fenêtre ouverte. Etait-ce parce qu’elle était déjà ouverte la nuit précédente, ou bien parce qu’il était juste incompétent. Les deux hommes sortirent et se rendirent dans la pièce suivant. Elle n’était pas fermée, évidemment. Plus rien à voler, et c’est là que les Uchiha avaient du se rendre. Ils commencèrent à inspecter silencieusement la pièce après avoir ouvert la fenêtre. S’ils entendaient quelqu’un, Aïdan sauterait, et Kakouko aussi. La cachette derrière la porte, c’est pratique quand on sait que quelqu’un vient vérifiait la pièce. Mais si quelqu’un compte s’y attardait, le plus souvent, il referme la porte. - Spoiler:
Premier dé : Action de fouiller les lieux à la recherche d'indice Deuxième dé : Action de se faire repérer ou non dans la maison
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Maître du jeuAdministrateur | Sujet: Re: Marché - Maison de Natsu Ven 21 Juin - 11:12 | |
| Le membre ' Kakouko Senjago' a effectué l'action suivante : Lancer de dés'Dé Standard' : 61, 89, 30
Vous vous faîtes repérer par les gardes de la maison ! |
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Shinjin IsatsuAspirant de Konoha | Sujet: Re: Marché - Maison de Natsu Lun 24 Juin - 12:03 | |
| Garde - Excusez moi, je peux savoir ce que vous faîtes là ?! Les deux shinobis se tournèrent vers l’homme qui les avait surpris. Celui là, ils ne l’avaient pas entendus venir. C’était le pompon, maintenant ils allaient devoir jouer de tous ses talents diplomates pour faire passer au commerçant de trouver deux étrangers dans sa maison. Il sortit son bandeau du village, et s’adressa à Aïdan. Kakouko – C’est bien ce que je pensais, il est facile de s’introduire ici. Puis il se retourna vers le gard. Kakouko – Vous savez, on vous attend depuis longtemps. Je viens de prouver que la garde de cette maison n’est pas vraiment à la hauteur. Nous aurions eu le temps de vous dévaliser deux fois avant votre venue ? Vous y croyez ? T’y crois ça, Aïdan ? Garde – Vous n’aviez pas l’air d’attendre… Kakouko – C’est exact. Allez me chercher votre maître… Natsu c’est ça? Il faut que je lui parle. C’est vous qui avez été assommé ? Garde – Comment... Kakouko – Bien sure que non. Allez me cherche le bonhomme qui s’est fait cogné, j’ai une question à lui poser. Allez allez, du vent, on n’a pas tout le temps. Avec douceur, il mit le garde dehors et referma la porte derrière lui. Ensuite, il s’adressa à Aïdan. Kakouko – Continuons de chercher des indices. Et tu peux remettre ton bandeau. Ils continuèrent de fouiller la pièce jusqu’à que Natsu déboule dans la pièce. Natsu – Qu’est-ce que vous faîtes chez moi ?! Kakouko s’assit à la place de Natsu, derrière son bureau. Kakouko – Natsu je présume. Prenez place, j’ai quelques questions. Natsu – Comment ça ? Je veux que vous sortiez de chez moi ! Kakouko – J’ai l’impression que ne vous ne saisissez pas l’importance de la situation, Monsieur. Il ne laissa pas le temps au marchand de reprendre le fil de la conversation, il avait su s’imposer quelques secondes devant un homme qui avait peut être un très fort potentiel économique, mais qui n’avait pas les moyens de se positionner au dessus de son interlocuteur. Kakouko – Vous possédez, à ce jour, certaines informations commerciales qui sont importantes non seulement pour votre propre commerce, mais aussi pour le village de Konoha ainsi que pour le pays du Feu. Or, comme nous venons de le démontrer mon collègue et moi, il est enfantin de rentrer chez vous pour prendre ce que nous voulons. Il n’est pas très raisonnable de faire des économies sur la garde. Le marchand n’eut pas le temps de répondre pour se défendre.
Kakouko – Vous avez demandé aux Uchihas de vous aider, dans les règles de l’art. C’est la façon dont les choses doivent se passer. J’ai l’habitude de travailler dans l’ombre, et justement, de ne pas faire les choses dans les règles de l’art. Aussi sachez que lorsque je mettrai la main sur votre voleur, si j’apprends quoi que ce soit que vous ayez caché au village, vous serez dans une position très délicate. Si vous devez me dire quelque chose, le moment semble propice. |
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Maître du jeuAdministrateur | Sujet: Re: Marché - Maison de Natsu Lun 24 Juin - 12:03 | |
| Le membre 'Kakouko Senjago' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Dé Standard' : 57
EDIT Résolution : Pas d'indices, pas d'informations mais vous êtes sommés de quitter la maison de Natsu. |
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Shinjin IsatsuAspirant de Konoha | Sujet: Re: Marché - Maison de Natsu Mer 26 Juin - 12:07 | |
| Il n'avait fallu que quelques minutes à Natsu pour revêtir sa carapace de marchands. Quand on n'a pas gagné la position de force, il fallait demander du temps, aussi il leur demanda à nouveau de quitter sa demeure. Il y eut ce petit moment, après cette demande. Un petit instant de tension, durant lequel Aïdan se délectait de l'électricité dans l'air, se demandant s'il allait y avoir du sang ou non. Ce laps de temps durant lequel, peut-être dans le savoir, dans une position de proie, les deux gardes de Natsu rapprochèrent leurs mains de leurs armes. Finalement, c'est Kakouko lui même qui désamorça la situation en se levant du fauteuil de Natsu, et en quittant la pièce, suivi d'Aïdan. Il engagea la conversation plus tard.
Kakouko - Tu as trouvé quelque chose?
Aïdan - Rien.
La personne qui a fait une descente chez Natsu était donc particulièrement méticuleuse. Peut-être un shinobi. C'était une hypothèse à ne pas écarter, même si elle était un peu présomptueuse pour le moment.
Kakouko - Tu vas aller te renseigner sur le passé des gens du village, des fois qu'on ait un suspect tout désigné.
Il ne perdait rien à aller vérifier, de son côté, il allait faire un tour dans les environs, et surtout inspecter les toits. Effectivement, Natsu avait probablement déjà fait sa propre enquête au sein du voisinage, et personne n'a du attirer son attention. C'est que le voleur ne s'est pas fait remarquer. Soit il fait partie de la maison, soit il est passé par les toits, méthodes couramment pratiquée. |
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Maître du jeuAdministrateur | Sujet: Re: Marché - Maison de Natsu Mer 26 Juin - 12:07 | |
| Le membre 'Kakouko Senjago' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
#1 'Dé Standard' : 40
EDIT Résolution : Kakouko ne trouve aucune trace qui révèle le passage d'une personne sur le toit de la demeure de Natsu.
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#2 'Dé Standard' : 5, 98
EDIT Résolution : Difficile de se renseigner sur des personnes louches à Konoha, il y a beaucoup de fréquentations, avec le marché et les arrivées quotidiennes des nouveaux aspirants. Néanmoins, la rumeur d'un nouveau et richissime client lui est très vite parvenu aux oreilles. Les gens fabulent sur le type de négoces qu'il entretient, ce qui a l'air d'attiser les curiosités de tout à chacun. |
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Shinjin IsatsuAspirant de Konoha | Sujet: Re: Marché - Maison de Natsu Mar 23 Juil - 19:35 | |
| Kakouko n’avait rien trouvé sur les toits. Il avait eu beau faire ça méthodiquement, comme à son habitude. Il avait réparti les toits tout autour de la maison de Natsu en secteurs. Ses secteurs, il les avait répartit ensuite en catégorie, puis ensuite en espace, et ensuite en zone de recherche, soit quarante et une zone de recherche. Les seules poses qu’il acceptait, c’est lorsqu’il se roulait une petite cigarette, et continuait le travail, tabac au bec. Certains passants le voyaient, se demandaient ce qu’il faisait, puis repartait. C’était un shinobi, il devait avoir ses raisons. La nuit commençait à tomber, qu’il était encore là à scruter les tuiles, sur l’avant dernier secteur, quand Aïdan vînt le rejoindre, d’un bon souple et silencieux.
Aïdan- Toujours là ?
Kakouko – Fidèle au poste et bredouille.
Il interrogea son compagnon du regard.
Aïdan – Une rumeur… un gars riche, mais on ne sait ni d’où, ni de comment.
Kakouko – Peut-être notre homme.
Aïdan – Peut-être pas.
Kakouko – Un nom ?
Aïdan – Non. Pas encore…
Le reflexion fit s’arrêter Kakouko.
Kakouko – mmmh… Trouves moi un nom, un lieu, n’importe. De mon côté, je vais explorer la rumeur, et essayer de trouver quelqu’un qui a déjà su traiter avec lui. Sait-on jamais.
Kakouko suivit Aïdan dans la taverne. Tandis que son coéquipier allait tranquillement s’attabler avec des gens qui avaient l’air d’avoir pris racine ici depuis des lustres, Kakouko s’en fut au bar. Il agita sa bourse devant le barman, et commanda un verre de vin épicé, vieilli en fût d’acacia. Il se pencha vers le barman, lui faisant clairement comprendre que l’échange d’informations pourrait être très ludique pour lui s’il coopérerait en jouant avec sa bourse pleine.
Kakouko – Dis voir, mon ami là bas m’a dit qu’il y avait un nouveau riche par ici ?
Tavernier – Les nouvelles vont vite.
Kakouko – Il paraît aussi que sa fortune, on sait pas trop d’où elle vient… or moi, travailler avec des gens qui ne sont pas très regardant, ça me plaît beaucoup.
Tavernier – Je ne te suis pas là…
Kakouko – C’est pas le bonhomme qui m’intéresse, ce sont ceux avec qui y traite. Je crée l’offre en recherchant la demande, je suis un malin.
Tavernier – Qu’est-ce qui te fait croire que je le connais ?
Kakouko – Beaucoup de gens passent ici… et de l’argent aussi.
Ce faisant, Kakouko posa quinze ryos sur le comptoir.
Kakouko – Et si l’information s’avère fructueuse pour moi, l’autre moitié reviendra à coup sure…
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Maître du jeuAdministrateur | Sujet: Re: Marché - Maison de Natsu Mar 23 Juil - 19:35 | |
| Le membre 'Kakouko Senjago' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Dé Standard' : 98
Résolution : Vous apprenez de source sûre que le mystérieux marchand loge directement dans son entrepôt, dans une rue parallèle au marché. |
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Maître du jeuAdministrateur | Sujet: Re: Marché - Maison de Natsu Mer 7 Aoû - 19:11 | |
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| Sujet: Re: Marché - Maison de Natsu | |
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