| Sujet: [Présentation] - Yachiru Susuka Sam 11 Mai - 4:34 | |
|
« Nous ne sommes qu'ombre et poussière. » Le ciel était limpide au-dessus de Konoha, comme souvent depuis quelques temps. Une jeune femme l'observait, la tête légèrement renversée en arrière, depuis un banc isolé au fond d'une cour envahit d'herbe verte. Yachiru Susuka, car tel était le nom auquel elle répondait, se perdait dans la contemplation de ce monde en perpétuel mouvement. Un monde qui lui avait souvent pris, et rarement donné ; déçu, et jamais contenté. Un monde bien moins reluisant que ce qu'il donnait à voir à cet instant, et au sein duquel elle avait du batailler ferme pour se faire une place.
Yachiru était encore jeune du bas de ses vingt-six printemps, et ce malgré la quarantaine d'années d'age mental qu'on lui concédait volontiers. La faute à ce choix de carrière, à cette existence dédiée au travail, mais aussi aux travers d'un tel cadre de vie. Travailler, ne jamais cessé de travailler, pour toiser les sommets, c'est ainsi qu'elle avait toujours procédé, parfois au détriment du reste. Certaines personnes au sein du village parlaient de génie en sa présence, mais Yachiru ne croyait aucunement à un quelconque don du ciel. Elle croyait en l'héritage familial ; croyait à la rigueur de l'esprit, et au travail dévoué, méthodique. Cette philosophie de vie suffisait à expliquer l'allure athlétique de son corps. Quant à l'héritage familial, on pouvait lui accorder de lui avoir transmis les yeux de son père, d'un somptueux vert émeraude, et la longue chevelure blonde de sa mère ( qu'elle avait depuis teinte en rose pêche ).
Yachiru n'était pas assise là par hasard. Elle l'était dans le seul but de passer le temps en attendant son tour. A l'autre bout de la cour, se dressait la bâtisse la plus importante du village depuis la nouvelle de la destitution du Shodaime. Une bâtisse neutre où le Concile avait pris sur lui d'auditionner tour à tour les principaux candidats au titre de Nidaime Hokage. C'était en vue de sa propre audition qu'elle se trouvait là et nulle part ailleurs.
« Il ne reste plus que toi. Ne les fait pas trop attendre, déclara soudainement une voix sur sa droite. »
« Merci, Haruka, dit Yachiru en observant du coin des yeux les traits soucieux de la Uchiha. »
Pourquoi n'était-elle pas capable de ressentir un seul soupçon de stress, comme tous les autres candidats qu'elle avait vu défiler toute l'après-midi ? Elle ne se l'était jamais expliqué. Elle supposait que c'était un trait de famille, à défaut de mieux. Sans quoi, elle se leva et échangea un sourire avec celle qu'elle considérait comme sa meilleure amie. A lire l'étincelle dans ses yeux, Yachiru réalisa que Haruka était plus angoissée pour elle qu'elle ne le serait jamais pour elle-même. Un comble.
« Souhaite-moi bonne chance ! cria Yachiru en atteignant les grandes portes. »
« Tu n'as jamais eu besoin de chance pour réussir ! s'écria Haruka à l'autre bout de la cour. »
* Une simple porte coulissante, voilà tout ce qui la séparait présentement du Concile. Il lui suffisait d'un seul geste pour se confronter aux exigences de ce regroupement décisionnel, d'un simple geste pour se raviser et rentrer chez elle. Entrer et tenter de changer le monde, partir et choisir de se fondre dans la masse... au fond, les revers d'une seule et même médaille à ses yeux. A cet égard elle ne doutait pas un seul instant que sa décision fut la plus juste. L'homme qui lui avait appris à utiliser sa particularité, celui qu'elle avait très vite appelé maître à l'adolescence, lui avait initialement enseigné qu'il n'y avait pas de bonnes ou de mauvaises décisions, seulement des choix qu'un être humain se devait d'assumer jusqu'au bout. Le bien et le mal n'étant que des valeurs ajoutés que les observateurs s'amusaient à étiqueter sur chaque acte d'importance en omettant l'essentiel : les raisons d'un tel acte.
Yachiru inspira et expira longuement en posant sa main sur la tranche de la porte. Au contact du bois, elle se revit soudain poser la main sur une porte quasi identique à celle-là, il y a longtemps. C'était un matin d'hiver et Konoha s'était paré d'une fine pellicule de neige dehors.
« Assieds-toi s'il te plait, lui signifia son maître. »
Yachiru avait longuement soutenu son regard avant de s'asseoir sur la seule chaise disponible. Le cadre était exceptionnel, quelque peu déstabilisant. A ses côtés, deux personnes épiaient le moindre de ses mouvements en lui offrant un sourire aimable. Une vieille femme aux traits squelettiques et aux cheveux gris rigoureusement peignés, et un homme plus jeune au crane rasé, et au regard intense. C'était la première fois qu'elle était amenée à les rencontrer.
« Yachiru, je te présente Aya Nakatsu, l'une des femmes les plus importantes du village en sa qualité de jounin et Meito Orine, un ami, qui a eu l'opportunité d'observer tes prestations à l'entraînement. »
Yachiru inclina respectueusement la tête à leur intention.
« Est-ce que tu devines pourquoi je t'ai fait venir ? lui demanda son maître. »
Perspicace, presque précoce, Yashiru ne pouvait que le deviner malgré le fait qu'il était peu commun, voir qu'elle n'avait jamais entendu dire qu'on recevait ainsi les futurs genins du village. Elle hocha la tête de bas en haut.
« Vous allez me dire si je suis capable ou non de porter le bandeau du village, répondit-elle en faisant bondir son regard d'un bord à l'autre du large bureau derrière lequel ces trois observateurs la guettaient, saisissant, au passage, le sourire soudain plus affirmé de la vieille femme. »
« Tu es une jeune fille très intelligente, lui signifia cette dernière en croisant ses petites mains sous son menton. Oui. Très intelligente. As-tu déjà réfléchi à ce que tu voudrais faire plus tard ? »
« Sauver le maximum de monde, répondit instinctivement Yachiru. »
Aya Nakatsu s'était ensuite contentée de se pencher à l'oreille de son maître pour lui murmurer quelque chose auquel il avait acquiescé vigoureusement.
« Meito ? dit-il en jetant un regard à son voisin et ami. »
« Intelligente et douée, commenta celui-ci d'un ton songeur. Elle a largement surpassé tous les autres prétendants sur toutes les épreuves. Je suis certain qu'en travaillant dur, tu te donneras les moyens de sauver beaucoup de monde. Si tu le souhaites, je te parlerai de mes découvertes à ce sujet. Mais avant cela, ton maître a quelque chose à te dire je crois. »
« Yachiru... le village est fier de t'octroyer le rang de genin pour avoir répondu à toutes nos attentes. Voici le bandeau symbolisant l'âme de notre village, son... »
Yachiru revint à la réalité. Il lui semblait que tout ceci remontait seulement à hier, et pourtant. Elle sourit et, comme elle en avait l'habitude dans les moments fatidiques, sortit un fil de soie pour attacher ses cheveux et les laisser pendre sur son épaule. Tout ça avant de reposer la main sur la tranche de la porte et de la faire doucement coulisser. Le Concile en entier l'attendait. Au centre d'un interminable bureau, l'actuel chef, Toshiro Uchiha. A sa droite, trois des plus influentes personnalités du village, parmi lesquelles elle reconnut aisément le Patriarche des Cendres, Yoshinori Senjago. A sa gauche, trois autres personnes que Yachiru avait l'impression d'avoir déjà croisé une fois ou deux sans pour autant se souvenir de leur nom ou de leur prénom.
« Asseyez-vous je vous prie, lui dit Toshiro en désignant la chaise positionnée face au bureau. »
Yachiru s'exécuta après s'être incliné respectueusement.
« Le Concile a pris effet de votre candidature et dans le cadre de ses accréditations a pris soin d'étudier votre dossier dans les moindres détails, poursuivit Toshiro en la fixant du regard. »
« Vos états de service sont irréprochables, à un détail près, déclara la femme directement à la droite de Toshiro Uchiha en distribuant des liasses de documents à ses voisins. Vous avez été nommé chuunin après avoir brillamment mené toutes vos missions à bien avant de travailler pendant quelques temps comme première assistante auprès du docteur Orine, botaniste de son état et expert en médecine traditionnelle. Puis vous avez décidé de reprendre du service sur le terrain. Vous avez largement contribué à la réussite de deux importantes missions de sauvetage, ce qui vous a valu les honneurs du village et une élévation au rang de jounin. Toutefois, nous avons remarqué que vous avez en partie échoué votre dernière mission en date, en ne réussissant pas à porter secours à l'un de nos hommes sur le terrain. Et non des moindres si j'en crois le rapport de mission. Votre mari. Pouvez-vous nous en parler ? »
Yachiru s'y était préparée. En se présentant, elle avait tout de suite su que cette zone d'ombre la poursuivrait, encore et toujours, jusque devant le Concile. Elle avait tout de suite su qu'elle devrait justifier son acte. Le plus terrible qu'elle eut jamais accompli.
* Elle s'en souviendrait pour le restant de ses jours.
Le canyon était désert quand elle et ses équipiers y parvinrent au beau milieu de l'après-midi. L'ordre de mission affirmait la présence d'une équipe en difficulté, un homme et deux femmes, probablement blessés suite à des affrontements nocturnes rapportés par une équipe d'éclaireurs. Pourtant rien ne semblait indiquer la présence de qui que ce soit au point de rendez-vous. Yachiru en éprouva d'abord de l'appréhension à la simple idée qu'il soit arrivé malheur à l'homme qu'elle aimait. Heureusement, les étranges essaims Aburame se mirent au travail et repérèrent le trio dans une cavité en contrebas. Yachiru s'empressa de dresser un périmètre de sécurité autour de la zone en postant l'Aburame en éclaireur. Elle et Haruka dressèrent un point d'encrage pour les cordages et descendirent en rappel avec l'aide du dernier membre de leur équipe, véritable mastodonte aux épaules aussi larges qu'une armoire et aux bras aussi épais que des cuisses. Une trentaine de mètres plus bas, elles tombèrent bien sur le trio, lourdement blessé, inconscient, mais en vie. Elles s'étaient ensuite empressées de les remonter un à un avec l'aide de leur compagnon et surtout du chakra qui coulait dans leur corps, quand l'embuscade leur tomba sur le coin du nez.
L'attaque fut si lourde et si soudaine que Yachiru ne sut jamais le nombre véritable d'opposants que ses équipiers eurent à affronter pour les sortir de ce mauvais pas. Yachiru administra les premiers soins aux deux femmes étendues sur le sol et à son époux en dernier. Haruka, elle, se précipita au soutient de leurs équipiers. La suite relevait du cauchemar. Une vive explosion survint, souffla une bonne partie du sol rocheux, entraînant un affaissement de terrain monstre. Yachiru avait bien essayé de soulever son mari en injectant tout le chakra dont elle était capable vers ses bras et ses jambes, Munenori Susuka remua à peine. Deux mètres dix pour cent cinquante kilos de muscles étaient de trop pour elle. Yachiru n'avait disposé que d'une seule seconde pour choisir. Se laisser entraîner avec son mari ou bien porter secours aux deux femmes toujours inconscientes, beaucoup plus légères, car frêles de nature. C'est ce qu'elle fit en bondissant près d'elle tandis que l'avalanche de gravas entraînait l'homme de sa vie dans les profondeurs.
« Les circonstances vous les connaissez, dit Yachiru en faisant passer son regard d'un membre à un autre. J'ai du faire un choix. Mourir avec mon mari ou bien vivre et sauver ses deux coéquipières. Porter Munenori était exclu. C'était une force de la nature. Je n'étais pas assez forte pour y parvenir. J'ai choisi ce qui me semblait le plus juste. A savoir de sauver trois vies au lieu d'en perdre quatre. »
« Comment pourrions-nous prendre pour Hokage une femme incapable de protéger ce qu'elle avait de plus cher au monde ? demanda Yoshinori Senjago en secouant la tête d'un air navré. Le fait est que vous étiez trop faible pour protéger votre mari. Comment pourriez-vous, dès lors, prétendre protéger ce village ? »
Yachiru s'était préparée à entendre claquer la langue venimeuse du Patriarche, et pourtant cela ne l'empêcha pas de ressentir une bouffée de chaleur la gagner en l'entendant remettre en cause son intégrité.
« Tout comme Kakouko Senjago a été trop faible pendant un temps assez long pour vous poussez vous et le Daimyo à intervenir dans une affaire qui vous dépassait, j'ai été trop faible pour sauver la vie de mon mari. Un choix a été fait. Dans mon cas, c'était le plus judicieux pour le village. Six shinobis sont rentrés au lieu de trois si j'avais pris l'autre chemin. »
« Que voulez-vous insinuer, éructa Yoshinori, que nous n'av... »
« Avec tout le respect que je vous dois, je n'insinue rien, l'interrompit Yachiru en maintenant son regard fixé sur lui. Vous mettez en cause mon intégrité devant cette assemblée comme si je n'étais qu'une vulgaire idiote qui s'était montrée incapable d'honorer la mémoire de son mari, et qui n'avait tout compte fait que penser à sauver sa propre peau. Mais vous oubliez qu'il est mort et que je suis en vie. Et par conséquent qu'il repose en paix alors que je dois vivre avec le poids de mes décisions sur les épaules. Vous êtes à la tête d'un clan puissant Yoshinori Senjago, et vous l'êtes indéniablement, mais ne croyez pas que de votre perchoir vous pourrez picorer mon honneur sans que je ne décide de me défendre. »
Yachiru venait de montrer au Concile que si elle n'était pas une Senjago, elle n'en demeurait pas moins capable de déployer une verve toute aussi brûlante que celle que les membres de ce clan avaient l'habitude d'utiliser en public pour se protéger.
« La langue ne fait pas tout vous savez, répliqua froidement Yoshinori avant de rire. Mes oreilles s'hérissent facilement mais je ne démêle toujours pas dans votre beau discours de réponses aux questions que je vous ai posés. Mais peut-être, n'avez-vous rien à offrir à ce Concile, et donc rien à offrir à ce village. »
« J'ajouterai à cela, que nous serions curieux d'entendre comment vous vous y seriez prise pour régler le problème posé par la captivité de Kakouko Senjago, ajouta Toshiro Uchiha d'un air indéchiffrable. »
Yachiru regarda Toshiro puis acquiesça avant de revenir à Yoshinori.
« Permettez que je réponde en premier à cette énigme avant de m'attaquer aux vôtres, lui dit-elle. »
Il acquiesça en souriant de plus bel. Yachiru n'en éprouva que plus d'agacement même si elle se garda bien de le montrer.
« Kakouko Senjago aurait du se donner la mort pour ne pas avoir à mettre son village et son clan dans un tel embarras. Mais s'il ne l'a pas fait, c'est qu'il n'en avait certainement pas les moyens ou qu'il conservait un mince espoir de s'en sortir. A cet égard, Konoha ne pouvait pas l'abandonner. Le Shodaime aurait du dépêcher une équipe spéciale et assurer son extraction. Répondre à la rançon était totalement exclu. L'argent de Konoha doit rester à Konoha et aider à son développement, non à celui d'organisations peu scrupuleuses. Ces mêmes organisations contre lesquelles nous sommes tous ici sensés agir. Avec moi, Kakouko Senjago serait ressorti vivant de son calvaire sans que Konoha n'ait à verser une seule pièce à ces criminels où les Senjago à mettre en danger leurs troupes. »
« Et par quel miracle je vous prie ? ricana Yoshinori. »
Le moment était venu de lui clouer le bec une bonne fois pour toute, jugea Yachiru. C'est pourquoi elle se mit debout et dégagea un kunai de sa manche sous l'oeil méfiant du Patriarche. Un kunai qu'elle déposa sur le bureau, juste sous son nez.
« Allez-y. Essayez de vous taillader le doigt, dit-elle avec assurance malgré que tous les regards fut tournés vers elle. »
« A quoi est-ce que vous jouez ? lui demanda Toshiro, sourcils froncés. »
« Je ne joue jamais, répondit Yachiru. Si le Concile doit me faire confiance en tant que Hokage, qu'il commence maintenant par regarder pourquoi Kakouko Senjago n'aurait souffert d'aucune blessure si on m'avait envoyé sur place, quand bien même l'opération d'extraction aurait mal tourné. »
Yoshinori hésita un long moment avant de saisir le kunai et de taillader la pulpe de son index gauche. Avec une certaine retenue dans le degré de stupeur affiché, les membres du Concile virent l'entaille se refermer aussitôt après avoir été ouverte, sans laisser couler une seule goutte de sang. L'étonnement fut tout autre quand la même entaille se dessina instantanément sur l'index gauche de Yachiru.
« Le lien de vie. Un détournement du chakra qui permet à un corps de se lier à un autre. Pratique quand il est question de sauver quelqu'un des coups. Surtout quand il est associé à d'autres combinaisons entre la médecine traditionnelle et nos connaissances encore balbutiantes sur le chakra. Kakouko Senjago n'aurait pas pu trouver la mort avec moi dans les parages, je peux vous le garantir. Ce que je peux apporter au village ? La stabilité qu'il sied aux grandes structures pour se développer rapidement et efficacement. Je ne suis membre d'aucun clan, je n'aurais donc aucun a priori sur eux, encore moins d'intérêts à en favoriser un plus qu'un autre, empêchant le village de se laisser dévorer par de possibles luttes intestines. Je crois en la valeur de chaque vie, du genin au chef de clan, du novice au shinobi légendaire, toutes ont la même valeur à mes yeux. Une vie de Konoha que nous laissons s'éteindre sans lutte c'est un destin que nous refusons de voir grandir. Je ne prétends pas pouvoir toutes les sauver, je prétends en préserver un maximum en ouvrant le village à la médecine. Si à terme nous arrivons à former des équipes avec un médecin compétent pour chacune d'entre elles, notre pourcentage de réussite en mission et en cas de guerre pourrait bien s'avérer décisif. Combiner au savoir déjà colossal des Uchiha, des Senjago, et des Aburame, Konoha pourrait rapidement devenir un village déterminant à l'échelle mondiale. A cet effet, nous ne devrons pas lésiner sur le financement d'infrastructures adaptés, une académie pour permettre aux plus expérimentés d'entre nous de transmettre notre savoir aux générations futures, des lieux d'entrainement ciblés, et des centres de recherche tant en terme de ninjutsu élémentaire que de médecine par exemple. Pensez-y, notre réseau commercial est un atout que nous voulons tous voir prospéré. Seulement les grands axes commerciaux du pays deviendront bientôt des cibles récurrentes à mesure que les richesses s'y accumuleront, Konoha devra alors être en mesure de les protéger dans l'intérêt du pays tout entier, tout comme il devrait continuer de s’ériger en protecteur de la capitale. Comment pourrions-nous y parvenir si ce n'est en prospérant nous-même grâce à nos connaissances en matière de chakra ? Konoha doit grandir et s'adapter au monde hostile qui l'entoure. Notre village ne peut plus se permettre de perdre un Hokage à la moindre intervention extérieure. Nous devons être résistants, plus résistants que quiconque en ce monde. »
Dernière édition par Yachiru Susuka le Dim 12 Mai - 13:01, édité 3 fois |
|
Maître du jeuAdministrateur | Sujet: Re: [Présentation] - Yachiru Susuka Dim 12 Mai - 11:50 | |
| Bonjour ! Après avoir lu ta présentation, très rafraichissante à lire soit dit en passant, j’ai quelques demandes de modifications à te donner. Rien de bien méchant mais nécessaire pour que le contexte soit respecté : - Dans le deuxième paragraphe, tu dis que ton personnage a une longue carrière que kunoichi derrière elle. Sauf que le statut de ninja est tout récent, comme les villages (environ 2 ou 3 ans). Tu peux donc avoir une carrière militaire derrière toi si tu le désires, mais ça sera en tant qu’ancien mercenaire, ancien samourai ou ancien bandit.
- De même que pour le passage où ton maître donne le bandeau. Konoha recrute et peut faire passer des tests mais difficile de croire que les choses se passent comme ça pour tout le monde.
- Pour ce qui est de la technique et pour éviter que tu n’aies à réécrire la fin de ta présentation, je pourrais te rédiger une technique qui sera considéré être un rouleau de techniques interdites.
|
|
Maître du jeuAdministrateur | Sujet: Re: [Présentation] - Yachiru Susuka Dim 12 Mai - 13:03 | |
| Avec ces modifications (je ne sais pas si elles ont été faite mais je te laisse le soin de les faire quand tu en auras le temps), avec une bien jolie présentation, un projet annoncé et peu de candidatures pour le poste d'Hokage, rien ne m'empêche de t'annoncer que tu seras désormais le Nidaime Hokage de Ryoma.
Félicitations !
Je suis à ton entière disposition pour les questions par MP ou sur Skype. Encore félicitations.
Dernière édition par Maître du jeu le Dim 12 Mai - 13:26, édité 1 fois |
|