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 Hokkinin Satsubatsu

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Hokkinin
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Hokkinin


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MessageSujet: Hokkinin Satsubatsu   Hokkinin Satsubatsu EmptyMar 27 Nov - 22:00

Je suis ChuuninJe suis un Chuunin de Kiri


Choisir sa FactionJe suis originaire du pays de l’eau et habitant de Kiri.


Choisir son NindoMa Kekkai Genkai est Satsubatsu. Ma voie secondaire est le Genjutsu. Ma voie de soutien est le Ninjutsu de Combat.


Créer son Personnage
Je m’appelle Hokkinin Satsubatsu. Je suis un monstre masculin et j’ai déjà bien entamé la vingtaine d’année. Je suis devenu ce que je suis parce qu’on ne m’a jamais fait espérer d’autre possibilité.




J’en tremblais.
Mes mains se serraient et desserraient dans un rythme parkinsonien autour du corps de ce petit ourson. C’était une vieille peluche. Un objet encore plus vieux que moi et qui étaient passé à travers d’horribles épreuves. La peinture qui recouvrait les disques d’os polie de ses yeux s’étaient effacé devant les horreurs auxquelles il avait dû assister. Sa fourrure s’était salie et empoissée, perdant à jamais sa douceur douteuse et sa couleur d’origine. Ses coutures qui le maintenaient d’un seul bloc n’étaient que d’immondes sutures, montrant le savoir-faire d’un boucher n’ayant que faire des cicatrices qu’il laissait sur ses victimes, et l’une des plus récentes lui barrait la taille. Comment faisaient ses oreilles pour encore être accrochée à sa tête ?
Pourtant, ce petit bout de tissu et coton respirait la vie. Le parfum salé des larmes qu’il avait aidé à sécher. L’odeur des fleurs dans lequel il avait était promenée. Si l’amour devait avoir une forme, ça serait bien celle-ci.

Et mes mains tremblantes tenaient ce bout d’amour, le forçant à me fixer le visage en permanence. Mes yeux ne le quittaient pas tandis que mes oreilles enregistraient machinalement le rire d’un dément à mes côtés, qui hurlait encore, et encore.
Contrôlant mes jambes, je sortais de l’antre noire de suie et réussi à me glisser entre deux maison éventrées dans lesquelles des braises finissaient de couver.

Et j’y vomis.

Lorsque je repris le contrôle de mon estomac je retournais sur mes pas et vis alors au milieu de la place Jikkei’ji. Il me fixait et je savais au fond de moi qu’il m’avait vu bien avant que je ne le remarque. Je glissais sans un mot la peluche dans ma veste. Et sans un mot, il s’en alla. Marchant au milieu de cadavre. Se faisant suivre des siens.

Je lui emboîtais silencieusement le pas. Quand est-ce que j’en étais venu à haïr ce que nous étions ?




Dernière édition par Hokkinin Satsubatsu le Ven 7 Déc - 0:11, édité 2 fois
Hokkinin
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MessageSujet: Re: Hokkinin Satsubatsu   Hokkinin Satsubatsu EmptyMar 27 Nov - 22:01

L’Ours en peluche :

Du plus loin que je m’autorise à piocher dans ma mémoire, j’ai toujours vécu auprès de mon clan. L’inverse aurait était impossible de toute façon… Nous sommes une communauté très soudée et ayant quelques difficultés avec les voisinages que nous avons traversés. Dans l’ensemble, j’étais toujours bien entouré. Mon père s’assurait que je marche toujours au milieu de mes frères et sœurs pour ne pas traîner la patte.
Mes frères et sœurs ? Ils n’ont pas un rôle majeur dans cette histoire... Et, disons que leurs noms t’importent peu dans cette histoire. Mais soyons clair, ce n’est pas qu’ils n’ont aucune espèces d’importances. C’est juste que leur donner des noms importait peu à mon père. A l’époque seul leur nombre importait. J’avais d’ailleurs huit frères et trois sœurs… Ou alors quatre ? J’avais un père aussi. Je ne connaissais pas encore ma mère.

Autour de ça gravitaient des formes, rouges, noires. Humaines ou presque. Plus loin que je ne pouvais le voir depuis mes courtes jambes. Plus nombreux que je ne pouvais les compter sur mes dix doigts. Certains n’étaient que des souvenirs floues d’un jour, d’autres des cauchemars récurant. Et tous ensembles, nous marchions. Nous répondions une odeur effrayante sur notre chemin. Nous étions les marcheurs sanglants.
C’était une époque où je me sentais horriblement seul. Encerclé par des monstres.

A l’époque je n’avais pas encore le recul nécessaire pour expliquer mon problème avec des termes aussi clair. J’arrivais tout juste à comprendre que je me sentais triste. Mais on me disait qu’il n’y avait aucune raison à ça. Que je faisais juste mon sale gosse têtu et que ça me passerait. Je n’étais qu’un enfant après tout, il restait tant à découvrir avant de pouvoir statuer sur ce que je ressentais. C’était sur le même registre du « tu comprendras quand tu seras grand ».
J’ai surtout compris que j’aurais aimé qu’on m’explique ceci avec des mots. Mais il fallait croire que les insultes et les coups étaient un gain de temps énorme quand on devait « élever » douze enfants (ou alors treize) dans un groupe aussi grand que notre clan. Merci papa.

A cette époque j’étais trop jeune pour comprendre comment fonctionnait ma tête, mais pas assez pour ne pas participer à la survie du clan. Un beau jour (ou, si je veux être plus correct dans ma description : Un jour pas trop pluvieux, morne avec un fond d’air frais, encore doux pour un automne), je participais à une mission d’éclairage. Il s’agissait de voir si les cartes du pays que le clan possédait étaient encore à jour et si le trajet prévu initialement devait être modifié à cause d’aléas du terrain ou de l’arrivée d’un nouveau village. Certains des vieux me disaient qu’il s’agissait aussi de compter le nombre de personne qu’on éviterait de manger le soir, puis rigolaient.
A l’époque je ne comprenais pas la blague, et maintenant je ne l’aime tout simplement pas.

Toujours est-il que ce jour-là, j’étais posté tranquillement entre les racines d’un arbre ayant suis les caprices d’une tempête, devait y avoir un ou deux ans. L’arbre s’accrochait à la vie et permettait à diverse créature de vivre auprès de lui. Je devais être l’une des plus grosses à ce moment-là. J’avais ramassé un petit fagot de bois et profitait des quelques instants de libertés qui me restait loin du groupe, et de ma famille directe, à admirer le village en contrebas.
D’ici, je me demandais de quoi était fait leurs vies. Quels étaient leurs soucis. Est-ce que cette fille, qui devait à peine être plus jeune que moi, avait aussi des frères et sœurs ? En tout cas, elle devait bien avoir quelqu’un pour lui faire ses jolies nattes. Ou lui offrir cet ours en peluche qu’elle traînait derrière elle.

A vrai dire, je me souviens très peu du village que j’étais sensé observer si intensément. Seul restait en mémoire ses cheveux blonds.

Puis, les cris se firent entendre. Les hurlements de peur et le tonnerre des sabots sur le sol suivirent de peu. Les nattes blondes disparurent dans une envolée de jupons. Et les brutes piétinèrent bien vite les herbes qu’elle s’était mise à cueillir. Horrifié, je me tournais dans ma cachette, prêt à partir. Quand je vis que mon père assistait à la scène. Un regard à moitié amusé sur le visage. Un demi sourire sur le visage qui me marquait les yeux aux fers rouge.
Puis nos regards se croisèrent.

Je vis ses lèvres amorcer une descente vers une position bien plus familière. Ses sourcils aussi avaient amorcés une manœuvre afin de les ramener dans ce que je pouvais considérer à mon âge comme leurs positions naturelles. Et quand de sa gorge commença à couler la menace qu’il avait à formuler, je m’élançais à travers les arbres.
Les feuilles mortes volaient à chaque de mes pas. Je sautais entre les troncs. Les yeux qui s’emplissait de larme, les oreilles sourdes aux hurlements de rage de celui que j’appelais encore papa, dans ma gorge un cri qui ne demandait qu’à sortir.

Et alors que j’espérais pouvoir m’en sortir, je fus jeté au sol. Une forme rouge m’écrasait les jambes. Et à l’autre bout se trouvait mon père. L’expression de fureur usuelle sur le visage.
Je hurlais. Je ne sais plus ce que j’hurlais, mais je le faisais. De toute mes forces.
Et en réponse je reçus un coup qui remplissait ma gorge du goût du sang.
Mais je ne m’arrêtais pas de hurler.
Alors il n’arrêtait pas de frapper.
Mes hurlements ne s’estompaient pas.
Alors il m’écrasait la gorge à l’aide de ses dix doigts.
Mais je ne renonçais pas.
Et la pression sur la gorge disparue.

Une main me caressait le front. Chaude et légèrement moite. La voix étouffé sous les bandages, qui paraissait alors presque douce me demanda la raison de mes cris.
Je ne me souviens absolument pas de quel façon je lui présentais le sujet dans le débit de parole hallucinant, commun à tous les enfants du monde à cet âge-là, que je lui lançais. Voir mon père rendu gris par l’effroi mêlé à la rage contenu devait sans doute agir comme dopant sur ma langue.
Et, même si je me doutais avoir était incompréhensible, Jikkei’ji arrêta de me caresser le front et se releva. Il ordonna à plusieurs hommes du clan de venir avec lui. Et il m’inclut dans le lot.

En chemin avec le chef du clan.

Trouver les bandits ne fut pas un problème. Cette forêt était bien connue du clan, et ces idiots ne pensaient pas qu’ils seraient traqués par une quelconque milice avant un ou deux jours. Ils s’étaient installés dans une clairière et comptait bien profiter du butin. Je pouvais constater que ce butin était avant tout constitué de chaire un peu trop fraîche pour être mangé. Dans le tas se trouvait une petite fille aux nattes blondes, qui serrait fort contre elle sa peluche. Comme toute les femmes qui avaient étés enlevées lors du raid, les bandits avaient pris l’inutile précaution de leur bander les yeux. Sans doute afin de s’amuser un peu plus de leur peur.

Ils ne connaissaient rien de la peur.

Jikkei’ji s’était avancé seul dans le camp. Il marchait d’un pas lent vers le plus bruyant, puant et imposant bandit. Celui qui semblait donc être le chef. (Les méchants sont toujours bruyants, puants et injustement imposants. Ceux qui le sont plus que les autres sont donc les chefs). Il y eut un échange de parole. Des rires gras, puis nerveux. Jikkei’ji parlait lui aussi, mais il ne s’arrêtait pas de marcher.

Le chef le regardait faire et se trouvait malgré lui obligé à reculer. Comme s’il réagissait à une peur instinctive. Puis, renonçant définitivement à se trouver une place dans l’arbre de l’évolution, il asséna un coup de hache sur le cou du Satsubatsu. Il ne broncha pas. Il n’esquissa même pas le moindre mouvement. L’idiot aurait pu tout aussi bien frapper un rocher.

Je me souviens avoir entendu Jikkei’ji dire quelque chose à propos des bandeaux sur les yeux des femmes. C’était une bonne idée. Ça leur éviterait de faire des cauchemars.
Puis il l’avait mangé. Des mâchoires de sang étaient sorti de son visage et avait proprement séparé en deux le corps du puant.
La suite fut un spectacle que j’appris à connaitre que trop bien au cours des années qui suivirent.

Lorsque tout fut finit, on me chargea de ramener les femmes vers l’orée de la forêt, du côté du village. Je guidais seul à troupeau de femme qui quelques heures plus tôt avait réussi à froidement accepter que leur sort serait de subir des sévices que j’étais trop jeune pour simplement imaginer.
Je me demande je n’aurais pas tenté d’en profiter des années plus tard ?

J’accomplissais mon rôle et rendais leur liberté à ces femmes, qui ne devaient retirer leur bandeau qu’une fois qu’elles auraient comptés jusqu’à cent.

Et je ne me souvenais pas bien du reste de la journée. Les coups de mon père avaient dû finalement faire effet et me transformer en légume pour quelques heures. Je me rappelais avoir était réveillé par des éclats de voix joyeux. Un groupe du clan, composé des membres qui avaient accompagné notre chef pour libérer les femmes, revenait du village. Il rapportait avec lui des paniers remplis de victuailles. Des offrandes liées à un mythe. Notre mythe.
Je m’étais alors senti joyeux. Et on me fourrait dans les bras un ours en peluche que je reconnaissais. Des petites nattes blondes ne devaient pas savoir compter très loin.

Je me rappelle avoir ensuite passé une excellente nuit.

Jusqu’au matin glacial.

Le clan s’apprêtait à reprendre la marche. L’escapade dont j’étais responsable nous avait fait gagner des provisions, mais perdre un jour de marche comparé au délai escompté. Et c’était visiblement ce motif que mon père avait décidé de charger pour se venger de son humiliation du jour précédent.
Ses insultes bourdonnaient dans mes oreilles, et las, j’attendais ses coups.
Mais il me fit plus mal encore. La peluche que je serrais dans mes bras me fut arrachée et il la brandissait comme un trophée. La preuve ultime que sa parodie de justice parentale était justifiée.

« Tu es un Satsubatsu ! Connais ta place et ton rôle ! Tu n’as pas besoin de ça ! »

Ses mains s’enfonçaient sans difficultés dans la peau de l’ourson, et elles déchiraient alors sans pitié son corps. Séparaient ses jambes son torse. Puis jetaient les reste de la victime quelques part entre les arbres.
Ses yeux me mettaient au défi d’aller chercher les restes. Mes mains tremblaient d’une envie que je n’arrivais pas à interpréter. Du moins pas encore.

Et tout redevins comme avant.
Le clan se remis en marche.
Mon père aussi.
Et je restais seul, à pleurer sans larme la disparition de mon premier ami.

« Cher journal, aujourd’hui j’ai eus envie de tuer mon père pour la première fois. »
Hokkinin
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MessageSujet: Re: Hokkinin Satsubatsu   Hokkinin Satsubatsu EmptyMer 5 Déc - 23:14

L’adolescence, les problèmes de peaux, les filles :

Un petit bond dans le futur et me voici grandit. Un magnifique bout d’adolescent en pleine croissance. Qui découvre son corps, les changements, les… mutations. Le seul mot qui puisse rendre justice à l’anomalie qui frappe toutes les personnes de cet âge-là… Cette chose horrible que l’on nomme à voix basse lors des sombres nuits. La puberté.
Les poils qui poussent, les boutons qui apparaissent, la voix qui change, les filles qui deviennent soudains plus… Rebondissantes à certains endroits attirants le regard.
Bref, je devenais peu à peu un monstre bourré de complexe et d’horreur corporel. Ce qui avec le recul n’était pas si dramatique, sachant que c’est une malédiction partagée à une échelle mondiale. Ceux qui prétendent ne jamais y avoir eu le droit sont des sales coqs bourrés d’égo au point d’éviter de se regarder dans une flaque d’eau, de peur de briser leur misérable image personnelle. Ou alors, ils sont les champions du dénies.

Bien évidemment, alors que l’acné transformait mon front et mon dos en constellations blanche et rouge, qui ne demandaient rien d’autre qu’un nouveau Big-Bang, d’autres problèmes de peau s’étaient manifestés. Oui, j’avais des poils qui poussaient mais pas seulement.
J’étais un Satsubatsu.
Depuis ma naissance je possédais la marque du clan. Pendant des années, elle s’était contentée de représenter une petite marque rouge, ronde et douloureuse, placée un peu en dessous de mon nombril. Bien que petite je ne pouvais jamais en oublier sa présence. C’était le point de frappe favori de mon « père » lorsqu’il voulait passer sa colère sur moi. Avec le visage. Et malheureusement pour moi, je n’avais pas encore eu besoin de saisir les subtilités de la manipulation du sang, notamment la partie impliquant l’armure interne. J’aurais sans doute évité énormément de bleus…

Bref, un jour le clan s’était arrêté pour quelques jours dans une région du pays connu pour son calme. Un endroit apprécié du clan, durant lequel tous pouvaient se reposer et se détendre avant de reprendre la marche. Les jeunes adoraient aussi cet arrêt car c’était un des rares endroits dotés de lacs suffisamment peu connu pour que tout le monde puisse se baigner sans déclencher une panique générale dans les villages environnant. Remarque, ça faisait toujours un rire, du moins jusqu’aux premiers morts…
Donc, après avoir pleinement profité d’une séance de loisir aquatique (qui consistait, entre deux brasses, d’essayer de noyer les rares d’entre nous qui arrivaient tant bien que mal à marcher sur l’eau), j’ai eus ma première grosse crise. Une qui faisait passer ma maladie à un rang supérieur. Joie, Bonheur et Douleur pour certains. J’étais certains d’avoir senti la Douleur, mais les deux autres…

Je me souviens être sorti de l’eau, et qu’une de mes deux sœurs aînées m’avait regardé le nombril avec le sourire que l’on adresse en générales aux femmes attendant un joyeux évènement. (Ou aux grosses, mais dans ce cas, ça se transformait en grimace gênée). Mes yeux avaient suivi son regard et j’avais pu constater avec une certaine fascination que ma petite tache rouge, qui avait déjà pris de l’ampleur au cours des derniers mois, semblait toute fripée.
Et victime de la fascination déclenchée par le masochisme lattant de tout adolescent n’ayant pas encore essayé de se tripoter une fracture ouverte, j’approchais ma main de ma rougeur ventrale.
Alors que mes doigts étaient à quelques centimètres à peine, celle-ci se débina. Fuyant le contact de ma main, elle s’était jeté au sol, dans un bruit de sucions assez pathétique.

Je regardais la flaque de chaire au sol, ma main, le sourire de ma sœur qui s’élargissait, ma main, mon ventre, la flaque, ma sœur, ma main, ma sœur, mon ventre, la flaque, ma main, puis ma sœur. Bref, j’avais réussis à bouger mon regards plus de treize fois en deux secondes. Ma première réaction fut de laisser échapper une espèce de soupir amusé. L’amorce du rire stupide quand on est pris au dépourvu. Puis, mon corps prit le relais. Il tagua sur le mur blanc de mon cerveau, destiné à recevoir les informations vitales de première importance, avec une bombe de peinture jaune fluo, quelque chose comme :

«TU AS ABOMINABLEMENT MAL. SOLUTION RECOMMANDÉE : SE VAUTRER AU SOL ET HURLER DE DOULEUR EN PISSANT LE SANG ! ».

Qui étais-je pour contredire ce qu’on écrit dans mon cerveau, hein ?

Au sol. Je vomissais du sang sur le mélange d’herbe et de sable humide qui formait la rive du lac. J’avais conscience de mouvement autour de moi, de cri excité et d’une vague rumeur. Je n’entendais pas très bien, quelqu’un –moi en l’occurrence- criait à s’en déchirer les cordes vocales, quand il ne faisait pas de gargouillis avec son sang. J’avais l’impression qu’on essayait de m’arracher les intestins à coup de harpon chauffé à blanc, et qu’on y arrivait plutôt bien. La tête me tournait à force de hurler et d’oublier de reprendre mon souffle. Et après d’interminables minutes, voir peut être même de simple secondes qui m’avaient parues durer des heures, le carnage cessa. La douleur n’était pas partie, elle s’était simplement… Réfugié. Réfugié dans un terrier sanglant à peine plus gros que mon poing, qui m’avait avalé le nombril et une partie du ventre. Si ma vue n’était pas si embuée par les larmes, j’aurais sans doute pus voir une partie de mon estomac.

Je relevais la tête, puis réussis à péniblement me hisser sur mes jambes. Ça faisais un mal de chien et pourtant… Je regardais ma sœur, et elle continuait à me sourire en acquiesçant. La douleur fit place à une certaine euphorie. Je brisais le cercle qui s’était formé autour de moi, et me mis à courir jusqu’au camp du clan. Je me moquais bien de ma tenue du moment, ayant ruiné au slip que j’adorais, du fait que je sois trempée comme une soupe ou que je m’enfonçais toute sorte de pierre et épines dans les pieds. Je n’avais qu’un seul objectif.
Et je bondis dans le camp. Je repérais ma cible, debout en pleine discussion autour d’un feu. Je lui sautais littéralement dessus en hurlant.

[Hokkinin] – PAPA ! Mon papa ! Je suis enfin un Satsubatsu !

Je fus cueilli par un coup de talon en pleins de l’estomac. Qui me donna l’effet d’être entré à pleine vitesse dans un tronc d’arbre. Le choc me jeta au sol, les bras écarté, le souffle coupé et avec le goût de la bile qui se mélangeait à celui du sang dans ma bouche. J’entendis mon père hurler.

[Kaï’zer] – PUTAIN ! MAIS QUOI ? TU VAS ARRÊTER DE ME FAIRE CHIER ?!

Des coups commencèrent à pleuvoir.

MAIS QU’IL EST CON CE GOSSE ! ET EN PLUS IL SE MET A CHIALER !

Les coups redoublèrent d’intensité. Ma vue s’embruma encore plus. Je le reconnais, c’était un réflexe stupide de chercher de la reconnaissance auprès de sa figure paternelle dans mon cas. Je nourrissais encore l’espoir idiot que le comportement homicide prononcé à mon égard de cet homme n’était en fait qu’une preuve d’affection virile et douloureuse, qui au final le brutalisait sans doute plus moralement que moi physiquement. Autant le dire, j’étais très con étant jeune, mais des mains accueillantes réussirent à me dresser dans le droit chemin de la raison.
Une femme à qui je devais tout.

Mon premier contact avec elle eut lieu d’ailleurs avant que je m’évanouisse. Mon père avait arrêté son passage à tabac, après avoir grommeler quelque chose à propos d’un manque de café, et des mains douces s’étaient posées sur mon front.


******


Elle était belle. VRAIMENT belle. Je sais qu’il y a des rumeurs, des blagues racontées dans le dos du clan. Des idées comme quoi on s’accouplerait avec l’étal d’un boucher tellement la viande nous ressemble. C’est totalement faux. D’une part, on prend en compte les sentiments. D’autres part, même si on finit par attacher peu d’importance à la tête de notre partenaire, l’imagination reste une chose fertile, et s’imaginer coucher avec un corps complet et plus motivant pour les deux personnes et le membre impliqué dans l’affaire.
A cette époque, ma main droite pouvait vous parler des bienfaits de l’imagination !

Donc elle était vraiment belle. A l’époque elle devait avoir une vingtaine d’année et elle resplendissait de beauté et de talent. Ses longs cheveux soyeux d’un noir de jais étaient aussi soyeux, doux que son esprit. Ses formes fascinaient autant que sa conversation. Elle avait un rire magnifique qui sublimait l’éclat de ses yeux et ses lèvres. Sa peau était parfaite, lisse, douce, blanche. Mon père la haïssait, et elle l’effrayait. Elle était différente du clan, elle était parfaite.
Et c’était mon maître.

Elle était celle à qui l’on avait confié mon éducation lorsque la nouvelle de l’évolution de ma maladie arriva aux oreilles de notre chef. Mon père n’était pas reconnu apte à m’enseigner les raccourcis pour mieux maîtriser mon don. Il avait donc envoyé cette femme unique auprès du jeune garçon que j’étais. Mon maître.
Un nouveau départ et un autre aperçu de la vie pour moi.

Je me rappelle qu’elle était la première personne que j’avais aperçue quand j’étais revenu à moi, alors que la nuit tombait. Les feux de camps faisaient briller sa peau, et elle ressemblait à un magnifique spectre penchée au-dessus de moi. Bizarrement, je ne m’étais pris aucun coup. Ma figure paternelle favorite était apparemment absente. Et elle m’expliqua alors ce serait ma vie. Ce qu’elle allait m’apprendre, et en résumé, qui elle était.
Et tout en me parlant, elle s’était littéralement plongée en moi. Répondant à mes doutes avant que je ne les formules, partagea mes secrets sans que je lui en parle et délicatement me remis les idées en places avant que j’entame mon apprentissage.

Elle était l’unique utilisatrice de Genjutsu que le clan n’ait jamais porté jusqu’à présent, et son excellence dans cet art la rendait terrifiante. Mon monstre bien aimé.

Lorsque je m’étais endormi après cette rencontre, j’étais persuadé qu’il ne pourrait plus rien m’arriver de mal.

Cher journal, aujourd’hui, j’ai découvert qu’un ange pouvait se dissimuler au milieu des monstres.


Une grosse perte (sans me vanter) :

Des années s’étaient écoulées avant cette nuit marquée sous le signe du deuil. Avant que je perde une partie de moi-même.
Elle était… Partie.

J’étais persuadé que malgré la maladie et notre mode de vie, nous restions ensemble, comme un seul être.

Elle m’avait été arrachée… Si brutalement. C’était presque irréel. Je me rappel des premiers sentiments que j’ai ressentis en constatant la chose. D’abords un certain embarras. La peur que cela s’apprenne. Puis la terreur et la frustration. Elle partit que serais-je en tant qu’homme ? Destiné à vivre seul sans jamais connaitre à nouveau le plaisir d’un moment partagé ?
Le tout était submergé de douleur. De dégoût, on ne m’avait jamais dit ça à propos de la maladie et de ses risques !
J’étais le seul fautif et je ne pouvais pas me venger ! Que pouvais faire l’adolescent plein d’hormones que j’étais encore à ce moment-là ? S’arracher l’une des choses qu’il avait de plus précieuse au monde ?

Et je m’étais mis à envisager le côté pratique. Comment allais-je me débrouiller maintenant ? Bon, elle ne servait pas à énormément de chose, mais tout de même. Elle avait du potentiel et me permettait de rester dressé debout. Et pour les insultes, que répondre ?
Un maelström de pensées incongrues envahissait mon cerveau. Et, avant que je ne cède à la pression, je fis jaillir de mon esprit l’image de mon maître.
Elle me permit de faire place net et de délivrer mon esprit de ces questions sans importances. Me laissant méditer sur mes choix.

La vie était ainsi faite, et le cœur lourd, je me résolus. Je jetais mon ancien membre flasque au milieu des arbres. Sans doute un acte stupide, mais je n’allais pas lui donner des funérailles sur un bateau en flamme, non ?
Je retournais dans l’obscurité de cette terrible nuit auprès des miens. J’étais parti en homme digne, je revenais avec un orgueil blessé, ayant besoin de soin.

C’était finit pour moi la branlette. J’avais trop forcé dessus.

Au moins il ne pouvait rien m’arriver de pire.

Cher journal, aujourd’hui j’ai [Bloc de phrases noircis sur plusieurs lignes] réussis à mettre un terme définitif au point faible que pend entre les jambes des hommes. Du moins dans mon cas…
Hokkinin
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MessageSujet: Re: Hokkinin Satsubatsu   Hokkinin Satsubatsu EmptyVen 7 Déc - 0:10

Elle est partie :

Les temps changent.

Tout comme moi.

J’étais devenu un adulte. Du moins dans le sens biologique du terme. Adieu défiguration acnéenne et autres mutations passagères. Bonjour cynisme, déceptions et responsabilité. Ce n’était pas si terrible que ça en fait. Juste bien plus dur à supporter maintenant qu’elle était partie.
Elle n’était pas morte. Non. Mon maître était simplement absent. Mais cela me pesait. Les années sont trop longues.

Son enseignement m’avait été profitable. Elle comprenait mes sentiments et m’aidait à y trouver un sens. Elle m’avait donné un aperçu du pourquoi de notre existence. Des éléments que je n’arrivais pas à percevoir étant enfant. Nous étions une bande de monstre, et nous agissions comme telle, car c’était ainsi que nous étions nés. Mais, si nous acceptions notre sort, pourquoi ne nous étions nous pas réfugié quelques part. Vivant comme des seigneurs de guerres ? Notre nombre et notre don semblait pouvoir nous permettre de mener ce train de vie sans difficultés.

Parce que ce n’était pas notre rôle. Parce nous avions tous un autre objectif, comme l’avait notre ancêtre. Nous voulions devenir autres choses que des monstres ? Moi en tout cas, je l’espérais de tous cœur. Mon maitre m’avait confiée qu’elle aussi…
Mon maitre qui m’avait été arrachée.
Par la faute de Jiri Teiretsu.

Quelques années à peine, l’homme était venu à nous. Sans armes. Un fait inédit pour les membres du clan. Et par la force d’une habitude stupide, il aurait sans doute été taillé en pièce si ce n’était pas à notre chef à qui il s’était adressé en premier.
La discussion qu’ils ont eue, je ne la connais pas. Pas plus que l’accord qu’ils semblaient avoir établis (Les Satsubatsu ignore même le sens du mot référendum). Je sais juste qu’à partir de la nuit qu’il put passer dans notre campement, ma vie changea à nouveau.

******


Nous n’étions maintenant plus de simples monstres. Nous étions des shinobis. Des êtres aux pouvoirs surnaturels, sur lesquels cet homme comptait pour unifier le pays et répandre la paix. C’était peut-être par là que se trouvait la voie pour notre avenir. Nous sortirions grandit de ces événements. C’était du moins ce que mon maître pensait. C’était pourquoi j’acceptais notre nouvelle destinée. C’était pourquoi j’acceptais de regarder des gens se faire tuer sous mes yeux. Que je laissais mes mains se tacher de sang. Que j’autorisais mon esprit à broyer celui de mes ennemies.

C’était la raison pour laquelle j’arrivais encore à me regarder dans une glace sans vomir.

Un mensonge convainquant. Que je m’obligeais à avaler. Parce que la personne qui me l’avait dit ne pouvait justement pas m’en dire. C’était ce raisonnement sans faille qui me permettait de tenir. La foi en un seul individu qui m’évitait de sombrer dans l’horreur.
Et un jour, elle était venue me voir. Nous avions longuement discuté comme à notre habitude. Elle veillait à ce que je sois toujours au point dans tous les entrainements mentaux qu’elle me faisait subir depuis plus d’une dizaine d’année.
Elle m’annonça qu’on ne se reverrait plus pendant quelques temps. Jikkei’ji l’avait désignée, elle est plusieurs autres membres du clan, pour remplir certaines missions dans d’autres région du pays de l’eau.

Je crois que c’est à partir de ce moment-là que la glace dans laquelle je me regardais s’était mise à me sembler crasseuse…

******


Les puissants shinobis se taillaient un chemin à travers le village de diaboliques ramoneurs qui en voulaient à la sécurité du monde entier, sans nul doute. Quelque part, ce n’était pas mon affaire. J’étais simplement envoyé ici pour les tuer. Pour faire mon travail. Pour les entendre hurler de peur devant l’assaut des monstres.
Il est désespérant de faire partie de la poignée d’être au courant du fait que nous avons franchis un pas dans l’évolution. Nous ne sommes plus que des monstres sanguinaires, bon sang. On essaye de vous faire rentrer ça à grand coups dans le crâne depuis des mois au moins !

Son absence me pesait énormément.

J’avais l’impression d’être devenu une machine, vide de toutes émotions. J’avançais, suivais l’ordre que l’on nous donnait, et l’exécutait sans bavures. Tout ça pour quoi ? Je n’arrivais même plus à en être sûr. Pour nous transformer ? Quand je voyais l’état d’exultation de mon père à chaque attaque, j’en doutais.
Remarque. J’avais changé. Lorsque le premier de mes frères est mort. Il y a de ça bien longtemps maintenant. J’étais effondré. Un élément du décor venait de disparaitre pour le clan. Sa progéniture qui avait été trop faible pour survivre à la folie de son paternel. Pourtant, le clan avait à peine frémis. Le temps d’un enterrement sommaire et de trouver un remplaçant pour ses tâches.
Ça aurait pu être moi ça ce moment-là…
Hier, ma sœur cadette a subit le même sort. Je ne l’avais même pas reconnu avant que la première pelleté de terre ne lui tombe sur le visage.

Ce changement me fait peur. Ce gâchis m’horrifie. Ce conflit ne semble pas avoir de sens. Des hommes et des femmes meurent. Les miens semblent sombrer peu à peu dans l’irréel des mythes. J’ai vu des champs de délicieux concombres être noyés dans le sang. Une banane, un fruit de luxe qu’une mère avait acheté pour le plaisir de son enfant pourrir dans les mains froides de celle-ci.
J’avais vu tout ça de mes yeux. Je voulais partager ça avec quelqu’un. Mais je n’avais personne à qui parler. Personne qui puisse me comprendre du moins. Personne qui se trouvé à mon atteinte.

Et plus ce charnier se prolongeait, plus les enseignements de mon maître me revenait avec force.
J’étais Hokkinin. L’enfant enfermé dans une cage qu’il avait lui-même bâtit entre les parois de son crâne. Qui observait depuis les yeux de sa prison de solitude sa capacité à se fondre parmi la masse de monstres qui l’entouraient.
Pour les autres, j’étais Hokkinin Satsubatsu, le second membre du clan de l’histoire à s’être engagé dans la voie des illusions, des manipulations de l’esprit. Hokkinin, l’enfant qui se détachait du monde. Que rien ne pouvait atteindre.
Pas même une peluche.

Une peluche que j’avais tenue entre mes mains presque vingt années auparavant. Une peluche qui m’avait presque fait croire que je pouvais devenir autre chose.
Une peluche qui assistait à la mort de sa propriétaire. Alors que j’essayais de lui cacher le massacre. Au lieu de l’empêcher…
J’ai dit plus haut que je tremblais. C’était sans doute vrai. Dans une partie de mon esprit, j’aurais agi ainsi. J’aurais été malade à en crever, écœuré par tout ça. J’aurais sans doute tué mon père dans son dos. J’aurais sans fais énormément de chose. J’avais ces sentiments enfouis au fond de moi. J’avais ces avenirs possibles qui me brulaient le crâne. Et pourtant, la discipline rigoureuse à laquelle j’avais appris à obéir enfermait ces sentiments dans une boîte conservée au fond de mon crâne. Elle fermait cette boîte à clé, et le jetais dans les méandres de la violence qui couvaient, près de la partie reptilienne de mon cerveau si je me souviens bien. Les sentiments ne se perdent jamais après tous. Ils peuvent toujours être utilisés. C’était la base du Genjutsu que j’avais appris.

Jje sortais de l’antre noire de suie, dans laquelle j’aurais pu répondre à une envie nourris par des années de rancœurs et de haine et y laisser un cadavre de plus. Je tournais à droite, dans la direction inverse de la ruelle où j’aurais souhaité vidé mon estomac du dégout qui le rongeait à l’acide. Et j’arrivais à la place.
J’y vis alors, au milieu, Jikkei’ji. Il me fixait et je savais au fond de moi qu’il m’avait vu bien avant que je ne le remarque. Je glissais sans un mot la peluche dans ma veste. Et sans un mot, il s’en alla. Marchant au milieu de cadavre. Se faisant suivre des siens.

Je lui emboitais silencieusement le pas. Quand est-ce que j’en étais venu à haïr ce que nous étions ?

Mon père s’était glissé à ma hauteur et dopé par l’adrénaline et la violence du rouge qui nous entourait, ne résista pas à l’envie de m’envoyer une pique.

[Kaï’zer] – J’ai compté tes morts ! Tu n’en as fait que trois. Tu sais au moins pourquoi on est sensé venir ici ? Hein, putain d’abruti ?!

Clic. Clac. Aucun sentiment de ne se perdait.

Cher journal,…
Hokkinin
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MessageSujet: Re: Hokkinin Satsubatsu   Hokkinin Satsubatsu EmptyVen 7 Déc - 0:15

Fiche terminé.
Pour ceux qui ne l'aurait pas deviné, c'est un reroll de Liori Satsubatsu.
Du coup, j'aimerais récupérer mon niveau, mes techniques et tout ce que je peux récupérer. (Argents, armes, esclaves, ta soeur).

Par rapport à ma KG, si la technique de base reste inchangée :
La maladie d'Hokkinin sera au second stade (stagnant), et j'aimerais lui imposer la blessure durable psychique : Dépression.
Daimyo de l'Eau

Daimyo de l'Eau


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MessageSujet: Re: Hokkinin Satsubatsu   Hokkinin Satsubatsu EmptyLun 10 Déc - 16:39

Hokkinin Satsubatsu : +64 exp

- Normalement tu as déjà couleur et rang si je ne dis pas de bêtise. Pour tes techniques/niveaux, tu dois savoir que tu peux soit tout récupérer d'une traite (t'as encore ton ancienne fiche?) ou faire une réincarnation "normale". À toi de choisir.

Concernant le récit en lui-même, j'ai rien à redire. J'aimais déjà ton style et tes récits à l'époque de Lio, il n'y a pas grande différence à ce niveau là.

Pour la blessure durable, si c'est bien ton choix, tu n'as qu'à la noter à ta fiche technique. Rebienvenue à Kiri! -
Hokkinin
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MessageSujet: Re: Hokkinin Satsubatsu   Hokkinin Satsubatsu EmptyLun 10 Déc - 17:15

Yeah merci !

J'ai le rang, mais pas la couleur ni les accès.

Je vais faire ma récupération d'une traite du coup. (Mon ancienne fiche est encore visible dans les archives).
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MessageSujet: Re: Hokkinin Satsubatsu   Hokkinin Satsubatsu Empty

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