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 [Mission - Rang D] Toi tu passes pas, tu portes des baskets.

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Mina Uchiha
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Mina Uchiha


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MessageSujet: [Mission - Rang D] Toi tu passes pas, tu portes des baskets.   [Mission - Rang D] Toi tu passes pas, tu portes des baskets. EmptyMer 17 Mar - 19:32

- Tu ne penses pas que tu devrais te mettre au boulot ?

- Meuh nan, j'ai le temps ...


Mais bien sur ... Je devrai arrêter de sortir des phrases comme ça, vu la facilité qu'on a à me faire bouger.
Je me retrouvais aux portes de l'Académie, où de jeunes genins et étudiants attendaient leur ordre de mission. Et comme par hasard, y'en avait pas juste qu'un ou deux, non, du tout.
C'est limite si il n'y avait pas toute l'Académie qui s'était concertée pour qu'aujourd'hui, le jour où moi-même je décide de "rendre service" à la communauté, un élan d'altruisme les envahissent ?
Ça ne peut être qu'un complot. Surtout que je suis la dernière de la longue file qui me sépare des bureaux. Bon, là, c'est de la mauvaise foi, d'autres se tassent derrière ... Et tous des gamins, lents, et capricieux.
Ça c'était pour le plaisir, aussi mesquin soit-il.
Je tapotais du pied, avec impatience, irritée. Je pourrais partir et revenir un jour plus calme, oui ... Mais la solution de facilité ne me plaisait pas. Il ne restait que Lean à la maison, il nous avait envoyé tous faire quelque chose, à droite à gauche. Sans est partie *tabasser une bande de petits cons qui se croient tout permis*, soit dans des termes plus présentables, régler leur compte à des bandits, Sanzo vaque à ses occupations quelle qu'elles soient. Moi je suis dans une file d'attente.
Mais je ne reviendrais pas à la résidence avant d'avoir accompli une quelconque "mission", si tant soit que l'on pouvait appeler cela ainsi ... Laver les carreaux ou retrouver des chats perdus ...
Shinobi perd tout son sens aujourd'hui.
Je soupirais, la file d'attente se réduisant lentement, lentement, trop lentement à mon goût ... L'impression de ne pas avancer, de rester statique.
Horrible, tout simplement. L'impression de dormir debout se renforça, que j'étais dans un rêve duquel je tardais à m'éveiller.
Et m'endormir était impossible. Trop de bruit, et j'ai jamais réussi à dormir sur debout. Il faut dire que je n'ai jamais essayé, mais je ne préfère pas tenter l'expérience.
Enfin, je me retrouvais à l'intérieur du bureau, avec un secrétaire au physique de l'emploi : à lunettes. Pour le reste, il ressemblait quand même au commun des mortels. Quand je suis rentrée, il n'a pas levé le regard de sa paperasse. Quand je me suis assis non plus. Et quand il m'a salué d'une voix un peu fatiguée, toujours pas.


- B'jour, nom et grade ?

- Meloku Uzumi, Genin.


Je posais mes mains sur mes genoux, ne sachant pas quoi faire d'elles. Il se leva, et, enfin, j'ai pu voir ses yeux. Et n'empêche, je comprends pourquoi il ne veut pas qu'on les voient ... J'aurais jamais crue qu'on pouvait avoir des cernes aussi marquées ! Il devrait quand même penser à dormir, c'est la moindre des choses.
Mais si il ne dort pas, c'est pas par choix cela dit ... Quoi que ?
Je secouais la tête. Pendant mes réfléxions, il était revenu devant moi, avec deux feuilles. Je fronçais les sourcils à leur vue.
Il consulta la première, la parcourant du regard, avant de réciter sur un ton monocorde.


- Meloku Uzumi, 19 ans, Genin depuis l'âge de 14 ... Prise en charge par Satsubatsu Liori, dans l'équipe où se trouve également Kurochima Vardec et Houjuu Motoko. Deux missions Rang D à votre compte, dont la dernière remonte à cinq mois déjà. J'ai trouvé quelque chose de parfait pour vous remettre dans le bain.

Aussi lente que sa parole, sa main poussa devant moi la seconde feuille.
Je haussais un sourcil parfait, avant de demander avec un peu de sarcasme :


- Je suis sensé faire quoi avec ça ?

- La lire, ça serait un bon début.

Je soupirais, il devait avoir l'habitude de ce genre de piques.
Je parcourais l'annonce sans grand intérêt, avant que mes yeux s'écarquillent.


Citation :
Rang : Mission de Rang D
Commanditaire : Le patron du bar "Le Fond d'Kale"
Type : Surveillance
Objectif principal : Réguler les clients du bar.

Descriptif :
Avec tout le respect qu'on vous doit, m'sieur les shinobis, un serviteur, une personne aussi honorable qu'il peut y avoir, aussi patiente et juste qu'elle le peut, elle commence à en avoir marre. Marre de s'retrouver avec des ivrognes et autres déchets de la société qui foutent le bordel dans une taverne qui se veut bien, elle en marre de devoir tous les matins débarasser les poivraux en coma éthylique et le mobilier cassé, oui, je l'affirme : J'en ai marre. Alors, soit l'village de la brume il fait son taff' et envoie deux personnes pour mettre un peu d'ordre l'temps d'un soir, soit un serviteur comme moi, qui gagne sa vie de la façon la plus légale possible, elle arrête d'vous envoyer les tonneaux qu'vous aimez tant.

- Ah c'est sûr, ça serait con d'plus avoir d'eau ... ma voix résonna cynique.

- A qui le dites vous.

Je regardais un moment l'avis de mission, puis le secrétaire.
Et successivement, le secrétaire et l'ordre de mission.


- Je refuse.

- Informez en mes supérieures, alors.


Pourquoi je me doutais de la réponse ?
Je replongeais mon regard dans l'avis, cherchant un quelconque prétexte pour me désister.


- Il y a marqué qu'ils cherchent deux personnes ... commençais-je.

- Il ne vous reste plus qu'à trouver une autre personne. Suivant.

Et j'étais mise à la porte, avec l'ordre de mission.
Je vais devoir faire quelque chose qui va pas particulièrement me plaire, mais, bon ... A-t-on le choix ?

L'appartement devant lequel je me trouvais était semblable à tant d'autres, à coté de lui.
L'adresse griffonnée sur le morceau de papier, à l'arrache, m'indiquait que la porte en face de moi, était vraisemblablement la bonne.
Bon, on est jamais à l'abri d'une erreur, ou de tout simplement Liori qui souhaite se débarrasser de moi en m'envoyant très loin, mais le nom marqué, lui, montre que je suis douée : "Kawaki Sokka"
Le même nom que celui marqué à coté de l'adresse, même si les lettres sont pas très lisibles.
Je frappe à la porte, curieuse de voir la connaissance de senseï. Avec un peu de chance, ça sera quelqu'un de normal.
Sokkachu

Sokkachu


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MessageSujet: Re: [Mission - Rang D] Toi tu passes pas, tu portes des baskets.   [Mission - Rang D] Toi tu passes pas, tu portes des baskets. EmptyMar 6 Avr - 2:47

Sokka se levait comme à son habitude le premier. Il était assis sur le lit n’ayant qu’en face de lui une fenêtre dont les volets cachant pratiquement toute la lumière. Une infime partie arrivait tout de même à filtrer les deux petits panneaux de bois pour permettre de repérer ce que dévoiler la pièce. Elle était assez petite, ne contenant qu’une armoire, un lit et une chaise. C’était peu, mais elle semblait remplie comme si on ne pouvait plus placer nulle part un meuble quelconque. C’était idiot. Cela faisait déjà des années qu’il habitait avec Mitsu dans cet appartement, et aucun d’eux n’eut l’idée de changer la décoration à sa manière, pour montrer que c’était leur demeure. On pourrait penser qu’ils n’ont pas de goût et qu’ils ne savent pas décorer. Mais, la réalité était tout autre. Ils n’avaient pas simplement le temps. Ils étaient des Shinobis. Cet endroit ne leur servait qu’à se reposer, se mettre en forme pour un lendemain de mission, d’entraînement ou autre. Un lieu défini, leur permettant de couvrir leurs besoins vitaux, tout en admettant une once d’intimité. Encore une fois, il eut une pensée pour sa maison, qu’il habitait avec ses parents autrefois. Elle semblait grande et chaleureuse, et ces souvenirs avec elle étaient si grandioses. Ces sentiments là s’amplifiaient avec le temps, pour le Chuunin. Il n’avait pas l’impression de changer et pourtant le monde autour de lui se métamorphosait le laissant pour compte.

Il se passa les mains sur le visage tout en s’attardant au niveau des yeux pour les frotter allégrement. La nuit avait été réellement courte. Et il fallait déjà se lever. Ce n’était pas une obligation pour tout le monde mais pour le Kawaki si. Il aimerait bien faire la grasse matinée. Il avait déjà essayé, mais à chaque fois on l’en empêchait. Soit c’était Mitsu qui avait besoin de lui, soit il fallait qu’une activité extérieure lui tombe dessus et qu’il se retrouve immédiatement embarqué. Au moins il pensait qu’en se levant plus tôt, il aurait au moins le temps de se préparer, histoire d’être présentable, et surtout de ne pas sortir le ventre vide.

Il se décida de se lever, après avoir vérifié par le calme intense qui régnait, un certain bruit. Une respiration, celle de sa douce qui dormait encore les poings fermés. Il se dirigea lentement essayant de pose ses pieds de façon à ne pas faire craquer le parquet qui se tenait sous son corps. Malgré ses efforts, quelques grincements apparaissait et disparaissait aussi rapidement. Il sortir enfin de la chambre et ouvrit la porte qui se tenait en face. C’était celle de la salle de bain, un passage matinal comme il y en avait tant d’autres. Il fallait attendre une dizaine de minutes pour voir ressortir le jeune homme au teint hâlé, une serviette nouée à la taille. Ses cheveux encore un peu humide laissait échapper quelques gouttes qui frappaient le sol.

Il pensait qu’il s’était levé assez tôt, mais un coup d’œil vers l’horloge, lui fit changer d’avis. Il était bientôt neuf heures. Il se dépêcha de chercher des vêtements, dans l’armoire. A ce moment-là, Mitsu se réveilla à son tour La cause étant sûrement le bruit des portes de placard et des tiroirs, qui s’ouvraient puis se refermaient accompagnés par des injures d’un homme qui ne trouvait plus un seul caleçon. Elle se leva d’un geste félin, se dirigeant en direction de son fiancée sans que ce dernier s’en aperçoive. Elle se mit sur la pointe des pieds pour lui déposer un baiser sur la joue, geste auquel il répondit immédiatement en tournant la tête et l’embrassant à son tour. Puis elle quitta la pièce, sans un mot, l’air radieux sous le regard de Sokka. Elle était de bonne humeur. Ce qui était assez rare selon les souvenirs de celui-ci.

Il ne manquait plus qu’un T-shirt désormais, mais Sokka n’eût pas le temps de le chercher qu’on frappa à la porte. Résigné, il lâcha sa recherche, et se dirigeait vers la pièce principale qui faisait salon, cuisine, salle à manger et aussi hall d’entrée. C’était vers cette dernière partie que le bruit venait. D’un geste souple Sokka tourna la poignée avant de tirer vers lui. C’était une femme qui se tenait derrière la porte. Elle était habillée d’une manière assez élégante. Jamais on ne la soupçonnerait d’être Ninja mis à part le fait qu’un bandeau de métal complétait cet habillement. Il finit par prolonger son regard vers la tête de la personne afin de la dévisager entièrement. De longs cheveux carmin, nuancés par quelques mèches vermeil, encadraient son visage et descendait jusqu’à disparaître derrière son dos. Ses yeux azurés faisaient un contraste certain avec la couleur pâle du visage de la jeune femme. Elle avait l’air hésitante, n’étant pas sûr qu’elle ait dérangé la bonne personne. L’Eisei-Nin décida donc de parler en premier, tout en refermant la porte derrière lui.

Sokka – C’est dingue comment on peut pas avoir un moment à soi dans cette vie.

Sokka – Excuse-moi. A qui ai-je l’honneur ?

Il gonfla son torse et croisa machinalement les bras en attente d’une quelconque réponse. Ses yeux émeraude la cherchaient en vain sur le visage de son interlocutrice. Elle ouvrit la bouche plus rapidement qu’il pensait pour pouvoir laisser échapper de ses cordes vocales, le son de sa voix.

? – Une fille avec le sourire !

Sokka ne pensait pas à cette réponse. Il dévisagea d’un air grave la jeune femme tout en fronçant des sourcils. Elle était vraiment sérieuse. Apparemment, le silence qui en suivait lui indiqua que c’était bien le cas. L’Eisei-Nin soupira avant de se retourner et de claquer la porte bruyamment. Décidément, le sort en avait marre et décider de l’interrompre à n’importe quel moment pour n’importe quoi ? Le Kawaki se dirigea vers sa chambre, décidé à s’habiller. A peine, il eut le temps de faire un pas que les coups dans la porte résonnèrent de nouveau. Il décida de les ignorer, partant de nouveau à la recherche de son habit. Mais il ne put pas s’empêcher de se retourner à nouveau devant les bruits qui s’intensifiaient. Il décida à nouveau de se sacrifier et revint sur ses pas, tout en laissant s’échapper un long soupir. La porte s’ouvrit de nouveau.

Uzumi – Je suis Uzumi Meloku.

Sokka – Et ?

Uzumi – Je suis venu ici sous la demande de Liori-sensei. Il m’a dit que vous pourriez m’aider pour cette mission. dit-elle tout en tenant devant elle un petit bout de papier.

Sokka lui prit des mains et parcourut vaguement la lettre. C’était une simple mission D. Un bar demandait des chiens de gardes à cause de perturbations qui se feraient dans l’enceinte de ce dernier. Sa lecture s’arrêta sur le nom du bar : «Fond’Kale». Ce nom ne lui était pas étranger. Il se souvenait avoir été au une fois. Un endroit peu recommandable. Sokka était étonné aussi que le gérant se décidait enfin à prendre conscience de la situation de son établissement. Mais, le cas était trop désespéré, selon le Chuunin. Celui-ci rendit la feuille à sa propriétaire.

Sokka – Cela ne m’intéresse pas. Il faudra être plus convaincante pour m’amener à t’aider.
Mina Uchiha
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MessageSujet: Re: [Mission - Rang D] Toi tu passes pas, tu portes des baskets.   [Mission - Rang D] Toi tu passes pas, tu portes des baskets. EmptyVen 18 Juin - 16:44

Si il fallait bien dire une chose, c'est que la journée menaçait d'être ... moche ? Oui oui, moche, car la bellitude des choses même du ciel peut être mesurée selon une échelle assez concrète et totalement subjective. De lourds et sombres nuages plombaient le ciel, asphyxiant les rares éclats solaires tentant vainement de percer à travers, diffusant une faible et triste lumière sur ma position, et sûrement même sur le village entier. Un temps d'orage, que je vous dis. Peut-être même de brume, mais il est encore trop tôt. Je soupirais doucement, mon regard s'attardant sur ciel menaçant, ne pouvant m'empêcher, néanmoins, de le trouver magnifique : Toute chose à sa beauté, son magnifique, ce quelque chose qui le rend unique et intense. Je souriais pour moi-même, tentant maintenant de trouver les formes familières dans cet amas encre.
Par-ci et par-là, on entrapercevait des motifs, des gravures, des liserés plus ou moins ressemblant à des croissants, des gâteaux, des éclairs au chocolat ... Est-ce une feinte pour me faire comprendre que je n'ai rien avalé ce matin, et que j'ai faim ? Si tel est le cas, c'est fourbe. Mon imagination est fourbe. Je suis fourbe ... Bon, on oublie.
Je recentrais mon attention sur la porte, fermée, devant laquelle j'attendais depuis quelques secondes déjà. Je dois avouer qu'on peut faire et penser beaucoup de choses dans ce laps de temps, ça ne m'avait jamais intriguée avant ce moment-là ... Mais, enfin, elle s'ouvrit grandement, coupant court à mon flot de pensées diverses et bien entendue variées, me faisant découvrir mon interlocuteur duquel on m'avait parlé si peu.

Sokka Kawaki, adolescent au teint halé, cheveux sombres et yeux émeraudes, chuunin au corps musclé et agréable à contempler, torse nue, vint à ma rencontre. Visage un peu sévère, las, contrarié, comme si je venais de le déranger pendant une activité capitale, bras croisé, ses premières paroles me confirmèrent mes premières impressions. Et j'eus aussi une envie de me moquer de lui, au moment où il me demanda une identification.
Avec mon plus grand sourire, je fermais les yeux, et lui dis sur un ton joyeux où perçait à dix kilomètres le sarcasme :


- Une fille avec le sourire !


Je continuais de sourire, avant que le claquement de la porte me la fasse rouvrir, quelque peu étonnée. Et bah, il ne semble pas avoir beaucoup d'humour ... Ou irritable ... Voir les deux, tout compte fait. Le sarcasme était-il si visible que ça ? Pourtant, j'avais bien pris soin de paraître le plus sérieuse possible ... Je note, je dois entraîner mes intonations. Bref, c'est reparti pour l'attente ... je frappais de nouveau à la porte, de plus en plus avec de vigueur au fur et à mesure que les secondes coulaient et que le temps se faisait long, surtout sur la fin. Lourdes secondes tombèrent dans le sablier du temps avant que finalement, la porte se rouvrit, avec en figure de proue un visage bien désabusé.

- Je suis Uzumi Meloku.

- Et ?

Réponse sèche, mono-syllabique. Ça commence bien. On sourit, affable, avant de continuer, sur une voix douce.

- Je suis venue ici sous la demande de Liori-sensei. Il m’a dit que vous pourriez m’aider pour cette mission.

Je lui tendais la mission, griffonnée à la va-vite sur un morceau de papier, et qui comportait les principaux éléments nécessaires à la réussite de celle-ci. J'attendais le verdict, sagement, bras croisés sous ma poitrine, un sourire en coin sur les lèvres.

- Cela ne m’intéresse pas. Il faudra être plus convaincante pour m’amener à t’aider.

Pas très coopératif n'empêche ... Être plus convaincante, il n'aurait pas pu être plus vague, non, du tout. Mais ça ne veut rien dire ! Être plus convaincante, je vous jure ... Mon sourire se tordit un peu, preuve de ma frustration. Avant que, finalement, mon esprit un peu tordu reprenne le dessus. Ah oui, tu veux que je sois convaincante ? Et bah je vais l'être !

- Bon, puisque tu insistes ... Je t'offre une glace.

Un sourire clairement moqueur s'afficha sur mon visage, en même temps que je soufflais à son visage quelques flocons de neige, fruits de mon affinité naturelle. Je comptais clairement titiller sa curiosité, d'après ce que j'avais compris, mon don n'était en rien banal ... Autant en profiter, si cela se révèle utile !
Un soupir résonna de nouveau, avant que sa voix ne s'élève à nouveau, lasse.


- Tu as de la chance. J'ai rien à faire, en fait. Tu me laisse terminer de m'habiller avant?

J'affichais un large sourire, avant de m'exclamer joyeusement.

- Naturellement !

Cette mission promettait d'être, à défaut d'intéressante, amusante !
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