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Auteur | Message |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Ven 15 Sep - 20:14 | |
| [Kempachi: +2xp pour Etude/RP ]
[Allez ! Tous à la bibli' !] |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Jeu 21 Sep - 3:07 | |
| Cela faisait maintenant quelques jours que Kaïsan faisait parti des terrible ninja de Kumo. Il marchait présentement dans une rue menant au centre- ville. Il laissait ses pas le guider, admirant la phénoménale architecture du village caché des nuages, sa et là, un foule de gens se massait devant une troupe de théatre ambulant, ou encore un vendeur étinérant ventant les mérites du potions extraordinaire. Kaïsan vivitait le village pour la première fois, il avait bien sur parcourut les longues avenues de Kumo avec Kato et puis après avec Kempachi, mais il n'avait pu admirer toutes les merveilles de ce village. Ses pas le menèrent aux boulevard of broken dream, puis emprunta une artère moins fréquenté de la ville. Puis il arriva devant une magnifique bâtisse. Cet endroit l'intriguait, il décida alors d'y mettre les pieds.
En poussant les massive portes en chêne, le jeune étudiant pu enfin comprendre, dans quel endroit il se trouvait. Plusieurs shinobi étaient assis à des tables, étudiant ou lisant un livre. Il se trouvait donc dans la bibliothèque de Kumo. Il marcha jusqu'à un comptoir ou se dressait un homme qui devait être le bibliothécaire.
[Kaïsan] -Bonjour monsieur, je suis un nouvel arriver dans cette villes, est ce que nous somme dans la bibliothèque de Kumo?
Il savait bien sûr que c'était la grande bibliothèque, mais il devait en être certains. Puis puis l'idée lui était venu de peut être arpenter les rayons de la bibliothèque et ainsi se renseigner sur les Shinobi.
[Bibliothécaire] -Bien sûr jeune ignorant, vous n'avez pas remarquer le panneau indiquant le lieu ou vous vous trouvez dehors? Bon et bien si vous n'avez pas d'autres question, j'ai du travail à faire.
Puis le bibliothécaire prit une petite liasses de parchemin et entreprit la tâche longue et fastidieuse que de répertorier ses papiers. Kaïsan entreprit alors de trouver un sujet d'étude à son niveau. Il parcourut tous les rayons du premier étages, et ne trouva rien d'interressant. Il n'y avait que des livres sur l'histoire, la philosophie, les mathématique et la lithérature. Pour résumé, des sujets qui n'interressait point le jeune Hyuga.
Il gravit les escaliers et en parcourant un second rayons trouva enfin un sujet qui pourrait l'interesser.
[Kaïsan] *Oh enfin un sujet d'étude qui pourrait me servir. Avec sa, je ne serait pas ignorant sur l'art de la medecine et peut-être vais-je pouvoir impressioner mon éventuel Senseï...*
*La medecine n'est pas une discipline, c'est plustôt un art destiner aux plus habiles et aux plus patient. Tout d'abord, vous devez possédez une base en connaissance du corps humains, car les techniques de medecines demande une grande connaissance en cette matière....*
*Il existe plusieurs technique de medecine. De la vie à la mort, Regénération et scapel de chakra en sont des exemples. La première technique de bas niveau qu'un ninja médecin peut apprendre, est la regénération cellulaires. Les cellules se regenèrent par elle-même, mais durant un combat, le medecin ordonne à ses cellules de se multiplier à une vitesse ahurissante. Malheureusement, certains ninja ambitieux et impatient perde souvent la vie, puisqu'ils mettent en pratique cette technique sans connaissances de base. Malheureusement l'utilisation de cette technique provoque l'affaiblissement de l'emsemble du corps humains et demande une grande demande de chakra....*
L'horloge sonna alors midi, Kaïsan avait oublié l'heure et il avait maintenant très faim. Il rangea donc précipitament son livre et se dirigea vers la sortie..... |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Jeu 21 Sep - 19:10 | |
| [Kaïsan : +2xp Etude/RP ] |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Dim 1 Oct - 19:19 | |
| Auron avait réglé ses problèmes de matériel mais il n’avait toujours aucune connaissance des plantes qu’il pourrait trouver dans Kumo. Il se dirigea donc vers la bibliothèque de l’académie pour se renseigner. Quand il arriva dans la sphère de silence et de tranquillité que constituait la bibliothèque, il se dirigea directement vers l’accueil où il trouva la bibliothécaire en plein travail. Il attendit qu’elle lève la tête et l’apostrophe d’un ton acerbe pour présenter sa requête. « Que voulez-vous ? Encore un livre pour ninja ? »« A vrai dire, non. Je suis venu cherchez des informations sur la faune, la flore et le climat de Kumo. »A ces paroles, la bibliothécaire le regarda d’un air si surpris qu’il cru que ses yeux allait lui sortir du crâne. Elle quitta son travail et, après être sorti du comptoir d’accueil, lui fit signe de la suivre. Elle se dirigea vers le coin le plus éloigner de la pièce et emprunta un escalier qui montait vers le premier étage. Quand il eut monté les marches, il arriva dans une pièce poussiéreuse qui contenait une dizaine d’étagère. La bibliothécaire se tourna alors vers lui.« Voila tous les livres qui ne sont jamais consulté. Tu trouveras sûrement ce que tu cherches. Bon courage. »Et elle redescendit l’escalier pour retourner vaquer à ses occupations. Auron se tourna alors vers les tonnes d’ouvrages qui l’attendait et eut le sentiment de s’être fait rouler. Malheureusement, il n’avait pas le choix et commença à chercher des livres qui pourrait lui être utile. Après une première sélection de livres anciens, Auron s’installa à même le sol pour commencer sa lecture. Les trois premiers livres qu’il prit lui tombèrent en poussière entre les doigts mais le quatrième tenu le coup. - Citation :
- « Kumo est aujourd’hui le village le plus riche du pays. Grâce à sa connaissance des différents types de cultures montagnardes, sa population à su créer un grande distance avec les … »
Auron cessa la lecture du livre aussi vite qu’il avait commencer et le posa devant lui. Celui-ci ne contenait aucune information utile. Il continua donc sa recherche avec le livre qui suivait. - Citation :
- « Avec son climat essentiellement montagnard, le pays de la foudre n’a jamais eu de réelle diversité florale. Seuls quelques arbres, arbustes et plantes ont réussi à résister aux hivers rudes qui constituent la majeur partie du climat. Beaucoup de plantes ont réussi à être identifié mais certaines, qui sont situé hors de portée des humains, n’ont jamais pu être approché. »
Le reste du livre étant similaire au précédent, il le reposa. Auron commença à se décourager. Les livres qui stocké ici étaient bien trop vieux pour pouvoir lui être d’une quelconque utilité. Il repris néanmoins un dernier livre. Peut-être serais-ce le bon ? - Citation :
- « Le climat du pays de la foudre n’as jamais favorisé l’expansion de la faune et de la flore. Bien peu d’animaux ou de plantes réussir à s’adapter dans ce pays dont les hivers étaient très violents. »
Encore une fois, Auron reposa le livre sans finir la première page. Tout cela était déprimant. Il se leva et quitta l’étage sans avoir appris quoi que ce soit sur l’environnement de Kumo. Alors quand la bibliothécaire lui demanda ce qu’il avait trouvé, il répondit :« Malheureusement, les archive de Kumo tombe en miettes. Je vais mener mes recherches dans la nature. Je pense que j’aurai plus de succès. »Il quitta ensuite la bibliothèque, ne sachant par où commencer. |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Mar 14 Nov - 22:12 | |
| Shikano arriva enfin la bibliothèque sacrée de Kumo après quelques heures de marche . Il était essouflé malgrès son corps lèger de maître Taijutsu . Il s'épaula sur un arbre le temps de reprendre assez d'air pour entamer ses études . Puis , il ouvrît la porte d'un geste vif de la main , et la referma avec délicatesse . Puis il se dirigea vers le comptoir pour parler au bibliothecaire , mais , à sa grande surprise , un corps inconnu pour Shikano se présenta devant le barbare . C'était un jeune homme assez robuste , ayant un corps de catcheur . On pouvait deviner qu'il n'était pas shinobi du village , car un surplus de poids l'allourdissait , rendant toutes actions difficiles .
" Bonjour ! "
Lanca Shikano d'une voix grave et sérieuse . Le bibliothécaire s'approchait peu à peu du comptoir en réalisant des pas faisants trembler toute la salle .
* Ce gars est dangeureux ... Jamais de la vie je ne m'opposerai à une personne comme ca ! *
Se dit-il , toujours en contemplant l'immense buste du jeune homme . Il ouvrit sa grande bouche pour répondre à Shikano .
" Que puis-je faire pour vous ? "
Souffla t-il d'une voix grave . Shikano ne pût s'empêcher de trembler , tellement le bibliothécaire gardait un air terrifiant .
" Je voulais vous demander ce qui est arrivé au vieil homme travaillant ici deux mois auparavant . "
" Il a pris sa retraite , et on m'a appelé de l'académie pour m'occuper de cette salle d'étude . Puis , le vieil homme quitta le village pour continuer son métier à Kiri . "
* A Kiri no kuni ?!? Mais , que fait-il là haut ? Sans doute parce que cette salle n'est pas souvent fréquentée ... *
Se dit-il , tout en jetant un coup d'oeil à la salle . En effet , seulement deux étudiants s'y trouvaient , et les places libres étaient occupées par de la poussière et quelques insectes par-ci par là . Shikano remercia le jeune bibliothécaire , et se dirigea vers une place libre au fond de la salle . Il s'assît tout en cherchant le livre listant les techniques Taijutsu du village . Malheuresement , il ne trouva rien , et se dirigea avec des pas vifs et rapides vers le jeune homme . Le bibliothécaire se retourna vers Shikano pour lui servir de son mieu .
" S'il vous plaît ! J'ai remarqué que le livre recueillant les technique Taijutsu de Kumo n'était pas à sa place , à moins qu'il y eût un changement dans la bibliothèque . Si c'est le cas , pouvez me dire le rayon où il se trouve avec sa quote ? "
" Je voudrais bien , mais malheuresement , la plupart des livres fréquentés par les étudiants ont été emmené par le vieil homme travaillant jadis ici . En effet , ces livres lui appartenaient , et les avait placé ici sur demande du Raikage . Malheuresement , il nous a quitté , et ses livres partirent avec lui . C'est pour cela que cette salle de littérature ne marche plus comme avant . Personne ne fréquente , si ce n'est que pour emprunter des livres culturelles . "
* Ohh non ! Que vais-je faire maintenant sans les livres sur le Taijutsu ?!? Heuresement que les jounins ont des bases sur ces connaissances ... *
" Celà est bien dommage . Bon , je dois partir maintenant , je n'ai plus rien à faire ici . Au revoir monsieur , à bientôt ! "
Dit-il une dernière fois au jeune homme avant de quitter la salle par un signe de sa main , laissant place à la fumée . |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Ven 17 Nov - 21:31 | |
| [Auron et Shikano: +2xp RP/étude ]
[La bibliothèque est drôlement délaissée, dommage car cela fait grandement parti de l'attirail d'un ninja pour parfaire ses connaissances.] |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Sam 2 Déc - 2:39 | |
| Rakurai venait de sortir de la salle de cour ou il venait d'apprendre le Henge, pur technique de base, mais suffisamment utile pour être utilisé même lors de combat réel. Les derniers mots de Kempachi résonnaient encore dans sa tête, aller à la bibliothèque se renseigner sur le Genjutsu avant d'aller le rejoindre sur une des nombreuse aire d'entraînement que l'on pouvait trouver facilement dans les proximités immédiates de Kumo.
Enfin, tout d'abord il devait trouver la salle de littérature de l'académie de Kumo et pour se faire il repassât prestement à l'accueil afin de parler à la personne physiquement féminine et vocalement masculine. Malheureusement il dut attendre son tour, il y avait deux chuunin qui semblait discuter de leurs affectations de cours, il semblerait d'ailleurs qu'il y ait une erreur dans leurs nombre d'heures de cours car sur leurs emplois du temps ils avaient trois cour, rien que sur la même heure. Le temps de rétablir cette erreur administrative Rakurai eu le temps d'obtenir son renseignement via les différents panneaux d'indications donnant le lieu des différentes salles les plus importante et après observation il semblerait que la salle de littérature occupe une très grande partie du troisième étage, rien d'étonnant à cela si l'on savait que la force du ninja provenait avant tout de ses connaissances.
Et revoilà Rakurai qui grimpait les marches de l'académie afin de rejoindre le troisième étage, il n'avait pas vraiment l'énergie pour monter autant de marche, mais soit, il allait la prendre dans sa petite réserve spéciale "coup dur", même si cela risquait fort de le faire s'endormir sur son livre une fois là haut, ou en plein entraînement, c'était tout à fait possible.
Finalement il arrivât au troisième étage et si le couloir de droite semblait mené à deux salles, qui ressemblait plus à des salles de professeurs qu'à de véritable salles de cours, la porte de gauche, seule par ailleurs, indiquait très clairement le mot "bibliothèque" inscrit dessus. Ni une, ni deux, Rakurai pénétrât dans l'immense bibliothèque de l'académie, à l'intérieur régnait un calme des plus plaisant. Seul le bruits du vent dans les feuillages ou le chant des oiseaux arrivaient à filtrer à travers les nombreuses fenêtre se trouvant sur le mur gauche de la pièce. Et pourtant, pourtant la vie dans Kumo continuait, grouillait, impossible à faire taire, mais dans ce lieu onirique et poétique, le bruit semblait s'arrêter aux fenêtres, n'ayant pas le droit de franchir la frontière menant en ce lieu. Une autre raison pour lequel ce lieu était si calme était du au fait qu'il n'y avait personne, absolument personne hormis deux bibliothécaire rangeant des livres ou notant diverses chose, d'ailleurs, étant la seule personne présente, son arrivé fut remarqué par ces deux personnes, un homme d'une cinquantaine d'année environs accompagné d'un autre homme mais beaucoup plus jeune, vingt, vingt-cinq ans peut être, sûrement un apprenti ou quelque chose du même genre. Mais ce qui marquait le plus Rakurai c'était les livres, des dizaines, non, des centaines d'ouvrage se trouvait là, tous certainement plus intéressant les uns que les autres, tous devant absolument être lu par Rakurai si il souhaitait accroître ses connaissances et d'ailleurs, il dut faire un très gros efforts de maintien de soi même pour éviter de se jeter à coeur perdus sur la première rangés de livres la plus proche, préférant à la place s'approché des deux bibliothécaires.
Préférant s'adresser directement au plus vieux, Rakurai donnât son nom, le nom de son sensei et la raison de sa présence dans cette bibliothèque, il désirait consulter un livre traitant du Genjutsu, avec, si possible, ses effets les plus connus, les qualités requises pour passer maître dans cette discipline et enfin les moyens de le contrer sous toutes ses formes. Il ne commencerait à étudier les informations supérieur, si il y en avait, que dés qu'il maîtriserait les bases, ce qui signifiait, étude plus entraînement durant de longues, très longues semaines. Le bibliothécaire, que Rakurai soupçonné d'avoir lu tous les ouvrages présents, indiquât de manière très formelle le nom de quatre grands ouvrages sur le genjutsu. "Le genjutsu, première année", "Genjutsu" par Siyazaki Homura, "L'art et la manière de se protéger du genjutsu" et enfin "Le Genjutsu, débat sur son utilisation en cours". Bref, beaucoup d'ouvrage de référence, mais qu'il devait trouver lui même au milieu de tout les autres livres, et cela risquait de devenir difficile de résister à la tentation de tous les lires. Mais avec beaucoup de volonté et en ne prenant qu'un livre à la fois, peut être.
Remerciant gracieusement le bibliothécaire, Rakurai se dirigeât vers l'allée que le vieux bibliothécaire lui avait indiqué pour trouver ses livres. La section G-2, alors la section G-2......Il ne mit pas vraiment longtemps à la trouver, mais il avait flâner autour des autres sections, regardants les titres des livres devenir de plus en plus alléchant et sentant sa volonté de plus en plus défaillante. Mais quand il arrivât à la section G, couloir numéro 2 il se ressaisit vite avant de chercher au moins un des livres qu'on lui avait conseillé. Ce qui ne durât pas plus de...Dix secondes environs. En effet, le livre "Genjutsu" de Siyazaki Homura fut le premier qu'il vit et pourtant il n'était pas content, intérieurement il avait espéré cherché plus longtemps afin de pouvoir lire de plus en plus de titres de livres, lui dévoilant par la même ses futurs lectures, même celle pour le plaisir.
Enfin bref, trop tard, il avait l'un de ses livres, il n'avait donc plus aucune raison de s'attarder à chercher d'autres livres - pour l'instant tout du moins - il s'installât alors à la table de travail la plus proche avant d'ouvrir son livre sur le genjutsu, commençant alors sa lecture.
Genjutsu de Siyazaki Homura
Préface
Si j'ai décidé d'écrire un livre sur le genjutsu ce n'est pas pour montrer la supériorité écrasante que j'avais dans ce domaine, mais plutôt pour démontrer que le genjutsu, malgré toute les controverse qu'il à pu déclencher dans le passé reste l'un des styles les plus important dans une équipe avec un médecin et un maître dans le ninjutsu, mais pourquoi ? Et bien pour ses nombreuses qualités et surtout ses nombreux avantages tactiques qu'il peut offrir à une équipe. car, sans que cela ne se voie vraiment, le maître en genjutsu est cela sur qui repose bon nombre de plan tactique, embrouiller ses ennemis, les perturber, les affaiblir, tant physiquement que psychiquement. Mais attention, je ne dis pas qu'il s'agit là du style ultime, bien au contraire, c'est le plus fragile des style, mais uniquement au corps à corps, c'est d'ailleurs pour cela qu'un excellent professionnel dans le Genjutsu ferrât toujours en sortie d'être à distance de son adversaire tout en élaborant diverses stratégie pour vaincre son, ou ses ennemis paralysés par ses jutsu. Mais j'ai déjà beaucoup parlé, je vais désormais vous dévoiler mes idées. Siyazaki Homura
Chapitre premier : De l'art et la manière d'utiliser le genjutsu.
Le genjutsu, style terrible, horrible même, souvent renier par les ninjas pour l'horreur qu'il fomentait dans l'esprit des gens, mais heureusement, son utilisation s'est vu rationaliser, même mieux désormais il devient rare de ne pas trouver quelqu'un apprenant ce style de jutsu. Mais que fait le Genjutsu concrètement ? Et surtout comment peut s'en servir ? A ces deux questions je n'aurais qu'une réponse à chacune.
Tout d'abord, le Genjutsu est l'art du ninja à créer des illusions chez son ou ses adversaires, et pour se faire le maître du genjutsu à besoin de trois éléments indispensable et indissociable. Une imagination débordante, un calme parfait, et surtout, le plus important, une concentration sans égale. Mais revenons un instant sur ce qu'est concrètement le genjutsu. Comme déjà dis c'est le style permettant de créer des illusions susceptibles de perturber son adversaire. Mais cela va bien plus loin que ça en fait. Le Genjutsu est un style vicieux, n'ayons pas peur des mots, vicieux donc, frappant les esprits, les brisant et se délectant de ce qui en ressort. D'ailleurs, et à mon grand dam, beaucoup de maîtres du genjutsu ont sombré à cette folie destructrice. Désirant voir de plus en plus d'esprit se briser devant eux. Ce qui fit naître cette triste réputation du genjutsu créateur de fou dangereux.
Parlons maintenant de "comment" se servir du genjutsu, mon but ne serra pas de vous faire un récit de comment malaxer son chakra pour créer une illusion, loin s'en faut, mais plutôt de vous donner les meilleurs moment pour se servir d'une illusion handicapante ou paralysante. Le meilleur moment pour une illusion paralysante reste lors de l'amorce de l'attaque d'un de vos adversaire ou pendant la phase de création de jutsu afin de "casser" votre adversaire dans son élan. L'obligeant alors à recommencer. Mais cela nécessite une certaine vivacité d'esprit et surtout physique. Car il faut analysé rapidement ce que fait son adversaire et avoir la rapidité physique de le contrer juste avant. Ce qui est une tache bien plus ardus que l'on ne peut y croire.
Finalement le Genjutsu s'apparente à un style de soutient pur dis comme cela, mais c'est sans compter sur les incroyable ressources qu'il possède pour permettre à son utilisateur de blesser son adversaire, point dont je vais débattre dans le chapitre suivant.
Malheureusement, Rakurai avait perdus trop de temps à flâner dans les rayons. Lorsqu'il regardât la montre se trouvant au mur et voyant qu'il était tard et qu'il avait un entraînement avec Kempachi dans une des nombreuses aires d'entraînements de Kumo il dut arrêter là sa lecture. Refermant le livre avec un visage de dépit et le rangeant avec un pincement au coeur il se dirigeât mollement vers la sortie. Il voulait encore lire, mais il devait obéir aux ordres aussi. C'est ainsi donc qu'il sortit de la bibliothèque en faisant le moins de bruit possible. Ne serait ce que pour préserver le calme ambiant de cet endroit avant de descendre les trois étages. Croisant Chuunin, genin et étudiants à travers le couloirs et de sortir dans les rues de Kumo. |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Sam 2 Déc - 14:59 | |
| [Rakurai: +4xp pour Etude/RP ]
[Tes post... ralala ! Sont fun ! même si j'ai pas souvent le courage de les lires tous, en entier :p ] |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Ven 29 Déc - 0:18 | |
| Se baladant seul comme un clandestin dans les ruelles élargies kuméenes, Shikano s'arrêta devant l'académie, plus précisement en face d'une affiche qui annonçait l'arrivée de quelques ouvrages. Espèrant qu'il trouverait des livres intéressants sur le Taijutsu, le barbare entra à l'enceinte de la grande salle de littérature. A sa grande surprise, aucune âme n'errait dans cette salle classée sacré par le Raikage qui avait pris congés depuis quelques mois. Il se dirigea vers le comptoir placé dans un coin de l'entrée de la biblitohèque, et commenca un entretien avec le jeune salarié plongé dans ses dossiers.
[Shikano] " Bonjour, je voudrais savoir si de nouveaux livres taijutsu sont arrivés récemment. "
[Le bibliothécaire] " Seulement un livre taijutsu... Malheureusement je n'ai pas le temps de vous le trouver. C'est un ouvrage assez vieu dont la couverture a pris une couleur jauneâtre par le temps. "
[Shikano] " Hmm.... Merci. "
[Le bibliothécaire] " Ce n'est que mon devoir... "
Chuchotta t-il tout en souriant, avant de se lancer entre ses papiers et son ordinateur. Quant au barbare, il prenait destination vers la zone Taijutsu de la bibliothèque. Mains dans les poches, il commenca à fouiller les livres de son regard. Une centaine d'ouvrages basée sur les techniques au corps-à-corps se trouvait dans la rangée, de toutes les couleurs et de toutes les grosseurs. Soudain, un livre attira l'attention du genin kuméen, un livre assez vieu, de couleur...
* Jauneâtre... J'espère que c'est celui-là... *
Il tira le livre de l'étagère avec son index, et se mit en place dans une table discrète, loin de tous les regards curieux. Le barbare commenca à feuilleter le livre qui avait plutôt l'air d'une encyclopédie à cause du nombre de pages et de chapitres. L'auteur avait tout détaillé : technique, tenues, armes... Le kuméen savait déjà tout sur les techniques et les tenues. Les armes ne l'interressaient pas; car il était persuadé que ses seuls armes étaient ses poings et ses pieds. Donc, il ne restait que la partie " Essentiel " comme lecture au genin taijutseur.
L'essentiel du Taijutsu :
Le Taijutsu, appelé aussi le corps-à-corps, est une des quatres grandes voies ninja, mais celle-ci est différente des autres. En effet, le Taijutsu ne nécessite pas ou peu de chakra pour être mis en forme, contrairement au Ninjutsu et au Genjutsu. Le ninja doit puiser dans sa force et sa rapidité pour battre son adversaire, et peut y inclure un peu de chakra pour multiplier ses dégâts. Au bout de quelques années, le taijutseur possède des membres plus puissant que les armes ninjas. Mais, en fait, cette voie n'a besoin que d'un facteur : l'agilité.
* Quoi ?!? Encore une connerie comme ca, et je déchire ce livre... *
L'agilité sert à toutes choses, contrairement à la force. Tout d'abord, elle permet d'esquiver les offensives , et épuiser les ressources de l'adversaire. Même si esquiver totalement l'attaque se montrerait impossible, l'agilité peut réduire une grande partie des dégâts infligés. De plus, votre vitesse vous donnera la capacité à frapper en premier, ce qui est vraiment important lors d'un combat mortel. Revenons maintenant à ce que la force brute nous permet de faire : rien, si ce n'est que subir plus pour infliger plus. Une force herculéenne ne vous servira strictement à rien si votre adversaire vous neutralise en quelques coups.
* Hmmm... D'un côté, il dit vrai... *
Mais, toute chose a une faiblesse en ce monde, et ca compte aussi pour l'agilité : le chakra. Sans chakra, l'agilité ne peut être employé pour les offensives. Normalement, le chakra est une ressource rare pour le taijutseur, et le shinobi ne doit en aucun cas en avoir besoin. Quelques clans de différents pays ont respecté cette règle, quitte à mourir.
* Avec leurs honneurs... *
Passons maintenant aux détails à la fois important et passable. Tout dabord, la vitalité : en plus de procurer une défense contre certain jutsu, elle vous offre une résistance robuste, et peut vous faire gagner du temps. Ensuite, la dextérité : Utiliser son corps comme projectile, c'est possible avec certains jutsus, et efficace si vous avez épuiser votre inventaire. Puis enfin, la sagesse : Efficace contre les genjutsus, elle vous permettra de découvrir la vérité du Taijutsu, et ainsi faciliter la mise en forme de cette voie.
Et voilà, l'essentiel de cette voie est là. Je vous invite à lire les autres parties de cet ouvrage. Un résumé des techniques, des tenues et des armes vous attend quelques pages après.
* Ce n'est pas nécessaire. *
Se dit le barbare, laissant le livre sur la table, avant de prendre la direction de sortie discrètement pour ne pas briser le silence qui règnait dans cette grande salle. |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Lun 8 Jan - 20:44 | |
| [Shikano: +3xp pour Etude] |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Mer 17 Jan - 3:50 | |
| Rakurai, une fois ses achats à l'armurerie effectué, se retrouvas dans la rue principale de Kumo, mais il ne perdit pas de temps à l'admirer pour l'énième fois de la journée, il avait rendez vous avec au moins trois livres à la bibliothèque de Kumo, et c'était un rendez vous qu'il ne comptait pas manquer, ça non. Remontant lentement mais d'un pas suffisamment constant pour éviter d'avoir l'impression qu'il se traînait, Rakurai vit bientôt la silhouette devenus familière de l'académie de Kumo, fière étendart de la puissance de Kumo. Mais aussi symbole vivant de leur doctrine, celle de la justice.
Pour une raison assez inconnue, Rakurai se trouvait mal à l'aise face à cette doctrine, peut être cela était il dû à ses origines d'assassins, mais il n'en était pas sur, après tout sa famille et lui-même avaient déjà accepté des contrats nécessitant l'élimination d'être mauvais, ayant été engagé par les forces de justice quand ces êtres réussissaient à échappés entre les griffes de la justice. Non, la raison ne pouvait pas venir de là. Peut être venait elle tout simplement parce qu'il ne croyait absolument pas en la justice, non, pas du tout même. Partout dans le monde se crée des situations terribles, des enfants meurent, d'autres se font vendre. Les hommes s'entre-déchirent et des familles pleurent leurs morts mais ne cherchent pas à calmer le jeu, préférant enfoncer d'avantage le clou. La justice n'était qu'une utopie fondé par des personnes désirant changer les choses mais ne pouvant y parvenir seules, c'est tout. Et Rakurai ne pouvait accepter cela. La justice, qu'elle soit humaine ou divine, ne pouvait exister, ou alors, si elle existait quelque part il devrait un jour la rencontrer...Et mourir.
Arrivant devant les portes, il mis fin à ses pensées pour le moment, il suffisait qu'il rencontre Zenko-san pour ne plus jamais voir la lumière de son existence, donc, mieux valait conserver ces pensées pour lui et les ressortir un jour, enfin, cela n'était pas sur. Poussant les portes de l'académie il saluas les personnes présentes dans le hall, à savoir la secrétaire si belle et féminine d'apparence que rocailleuse et masculine de voix, deux chuunins et un troisième homme ne portant aucun bandeau, sûrement un habitant du village venus demander de l'aide aux ninjas. Passant devant ces personnes donc, il entreprit de gravir lentement les marches des escaliers, se mettant contre le mur lorsque les enfants courraient dans les escaliers suivis de prêt par leurs senseis, tous des chuunins. Ces enfants, futur ninja peut être, amusait beaucoup Rakurai, il n' pas eu une enfance malheureuse, loin s'en fallait, mais il n'avait jamais vécu l'amitié entre enfants, les jeu que l'on fait, les blessures qui peuvent arriver d'un accrochage, les coup de main qu'on donnait, tout ça il ignorait complètement ce que c'était et, au risque de paraître terrifiant, il s'en moquait complètement. Pour lui, qui n'était qu'un combattant pur, né pour se battre, vivre pour l'assassinat et mourir en combat, c'était tout, mourir de vieillesse ? Cela ne l'avait même pas effleuré. Et lorsque l'on était éduqué comme cela, l'enfance vous semblait être une chose bien morne, sans grand intérêt même, car, ce n'était qu'un passage vers une vie de combat, de tristesse, de mort et de solitude, autant de suite briser les illusions de ces bambins au lieu de les laisser jouer tel des bien heureux, mais cela n'était pas de son ressort.
Finalement il gravis les dernières marches menant au troisième étage, et bien qu'il comprenait les raisons qui poussaient les gens à construire leurs bibliothèque aussi haut, il ne l'appréciait pas forcément, imaginé ! Devoir se taper une cinquantaine de marche pour trouver un livre ! Et quand on faisait la constitution physique de Rakurai (donc celui d'une allumette) on trouvais que cela ressemblait au mont Fujii. Enfin bref, il était arrivé, c'était l'essentiel, maintenant il devait calmer sa respiration sous peine de nous faire une tachycardie dans pas longtemps, ce qui aurait fait un mauvais effet. Pénétrant dans l'austère, et toujours aussi vide, bibliothèque, Rakurai se dirigea de suite vers les deux, non un seul, le jeune, il semblerait que le vieux ne soit pas là, bibliothécaire se trouvant derrière son comptoir. Il saluas le jeune homme occupé à compléter des fiches sur les ninjas ayant emprunté des livres sans les rendre quand Rakurai obtint son attention en toussant discrètement. Il savait déjà ou trouver des ouvrages sur les genreuse et ce n'était pas cela qu'il cherchait mais plutôt des ouvrages sur les autres styles de combat, outre, évidement, le genjutsu et le ninjutu non élémentaire. Ce dernier conseilla à Rakurai plusieurs nom d'ouvrages sur les bases d'autres techniques, tel que le taijutsu (rien qu'à l'idée de le voir se battre au corps à corps lui fit peur, à oublier donc), du ninjutu élémentaire (choix intéressant selon son grand père, mais il était nul avec tout ce qui touchait les éléments, pour preuves, il avait tenté de voir la réaction terre, plus eau plus feu, égale, rien, un néant total, digne des plus mauvaises histoires). Il passas brièvement sur les techniques diverses et variés, pour finalement arrivé jusqu'au ninjutu de combat, inconnue au bataillon ce truc, des recherches sur ce style s'imposé donc. Prenant le noms de deux trois ouvrages de références, dont un sur les techniques existantes en ninjutu de combat, Rakurai se mit en quête des ouvrages sus nommés par le bibliothécaire, après l'avoir remercié, cela va de soi.
Allant dans la section des arts ninjas, Rakurai pris, sur le trajet et mine de rien, trois ouvrages sur le genreuse dont un de son auteur préféré (enfin le seul qu'il connaisse à la vérité) : Siyazaki Homura. La dernière fois il eu à peine le temps de lire la préface et le premier des cinq chapitres constituant son œuvre, et aujourd'hui il n'aurait pas beaucoup plus de temps, il avait des choses à faire et pas assez de temps, mais une chose à la fois, tout d'abord les ouvrages en genjutsu. D'après Yoruichi, il fallait que Rakurai se renseigne sur les autres techniques de Genjutsu qui existé, enfin qu'elle lui avait parlé, à savoir la morsure de l'âme, et dans le "lexique des techniques servant à manipuler les autres" il y avait de fortes chances qu'il la trouve. Alors, morsure de l'âme, morsure de l'âme…"Comment mordre les fesses d'un jounin en trois leçon", non, c'était pas ça, ah, voilà, alors la morsure de l'âme.
Technique d'attaque mentale très puissante utilisé notamment par les maître en genjutsu. Cette technique permet de créer une illusion dans l'esprit de sa victime si forte, qu'elle en ressent, physiquement, les effets grâce au réseau neural du corps humains. Pour réussir cette technique in faut une concentration parfaite, une image de sa victime, et l'imagination nécessaire pour créer l'illusion.
Ouais, une technique d'illusion amélioré quoi, sauf qu'au lieu de paralyser, elle blesse. Mais il ne comprenait décidément pas comment l'esprit humain pouvait être faible au point de se blesser volontairement à cause d'une simple image, enfin, cela l'arrangeait, alors il n'avait pas trop à se plaindre. Retenant mentalement toutes les informations qu'il venait d'acquérir, il se tourna ensuite vers le livre concernant le ninjutu de combat et fut assez surpris de ses découvertes.
Ninjutsu de combat : sn (style ninja) : Le ninjutsu de combat est une forme avancé de ninjutu non élémentaire, cependant son attrait viens de l'utilisation des armes dans la création de technique. Le créateur de ce style ninja, Marami Juipo, experte dans tout les style d'armes de corps à corps, eu l'idée d'insérer son chakra dans ses armes afin d'en décupler ses effets, le résultats à permis la création de la technique "La Danse sous la nouvelle Lune" (ndlr : pour toutes informations sur les techniques de ninjutsu de combat, veuillez vous rendre en fin de livre, section "Ninjutsu", catégorie "Autres"). Forte de cette expérience elle commencas à passer des mois à étudier les différents effets des techniques associés à sa maîtrise et au chakra, ce qui en à résulté le ninjutsu de combat utilisable uniquement avec des armes.
Tandis que Rakurai lisait, il jetait de temps en temps des regards intéressé à la fin du livre afin de voir les techniques existantes, et les descriptions de deux ou trois techniques lui plurent assez pour qu'ils en retiennent le nom, et les effets, bien qu'il lui faudrait sûrement pas mal d'entraînement physique pour réaliser certaines techniques aux consonances vraiment très particulière. Une fois cela fait, il repoussa tout les livres en trop, soit quatre livres, avant de se tourner vers celui de Siyazaki Homura et son second chapitre, comment blesser avec le Genjutsu ?
Comment blesser avec le Genjutsu ?
Comme dis dans le chapitre précédent, le genjutsu est avant tout un style de combat de soutien, fortement conseiller lors d'affrontement en équipe, permettant de bloquer efficacement les adversaires, tout en permettant à ses alliés de causer d'important dommages sur ces même adversaires. Bien entendus, dis comme cela le genjutsu apparaît comme étant faible et inutile sans soutien, et ce n'est pas tout à fait faux, mais ce n'est pas complètement vrai. M'étant servis exclusivement du genjutsu durant toute ma vie, je peut vous dire qu'un ninja s'en servant efficacement peut très bien s'en sortir, aussi bien qu'un expert en taijutsu ou en médecine ou ninjutsu élémentaire.
Mais comment me direz vous ? Et bien grâce à ses illusions, tout bêtement, mais attention, pas n'importe quels illusions. J'ai déjà parlé des illusions permettant de bloquer ses adversaires, je vais désormais parler celle pouvant blesser son adversaire, et oui, vous avez bien entendus. Car l'esprit humain est faible et autodestructeur. Si il est persuadé d'être malade, l'homme sera malade, si il à la certitude de s'être blessé, il auras mal. Et c'est sur ça que joue le genjutsu, que je nommerais genjutsu d'attaque par commodité.
Le genjutsu d'attaque donc, attaque le mentale de votre adversaire en lui faisant voir une illusion tellement réel qu'il en souffriras, pourquoi , Car son esprit est faible et si il sent, il vois qu'il est bléssé, son système nerveux s'accéléreras afin d'augmenter les points bio-électrique vers les zones illusoires pour lui faire sentir réellement les blessures, et croyez moi, cela peut être d'une efficacité débordante. Mais ce genre d'attaque ne marche pas que contre le physique, mais aussi contre le mental directement. Je m'explique, une technique d'illusion frappant directement l'esprit de l'adversaire, affaibliras ce dernier, lui faisant perdre de l'énergie mentale, du chakra donc, l'affaiblissant rapidement aussi (note : cette technique est souvent utile contre les pro taijutseur, n'ayant que peu de chakra habituellement, car trop occupé à entretenir leurs magnifique corps d'athlète, ils pensent moins à s'entraîner aussi à la maîtrise et manipulation du chakra).
Bien entendus ce genre de techniques est très rare, et cela se comprend vu que le fondement même du genjutsu est d'affaiblir ses adversaires; D'ailleurs, certaines techniques de genjutsu permettent de créer des illusions permettant de diminuer les capacités physiques de vos adversaires par le choc qu'elles produisent, mais cela seras détaillé dans mon prochain chapitre.
Refermant une fois encore l'ouvrage et se frottant les yeux devenus douloureux à force de lire, Rakurai enlevas ses lunettes avant de s'affaler complètement sur son siège pour profiter pleinement d'un peu de repos pour ses yeux. Quelques minutes plus tard, il remis ses lunettes sur son nez et il pris tout les livres avant de les ranger tous dans leurs rayons respectif. Saluant le jeune bibliothécaire au moment de son départ, il ouvrit et refermas délicatement la porte de la bibliothèque avant de descendre les escalier afin de se retrouver dans la rue de Kumo de nouveau, remarquant sur le trajet l'absence de chuunins devant le secrétariat signifiant sans foute qu'il y avait cours, ou bien qu'ils étaient finis. |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Jeu 8 Fév - 23:53 | |
| [Rakurai: + 6 EXP RP Etude] |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Mer 7 Mar - 20:33 | |
| Rakurai Yugen. Descendant de la famille Yugen, experte dans l'art et la maîtrise des techniques d'assassinat de l'ombre. Techniques subtiles, vicieuses et sournoises utilisé uniquement par ceux ne respectant pas la vie mais plutôt la Mort. Ceux qui ont déjà accepter de mourir avant d'accepter à vivre, ceux qui portent le nom si rustre "d'assassin", "meurtrier", "monstre", "rebut de la société". Traqué et hais de tout ce qui vit sur terre, ces assassins ne peuvent vivre que de la Mort, et doivent lui rendre hommage lorsqu'ils meurent. Et quand ce jour arrive, ce n'est jamais de manière naturel, non, ce serait une insulte à la Mort, à leurs styles, à leurs vie que de mourir comme un bienheureux. Pour mourir, ils doivent combattre, mais pas n'importe qui, ils doivent combattre un adversaire qu'ils jugent dignes de tuer un assassin, quelqu'un qui mériterait d'avoir son nom inscrit dans la Pierre Noir des Ombres, tablette sculpté par la plus vieille famille d'assassin que Rakurai connaisse, à savoir la famille du scorpion rouge. Cette famille était peut être la précurseur du style d'assassinat de l'ombre, c'était aussi la première famille à s'être volontairement tourné vers les Ténèbres et ce que l'on peut appeler le "Mal". bien évidement, cela n'était qu'un rajout venant des superstitions populaire : "Tu ne suis pas la voie que tous on choisit, tu sert donc le Malin.", "Tu tue sans ressentiment, tu est donc un démon.", bien entendus il y avait une certaine part de vérité dans leurs dires, mais la plupart étaient juste nés de la peur, de la haine et de la jalousie.
Car oui, certains hommes étaient jaloux de la puissance de cette famille. D'après les trop rares document sur eux, ils faisaient partis d'une élite, bien au dessus de tout ce qui se faisait actuellement comme famille d'assassin, bien plus que celle de Rakurai, bien plus que tout en fait. Leurs puissance résidait surtout en un point très particulier : la capture de dojutsu spéciaux. Bien entendus, à cette époque, les Uchiha et les Hyyuga étaient à l'apogée de leurs puissance et aussi forte soit elle, la famille du scorpion rouge ne pouvait rivaliser avec ne serait ce qu'une seule de ces familles. Cependant, ils se contentaient de dojutsu moins puissant, moins connus, mais pouvant être très efficace. Il existait des dojutsu dont le but était de seulement d'offrir une acuité supérieur, permettant de voir plus loin. Cependant ces dojutsu avaient des limites et surtout ils étaient assez inefficaces si ils n'étaient pas utilisé par les familles héritière de ces dojutsu.
Malgré tout cela, cette famille finis par s'éteindre. Selon les légendes ce fut la coalition de tout les villages ninjas qui mit fin à la terreur que provoquait cette famille. La réalité était que la famille avait disparus à cause de dissension avec les familles d'assassin nouvellement "créer". Ces dernières voulaient être reconnus par le scorpion rouge, mais ces derniers avaient trop travailler pour laisser la place de famille d'assassin numéro une aussi facilement car lorsque l'on était reconnus dans les Ombres, l'on disposait des contrats les plus juteux et intéressant. Cependant cela n'était qu'une façade, l'appât du gain (et surtout c'est la raison que les Ombres ont accepter sans poser de questions car possible) n'était pas la raison de l'extinction de cette famille (tous pensent qu'elle à disparus, bien que certaine personne comme le grand père de Rakurai pense le contraire), non, la vrai raison était que cette famille vouait un véritable culte à la Mort; Au point de transformer leurs missions en véritable Ode à Elle. Ils la respectaient, ils l'adoraient et les autres ne pouvaient comprendre cela, ne comprenant pas alors ils les ont tués. Malgré cela, l'esprit de a famille du scorpion rouge à survécu à travers certains assassins ayant été frappé par la grandeur d'esprits de cette famille. C'est comme cela que naquit quelques familles d'assassin, descendant spirituel direct de celle du scorpion rouge. Et aujourd'hui, remontant la grande avenue de Kumo enserré dans ses bandages, Rakurai était l'un des descendants actuel de cette famille.
Cela était pour la partie "Yugen" de Rakurai, mais, et cela était commun à tous, il ignorait tout de sa facette "normale". Son père était le descendant direct des Yugen, mais sa mère, elle, venait d'une autre famille, de moindre importance certes, mais disposant de qualités qui séduirent son père. Il ignorait tout de ce coté la de sa famille et jusqu'à ce jour il s'en moquait totalement. Mais aujourd'hui il avait besoin de savoir, non pas pour une raison inutile, mais parce qu'il devait connaître toutes ses origines si il voulait prendre sa décision définitive en ce qui concernait les Onis et Alucard-san. Il devait savoir quels étaient les armes à sa disposition afin de choisir la plus adapté à Alucard-san.
Mais cela ne lui suffisait pas. Comme déjà dis il devait comprendre l'ensemble de ses origines pour savoir quels étaient ses choix finaux. Il ne pouvait se contenter de l'assassin pour le moment, il lui en fallait plus. Car une chose avait toujours trotté dans l'esprit de Rakurai. Où et comment son père avait il rencontré sa mère ? Il s'était toujours posé la question mais sans jamais avoir de réel réponse. Le fait était que son père, de même que son grand père avant lui, avait du choisir une épouse. Mais quels furent les "critères" pour cela ? Certes les sentiments étaient important, mais l'on n'allait pas confier à une paysanne que l'on était un assassin de premier ordre et qu'on voulais qu'elle et nos futurs enfants le deviennent aussi. Généralement, soit on prenait ça pour une plaisanterie, soit l'on avait peur. Mais l'on acceptait pas facilement ce genre de discours.
De ce fait, l'assassin Fou avait envoyer une lettre à sa mère afin de lui demander ses origines, et surtout afin de savoir si elle pouvait l'aider pour comprendre ces origines. Le moins que l'on puisse dire fut que sa réponse soit éloquente.
Bonjour,
Mère, si je t'envoie ce courrier spécialement à toi (et désolé d'avoir utiliser la couleur d'enveloppe de tes missions par ailleurs) c'était pour que personne d'autres que toi ne lisent ce message. En effet, cela est purement personnel et à caractère uniquement informatif pour moi. Je me retrouve en face d'un dilemme, en effet, j'ai choisis d'exécuter un contrat pour moi-même. Hors la cible de ce contrat est d'une puissance redoutable et je crains que ma force d'assassin et de ninja ne suffisent pas, bien que je crois que lui-même ne soit pas qu'un simple ninja. Fort de cette information je t'envois cette missive afin de savoir si tes origines pouvaient me confier une arme supplémentaire pour quand je devrais le combattre. Je te remercie.
Rakurai,
Aie confiance dans les livres. Mes origines, bien que je les connaissent mal, sont directement lié aux livres. Mes origines vouaient un culte aux livres il me semble, mais cela faisait trop longtemps que je n'y ait pensée pour en être sure. Sinon, je vois que tu à, toi aussi, accepter de te servir de ce passe droit d'assassin. Fais juste attention, tu sais ce qu'il t'en coûtera de l'utiliser. Donc, j'ose espérer que tu sais que ce que tu fais, mais de toute façon, tu est un assassin, je n'ai rien à te dire si ce n'est : A la Mort.
Concis n'Est-ce pas ? C'était tout et pourtant, Rakurai avait décidé de suivre son conseil et de chercher dans les livres. Il doutait de trouver quelque chose de vraiment utile mais il n'avait pas le choix, en tout cas il ne l'avait plu, il avait déjà procéder au rituel lui donnant l'autorisation de remplir un contrat pour son compte abandonnant de ce fait le reste des contrats qu'il avait en cour (c'est-à-dire deux). |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Jeu 8 Mar - 15:58 | |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Dim 1 Avr - 1:05 | |
| Le tournoi Chuunin approchait, et Shikano voulait faire un changement dans sa façon de combattre. En effet, son style de Taijutsu [color=orange]était à présent banal pour les villageois, car les kuméens étaient intérresés par la force du Raikage. Pour l'instant il ne connaissait aucun autre style de combat, et pour celà il fallait se documenter. Sans surprise, Shikano fît allusion à la salle d'étude présente dans le bâtiment de l'académie ninja.
Après une longue marche, il pénètra enfin dans l'enceinte de cette salle qui gardait toujours une odeur de papier, assez agréable malgrès qu'elle soit intense. A première vue, le barbare ne voyait personne autour de lui.
* Et on disait autrefois que cette salle était mythique... *
Il se dirigea vers le bureau du bibliothécaire, lui aussi vide, et toqua sur le bureau en lançant haut et fort.
" Y'a t-il quelqu'un ? "
Malheureusement aucune réponse ne se présenta à Shikano. Il ne se gêna pas, et se plaça après une courte recherche dans les livres basés sur le Taijutsu, ses techniques, et ses formes de combat. Le taijutsu, plus aucun secret pour le barbare, les techniques, il les connaissait mieux que son adresse, mais, cette fois-ci sa recherche se fondait sur les formes de combat. Il commenca alors à feuilleter le livre qui était d'une grande taille, malgrès le manque d'illustration.
" Les formes du Taijutsu :
" Nous pouvons diviser le taijutsu en deux parties reliées par les techniques qui sont adaptées pour ces deux catégories. Le taijutsu est pratiquable sous forme normal, c'est la catégorie la plus connue et la plus acquise par les maîtres taijutsu. Les gestes restent non spectaculaires, et le pratiqueur cherche à économiser les gestes. Cette forme est néanmoins très facile à maîtriser, et un entraînement poussé n'est pas nécessaire, mais conseillé. La deuxième partie, plus rare et plus difficile, et le Taijutsu qui se pratique sous forme de danse. "
* De danse ? J'espère que c'est intéressant... *
" Dans cette forme, l'utilisateur remet la chance de son côté, en effectuant beaucoup de geste à la fois fatiguante, mais utile. En effet, il brouille son ennemi en faisant des gestes qui ne sont pas nécessaires pour mieux l'attaquer. Cette danse est appelée la Capoeira, et elle ne fait aucune allusion aux autres danses. "
* Ahhh, enfin de l'air ! Shikano, le barbare, en train de danser, ca ne le ferait sûrement pas. *
" L'apprentissage est beaucoup plus poussé, idem pour l'entraînement, car les gestes demandent une endurance assez forte. De plus, c'est plus simple de migrer du taijutsu normal au capoeira. Les bases sont simples : se balancer en masquant à moitié son visage, et en ajoutant un jeux de jambes. Le capoeira est aussi basé sur les coups de pieds se dirigeant vers la partie haute de l'ennemie, c'est à dire que le danseur vise à plusieurs reprises la tête de son adversaire avec ses pieds en se plaçant debout à partir de ses mains. Ajouté à tout celà de la vitesse, cette forme devient vite un style de combat redoutable. "
* Vraiment intérressant... Je dois y réfléchir... *
Le barbare sortît de la salle, et s'empressa de rentrer chez lui pour trouver le repos avant son entraînement qu'il supervisera le lendemain. |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Sam 7 Avr - 4:13 | |
| Des dizaines, non, des centaines de livres. Voilà sous quoi Rakurai se trouvait. Depuis qu'il avait reçu la lettre de sa mère il n'avait cesser de lire, cela faisait aujourd'hui trois jours, et toujours aucun indice supplémentaire sur une famille "maîtrisant les livres". Il commençait à croire que sa mère l'avait induit en erreur. Mais il ne pouvait se résigner maintenant, pour l'heure, tout ses textes l'avait conduis vers "culte aux livres" ou encore" comment fabriquer et réparer vos livres", mais rien sur les familles ayant un lien spécial avec ces livres. Cela le désespérait par ailleurs. Il lui semblait que la vérité se devait d'être inscrit non pas dans, mais entre les lignes. Mais il avait beau faire, à chaque fois qu'il croyait s'approcher d'un début de réponse, d'un semblant de vérité. Quand enfin il croyait toucher la lumière et devoir refermer son poing pour réussir à attraper cette vérité, elle lui échappait, se désagrégeait, fuyait, était fausse, ou encore semblait vrai, mais n'était qu'une copie. Et à chaque fois, Rakurai semblait sur le point d'abandonner, son esprit s'effilochant au fur et à mesure. Il ne savait plus quoi faire, il venait, une fois encore, de perdre une piste, une vérité, une possibilité de s'approcher plus encore d'une vérité personnelle devant l'aider à se surpasser, à devenir plus fort, plus confiant, plus sur de ses choix. Mais plus il échouait, plus il se sentait rompre et perdre pied. Plus il se sentait faible et inutile. Et il haïssait ça, il haïssait sa propre faiblesse, son incompétence à trouver cette vérité lui qui savait débusquer ses cibles dans les zones les plus reculé, lui qui savait comment tuer une cible sans la blesser. Mais tout cela était des preuves encore plus manifeste de sa faiblesse, il était à peine plus fort qu'une mouche obèse. Son esprit d'analyse, qu'il jugeait bon, avait pris un sacré coup en voyant les nombreux génies qui étudiaient avec lui. Ses capacités d'infiltration et de camouflage étaient, elles aussi, réduites à néant face aux capacités latentes des autres, et bien que tout cela n'avait rien à voir avec son problème immédiat, il ne pouvait empêcher d'y penser, d'y croire, d'y réfléchir.
Il était affalé sur les trois livres qu'il lisait en même temps. Il ne savait que faire, il ne savait déjà pas quoi trouver, mais pourtant il cherchait. Si seulement sa mère avait pu être plus précise, mais malgré les nombreux renvoi de question, ses réponses étaient toujours floues, vague, voir sans réponses, et passant à un autre sujet. Il ignorait pourquoi elle faisait ça, avait elle trouvée des informations supplémentaires sur sa famille mais refusait de les lui offrir par crainte de ce que Rakurai, ou, plus vraisemblablement, que les trois Onis à l'intérieur du corps de Rakurai s'en servent à leurs avantages ? Il l'ignorait, en fait, il ne semblait plus rien savoir, il se sentait seul, nu, un soir d'hiver sur la banquise. Sans défense et sans moyens de se protéger, Que lui restait il ? Continuer dans cette voix jusqu'à l'anéantissement de son existence ? Si seulement il avait un indice de plus, une possibilité d'affiner ses recherches, de découvrir une piste sérieuse et linéaire ne déviant pas. Mais il ne pouvait pas, c'était impossible, si jamais cette ligne existait quelque part, il l'aurait trouvé dans la bibliothèque de Kumo. Mais voilà, il n'y avait rien, était ce le manque d'information au sujet de famille aux moeurs étrange qui n'existait pas, ou bien était ce carrément que la famille de sa mère, qu'elle quel soit, n'ai jamais acquit un statut suffisamment important pour voir son nom être inscrit sur un livre ? Cela changeait il quelque chose ? Il avait lu des quantités d'informations sur des quantités de familles, ninja ou non, connues ou non, forte ou faible, étrangère ou nationale. Et pourtant, aucune, même de loin, dans un brouillard terrible, les yeux bandés et en dansant une polka, ne faisait référence aux livres.
Durant tout le temps que Rakurai était plongé dans ses livres, il n'avait ni entendu, ni remarqué une personne s'approcher, de notre position il est difficile de dire à quoi elle ressemble. Cheveux noir, coupé court. Une chemise blanche et une sorte de pantalon en lin noir. Cette personne, qui qu'elle soit, se trouvait juste derrière Rakurai, pouvant observer ses notes, ses livres qu'il étudiait, les annotations qu'il faisait, les livres qu'il laissait de coté, les idées qu'il comparait. Bref, elle suivait tout. Cependant, elle ne faisait que cela, suivre ce qu'il lisait, aucun commentaire ne venait agrémenter les choix et décisions de l'assassin. Aucune tentative de faire retenir quelques passages qui semblait plus pertinent à cette personne. Mais comment cette personne pouvait elle savoir ce que cherchait l'assassin ? Tournons autour d'elle pour mieux la voir. Déjà, premier constat, cette personne est une femme, difficile de dire son âge, on ne lui donnerait pas plus de vingt cinq ans. Son regard, semblant suivre chaque ligne que lisait Rakurai, était doux et serein, presque protecteur. Son visage restait toutefois fermé, sans qu'aucunes émotions ne puissent apparaître. Qui et quoi que fasse cette personne, elle semblait très intéressée par les recherches de l'Arme, comme si elle cherchait à vérifier quelque chose. Mais si elle avait découvert ce qu'elle cherchait ? Posant délicatement une main sur l'épaule de Rakurai, ce dernier tourna son regard unique en direction de cette personne avant d'écarquiller son oeil.
Rakurai était plongé à fond dans sa lecture, rien n'importait pour lui, et surtout pas cette personne lisant par dessus son épaule. Il lui semblait enfin avoir trouver une piste, une piste sérieuse, une piste qui parlait d'un livre, conserver par une secte, et qui posséderait des pouvoirs spéciaux. Certes, cela s'éloignait des familles, mais bon, c'était toujours une piste acceptable, plus probable que toute celle qu'il avait du écarter. Il se rapprochait de son objectif quand il sentit une main se posé sur son épaule, une main chaude, douce et très familière à l'assassin. Il tourna son regard unique pour y voir...Sa mère. Quand ? Comment ? Pourquoi ? Furent les trois questions qu'il se posa en simultanée, cependant, conscient que ces questions étaient inutile, il ne réussit qu'à bégayer quelque chose.
¤Rakurai¤ "Mère ? C'e...C'est toi ? Que fait tu là ?"
La mère de Rakurai était heureuse de voir que son fils se souvenait de lui, certes, il n'était partie que depuis un an, mais avec son changement de coupe de cheveux et le jutsu de son mari qui réduisait son rythme de vie, il y avait un risque qu'il ne la reconnaisse pas.
¤Palanza¤ "Héhéhéhé, je suis heureuse de te revoir aussi Rakurai. Ma présence ici est pourtant simple, tu ne crois pas ?"
Rakurai avait, superbement qui plus est, oublier les livres qu'il lisait. Le choc de voir sa mère l'avait fait, un instant durant, oublier la raison de sa présence en ces lieux. Et pourtant, le sujet principal de la raison de la présence de ce tas de livres inutiles, plus ou moins utiles et utiles était juste en face de ses yeux. Enfin de son œil unique; D'ailleurs, ce fut assez étrange qu'elle ne fasse aucun commentaire au sujet de son œil manquant, généralement c'était le détail qui sautait aux yeux justement. Cela confortais l'idée de Rakurai que sa sœur devait envoyer un rapport complet sur ses activités journalières, les incidents survenus, si il avait découvert d'autres Onis, etc., etc. Il se sentait de plus en plus devenir un cobaye de laboratoire, mais il ne disait rien, en fait cela le soulageait même. Il se sentait en sécurité ainsi, sa famille ne cesserait jamais de l'aimais, et cette amour irait jusqu'à le tuer si jamais il devait perdre le contrôle de son corps, chose qu'il ne souhaitait pas. Mais il s'était déjà préparé à cela, mourir faisait partie de la vie d'un assassin, et si en plus cela était de la main de ceux qu'il aimait, il était au comble du bonheur Pour comprendre un tel désir de mourir, il faudrait être soi même assassin élevé dans une tradition de respect de la mort comme entité régissant le monde et l'univers, car toutes vies à une fin, tout élément est voué à disparaître, la mort est la donné la plus constante et parfaite qu'il existe au monde. Et c'était en ça que sa famille croyait. Alors, si il devait mourir, ce serait avec joie, cependant, cela n'entrait pas encore dans le cadre actuel des événements, il devait répondre à sa mère, qui continuait de regarder les livres, les fermant au fur et à mesures qu'elle lisait les passages que Rakurai avait eu tant de mal à trouver, jetant sur son œil un regard anxieux.
¤Rakurai¤ "Ta présence est appréciable mère, et je me doute un peu de la raison qui ta poussée à venir, cependant plusieurs questions viennent obscurcir mon esprit. La première étant, comment savais tu que je serais ici ? La seconde, qu'est-ce qui te faisait croire que j'avais besoin d'aide et la dernière, pourquoi maintenant ?"
Ses questions, auraient pu, non, du être posé d'une manière différente. Ses questions auraient du être posé sur le ton de la conversation, pas sur le ton d'un interrogatoire. Ses questions, n'avaient aucunement besoin de se montrer si inquisitrice dans leurs tons, ce que lui fit comprendre sa mère. Souriant toujours, sa mère élargi plus encore son sourire avant de se retrouver devant le dos de Rakurai qui n'avait même pas vu le mouvement de déplacement. Il pouvait suivre sa sœur des yeux, quand elle n'y allait pas pleinement, mais sa mère, il n'avait même pas été capable de simplement discerner la direction qu'elle a prise. Elle était devant lui, et dans un souffle, elle fut derrière lui. Il ne comprenait pas cette vitesse divine, la vitesse des purs combattants. Et, bien que sa mère ait beaucoup moins de force que Yuna, elle restait d'une dangerosité rare. Attrapant le bras droit de Rakurai et collant son visage à la table, Palanza Yugen éduquée son fils et le ton qu'elle employa fut celui d'assassin, celui qui faisait plier les Ténèbres, celui de Palanza Yugen, l'Ombre Écarlate des Ténèbres.
¤Palanza¤ "Allons Rakurai, ce ton n'est pas à employer avec sa mère, cela ne se fait pas, cela est très malvenu. Je pourrais t'arracher le bras, prévenir ton père pour qu'il le replace et recommencer un nombre incalculable de fois. Cependant, je sais que ce ton viens de ta colère, de ton dépit, de ton désespoir de ta faiblesse. Donc je n'en tiendrais pas rigueur. Elle lui lâcha le bras avant de retourner à sa place, souriant toujours. Elle sortit un mouchoir pour essuyer une saleté avant de reprendre sur un ton plus "civilisé". Pour te répondre, je savais que je te trouverais ici car ta sœur me la indiqué dans l'une de ses lettres, elle me dit aussi que cela faisait trois jours que tu était dans cette bibliothèque à chercher des informations. De ce fait, j'ai compris que tu n'avais pas abandonné. Je t'avais donné le minimum d'informations possible afin que tu abandonne cette voie, mais à ce que je vois tu à préférer continuer, au risque de plier devant la difficulté. Deux choses pouvaient découlée de ton entêtement, la première, que tu réussisse à trouver ce que tu cherchais. Ce qui était impossible, les informations concernant ma famille sont pratiquement inexistante, en particulier à Kumo. Tu peut trouver des informations dans le village de Konoha ce me semble, au pays du feu, car c'est là que ma famille prend ses sources. Mais à Kumo, peut être une subtile allusion doit être fait à ma famille, allusion ne te servant à rien si ce n'est à t'embrouiller plus. La seconde, que tu devienne fou. Faire des recherches sur un fantôme conduis à la folie si jamais on devait laisser les spectres du désespoir nous envahir. Et après trois jours, je me disais que ces spectres devaient s'être approcher de toi. Et, si ta folie venait à éclater en plein milieu d'un village, tu attaquerais alors sans distinction aucune, et sans l'honneur d'un assassin ou d'un ninja les habitants de ce village. Tu mourrais face aux défenses, mais ton âme, elle, serait devenue impure, n'ayant ni droit à la mort, ni droit à la vie. Elle aurait errée sur Terre, sans pouvoir communiquer avec tout un chacun, invisible aux yeux des vivants, inexistant aux yeux des morts."
Rakurai commençais à comprendre, c'est vrai que son père avait suivis son entraînement de ninja à Konoha, village de la Feuille du pays du Feu. Il devait avoir rencontrer sa mère, peut être durant une mission, peut être durant une sortie, peut être à l'académie. Si tel était le cas, Konoha était le berceau de ses origines secondaire, mais souhaitait il vraiment y aller pour les découvrir ? Le simple fait que sa mère se soit déplacé pour lui parler ne signifiait il donc pas qu'elle avait décidé de l'aider dans ses recherches, voir dans le fait de comprendre cette autre partie de son sang ? Ou bien Est-ce qu'elle était venue mettre un terme définitif à ses recherches en le tuant avant qu'il ne devienne fou ? Car il se sentait le devenir. Il n'arrivait même plus à entendre les appels de Tsuyosa tellement son esprit était emmêler dans les méandres de ses recherches, il n'arrivait plus à comprendre ce qu'il était, ce qu'il faisait, pourquoi il le faisait. La puissance. Le désir d'en savoir plus ? Tenir sa promesse envers Alucard-san ? Ou bien une autre raison, inavouable au vu de son statut, tant qu'assassin que ninja. SI il ne faisait ça que pour lui ? Pour lui permettre de devenir plus fort que les membres de sa famille ? De lui permettre de dépasser les membres de sa famille ? Il l'ignorait, mais si c'était cette raison qui prévalait les autres, alors, oui, peut être valait il mieux que sa mère l'élimine ici et maintenant. Cependant, Rakurai réussit à articuler quelques paroles malgré son état de doute perpétuel.
¤Rakurai¤ "Je vois, et pour mes autres questions ?"
Palanza souri devant l'entêtement de son fils, il venait de comprendre que sa mort devrait sans doute être appliqué à la fin de cette discussion, mais ce qu'il devait encore ignorer c'est qu'il pouvait échapper à ce funeste destin si jamais il trouvais en lui les raisons suffisante pour accepter cet autre pouvoir. Si il trouvait les raisons suffisantes lui permettant de maîtriser ce don venant d'une autre branche de sa famille, alors Palanza lui enseignerais comment maîtriser ce pouvoir. Après tout, elle aussi savait s'en servir, elle était juste peu doué avec ce style de pouvoir, préférant, celui plus physique, du taijutsu. Mais si elle n'était pas très douée pour apprendre, elle l'était plus pour l'enseignement, et son fils était, lui, doué pour apprendre.
¤Palanza¤ "Tes autres questions ? Ah, oui. Je croyais y avoir répondu mais tu me semble savoir lire entre les lignes mon fils. Et bien, pourquoi pensais je que tu avait besoin d'aide ? Si cela ne te dérange pas, je vais garder ma réponse pour la fin, mais je veux bien répondre à ton autre question. Pourquoi maintenant. SI j'ai décidé de venir maintenant pour te parler de tout cela, c'est que tu est arrivé au point de non retour. Continue de faire des recherches, et tu deviendra fou. Arrête maintenant et plus jamais tu ne pourra mettre la main sur le pouvoir venant de ma famille. Dans les deux cas, tes deux choix son limités à leurs maximum. Restreint jusqu'au limite du néant." |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Sam 7 Avr - 4:18 | |
| ¤Rakurai¤ "Donc, quoique je fasse, j'ai échoué ? L'échec vient il de ma faiblesse ? De ma capacité à ne pas savoir m'arrêter ? Ou bien vient elle d'autre part ?"
¤Palanza¤ "Attend mon fils, ne met pas la charrue avant les bœufs. Ce que je veux te dire, c'est que même si tu est limité à ces deux choix, il en reste un troisième, caché, obscur, invisible, tant à ta vue, qu'à la mienne. Mais je sais qu'il existe, car cela viens de ton sang, celui des Yugen et du mien. Il existe donc un troisième choix, une troisième voie à suivre, ta dernière chance de continuer a avancé sans pour autant sombrer dans la folie. Devine tu quel Est-ce choix, ce chemin, cette voie ?"
Oh oui il la devinait, cela était facile, c'était inscrit dans ses gènes, dans son sang, dans ses capacités même d'assassin. Un assassin, beaucoup de folklore tourne autour de cet art que beaucoup juge d'horrible, monstrueux et autres termes péjoratifs n'ayant pas leurs places dans une discussion civilisée. Pour beaucoup, si ce n'est tous, les assassins ne sont que de vulgaire meurtriers avides de sang, avides de pouvoir, agissant seul, tuant tout ceux se dressant sur leurs chemin, anéantissant espoirs, rêves et autres. Mais cela était un mensonge. Un assassin est quelque un d'honorable devant accomplir un contrat, c'était une profession des ombres comme il en existe tant d'autres. Et comme toutes professions, il y avait des règles. Celle de ne pas courir le contrat d'un autre assassin était l'une de ces règles, comme remettre aux autorités les meurtriers, ceux tuant pour le plaisir, ceux ne vouant leurs vies qu'à la mort de l'autre. Mais l'une des règles les plus importante était la coopération. Un assassin à une tache spécifique, éliminez une cible. Pour ce faire tous les moyens sont bons, dont celui de demander de l'aide. Ninja, forces de l'ordres, autres assassins, membres de sa famille. Tout était bon pour accomplir son but, c'était l'une des règles d'or de sa famille. Ne pas demander de l'aide quand on en avait l'occasion, signifiait échouer, dans tous les sens du terme, même si jamais l'on parvenait à accomplir son contrat. Pourquoi ? Tout simplement car les assassins ne sont pas des créatures monstrueuse devant absolument rester cacher dans les ombres pour accomplir leurs contrats. Des fois, aller dans la lumière pour combattre les ténèbres étaient le choix le plus judicieux à faire.
Rakurai sourit à ces pensées. Il n'y avait plus pensée depuis plusieurs temps. En fait, cela faisait longtemps qu'il ne pensait plus à ses règles et devoirs d'assassin. Il avait agi stupidement, il avait failli déshonorer sa famille, son nom, son sang, sa vie. Il n'aurait jamais pu se considérer comme un être vivant. L'élimination d'une cible aussi puissante qu'Alucard et Alucard-san nécessitait de demander de l'aide, et non pas de chercher désespérément seul au risque de sombrer dans la folie. Se levant de son siège, Rakurai ferma son œil unique avant de poser un genou à terre devant sa mère, visage baissé, il commença à parler d'une voix respectueuse, la voix de celui qui à compris
¤Rakurai¤ "Mes excuses mère. Je me suis égaré dans le chemin de la folie, de la facilité et du déshonneur. De ce fait, je vous demande humblement de m'accorder votre aide afin que je puisse accomplir mon contrat."
Ces paroles prononcées, il sortit une des aiguilles offerte par Alucard avant d'avancer sa main droit devant lui et de s'entailler la paume, tendant ensuite l'aiguille en direction de sa mère qui la pris avec un sourire. Finalement son fils avait moins perdus les esprit qu'il ne l'avait cru. Il s'était souvenu de qui il était, il acceptait de demander, tel un véritable assassin, de l'aide à une personne susceptible de lui en apporter. Et pas de l'aide pour trouver des informations sur sa famille, mais pour accomplir son contrat. Le pacte pouvait donc être scellé.
¤Palanza¤ "Hum, tu à finalement retrouver la raison. Je peut donc répondre à ta dernière question, pourquoi Est-ce que je pensais que tu avais besoin d'aide. Je pense que la situation actuel est suffisamment équivoque pour que je n'aie besoin de rajouter quelque chose, mais je vais quand même le faire. La raison pour laquelle je pense que tu ai besoin d'aide, est à cause de la nature profonde en toi, ces trois créature démoniaque. J'ignore jusqu'où va leurs emprises sur toi, mais je compte bien empêcher cela, et si pour se faire je dois te faire souvenir de tes origines à chaque fois, je le ferrais; mais en attendant, scellons ce pacte."
Palanza Yugen mit elle aussi un genou à terre. Ceci fait elle s'entailla elle aussi sa paume droite avant de saisir la main de son fils et de coller son front contre le sien, leurs permettant de réciter leurs pacte.
¤Palanza et Rakurai¤ "Nous, assassins de l'ancien ordre. Nous derniers guerriers des Ténèbres. Nous derniers combattant des ombres. Nous scellons notre pacte d'assistance afin que celui devant percer les Ténèbres pour frapper la Lumière ou percer la Lumière pour frapper les Ténèbres le puisse sans craintes. Pour permettre aux assassins de l'ancien ordres d'accomplir leurs devoirs. Pour permettre au bénéficieur du pacte d'accomplir sa Sainte Mission."
¤Palanza¤ "Moi, Palanza Yugen, assassin de la famille Yugen, Ombre Écarlate des Ténèbres offre mon assistance à Rakurai Yugen, assassin de la famille Yugen, Arme Humaine des Ténèbres."
¤Rakurai¤ "Moi, Rakurai Yugen, assassin de la famille Yugen, Arme Humaine des Ténèbres, accepte l'assistance prodigué par Palanza Yugen, assassin de la famille Yugen, Ombre Écarlate des Ténèbres."
Le pacte était scellé. L'on pourrait croire que cela fit un bruit important, mais il n'en était rien. Ce pacte était passé entre les assassins et les Ténèbres, inutile que la Lumière et le commun des mortel l'entendent. C'est pour cela qu'il fut murmuré. Mais les ténèbres avaient des éléments qui, peut être, n'auraient du assister à ce pacte. Ces éléments étaient au nombres de trois. Trois formes, trois candélabres, trois Onis. Ces derniers semblait tenir un conciliabule au centre de leurs grotesque assemblée. Ils regardaient tout trois en l'air, essayant de voir… Essayant de voir quoi ? Une chose semblait être accrocher en haut, une quatrième formes, une quatrième créature ? Autre chose ? Nul ne le savait, toujours est il qu'ils l'observaient avec attention.
¤Kurushimi¤ "Nous avons échouer. Nous n'avons put réveiller Rakurai, désormais, un autre membre de sa famille va le surveiller, et cette femme me semble être extrêmement dangereuse."
¤Tsuyosa¤ "Je suis d'accord avec toi, mais ce n'est pas l'unique problème. Désormais, Rakurai devenir plus fort, beaucoup plus fort qu'avant et nous n'avons pas les moyens de contrer cette nouvelle force car nous en ignorons tout. Son chakra, ses techniques d'assassinat des ombres, sa force. Tout cela nous pouvons le diminuer tant qu'il est ici, mais comment faire contre quelque chose dont nous ignorons tout ?"
¤Kurushimi¤ "Je l'ignore, cependant, je crains que cela ne se complique. Osore ! Pourquoi ne pas nous avoir autoriser à l'arrêter ? Pourquoi le laisser gagner plus de puissance ? Répond moi !"
Osore, imperturbable Osore, il avait écouter leurs petites conversation avec un sourire, et quand Kurushimi s'était tourné vers lui, lui intimant l'ordre de répondre à ses questions, cela eu pour conséquence de faire rire Osore. Un petit rire glacial.
¤Osore¤ "Tu ne comprend pas Kurushimi ? Toi non plus Tsuyosa ? C'est pourtant simple. Plus Rakurai sera puissant, plus faible sera son esprit et plus simple il nous sera d'accomplir notre objectif. N'oubliez jamais que Rakurai n'est qu'une étape, certes sujette à surveillance, mais il n'est qu'une des nombreuses étapes dont nous avons besoin pour accomplir notre tache. Qu'il devienne plus fort, nous perdrons plus vite et il sera satisfait de sa force. Mais nous le surclassons largement, et plus il deviendra fort, plus sa méfiance disparaîtra, nous permettant d'accomplir nos desseins."
De nouveau un rire, mais pas un petit, un véritable éclat de rire terrifiant, ténébreux, glacial, malsain. Le rire d'Osore tissant sa toile autour de Rakurai, prévoyant toutes les possibilités pour que jamais son plan ne soit contrarié. Qui était il ? En tout cas, ses paroles eurent pour effet de calmer et de rassurer Tsuyosa et Kurushimi. Après tout, si ils étaient là c'était grâce à lui, donc ils lui faisaient confiance. Tout en écoutant le rire malsain de Osore, ils recommencèrent leurs observations sur la quatrième forme.
Les deux assassins Yugen se relevaient une fois leurs pacte finit avant de retourner s'asseoir sur leurs chaises. C'était fait, désormais Rakurai avait un poids de moins en lui, il savait désormais qu'une personne serait là pour l'aider, et il savait exactement quelle genre d'aide elle lui apporterait. Mais pour le moment, peut être n'était il pas des meilleurs de directement poser le sujet sur le tapis. Passant un peu d'onguent dur leurs mains afin de cicatriser la plaie, Rakurai commença à ranger et à classer les livres qu'il avait, inutilement, étudié depuis trois jours. Il les fermés sans un regard, sans une pensée pour ces informations aussi nombreuses que paradoxale. Pour ces informations réels et contradictoires. Il avait trouver la personne susceptible de lui apporter toutes les informations dont il avait besoin, de ce fait, persister à parcourir ces livres ne lui servirait à rien. Sa mère, voyant son fils fermer les livres qu'il avait étudier avec assiduité et folie trois jours durant l'aida à les ranger, après tout l y avait une bonne centaine de livres, et il n'en avait plus besoin. Elle lui offrirait toutes l'aide nécessaire pour développer le pouvoir de sa famille.
Rangeant un livre traitant sur l'entretien des livres anciens, elle arrêta son mouvement quand son œil fut accrocher par un paragraphe assez intéressant pour elle tout du moins, il y avait fort à parier que Rakurai n'avait pas pris conscience de l'essence même de cette page, mais cela changerait une fois leurs conversations terminé. Elle conserva le livre de coté, page ouverte à l'endroit qui l'intéressais avant de ranger tout les autres livres présent sur la table. En quelques minutes, plus aucun livre, sauf celui qu'elle avait conserver, et que Rakurai n'avait pas remarquer, ne se trouvait sur la table, elle était redevenu impeccablement vide. S'asseyant tout les deux sur leurs chaises respectifs, aucun des deux ne semblaient vraiment savoir comment commencer la conversation ? Palanza semblait attendre des questions et Rakurai semblait plutôt vouloir des explications. Autant dire qu'aucun des deux ne voulaient commençaient et qu'ils attendaient que l'autre prenne la parole. Finalement, ce fut Rakurai qui prit la parole en premier. Son ton se voulait être neutre, mais on pouvait y lire une certaine dose d'anxiété et d'appréhension avec ce qui allait suivre.
¤Rakurai¤ "Euh, voilà, j'aimerais savoir, pour le moment, qu'elle est le nom et la particularité de ta famille mère. Je sais que c'est un peu brut de parler comme ça, mais je pense que tourner autour du pot ne nous cunéiforme nulle part, n'Est-ce pas ?"
Palanza ferma ses yeux quelques secondes. Son fils avait raison, mieux valait directement entrer dans le vif du sujet plutôt que de tourner inlassablement autour du pot. Peut être que connaître les capacités de sa famille l'aiderait à reconsidérer son choix, mais elle en doutait. Il était décidé, elle ne pouvait donc que l'aidé, sinon ce serait rompre sa promesse, son pacte, chose qu'elle n'accepterait jamais. Prenant une longue inspiration, elle débuta son récit.
¤Palanza¤ "Avant de débuter le récit des capacités de ma famille je pense qu'il serait bon que tu sache comment j'ai rencontrer ton père et les raisons qui mon poussés à le suivre lui plutôt que ma famille. Je dois d'ailleurs être considéré comme étant une traîtresse à mon sang, de ce fait, agir au nom de cette famille qui ne t'acceptera sans doute jamais sera difficile Rakurai, tant par les efforts demander que par les railleries, critiques et tentatives de briser ton esprit que tu subira si tu venait à les rencontrer. Enfin, débutons mon récit."
Elle pris une courte pose, sûrement pour essayer de remettre de l'ordre dans ses souvenirs. Une fois prête, elle continua son récit.
¤Palanza¤ "Je m'appelle Palanza Kotodama, c'est mon véritable nom. Je suis né à Konoha, village de la Feuille du pays du Feu. J'ai toujours vécue dans ma famille, à proximité des autres grandes familles tel les Uchiwa, les Nara, les Akimichi et bien d'autres. Mais ma famille ne fut jamais considérée comme une grande famille, nous avions des capacités, mais pas la renommée de ces familles. Et c'était normal, eux avaient pu acquérir leurs lettres de noblesse dans les guerres, nous, nous étions des bibliothécaires. Je suis né, donc, dans cette famille non reconnue. Mon nom, Kotodama, était source de moquerie, d'indifférence, ou d'irrespect. Mais cela ne me dérange en aucun cas. Pourquoi ? Et bien tout simplement car c'était comme cela qu'avait vécu ma famille jusqu'à ma naissance et j'aurais beau eu taper du pied, crier, pleurer et autre, je n'aurais jamais réussit à changer cette idée ancré dans les esprits. Donc, j'était une jeune fille portant un nom qui pouvait devenir illustre mais qui ne l'était pas. C'est comme cela que j'intégra l'académie de Konoha pour y suivre ma formation de kunoichi, et c'est aussi là ou j'ai rencontrée ton père pour la première fois." |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Sam 7 Avr - 4:22 | |
| Une nouvelle pose, elle venait à peine de débuter son récit mais au moins Rakurai avait-il un nouveau nom à mettre sur la famille de sa mère, Kotodama, ceux contrôlant les livres. Mais il manquait encore tout le corps de l'histoire, toute l'histoire de cette famille, mais l'assassin ne s'inquiétait pas, il laissait sa mère poursuivre son récit comme elle le voulais. Ce qu'elle fit.
¤Palanza¤ "Ton père était connu du village comme étant l'étranger ayant intégré l'académie. Sans famille, muet comme une tombe il ne s'intéressais à personne et ne parler à personne, comme si il s'était, volontairement, couper des autres pour une raison inconnue à nous tous. Personne n'osais l'approcher et personne ne tentait de se lier à lui, personne sauf moi, moi qui était seule aussi. Quand je me suis présentée à lui, son premier réflexe fut de me chasser, et sèchement Il disait avoir une importante mission à accomplir et il n'avait pas le temps à perdre pour s'occuper de moi. Les années ont passer et nous sommes devenus rapidement Chuunin tout les deux. Le passage genin, nous n'étions pas dans la même équipe, donc nous nous croisions que rarement, voir jamais. Mais cela changea une fois devenu Chuunin Nous avions une mission à accomplir, tout les deux, ensemble. Cette mission, je ne m'en souviens plus, je me souviens seulement qu'à un moment donner, ton père dut user de ses techniques d'assassin pour nous sortir d'un mauvais pas. Ce jour ci, je n'ai cesser de le harceler afin qu'il me parler de qui il était vraiment et de son but. Au début il refusait, mais un lien profond s'était tissé entre nous, et c'est ce lien qui le força à tout me raconter. J'aurais pu me montrer choquée, avertir les autorités, mais je n'en fit rien, et pourquoi donc ? J'était tombé amoureuse de ton père et il venait de me confier son secret. Je savais qu'il passerait jounin une fois notre rapport donnés, il avait maintes fois montré ses capacités. Je savait donc aussi qu'il allait partie du village, devenir un déserteur, donc, je lui ai demandé si je pouvais l'accompagner. Sa réponse fut positive. Quelques semaines après, il devenait jounin, moi, je dut attendre des mois encore après pour le devenir, mais j'y parvint, grâce à ton père qui était resté pour me permettre d'atteindre ce rang. Ce rang atteint, nous décidâmes qu'il était temps de partir de Konoha. Mais avant de partir, je devais prendre quelque chose chez moi, je devais prendre ce qui faisait la force de ma famille : les livres. Durant toutes ces années, j'appris à me servir de toutes les capacités de ma famille, mais je n'était pas très douée pour les utiliser. J'ignore même pourquoi j'ai pris ces livres, j'ignore pourquoi je me suis rattaché à ce passé qui devait être révolu, mais voilà, je n'ai pas pu oublier et effacer mon passé comme ça. Je n'ai pas pu fuir les responsabilités de mon nom. La suite, tu la connais. Ton grand père me forma aux arts Yugen et quelques années après nous nous sommes mariés. Jamais je n'aurais pu croire qu'un jour, mon passé de Kotodama me revienne, surtout de manière aussi brutale et soudaine."
C'était finis, le récit de la vie de Palanza Yugen venait de prendre fin. Originaire de Konoha, elle avait hérité de la volonté farouche de ses habitants qu'elle avait transmise à ses enfants. Originaire d'un clan isolé, méconnu tant pour ses aptitudes martiales que pour ses aptitudes diplomatique. Était-ce un clan inférieur ? Est-ce que seul la guerre pouvait faire valoir les capacités des clans ? Ou bien était-ce un choix délibéré de la par des patriarche de la famille, préférant conserver pour eux leurs puissances, leurs forces et faiblesses pour les dévoiler au grand jour le moment venu ? Rakurai l'ignorai, mais ce qu'il savait, c'était que les informations que sa mère venait de lui transmettre n'était pas à prendre au second degré ni même à ignoré Désormais il connaissait le passé de sa mère, il savait ce qu'elle avait du affronter. Il agirait donc de manière à ne pas humilier son nom, ses deux noms : Yugen et Kotodama. Rakurai ferait tout pour contrôler et manipuler ce pouvoir si secret de cette famille si secrète. Même si pour cela, il devait en mourir. Réussir ou périr, voici son chemin.
¤Rakurai¤ "Je vois, c'est une histoire particulière, j'ignorait tout cela, mais Est-ce que mes frères et Yuna étaient au courant ?"
Cette question sembla déranger Palanza, comme si elle désirait qu'il lui pose toutes les questions qu'il voulait sauf celle la, mais elle lui répondit, par choix ? Par dépit ? Par respect de sa promesse ? Nul ne le savait. Mais elle lui répondit.
¤Palanza¤ "Ils l'ignoraient, jusqu'il y à quelques jours, quand j'ai reçu ta lettre. Tes deux frères mon demander des explications, et, après que ton père eut donné son accord, j'ai fait mon récit. De même pour ta sœur, à qui j'ai envoyée une lettre."
Ainsi donc ils le savaient, mais que récemment Est-ce qu'eux aussi souhaiteraient maîtriser cette forme d'art contenu dans leurs sangs, ou bien laisserait ils couler ce nouveau pouvoir, satisfait de ce qu'ils possèdent déjà ? C'était possible. Sion, Yuna et Hiro étaient déjà incroyablement puissant. Les faire devenir plus ne risquait il pas de créer des problèmes ? Mais de toute façon, seul sa mère pouvait leur apprendre à comment éveiller ce pouvoir. Et pourtant, l'esprit de Rakurai n'était pas tranquille depuis ce qu'il avait entendu. Il ignorait encore tout des capacités réel des Kotodama mais il ne pouvait s'empêcher de se dire qu'il valait mieux que seul lui possède ce pouvoir. Jalousie ? Possessif Sans doute. Inquiet ? Très certainement. Sion perdait souvent le contrôle de lui-même quand il était soûl, de faire étalage de sa force, et il était difficile de l'arrêter Hiro quand à lui était déjà très fort et ses expériences étaient déjà suffisamment étrange sans qu'il ai besoin de rajouter cette puissance pour ses expériences. Yuna, quand à elle, était diaboliquement puissante, rapide et efficace Dans de nombreux cas, elle dépassait leurs mère en puissance pure, ce qui lui permettait de se targuer d'être la plus puissante combattante de la famille, après leurs grand-père, cela va de soi.
¤Rakurai¤ "Ils l'ignoraient donc. Mais dis moi, les livres que tu à pris, contiennent ils le moyen pour moi d'apprendre à me servir des capacités des Kotodama ?"
¤Palanza¤ "Ce n'est pas aussi simple Rakurai. Les Kotodama, même si l'on fait partie de leurs familles, n'accordent que rarement à quelque un le droit d'user de leurs talents. Pour pouvoir apprendre les capacités des Kotodama, il faut d'abord, et c'est la condition siné que none, prouver notre lien avec les livres. Montrer que l'on saura s'en occuper, montrer que 'on comprend, qu'on connaît les matériaux à utiliser pour les réparer, les améliorer, les relier, les protéger. Sans cela, malgré toute ta motivation, tu n'arrivera à rien. Car sans les livres, les capacités des Kotodama n'existe pas."
¤Rakurai¤ "Hum, je ne suis pas sur de tout comprendre. Mais, que dois je faire ?"
La question était posé. Que devait il faire pour obtenir le pouvoir des Kotodama ? Que devait il accomplir pour obtenir la force supplémentaire lui permettant, peut être, d'accomplir son contrat ? C'était cette question que les deux assassin, la mère et son fils, le maître et l'élève, les deux Kotodama attendaient depuis le début de leurs conversation. Certes, Rakurai était toujours plongé dans le doute, mais il apprendrait à dissiper ces doutes, à moins qu'il ne les conservent ? Les doutes étaient le propre du genre humain. Les perdre n'était il pas ne plus être un Homme ? Les conserver faisait il d nous un ninja ? Un assassin ? Un guerrier ? Ou bien la réponse se trouvait elle éparpillée aux quatre coins du monde, chacun gardant jalousement un morceau de la réponse avec lui ? Nul ne le savait et lui encore moins. Il n'était pas là pour mettre en exergue ses doutes, non, il était là pour apprendre à les surpasser, quitte à devoir les affronter.
Sa mère comprenait cela, elle-même fut pris par de violents doutes lorsqu'elle du choisir entre Konoha et sa famille et le père de Rakurai. Ce doute avait il disparu ? Certes non. S'était il atténué ? Non plus. Elle vivait avec, elle vivait avec ce doute du choix qu'elle avait fait en son âme et conscience. C'était tout. Aujourd'hui, Rakurai devait faire un choix, et ce choix était emplis de doutes. Cependant, il réussit à valider son choix initial. Sa simple question "que dois je faire" suffisait à la prouver.
¤Palanza¤ "Ce que tu peut faire ? Tu peut déjà lire ce livre, celui que tu à ignorer. Ce dernier contient l'une des technique de la famille Kotodama pour renforcer, améliorer et réparer les ouvrages endommagé. Je savait que mon grand père avait envoyer cette notice afin que tous les bibliothécaires puissent s'en servir pour réparer eux même leurs ouvrages, mais j'ignorait qu'on l'avait mise dans un livre. Instruit toi de cela, une fois fait, tu me dira ce que tu en à retenu et ensuite, selon tes réponses, peut être t'enseignerais je à le faire. D'accord ?"
Un livre ? Rakurai avait lu tous les bouquins qui étaient présent sur cette table, deux fois pour être sur de n'avoir rien raté. Il ne pouvait pas y avoir une information au sujet de la protection de livre et de sa réparation venant de la famille Kotodama sans qu'il ne la rate, bien qu'il n'aurait jamais réagis devant le nom "Kotodama", il l'aurait sûrement fait sur celui de "famille". Donc, en théorie, il était impossible qu'un livre contenant des informations sur les livres lui échappe. Et pourtant, à peine pris t-il le livre et après avoir lu le passage en question il du se résoudre à avouer son erreur mais aussi à comprendre les causes de son erreur. Ce livre traitait bien de comment réparer les livres avec de la matière première, mais aussi comment les renforcer, rajouter des pages, etc. etc. Cependant, il n'y avait nulle part la simple évocation des Kotodama ou d'une famille quelconque. Ce livre indiquais juste comment réparer un autre livre, sans retouche, sans apport externe, sans donner le nom de celui qui avait trouver comment faire.
Cela l'énervait, raté une telle information comme cela, car elle ne contenait pas tout ce qu'il désirait, il détestait cela, mais au moins avait il réussit à s'exorciser de sa folie. Désormais il pouvait aller plus sereinement de l'avant dans son travail de renforcement. Et ce livre en était la première étape. Il devait lire le paragraphe sur la restauration des livres et sur l'amélioration des livres puis il devait dire à sa mère ce qu'il en avait compris avant de savoir si oui ou non il méritait l'enseignement des Kotodama.
Réparation, amélioration et renforcement des livres.
Les livres sont des alliées précieux, tant pour le ninja que pour l'homme lambda. Son utilisation est fréquente. Et c'est justement la fréquentation des ouvrages qui me terrorise. J'ai longuement observer les gens avec leurs livres. Certains y prennent soin, ils évitent de le ranger n'importe où, ou bien ils tentent de le protéger. Mais beaucoup ne voit dans les livres qu'un simple objet, un simple outil, celui que l'on utilise avant de le jeter, ou de le brûler ou autres. Et du temps ou l'ouvrage est lu à celui ou il est jeté, le propriétaire n'en prend que trop peu soin, voir pas du tout. Beaucoup de livres voient leurs couvertures arrachés, leurs pages écornés ou manquantes, la reliure au bord de la disparition, et ceci n'est pas un traitement convenable envers les livres. Ces derniers nous respectent, faisons de même.
Suite à cela, j'ai décidé de créer une technique pour réparer les livres. Cette technique peut être utilisé par tous, mais seul les "vraies amoureux des livres" pourront l'utiliser à son meilleur niveau. Pour réparer une œuvre vous avez besoin de trois éléments :
- Du Temps - Des matériaux ayant servi à créer l'œuvre de base (et non pas des matériaux de rechange, sinon l'œuvre perdrait son âme) - De l'énergie à revendre.
Si un seul de ces éléments vous fait défaut, inutile d'insister, vous ne parviendrez pas à réparer convenablement l'œuvre, oh, elle sera lisible, mais elle aura perdue son âme. Et un live sans âme est inutile. Si vous disposez des trois élément, vous pouvez commencer à réparer l'oeuvre. Si c'est la couverture pétrissez une pâte fait des composants de base de la couverture (généralement, du bois, de la sève, de la résine et de l'eau suffise, mais il se peut qu'une œuvre ait des éléments en plus, comme du carton, du caoutchouc, du métal, etc., etc.). Une fois une pâte consistante et malléable obtenue, pétrissez la avant de l'étaler dans un récipient fait l'exact taille et épaisseur de la couverture d'origine (munissez vous d'une spatule pour ôter le surplus et pour affinez la pâte déposer). Laisser séchez quelques heures et retirer, délicatement, la pâte du récipient. Une fois la pâte en main, laissez la séchez au soleil un certain nombres d'heures avant de la traiter, voir de la renforcer via des morceau de carton fin à insérer dans la pâte tant que celle-ci est malléable. Mais il s'agit là d'une méthode pour réparer la couverture. Soyez cependant sur de convenablement ôter l'ancienne couverture grâce à des ciseaux, un petit couteau et beaucoup de précision. SI vous désirez renforcer la couverture originel de votre œuvre, vérifier d'abord en quoi elle est faite pour choisir vos matériaux. Une fois le choix de matériaux effectuer, refaite les étapes pour créer une nouvelle couverture mais au moment de verser la pâte, choisissez un récipient plus fin, plus apte à servir de recouvrement que de nouvelle couverture. Affinez la pâte et recouvrer la, petit à petit, sur la couverture originel. Laissez sécher quelques heures et vérifier la rigidité des renforcement, n'hésiter pas à y aller de toutes vos forces, il faut que la pâte sente que vous chercher à la tester pour qu'elle se renforce. Ceci fait, vous pouvez laisser votre couverture renforcé (il est à préciser que vous pouvez rajouter une fiche couche de carton rigide sur l'ancienne couverture avant d'appliquer votre pâte, le mélange pâte-carton se renforcera au moment du test ou vous devrez forcer pour les obliger à s'accepter l'un l'autre). |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Sam 7 Avr - 4:25 | |
| Si jamais vous désirer rajouter des pages à votre ouvrage (nous ne pouvons malheureusement réparer les pages, car leurs contenus serait absent, de ce fait, inutile) créer une pâte avec de l'écorce d'arbre, de la sève et de la résine, ajouter un diluant naturel de votre choix puis mélanger la pâte. La création de pages peut sembler plus simple mais il n'en est rien. Les pages doivent être fine, souple, mais résistante et un peu épaisse pour supporter des écrits. Sans compter qu'un lien spécial doit unir le détenteur du livre à ses pages, de ce fait quand vous ajouterez des pages à votre ouvrage, faite le de toute votre âme. Une fois la pâte prête (en grande quantité si vous voulez rajouter beaucoup de pages) verser, délicatement, le tout dans un récipient où vous laisserez sécher la pâte. Ceci est un travail de patience, car tandis que la pâte sèche vous devrez continuer de mélanger le restant de la pâte pour éviter qu'elle ne se solidifie. Une fois le nombre de pages créer obtenus, vous devrez placer ces pages et c'est là que le travail de finition commence. Prenez un tout petit couteau, très tranchant comme celui des sculpteurs et commencer, avec délicatesse à découper la bande collante au milieu de l'ouvrage afin de décoller la couverture de cette bande. Une fois la couverture enlever, faites de même pour les pages, ôter les unes à une, jeter celle inutilisable et replacer celle que vous désirez utiliser. Passer un peu de résine sur la bande collante pour que les nouvelle pages adhère au livre et replacer le reste des éléments enlever. Fermer le livre, et appuyer bien dessus pour y passer votre énergie, il doit sentir et accepter les nouvelles pages grâce à cela.
Voilà comment améliorer ou réparer votre ouvrage, cependant prenez conscience aussi que vos livres ont une âme et que vous aussi, donc n'hésiter pas à lier votre âme à la sienne.
S'en suivait diverses critiques sur les méthodes de réparation des ouvrages venant de divers bibliothécaires. La majorité affirmaient que sa méthode était inutile, voir dangereuse pour les livres car cela ne fonctionnait jamais lors de la phase de collage, comme si il manquait un élément. D'autres affirmaient que dés la phase de mélange des problèmes se produisaient. Mais pourquoi sa mère lui aurait elle donner à étudier un ouvrage concernant un réparateur de livre ancien si jamais ce dernier avait une méthode fausse et inexacte ? Ne serai t-il pas plus simple d'utiliser des produits nouveaux mais réellement efficace au lieu de cette méthode, somme toute archaïque ? Il n'arrivait pas à comprendre sa mère et pourtant, la réponse devait lui crever les yeux. Il relus plusieurs fois l'article, il essayait d'en chercher le sens quand une petite voix, qui avait disparus depuis un moment, refit son apparition.
¤Tsuyosa¤ "Ne te fie pas aux informations visible, fie toi à l'origine de celui qui à créer cette méthode."
Il fut un instant décontenancé par cette apparition soudaine et abrupte dans son esprit, mais il ne s'en formalisa pas plus que cela, sa mère devait avoir vu son sursaut, donc le cacher ne servirait à rien.
L'origine ? Que veux tu dire par là ?
¤Tsuyosa¤ "Oui, l'origine, je veux dire, qui à écrit cette méthode ? Pourquoi ? Et pourquoi cela ne fonctionne t-il pas avec le commun des gens ?
Pourquoi ? Qui ? Mais oui. La réponse était devant son nez, il avait compris la raison pour laquelle sa mère lui avait fait lire ce passage. Il tourna son regard vers elle et elle compris que cela allait commencer.
¤Palanza¤ "Alors ? Qu'a tu compris ?"
Rakurai pris une assez longue inspiration, sa réponse, il la savait exacte, cependant il le devait à Tsuyosa, son esprit, certainement plus frais et moins anxieux avait trouvé la réponse qui permettrait à Rakurai de s'en sortir. Mais cela ne signifiait il pas que c'était Tsuyosa qui avait résolu l'énigme ? Ou bien Est-ce que, étant donné le fait qu'il n'a pas explicitement donner la réponse, Rakurai puisse s'en attribuer le mérite ? Il verrait cela avec sa réponse et la réaction de sa mère.
¤Rakurai¤ "Ce que j'ai compris ? J'ai compris qu'un Kotodama doit se montrer respectueux envers les livres. Qu'il doit apprendre la patience dans l'art de les réparer, dans l'art de les améliorer et dans l'art de les détailler. J'ai compris qu'il existait un élément indispensable qui liais le Kotodama ses livres, et ce lien, c'est le chakra. Le livre ne peut vivre sans le chakra du Kotodama et le Kotodama est inutile avec un livre sans chakra entre les mains. J'ai compris que lors de la création, réparation et amélioration d'une œuvre, le Kotodama doit donner une partie de son énergie, une partie de son chakra au livre afin qu'il se soigne, si il ne le faisait pas, le livre deviendrait inutile, car sans énergie pour le tenir, il ne serait qu'un stupide morceau de carton lourd. J'ai compris aussi que tout un chacun n'était pas capable de restaurer les livres. Je m'étonne que les bibliothécaire de villages ninja n'ait pas compris qu'il fallait ajouter du chakra dans la composition, mais cella semble être une constante s'étant vérifier dans tout ceux ayant tester la méthode de ton grand père. Mais ce que j'ai réellement compris, c'est que pour être un Kotodama, et donc restaurer des livres, il faut absolument être capable de les respecter, sans cela, c'est inutile."
Le regard de Rakurai était clair, fixe et il ne cillait pas. Son œil unique semblait briller d'une étrange lueur, tel un phare cherchant à attirer vers lui les vaisseaux perdus. Mais sa mère non plus ne détournais pas le regard, elle semblait pensive, elle réfléchissait à ce que venait de dire Rakurai, dans l'ensemble c'était vrai, dans l'ensemble il avait compris le but des Kotodama, mais est-ce qu'il était capable de l'appliquer ? Est-ce qu'il pouvait réellement respecter les livres ?
¤Palanza¤ "Je te trouve bien catégorique dans tes dires. J'ignore si cela viens de toi, ou de moi, mais une chose est sur, tu semble être réellement enclin à défendre ces œuvres. Cependant, je m'interroge. Si ton désir était mal placer ? Si il n'était placer que dans le seul but d'augmenter ta puissance pour accomplir ta promesse ? Si il était là uniquement pour m'induire en erreur et me forcer à t'enseigner ce que je sais ?"
Un point pour sa mère. Rien ne pouvait contredire cela, ni ses paroles, ni ses promesses, ni ses actes. Rien. Elle venait de le mettre au pied du mur en une seule fois, pas d'arguments, pas de détournement de sujet, pas de mensonges. Il était coincé, quoi qu'il dise, fasse, ou accomplisse, le doute persisterait.
¤Rakurai¤ "Tu ma eu mère. Je ne peu pas répliquer à cela. Quoi que je dise, fasse, ou accomplisse, cela ne sera pas suffisant pour ôter ce doute, cependant à mon tour j'aurai une question, Si ce doute existait avant, pourquoi m'avoir montrer ce livre ? Pourquoi me faire passer un test ? Pourquoi vouloir à tout prix me tester si, au final, c'est pour refuser mon entraînement ?"
Un coup chacun, balle au centre. Palanza ignorée elle-même pourquoi elle avait fait ça. Elle l'avait fait, c'était tout ce qu'il y avait à savoir. Peut être que le doute en elle était vivace, mais il y avait aussi l'espoir, la volonté, et le désir que Rakurai respecte ses promesses; Après tout, depuis qu'il était né il vivait avec les livres, c'était ses premiers confidents, se premiers amis, ses premiers camarades de jeu. Donc, avec cette information en tête, elle ne pouvait que prendre une décision. Se penchant vers un sac en lin noir se trouvant à ses pieds, elle y pris un livre. Ce dernier semblait avoir vécu, sa couverture était bleu foncé, presque noir, et il était assez volumineux, la taille d'un dictionnaire. Les pages de l'ouvrage, quand à elles, jaunissaient par endroit, mais cela se sentait que l'ouvrage était ancien. Sa mère l'observa un instant avant de le tendre vers Rakurai.
¤Palanza¤ "Tiens, prend le, ceci est le premier ouvrage qu'un Kotodama possède dans sa vie. C'est le livre de base permettant de vérifier si oui ou non le Kotodama est digne de poursuivre l'enseignement. Je te fait confiance Rakurai, ne me déçois. En t'offrant cet ouvrage, je t'accorde le privilège d'accéder au rang de membre de la famille Kotodama. Pour beaucoup cela ne signifie rien, mais pour moi il veux tout dire. Inutile que je le cache par ailleurs. J'aime ma famille et mon clan, donc je suis prêt à t'enseigner ce que je sais, mais seulement si t arrive à te montrer digne de ce livre. Tiens, prend le, il est à toi, mais à une condition, seulement si tu arrive à établir un lien entre le livre et toi, je veux voir ce livre briller de milles feux entre tes mains, et pour ce faire, je vais te guider"
Rakurai ne savait pas quoi dire. Il pris le livre et sa première impression fut de se retenir de l'ouvrir. Il tentait de s'imprégner de l'œuvre, il voulait qu'elle pénètre entièrement en lui comme lui pénétrer en elle. Il ignorait si il saurait s'en montrer digne, mais il savait qu'il ferrait tout pour cela, absolument tout. D'ailleurs, il en eut l'occasion quelques secondes plus tard quand sa mère lui dit qu'elle voulais une preuve de son affinité avec les livres et pour cela il devait faire briller le livre, le faire éclairer par milles feux.
¤Palanza¤ "Ferme les yeux, laisse ton chakra t'envahir, ne le retiens pas, laisse le couler, ne le modélise pas, laisse le vivre."
Rakurai s'exécuta, ce fut la première fois depuis longtemps qu'il manipulait lui-même son chakra, mais sa mère ne voulais pas de manipulation, elle voulait de la vie, de l'existence, de la fluidité. Il ignorait comment faire, aussi décida-t-il de s'imaginer une rivière qui s'écoulais lentement, délicatement, voluptueusement. Il remplaçait peu à peu l'image de la rivière par celui de son chakra, plus vivace de couleur, plus brut, mais conservant le calme et la fluidité de la rivière, s'écoulant lentement dans ses membres, dans son corps, dans son esprit.
¤Palanza¤ "Bien, laisse le s'écouler, ne force pas, ne résiste pas. Et maintenant, fait diriger ton chakra vers tes mains, mais garde toujours cette même fluidité, ne force jamais, en aucun cas."
Comment forcer son chakra à aller dans une direction sans le forcer ? Cela était paradoxal, on ne pouvait pas ne pas forcer si l'on désirait qu'une rivière suive un tracés que l'on souhaite, alors cela devait être le même pour le chakra. Cependant, le subconscient de Rakurai semblait plus enclin à trouver la solution, car déjà l'image de la rivière recommençais, son rythme était plus rapide, plus saccadée, mais elle restait quand même calme et limpide. Voluptueuse et délicieuse. Et pourtant, au fur et à mesure, son chakra semblait se déplacer lui aussi, et, sans qu'il ne s'en rende compte, il se trouvait déjà dans ses mains.
¤Palanza¤ "Bien, à toi, crée ton lien avec le livre maintenant. Si jamais tu n'est pas digne, tu n'arrivera pas à faire passer ton chakra dans l'œuvre et donc à apprendre les capacités des Kotodama. Dans le cas contraire, ton entraînements débutera vraiment."
C'était tout ? Pas plus d'informations que cela ? Pas d'autres conseil ? Pas d'autres avis ? Et Rakurai devait prouver sa valeur en faisant passer du chakra dans un objet inerte ? Il savait qu'il était possible, dans certaines conditions, de le faire, mais là ? Ici allait être décider si oui ou non il était digne, mais pour s'en montrer digne, peut être ne devait il pas penser cela ? Peut être devait il agir et laisser son chakra s'écouler sur le livre. Fermant de nouveau les yeux, enfin l'œil, Rakurai concentra son énergie, son chakra, son âme dans ses mains. Il ignorait ce qu'il allait se passer, mais une chose était sure, il ferrait de son mieux. Concentrant son chakra, il le laissa doucement s'écouler en direction du livre, ce dernier recouvra un instant l'ensemble du livre, le livre, et les mains de Rakurai semblaient briller, mais cela n'était que grâce au chakra, il manquait quelque chose, et ils avait exactement quoi. Après tout, le livre devait lié à la fois son esprit et l'œuvre, et pas ses mains. Déplaçant le chakra, l'allongeant pour être précis, en direction de sa tête, de son esprit. Rakurai semblait envahi par une étrange sensation, comme si quelque chose dans le livre voulais sortir. Ouvrant les yeux tout en maintenant son chakra constant, Rakurai ouvrit le livre à la première page, vierge. Mais à peine ouvrit il le livre que deux boules d'énergie, lumineuses, blanche, respirant la tristesse et la nostalgie s'éjectèrent de l'œuvre. La pale lumière qu'elle reflétaient était magnifique, mais, pour une obscure raison, Rakurai semblait les connaître, il sentait qu'il les connaissait ou qu'il devrait les connaître. Le silence parfait fut à peine brisé par la voix émue et calme de sa mère.
¤Palanza¤ "Les âmes sont finalement sorties. Tu est donc digne de recevoir l'enseignement des Kotodama. Ces lueurs sont des âmes. Elles vivent dans le livres des âmes. Les premières âmes sont le reflet de nos lointain ancêtres. Les âmes apparaissant ensuite sont celle de nos ancêtres les plus proche. Mais cela n'est pas une absolue certitude. Ma mère disait que parfois, quand une personne mourrait sans avoir eu le temps d'accomplir tout ce qu'elle désirait, elle cherchait un réceptacle où se reposés. J'ignore la part de vérité dans tout ça, mais je sais que si ces âmes sont dehors, cela signifie que tu est un véritable Kotodama." |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Sam 7 Avr - 4:27 | |
| Rakurai observais ces âmes avec attention, il les observaient, les jaugeaient il cherchait même à les toucher, mais elle ne se laissaient pas faire. Étrangement elles semblaient léviter juste à coté du livre, livre qui continuait de briller encore après que Rakurai ai coupé le chakra. Était ce cela le lien dont parlais sa mère ? Si oui, cela était magnifique. La pâleur des âmes projetant des ombres déformées tantôt terrifiantes, tantôt amusantes. Rakurai ferma délicatement le livre, faisant disparaître les deux âmes sur le coup, avant de se tourner de nouveau vers sa mère.
¤Rakurai¤ "A quoi servent les âmes ? Dois je les aider à accomplir leurs buts inachevés ? Ou bien dois je les libérés ?"
¤Palanza¤ "Ni l'un, ni l'autre. Ces âmes formerons un bouclier devant leurs réceptacle protégeant, faiblement, ton livre des âmes. Leurs utilités est donc défensive, mais si tu me parlais hors combat, c'est que tu est plus sage que je ne le croyais. Hors combat, ces âmes peuvent t'aider en te montrant des chemins, t'éclairant dans la nuit ou autre. Tu peut les aider comme elles t'aident en retour, mais personne n'a su communiquer avec elles jusqu'alors. Mais ce n'est pas le bon lieu pour en parler, viens, nous allons commencer ton apprentissage Rakurai."
Sans dire un mot, les deux Yugen, non, les deux Kotodama se levèrent, replacèrent le dernier livre sur la table à sa place et ils commencèrent à sortir de la bibliothèque. Kotodama, livre, âmes, pouvoir. Voici tout ce que Rakurai savait de son second clan, peut être en apprendrait il d'autres plus tard, toujours est il que le mystère des Kotodama venait à peine de se lever, qui sait quelles genres de réponses il trouverait, et qui lui dit que ces réponses lui plairait ? Mais il n'avait pas le choix, c'était ainsi. Dans les méandre des Ténèbres, tenant encore leurs sombre assemblé, les trois Onis, observant toujours la quatrième forme, semblaient heureux; Et ce fut le plus heureux des trois, Osore, qui parla pour les Ténèbres, qui parla aux créatures tapie dans l'ombre, qui parla pour se prouver qu'il avait raison. Sa voix était glaciale, mais hypnotique aussi.
¤Osore¤ "Un nouveau pion viens d'avancer, attendons de voir le prochain mouvement adverse."
[Désolé pour ce dernier post minable, mais tout ne rentrait pas dans le dernier post :/]
[Toujours est il que ses posts me servent à obtenir le livre des âmes et la technique de la quintessence du vol (bien que je doive la retravailler plus tard). Si cela ne conviens pas, ce n'est pas grave, j'adapterais plus tard l'acquisition de l'œuvre et de la technique. Toujours est il que, si l'acquisition et de l'œuvre et de la technique demande des posts supplémentaires, ces posts ne serviront alors qu'à valider l'acquisition de la BL Kotodama mon personnage. Bonne lecture.] |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Lun 9 Avr - 18:33 | |
| [ Rakurai:+ 30 EXP RP] [Acquisition de la BL KOTODAMA: Livre des âmes obtenu: Technique quintessence du vol apprise: + 3EXP] - Citation :
- La mère de Rakurai était heureuse de voir que son fils se souvenait de lui
[Mdr ta mère serait-elle un homme!!! mmm à y réfléchir pour des futurs RP XD] [Attention tout de même aux petites fautes de conjugaison:] - Citation :
- Rakurai observais ces âmes avec attention, il les observaient, les jaugeaient il cherchait même à les toucher, mais elle ne se laissaient pas faire...
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Jeu 25 Sep - 17:05 | |
| ¤,.°o°O Chapitre 3 : La lame et l'esprit O°o°.,¤ « Le livre des maux » Après un passage remarqué à l'armurerie, Sho Nagoshi erra un long moment dans les ruelles du village sans véritable destination. Ses pensées semblaient peu agités en ce jour, bien qu'elles auraient dût l'être avec les nombreuses rumeurs qui s'entendaient à même la rue, à propos d'un éventuel tournoi chuunin. A regarder le village de prêt, il n'y avait aucun moyen de croire que ce tournoi aurait lieu ici. Non, la rumeur devait venir des voyageurs de passage à Kumo. Si tournoi il devait y avoir, il n'aurait pas lieu ici, Sho en était persuadé. En attendant, son entraînement était encore parfaire. Maintenant qu'il avait un katana en sa possession, il lui fallait apprendre au moins une technique qui lui permettrait de combiner sa force physique, la puissance de son katana, et ses connaissances en médecine. Malheureusement, il n'y avait eut aucun cours pour lui aujourd'hui. Il n'avait pourtant pas de temps à perdre. Il voulait apprendre une nouvelle technique en un temps record ; il le fallait s'il voulait avoir une chance de pouvoir représenter le village. Seulement que faire ? Où pouvait-il apprendre une technique de médecine en ce jour si ce n'était à l'Académie ? A l'évocation de cette question, un éclair fendit son esprit et lui rappela que la salle de littérature était ouverte à qui le souhaitait, peu importe si cours il y avait ou non. Oui ! C'était la solution idéale ! La salle de littérature était l'endroit où tous les plus grands ouvrages du village étaient exposés, il y trouverait forcément de quoi s'instruire avant de s'entraîner à la pratique.
Persuadé de son coup, Sho s'engouffra dans l'artère principale du centre ville pour rejoindre le plus rapidement possible les portes de l'Académie. Quand enfin, il put les croiser dans son champ de vision, le jeune shinobi s'élança à toute vitesse en évitant aussi habilement que possible les marchants et autres promeneurs habituels à cette heure de la journée. Chaque seconde comptait désormais, chaque seconde importait. A toutes enjambées, il grimpa les marches de l'Académie puis il y entra en reprenant une marche un peu plus commode, dirons-nous. D'un coup d'oeil très furtif, il repéra la pancarte qui indiquait la direction de la salle de littérature et se dirigea en conséquence. Une fois arrivé à ses portes, il s'arrêta et prit une profonde inspiration en mobilisant toute la concentration qu'il pouvait obtenir sur le moment. Ceci fait, Sho entra dans ce qui s'accaparait de près comme de loin à une gigantesque bibliothèque. Devant ses yeux, s'élevaient des allées et des allées d'étagères remplies de livres de toutes sortes ; sur la droite, quelques tables libres et des chaises pour tous ceux qui souhaitaient travailler au calme ; et sur la gauche, un grand comptoir circulaire derrière lequel se tenait une femme d'une trentaine d'années à vu d'oeil. Elle devait très certainement s'occuper de l'entretient des lieux et d'aide aux recherches, en cas de nécessité. Sho n'avait pas débuté les siennes mais il était certain qu'il n'y arriverait pas aussi facilement qu'il le pensait à l'origine. La bibliothèque lui paressait beaucoup trop immense pour trouver " le " livre qui l'aiderait à développer son potentiel. C'est donc avec une certaine appréhension qu'il se présenta à la bibliothécaire et lui exposa le but de sa venue.
La jeune femme se montra plus compréhensive qu'il ne l'aurait imaginer, et l'amena dans une allée bien précise où se succédait un nombre incalculable de livres sur le corps humain et le fonctionnement cellulaire. Au bout de cette allée, la bibliothécaire s'arrêta et lui désigna une rangée de livre sur le thème des soins et blessures. Sho la remercia en se courbant poliment devant elle et se pencha sur l'étagère en question. Une reliure attira plus son regard que n'importe quelle autre. On pouvait y lire en lettrine dorée " le livre des maux " sur un fond opalin. La main légère, comme toujours, il fit glisser le livre vers lui et le logea entre ses doigts habiles. D'un coup de poignet, il l'ouvrit et jeta un regard sur l'index. Un chapitre attira davantage son attention que tous les autres réunis : de la vie à la mort. Surpris par ce titre accrocheur, il se dirigea immédiatement à la page indiquée et découvrit un très long texte traitant d'une ancienne technique capable aussi bien de régénérer que de blesser selon l'usage qu'on voulait en faire. Sur le coup, Sho se persuada qu'il avait une chance incroyable mais quelque chose lui dit que ce n'était pas un hasard s'il en était arrivé à la découverte de ces textes. Plus que jamais, il se devait de prendre le temps d'étudier les anciens récits. C'est pourquoi il se faufila entre les allées et s'installa à une table, seul, dans un coin isolé de la salle.
Avec une certaine constance, Sho se jeta corps et âme dans la lecture du chapitre. Il y était fait mention d'une lointaine bataille au cours de laquelle les Immortels avaient fait usage d'une technique simpliste mais dont l'effet pouvait s'avérer très intéressant si elle était utilisée avec ruse. Elle portait le nom de " Jinsei Noshi " et pouvait aussi bien soigner que blesser sa cible. Pour un shinobi de son rang, cette technique avait tout de la technique idéale en vu d'une formation complète pour le tournoi. D'autant qu'il ne connaissait encore aucune technique qui pouvait blesser d'éventuels adversaires. L'oeil attentif au moindre terme utilisé, il poursuivit sa lecture dans un silence quasi religieux.
" Le Jinsei Noshi est une technique à la configuration double. Aussi bien offensive que défensive, elle devait couvrir le besoin du médecin en fonction de la situation qu'il venait à aborder. Si elle pouvait aussi bien servir à soigner les shinobis blessés du village qu'à blesser nos ennemis, elle ne pouvait en aucun cas le faire sur un être inconscient. Sa nécessité devenait donc évidente au cours des affrontements entre groupe de shinobis, devenant alors aussi bien soutient qu'assaut dans les mains de son utilisateur. Efficacité et simplicité, c'est ce qui la résumait le mieux aux yeux des Eisei-nin. "
Aux yeux de Sho, il n'y avait plus aucun doute possible, il devait apprendre à maîtriser le Jinsei Noshi, mais pour cela, il lui fallait tout d'abord trouver les signes à utiliser. Après quelques pages de lecture intensive, il tomba sur ce qu'il cherchait. Les écrits parlaient de quatre signes dont les trois premiers de la chaîne étaient les mêmes dans les deux formulations, le dernier signe étant celui qui changeait en fonction de l'utilisation qui était faites de la technique. Ce qui donnait en terme plus clair, chien-bélier-cheval-singe si l'Eisei-nin souhaitait se soigner ou soigner un membre de son équipe, chien-bélier-cheval-serpent s'il souhaitait blesser un adversaire en présence. Sho mémorisa les signes et s'entraîna à les essayer pour mieux s'imprégner des enchaînements. Sa mémorisation faîtes, il se replongea dans les méandres du récit qui se développait sous ses yeux intéressés. Connaître les signes qui débouchaient sur la technique ne faisaient pas tout. Il devait apprendre à la connaître comme s'il l'avait toujours utilisé, comme s'il en connaissait le moindre des effets et des contre effets. C'est pourquoi, il continua sa lecture et quand il en termina le chapitre, le relut intégralement une seconde fois. Le tout lui prit bien deux bonnes heures mais il s'en importait que peu à présent. Cette technique était un atout considérable pour un shinobi comme lui. Même s'il devait apprendre par coeur le chapitre qui se dérobait sous ses yeux, il était prêt à le faire.
Trois puis quatre heures passèrent alors que le crépuscule commençait déjà à étendre son ombre au dehors. Chaque phrase importante, chaque passage crucial se grava dans une partie de son cerveau. Sho avait relu le chapitre tellement de fois à la suite que le réciter par coeur n'était désormais plus tache délicate pour lui. Mais si ses connaissances étaient plus grandes, il lui restait à la mettre en pratique. Comment ? Il n'en avait pour le moment aucune idée. Sur qui pouvait-il s'entraîner à cette technique ? Était-ce seulement humain de demander à quelqu'un de jouer les cobayes pour lui ? Non, Sho Nagoshi était persuadé que non. Plus que ça, il ne le voulait pas, car si ses connaissances avaient grandis, sa pratique mettrait un certain temps à se perfectionner. Il ne pouvait donc pas se permettre de blesser trop gravement quelqu'un si jamais ses essais n'étaient pas concluants. Alors quoi ? Quoi utiliser pour s'entraîner et acquérir l'expérience qui lui faisait tellement défaut ? Il lui fallut, en tout et pour tout, une minute de réflexion avant de trouver une solution qui le sortirait de cette mauvaise passe : un animal. Certes, la morale était plus ou moins la même que pour un être humain mais Sho se dit qu'un éleveur des environs se ferait le plaisir de lui vendre une bête malade ou sur le point de mourir. Au pire des cas, il serait à même de soulager ses jours ; au meilleur, de lui sauver la vie. Dans les deux cas, il posséderait de quoi s'entraîner. N'était-ce pas là le principal ?
Décidé à tester son hypothèse, il se leva de sa chaise, referma le livre et le rapporta à la bibliothécaire toujours perchée derrière son comptoir circulaire. D'un hochement de tête respectueux, il la remercia pour son aide puis sortit de la salle de littérature. Ses pas, toujours aussi légers, le conduisirent jusqu'aux portes de l'académie, quant une fois sortie de là, il s'élança à toute vitesse à travers la ville, direction les montagnes de Kumo ! ¤,.°o°O ... O°o°.,¤ Rocher de Kumo, Aire d'Entraînement de Sho |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Jeu 25 Sep - 22:40 | |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Mer 15 Avr - 1:31 | |
| Dans les taudis de l'Est¤,.°o°O Chapitre 7 : Croître et Grandir O°o°.,¤ « Par un jour de pluie » -5- Sho se fia à ses sensations et se contenta de répondre par un hochement de tête positif à la proposition faite par le genin. Bien qu'il connaissait tous les quartiers de Kumo, du plus riche au plus pauvre, cela restait une moindre politesse que d'accepter la proposition d'un membre de son équipe, fut-il nouveau comme ancien. Ceci étant, Sho s'approcha du bureau circulaire qui servait de comptoir à la bibliothécaire. Celle-ci se tenait avachit sur sa chaise, ses lunettes en forme de demi-cercle pointant sur le bout de son nez, tandis qu'elle s'amusait à enrouler une de ces mèches de cheveux autour de son index. Comme l'habitude avait fait son bout de chemin entre les deux individus – Sho étant très certainement le shinobi qui passait le plus de temps dans cette vaste salle après Akai Juutai – il se pencha par-dessus le comptoir en silence, attrapa une feuille, une plume et un encrier, puis il rédigea un message court mais conçis qu'il signa de son nom avant de remettre à sa place tout le matériel qu'il venait d'emprunter. Le message soigneusement enroulé, il le rangea dans la poche intérieure de sa veste et il poursuivit son chemin comme si de rien n'était.
La bibliothécaire ne remarqua rien de cette opération – trop absorbée qu'elle était par sa lecture d'un vieux manuscrit.
Le chuunin aux cheveux violet et rouge continua son chemin – cette fois-ci entre les grands rayons et leurs larges étagères ornées de toute sorte d'ouvrages. La route était très clairement tracée dans son esprit. Il savait exactement ce qu'il était venu chercher et où il pouvait le trouver. Ainsi, tomba-t-il sur l'objet voulu au carrefour de quatre chemins menant chacun sur des rangées de livres aux thématiques diamétralement opposées. Il s'agissait d'un classeur très épais à en juger la reliure. Un classeur aux couleurs sombres mélangés entre le vert presque noir et un vert mousse peu attrayant. Pour autant, l'objet semblait avoir une grande valeur aux yeux du chuunin. Ceux-ci s'illuminèrent un instant en le découvrant puis ils retrouvèrent toute leur profondeur dès que Sho plaça l'objet sous son bras pour se diriger vers les tables d'étude qui se trouvaient à droite en entrant dans la bibliothèque.
· SHO · Es-tu déjà venu ici auparavant ?
Demanda-t-il à Ananda après s'être assit à une table choisie au hasard.
La question aurait pu paraitre anodine mais comme Sho ne parlait jamais pour rien dire, il était clair que la réponse avait son importance. Maintenant qu'il faisait partie de son équipe, Sho voulait peaufiner le peu qu'il avait appris sur ce genin par des petits détails aux apparences sans importance mais qui pour lui possédaient toute une symbolique caché. Selon lui, apprendre à connaître une personne c'était tout d'abord s'intéresser aux éventuels points communs qu'il pouvait subsister entre lui et l'individu rencontré, ensuite mettre en valeur ses points de rapprochement pour amener l'individu à se révéler par des réponses simples mais très riches en information le concernant. Bien évidemment, à son sens, cela ne pouvait fonctionner sans l'apport complémentaire de l'observation, que se fut des gestes, mimiques, et autres intonations de voix. D'ailleurs, Sho avait cru remarquer comme une ombre dans le regard de son interlocuteur au moment même où ils étaient entré dans la bibliothèque. Pendant un court instant, il lui avait semblé apercevoir comme un voile grisâtre glissé devant les yeux d'Ananda. Bien que négative au premier abord, cette observation le laissa songeur plus qu'elle ne l'informa sur les sentiments de son compagnon de route.
Ne souhaitant arriver à des conclusions un peu trop hâtives, il se contenta de ranger précieusement l'information dans un coin de sa tête en attendant de trouver ce que ce regard avait pu signifier. L'heure était à une chose plus importante.
Avec soin, Sho ouvrit le classeur et fit découvrir à Ananda plusieurs couches de feuillets, de parchemins et de feuilles aussi épaisses que du carton. Sur le dessus de la pile, on pouvait voir un vieu parchemin sur lequel était dessiné d’étranges contours, des noms sans résonance, et des numéros sans le moindre sens. Tout du moins pour celui qui n'avait jamais pris l'habitude de les étudier. Bien évidemment, en observant un peu plus longuement le parchemin il devenait évident à tout à chacun qu'il s'agissait là d'une carte dessinée il y a longtemps par la main d'un aventurier quelque peu pointilleux. Pour autant, Sho ne sembla porter qu'un bref intérêt à ce parchemin avant de le déplacer sur la gauche du grand classeur – à l'endroit où quelques minutes plus tard se forma une autre pile de documents jugés inintéressant par l'eisei-nin. Car l'objet de sa venue à la bibliothèque ne se révéla qu'au terme de dix longues minutes de recherche. Sur un simple feuillet, à peine plus large et plus long qu'une main, se trouvait être dessiné le plan d'une région montagneuse où les crêtes se mêlaient au pic, à de petites vallées, des falaises escarpées, et des crevasses. Dans le coin supérieur droit du feuillet, il était très clairement inscrit plusieurs séries de numéro et un mot " Kamyo "
· SHO · Voila qui est intéressant.
Se murmura-t-il presque à lui-même.
· SHO · Qu'est-ce que cela t'inspires ?
La question était dirigée vers Ananda. Sho fit planer son regard perçant sur celui du genin tout en lui plaçant délicatement le feuillet sous ses yeux. Ceci afin de voir ce qu'il était capable de trouver à cette carte. ¤,.°o°O ... O°o°.,¤ |
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| Sujet: Re: Salle de Littérature Lun 20 Avr - 2:45 | |
| Nos pas résonnaient sur le sol de bois verni, aux rainures nobles et aléatoires. Quiconque m'aurait regardé aurait compris ma gêne dans la seconde qui suivait. Décidemment, ces parchemins qui me toisaient ne m'inspiraient vraiment pas confiance. J'avais envie de fondre dans mon manteau, que ma tête soit couverte, cachée, et que ces affreuses lettres dans ces affreux bouts de papier disparaissent de ma vue, et par la même occasion de ma tête...
J'inspirai un grand coup, histoire de me relaxer. De toute façon, c'est mon compagnon qui allait étudier un bouquin, pas moi. Et puis qui sait, peut être qu'il ne venait que pour l'emprunter et qu'après on irait faire autre chose ? Je m'accrochai à ces hypothèses comme un singe à sa branche en espérant qu'elle soit la bonne. Nous rencontâmes une demoiselle absorbée par un bouquin. Oui, absorbée, littéralement. On avait l'impression que le livre l'avait hypnotisée et qu'elle en était piégée comme un oiseau en cage. Je le savais, les livres, c'est pas bon pour la santé... Le chuunin griffona quelque chose sur un petit bout de papier, pendant que j'examinai les alentours, puis nous nous dirigeâmes dans les travées poussiéreuses et sombres de la pièce. Au carrefour de plusieurs étagères se trouvait son but. Ou notre but, plutôt, puisque monsieur le chuunin avait décidé de me faire participer...
Un gros livre, plutôt effrayant, à en voir sa taille, sa vieillesse visible, et la couche de poussière qu'il avait recueilli. Je n'aimais déjà pas vraiment un livre neuf, alors celui que personne n'a ouvert depuis des lustres, ce n'est pas par hasard... Nous nous asseyâmes en silence, et ne sachant que faire, je trouvai une place confortable tout près de l'épaule du chuunin dont je ne savais toujours pas le nom, et tentai malgré mon appréhension de comprendre le maximum de ce que j'avais sous les yeux... D'abord une carte, dont je ne compris pas grand chose... Les dessins avaient vieilli les bords du parchemin avaient été rongés par le temps, et des suites de chiffre s'étalaient de long en large...
Des chiffres... J'étais heureux d'en voir. Eux, je les comprennais, et nul doute que s'il y en avait dans cette carte, je pourrais les déchiffrer tôt ou tard. Même s'il me fallait avant tout des informations écrites que je savais incapable de comprendre par moi même.
C'était comme ça à la maison. Maman, ou Aneko, qui rammenaient l'argent, et moi qui tenais les comptes. J'avais dans notre petite hutte de bois et de taules le seul livre qui ne m'avais jamais effrayé. Le livre des comptes. J'y enregistrais tout, pour que notre petit pactole ne disparaisse pas sur un coup de tête. Il n'y avait que moi qui le comprennais. Comme je ne savais pas écrire, je dessinais des symboles porteurs de sens, mais d'un sens qui n'était connu que de moi seul. Si certains avaient vu ce cahier, ils auraient pu croire en un rite satanique, ou quelque chose du genre. Il n'en était rien, rien qu'un petit cahier de compte familial. Aussi, les nombres devinrent rapidement mes amis, et très vite, je m'amusai à compter tout, puis à calculer. Combien de temps il fallait pour faire le tour de la Terre, le périmètre des roues du petit carosse des voisins, le dénivelé de notre rue... Tout et rien, mais j'avais acquis petit à petit des réflexes calculatoires impressionnants. Je rencontrai ensuite un professeur de mathématiques, qui m'enseigna les bases de l'analyse, et des probabilités. Je me rappelle d'un moment où j'avais voulu m'en faire un métier. J'aimais ce que je faisais... Mais il avait fallu qu'un homme vienne tout gâcher... Les meilleures choses ont une fin, mais certaines sont si bonnes qu'elles n'ont jamais commencé...
Bref, cette succession de chiffres m'intriguait beaucoup, et je restai quelques secondes dessus, sans pouvoir y déceler une quelconque logique immédiate. Je me promis d'y revenir. Puis mon compagnon d'un jour entassa une pile de documents, que je trouvai fort haute, et qu'on allait certainement devoir lire, ou en tout cas, essayer de lire... En haut de celle-ci, une autre carte, dessinée avec plus ou moins de réussite, et qui elle aussi avait subi les ravages du temps. La géographie dessinée sur le rouleau ne me rappela rien. Il y avait des montagnes, ou des collines, puis des chemins, dans un fouillis peu clair, et surement sans échelle de distance précise. A moins que cette échelle soit symbolisée par les chiffres.... J'étais pour l'instant incapable de le savoir. Un mot était mis en exergue sur le parchemin. Je tentai de le lire, après que le chuunin m'interpelle pour me demander mon avis...
Ananda : Kya.... kya..... k.... ko. Kyako.
Si mes souvenirs lointains de l'apprentissage des idéogrammes ne me trompaient pas, Ko signifiait la mort. Mais que voulait dire le kya ? Mon coéquipier de lecture le saurait surement... J'essayai de fournir une réponse la plus complète possible, dans la mesure de mes possibilités. Vu comment j'avais lu le mot précédent, il était désormais clair que je ne faisais plus illusion. Je n'avais même plus à lui avouer mon illétrisme. Aussi, je me rabatis sur les chiffres, et échaffaudai des pistes de réflexion.
On peut voir une multitude de chiffres, aux typographies différentes. Pour chacune des typographies, la signification doit être différente. Nous sommes en présence d'une carte, le plus logique serait qu'ils renvoient soit à des distances, soit à des coordonnées. Il se peut également qu'ils correspondent à un code crypté, auquel cas, il va nous falloir une clé de résolution. Enfin, il se peut que ces chiffres combinent deux des utilités en même temps, il faut donc être attentif.
J'observai un temps de réflexion, pendant lequel mon cerveau tourna à 200 à l'heure. Cela faisait bien longtemps que mes neurones n'avaient pas cogité ainsi... en vain pourtant.
Avec si peu d'informations sur ce que nous cherchons, j'avoue ne pas pouvoir aller plus loin. En tout cas, dans la mesure de mes capacités... Je pense que vous avez compris.
Je le regardai sans honte. J'avais appris à surpasser le mépris qu'on me portait. Les railleries ne me touchaient plus depuis belle lunette. Cette académie avait au moins le mérite de rendre les gens imperméables à la mauvaise humeur ou à l'impolitesse de la grande majorité de ses élèves. Et puis, j'avais des circonstances atténuantes, et jusqu'ici, il n'avait jamais été un crime d'être ignorant. Même si j'avoue que ça ne m'aidait pas beaucoup en de telles situations...
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| Sujet: Re: Salle de Littérature | |
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