Le jour se levait déjà sur le continent des milles étendues dans cette festive période qu'était l'étée habituellement. La guerre faisait actuellement rage et de plus en plus de destructions étaient causés. Cependant, cela faisait à présent deux ans que j'étais partis en voyage initiatique. J'avais toujours été un jeune homme intelligent, peut-être un peu plus que la moyenne pour le grand bohneur de mon clan qui ne vivait que pour être supérieur aux autres. J'étais cependant un peu maigrichon et mon père m'avait donc confié à un maître d'arme pour un voyage initiatique de trois longues années. Je ne cachais pas que ma famille me manquais affreusement, que ce sois ma mère ou mmon père d'ailleurs. Mais j'étais conscient que c'était pour le bien du clan et avais accepté de partir. J'eus beaucoup souffert pendant ces deux dernières années. Marchant plusieurs heures par jours, faisant parfois des détours pour esquiver la guerre, la fatigue était quasiment insoutenable. Qui plus est, je devais passer des épreuves de force, d'agilité et de résistance à chaque réveil et chaque couché, soit disant dans le but de m'endurcir.
Après ses deux longues années ou j'étais devenu bien plus musclé et endurcit qu'avant, le voyage nous avais ramenés à quelques kilomètres de là ou mon clan habitait ! Ma douce famille que j'aimais temps ! Cependant, l'ermite qui m'accompagnais refusa de me laisser voir ma famille, allant jusqu'à me battre pour m'en empêcher. Seulement je savais que mon senseï n'était pas bien réveiller le matin et j'avais déjà mis au point un plan qui me permettrais d'y aller. Lorsque je dis le matin à mon maître que j'allais retourner voir ma famille contre son gré, il rentra dans une rage folle. Je ne l'avais jamais, non jamais vu ainsi. Il n'était cependant pas bien réveiller et je savais à l'avance qu'il allait me frapper à ma tête. Hors en deux années j'avais appris ses habitudes et j'avais appris à encaisser les coups. Je contracta mon bras que je mis devant ma tête. Ma protection déstabilisa l'homme que je poussais avec les muscles que 'avais obtenu récemment et me mis à courir. Je me savais frêle et rapide, je pouvais atteindre mon petit chez moi avant qu'il ne me rattrape. Je rentrais en trombe chez moi.
[Mère] - Qazea, tu nous à tellement manqué ! Nous te croyions mort ! Nous n'avions donné notre accord que pour une petite excursion de trois mois…
[Moi] – Quoi ?! Il m'a dit que je devais rester avec lui trois ans !
Rapidement mon père se joint à nous et je lui expliquais tout ce que j'avais du subir pendant les dernières années. Lorsque l'homme vint chez moi, il devint fous et me dis que j'étais comme son fils, que j'étais sa raison de vivre. Mon père le chassa en refusant de le payer. J'avais vécus les pires moments de ma vie, mais quand j'y repense de nos jours, je trouve que cela aura finalement été très enrichissant. J'étais devenu plus résistant et plus fort tandis qu'à présent, j'ai l’intelligence de ne pas faire confiance au premier venue. Je peux finalement remercier ce fou.
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