La journée était bien avancé, et les cours avait prit fin, Akazami avait emprunté a l’académie, une pile de livres, pour bouquiner dans sa cabane le soir. C'est donc tout naturellement qu'une fois avoir été faire son footing du soir, avoir mangé un bol de riz, seul denrée accessible pour ses modestes moyens ( pour le moment ), il s’allongea sur son lit, et commença a regarder les couvertures de ses emprunts, son regard s’arrêta sur un livre intitulé : " L'art de la guerre "
Il commença a le lire, et ce qu'il découvrit dedans lui parut tellement évident et en même temps tellement intelligent qu'il ne put a plusieurs reprise avoir le sourire, qu'elle chef d'oeuvre songea t'il.
La noirceur de la nuit avait avalé le village et l'avait obligé a allumé une lampe, il lui était impossible de résoudre a fermer ce livre, il y avait tant de passage, tant de réflexions, tant de choses intéressante dans le regard de cette auteur, qu'il lui fallait continué, le temps passa, et a de nombreuses reprise Akazami se persuada de terminer la page de lecture et de fermer les yeux pour se reposer, mais en vain. Au diable la fatigue, si fatigue il y avait, seul sa tête dans un principe de bien être voulait qu'il dorme, mais son corps, son esprit eux n'avait pas sommeil, il était subjugué, possédé par tant d'analyse. Il tomba littéralement sous le charme de ce passage :
" En général, pour déployer ses troupes, il faut observer l'ennemi. Lorsque l'ennemi est proche et silencieux, il est dangereux de s'y fier ; celui qui est loin et provoque au combat désire attirer l'autre ; celui dont les bases lui permettent de mener une vie tranquille est avantagé.
Lorsque les arbres se mettent en mouvement, c'est que l'ennemi approche ; lorsque les herbes, trop nombreuses, font obstacles, c'est que l'ennemi en prend l'apparence ; lorsque les oiseaux s'envolent, c'est que l'ennemi est en embuscade ; lorsque la poussière est haute et fine, c'est que l'armée ennemie approche.
La force d'une armée ne réside pas dans son importance numérique ; il ne faut pas avancer en ne tenant compte que de la force militaire ; c'est seulement en utilisant à la fois sa propre puissance et l'évaluation de l'ennemi que l'on pourra s'en emparer ; donc, celui qui ne réfléchit pas et sous-estime l'ennemi sera capturé. "
Et ce n'est qu'au petit matin, au levé du soleil, qu'il se décida a fermé le livre après avoir lu la dernière page. Il se releva, s'étira et avala un bol de riz avec un grand verre d'eau, et c'est le livre sous le bras qu'il prit le chemin de l’académie en courant, repensant durant sa course au maximum de chose qui pourrait certainement lui servir un jour pour défendre le village de Konoha.