[Qazea Toshiya] Parcours du shinobi

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J'avais lamentablement échoué dans l'exercice de maîtrise du chakra alors que maîtriser le ninjutsu était la forme de combat qui me plaisait le plus. Sans même m'entraîner pendant les jours suivant, je me suis laisser dépérir, déprimer. Seulement, il n'était à présent plus le temps de traînarder ou d'abandonner. Je m'étais rendu compte que si je n'avais pas réussi à le maîtriser avec de l'aide, tout n'était pas perdu pour autant. Je n'avais qu'à m'entraîner un peu plus et à réessayer, encore, encore et encore. Les jours passèrent pendant lesquels je m'entraînais. Puis vint la seconde chance de me démarquer. Le jour du second test était arrivé et le rendez-vous avait lieu à côté de l'escalier central de l'académie. J'étais arriver la dernière fois à la seconde place, mon ami et camarade de chambre m'aillant voler la vedette. De retour et motivé, j'allais tout donner pour réussir.

Ce fut à mon grand damne la jeune Takki qui nous accueillit à l'endroit escompter. Vêtue d'un beau kimono rose au grand décolletée, sa tenue représentait bien la niaiserie de cette femme et son inconscience. Le silence vint rapidement lorsqu'elle nous expliqua le but de ce test créer par Hikari. Je flippais quelques instants. Le pire était à venir. Tirant une peinture qui cachait le mur, notre professeur s'applaudit elle-même sous le regard désespéré de ses élèves. Nous la suivions ensuite pour aller au bas de ses escaliers. Elle nous fis passer un part un. Lorsque ce fus mon tour, j'eu le droit à quelques explications basiques plutôt satisfaisante. Il s’agissait d'un parcours d'obstacle pour shinobi. Un parcours qui ne s’avérait pas banal. Effectivement, la première étape était de traverser les flammes. Je m'élançais sans plus attendre.

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'Dé examen - Dé chanc' :

-9 hp, tu passes le premier obstacle.

Je m'élançais vers la source de toutes mes difficultés, de tous mes espoirs et de toutes mes joies. Le second moment de faire ses preuves, de devenir le meilleur. Qui plus est, chaque difficulté pouvait me rapprocher du but escompter : la maîtrise du chakra. L'épreuve était donc une effroyable course ou l'on devait durer moins longtemps que les autres. Et je me devais de réussir. Je pris mon courage à deux mains et me protégeais le corps à l'aide de ma veste. Je courus, fonçant à travers les flammes, la douleur me faisant danser comme le diable. Je ne pus m'empêcher de lâcher un petit cri de douleur. Les flammes avaient mordus mes bras et de petites blessures de deuxième degrés me vaudront certainement un petit tour à l'infirmerie.

Faisant fit de ces douleurs, je continuais ma course effrénée pendant quelques mètres avant que la seconde et non point cruelle épreuve ne se dresse devant moi. Deux poteaux se fracassais régulièrement entre eux, et du sang étaient visible dessus. J'éprouvais un haut le cœur : un élève était très fortement blessé, écrasé par les deux poteaux. Des lames commencèrent à couleur mais je les réprimais et rapidement je repris mes esprits. Je devais tout faire pour que cela ne m'arrive pas. Je constatais qu'il y avais toujours un petit temps d'attente entre les frappes et le moment ou les poutres repartaient. La réponse paraissait claire : il me fallait courir dès que les poteaux s'entre-choquaient pour que je puisse passer entre-eux. Ils devraient de nouveau s'abattre l'un sur l'autre peu après mon passage. Puis ce fit le moment. Je rassemblais mon courage … Et me mis à courir.

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'Dé examen - Dé chanc' :

Tu passes le deuxième obstacle sans encombre.

Je n'en croyais pas mes yeux. Je pus enfin relâcher la pression que j'avais mis dans mes jambes pour accélérer. J'avais réussis à traverser les deux rondins de bois sans même me blesser grièvement. Mieux encore, je n'avais aucune marque sur mon corps ! J'étais encore en un seul morceau ! Je souffla un grand coup pour évacuer le stress et continua à atoute allure ma course. J'aperçevais des silhouettes un peu plus loin et me mis à courir à toute vitesse pour les rattrapper. … … … Je me rattrapais in extremis. Je n'avais pas remarquer qu'un ravin de quelques mètres se situait devant moi. Et merde, ce n'est pas aujourd'hui encore que je serais à la première place. Quelqu'un avait achevé la course et venait de remonter par les escaliers. À moins que cette personne avait échouée à la dernière épreuve ?

Quoi qu'il en soit, le stress montait une nouvelle fois. Je n'avais pas peur de sauter, non. J'avais peur de RATER de sauter et donc de m'écraser. Mais au final, le résultat m'importait peu et je sentais la détermination revenir au plus profond de moi. Je soufflais de nouveau un grand coup et observait le fait que le précipice était à une bonne vingtaine de mètre de hauteur.

[Qazea] – Yaaaah !

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'Dé examen - Dé chanc' :

Tu passes le troisième obstacle sans encombre!

Trois autres torches s'allument, comme par magie, t'éclairant la suite du parcours, qui n'a rien de réjouissant.



A. Les poutres en délire. Des poutres attachées au plafond par des fils servent de pont, il faut les passer.

B. La Boîte de Pandore. Un bouton permet de faire pivoter des rondins et des panneaux de bois, vous devez trouvez la bonne configuration pour pouvoir passer.

C. Le pont du singe. Des rondins très petites taille sont disposés à pas de géant, il faut marcher dessus pour traverser.

[Qazea] – Yaaaaaah !


Je pris mon envol, le coeur battant. J'avais peur. Peur de tomber. Peur de mourir. Pour ma plus grande joie, mon élan était suffisant et j’atterris enfin sur le sol. Je fis une petite pause de quelques instants pour reprendre mon souffle et avançais dans la pénombre de la cave. Après avoir fait quelques pas, une joie non dissimulée m'envahis lorsque trois torches s’allumèrent, éclairant le chemin devant moi. Je lâchais un juron lorsque je voyais quelle épreuve m'attendait. De longues poutres, espacée chacune d'un mètre, me faisais face. Mais merde, je venais déjà de sauter dans le vide ! Pas encore ! Je calmais ma respiration et me rassura. Je devais peut-être sauter trois fois mais ses sauts là étaient bien plus facile. Je calquais mon souffle sur le léger frémissement des poutres de bois. Je concentrais toute mon attention sur les poutres et remarquais qu'ils ne battaient pas vraiment. Les poutres étaient plutôt stables. Je pris mon élan et m'élançais de nouveau.

[Qazea] – Yaaaaah !

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'Dé examen - Dé chanc' :

Cette fois... ou plutôt, pour une fois, Hikari suivait les évolutions de l'élève au dessus de lui avec attention. Après tout, c'était une distraction comme une autre. Les poutre en délires s'entrechoquaient, et l'élève, au grand plaisir de son professeur sept mètre au dessous, galérait comme pas possible. Il avait d'abord trouver un moyen peu commode, à savoir les passer le plus vite possible : l'erreur qui était tant attendue... enfin l'erreur, d'autre avait réussi. Là, la vitesse de Qazea fut totalement absorbé dans les poutres, qui s'écartèrent. Après un grand écart incertain, il essaya de s'accrocher aux fils par lesquels tenaient les poutres, puis à la poutre. Il se stabilisa, et Hikari salua l'effort. C'est pour se releva qu'il perdit l'équilibre, et omba droit sur Hikari, encore en train de se fendre la poire.

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'Dé examen - Dé chanc' :

Hikari - Ho punaise, j'en peux plus. Ah ah ah... Tu m'as tué gamin!

Il reposa Qazea, les larmes aux yeux.

Hikari - Tu m'auras bien faire rire sur cette épreuve? Hou Hou hou... comme un petit singe! Mais t'es bien le seul singe qui tombe de l'arbre, ah ah ah!

Il rit de plus belle devant la mine suspicieuse de l'élève, et mit un certain temps avant de reprendre son sérieux.

Hikari - Allez... C'est par là pour remonter. D'après les bruits qui en sortent, je crois qu'il y a une spéciale looser room, t'y aura ta place.

Alors que l'élève s'éloignait.

Hikari - Ouistiti.

Et ses rires repartirent.