Choisir son Nindo

Ma voie principale est le Ninjutsu. Ma voie secondaire est le Taijutsu. Ma voie de soutien est le Ninjutsu non élémentaire.

Créer son Personnage

Je m’appelle Kotetsu Shinamura. Je suis UN HOMME et j’ai 24 ans. Je suis devenu ce que je suis parce qu'il me faut protéger ceux qui comptent à mes yeux.

Première partie

Vous voulez connaître mon histoire, c'est bien votre question n'est-ce pas ? J'allume ma cigarette m'assieds auprès de vous je débuterais ensuite, voyons par ou commencer par le début va me dire le petit malin du fond.

Alors je me prénomme Kotetsu Shinamura shinobi du village de Kiri, né il y a de ça vingt-quatre ans maintenant. Issu d'une famille bourgeoise mon père seigneur d'un petit lopin de terre, cultivé par ses sous fifre comme j'aime les appeler. Ma mère est ce qu'on appelle une penseuse voulant changer le monde, ou plutôt une visionnaire ayant occupée un poste de conseillère auprès du village bien avant ma naissance. Aujourd'hui mon père est moins reconnu qu'avant étant rattaché au village de Kiri, quant à ma mère elle écrit des livres sur le monde d'autrefois et celui de demain. Vous connaissez maintenant un peu plus mes parents, voyons comment ses deux personnes se sont rencontrées. C'est une anecdote assez drôle je trouve que je vais m'empresser de vous raconter, mon géniteur bien qu'un peu filou de temps à autre vivait sa vie de seigneur le plus paisiblement. Fraudant comme il le pouvait le pouvoir et surtout les impôts au village, à la mise en place du Kage et de ses conseillers le monde shinobi connaissait un nouvel essor.

Ma mère se voyant attribuer les caisses du village se plongea à corps perdu dedans, vous l'aurez compris le cas de mon père fut passé à la moulinette par ses soins. Elle partit à sa rencontre rapidement pour en savoir plus et, comprendre la raison du fait qu'un trou dans les caisses du village étaient du par sa faute. Avec une certaine nonchalance il l'accueillit et lui répondu qu'il s'en sortait très bien tout seul, sortant le grand jeu et haussant surtout la voix ma mère lui fit comprendre qu'il fallait réagir en village et non pas en indépendant. Voyant qu'il n'aurait pas gain de cause avec cette femme de forte poigne, il se rangea de son côté et paya la somme qu'il devait. Au fil des rencontrent une certaine sympathie s'était créé entre eux, chacun apprenant à connaître l'autre et les raisons l'ayant poussé à être la personne d'aujourd'hui. Ce début de complicité tourna vite en amourette, puis en relation sérieuse suivie d'un mariage pour preuve qu'ils sont toujours ensemble à ce jour.

De cette union je suis né cinq ans plus tard, puis un second enfant une fille ce coup-ci deux ans après ma naissance. Voilà la belle famille comme beaucoup d'autre, s'épanouissant au sein du village. Après des années à vivre pour l'un au village pour le second à l'extérieur, mon père se décide de rentrer à Kiri pour être auprès de son épouse et arrêter une garde alternée. Il signe l'une des plus belles preuves d'amour pour ma mère, mais sans vouloir vous mentir mon père regrette aussi ce choix pourquoi ? C'est très simple fini pour lui les petites combines pour arrondir les fins de mois, les jeux illégaux qu'il tolérait sous sa demeure et plein d'autres petites choses comme celles-ci. Pour lui un nouveau jour se levait, une nouvelle vie entourée de sa famille et d'un village qui au final il ne connaît que très peu. Je vous rassure dans cet immense étendu qu'est Kiri, il ne se retrouve pas seul sa femme est là pour l'aiguiller. Puis il ne faut pas m'oublier non plus avec ma petite sœur, nous sommes là pour aider mon père à se familiariser aussi.

Deuxième partie

Je sais que je me suis étendu sur la famille et bla et bla, ça ne vous aide pas pour autant à me connaître. Ce qui suit s'articule vraiment sur ma personne, voilà vous êtes soulagé ça se voit sur vos visages petits canailloux va.

Comme tout le monde je vais parler un peu de mon enfance, oh et non tiens je vais faire l'inverse je vais vous parler de moi aujourd'hui. Moi Kotetsu premier du nom et de la famille Shinamura, je trouve ça classe dit comme ça pas vous ?, des fois je parle de moi à la troisième personne mais je ne suis pas prétentieux ou arrogant loin de là. Plus sérieusement je me souviens assez bien de mes dix premières années. Mes parents ne vivaient pas encore ensemble à cette époque, je passais alors une semaine chez l'un et la suivante chez l'autre. Ma petite sœur quant à elle était chez le parent qui ne m'avait pas, c'était un roulement que l'ont faisaient pour être toujours avec l'un d'eux. Deux ambiances bien distinctes, deux univers totalement différents que j'aimais par-dessus tout. Pour vous expliquer le plus facilement qui soit chez ma mère était une éducation stricte, chez mon père c'était au contraire plus calme vu qu'il ne s'occupait pas directement de moi.

Quand je me trouvais à Kiri avec ma mère me faisait l'école à la maison, ne pouvant pas se permettre de m'envoyer avec les autres enfants. Mon niveau scolaire étant à la hauteur voir même un peu au-dessus, le seul hic était la régularité qu'aurait été ma présence en classe une fois toutes les deux semaines ne convenaient pas. Je garde de bons souvenirs avec cette femme, malgré son côté autoritaire qu'elle avait gardé de son ancien emploi. Je ne lui en tiens pas rigueur pour autant car ça m'a permis de développer et forger mon côté froid quand cela est nécessaire.
Avec mon père l'opposé était au rendez-vous, lui seigneur me collant dans les pattes des personnes à tout faire de son domaine. Grâce à lui j'ai pu connaître ce qu'est de travailler pour gagner sa vie, l'esprit d'équipe pour avancer et surtout aider son prochain quand il est dans le besoin. Bien sûr ce n'est pas lui directement qui m'a inculqué ses valeurs, mais ses employés avec qui j'ai noué de solide lien au fil des années.

Les idées de ma mère n'étant pas appréciées par tout le monde, je fus rapidement montré du doigt considéré comme l'erreur. Une minorité se demandait quel homme avait pu donner un enfant à cette femme, ou plutôt deux enfants pour être exact. Venant rarement au village mon géniteur était un inconnu pour eux, de plus son identité ne devait pas être dévoilé son rang aurait pu en prendre un coup à l'époque m'avait-on dit. C'est pour cette raison que mes sorties au village était rare, je préférais retourner chez mon père pour gambader dans les champs. Si j'avais pu choisir ou vivre mon choix se serait fait naturellement, pouvoir vivre sans crainte sortir sans la moindre appréhension de chez soi alors oui le choix était fait d'avance.

Troisième partie

Oui je sais une vie fait d'aller et retour pas toujours facile, mais bon je ne la regrette pas ohhh non lisez de lire la suite pardi !!

Tu vas devenir un shinobi toi aussi ? Voilà une question que je ne m'étais jamais posé auparavant, pourtant c'est ce que m'avait demandé Chitô un des enfants d'un des employés de mon père. Je devais avoir pas loin de dix ans, il m'explique alors qu'étant dans un village caché il serait normal que j'en sois un. Le sujet n'avait jamais été abordé avec mes parents en réalité, c'est vrai que l'année prochaine un choix allait se dessiner à moi que faire ensuite. Continuer une scolarité dite normal, travailler avec mon père pour prendre sa suite, m'inscrire à l'académie pour emprunter la voie du ninja. Très vite l'une de ses options étaient rayée de la liste, en effet mon père avait franchi le pas. Il cédait son lopin de terre et tout ce qui lui appartenait pour vivre au village, j'allais pouvoir avoir une conversation avec mes parents à ce sujet. Quand les mots devenir ninja devenait une possibilité dans ma bouche, je compris vite que le regard de mes parents disaient non sans l'ombre d'une hésitation. Les arguments reçus en retour furent les suivants : cette vie est trop dangereuse, regarde les enfants de ton âge ne t'accepte pas pourquoi le feraient-ils maintenant.

Ma réponse à ce sujet était tout trouvé vivre sans risque n'est pas vraiment un avenir prometteur, pour ce qui est de l'acceptation je le dois à votre mode de vie que j'ai subis. Je me reçu la plus douloureuse des claques de ma mère à cet instant précis et, des yeux accusateurs de la part de mon père. Était-ce ma faute si j'avais dû craindre de sortir durant ma jeunesse, vouloir changer ça devait être une maladie pour eux. Je compris alors que devenir shinobi était ma volonté, briser les a priori sur ma famille et surtout sur moi. C'est dans le plus grand des secrets que je me décidais à me renseigner, entrant à l'académie pour obtenir les informations nécessaires pour l'intégrer. Cet immense bâtiment laissait une impression plutôt bonne au premier abord, à l'intérieur le savoir d'une nouvelle culture m’envahis d'un coup. Déambulant dans les couloirs je m'arrêtais devant une kunoichi, âgé d'une trentaine d'années environ pour le questionner. D'un regard elle avait saisi le pourquoi de ma venu, sans avoir eu le temps d'ouvrir la bouche. Elle s'empressa de me faire visiter en m'invitant d'un grand signe de main, m'expliquant le fonctionnement de l'académie dans les moindres détails.

Devant mon admiration elle me montra quelques jutsus, des basiques comme le Bunshin ou encore le Henge. Puis une de ses techniques personnelles utilisant le Suiton, je ne pu qu'applaudir cette performance qui à mes yeux était un véritable exploit. Cependant cette femme se prénommant Fumiko compris qu'il y avait un soucis, je lui expliquais alors que es parents étaient contre le fait que je devienne ninja. Elle m'expliqua alors qu'il fallait que je passe un petit test, pour voir si j'avais ce qu'il fallait pour le devenir. Étant prêt à tout j'acceptais de m'y soumettre, Fumiko pris mes mains et ferma les yeux durant quelques secondes. Elle les rouvrit avec un large sourire, puis se décida à me dire ce qui venait de se passer.Je suis une kunoichi ayant la faculté de déceler le chakra chez les ninjas, je dois dire que tu feras un grand shinobi si tu t'entraînes avec le plus grand sérieux. Croyant que le test était terminé je m'apprêtais à quitter les lieux, elle me tendit une feuille de papier sans aucune inscription.Reviens me voir quand tu auras réussi à la faire changer d'état, le seul conseil que je vais te donner et de faire travailler ce que tu as en toi. J'oubliais je m'appelle Fumiko. elle posa sa main sur mon ventre en me disant cette phrase. Puis sans un mot elle disparue d'un coup.

Quatrième partie

Ouahouuuuuuuu ça commence à devenir intéressant tout ça, je vais réussir son test ? Si oui que va révéler la feuille...

De retour à la maison je regardais cette feuille d'aspect classique, mais de texture qui m'étais inconnu voilà donc mon premier contact avec le monde shinobi. Je me ressassais dans ma tête sa dernière phrase, plus particulièrement ce que j'avais en moi. Sans doute en rapport avec le chakra car Chitô m'en avait parlé, il était la base de la réussite pour utiliser une technique. Donc je connaissais la théorie me restait que la pratique, mais alors là je n'avais aucune idée du comment de la chose. J'essayais des trucs bête comme prononcer le mot chakra sans effet, de faire la vague avec mon ventre sans plus de résultat. Les jours passèrent sans pour autant avoir de résultat probant, c'est alors qu'une once d'intelligence me parcouru. Après l'académie quel lieux pouvait au mieux répondre à cette question, je vous le donne dans le mille la bibliothèque bien sûr. D'un pas décidait je franchis les portes de ce lieu de savoir, pour demander à une des employées la section concernant le chakra.

Avec le plus grand sourire elle m'indiqua l'endroit exact, jetant un regard de gauche à droite j'admirais les étagères plus rempli les unes que les autres. La voici enfin la fameuse Section C-15 Le chakra et ses secrets. Une multitude d'ouvrages y étaient entreposés allant du Chakra et ses bases, à La mort vous guette sans Chakra. Je pris le tout premier concernant les bases de ce dernier, pour m'aider à mieux comprendre son fonctionnement une série d'image illustrés le tout. Je compris alors qu'il me fallait comme il le disait malaxer le chakra à l'intérieur de moi, ce qui me permettrait par la suite d'user de technique en fonction de mon affinité. Avant d'en arriver là je me devais de trouver cette affinité, en travaillant ce fluide en moi pour savoir une bonne fois pour toute ce que je cache. Pour surtout revoir Fumiko et continuer mon instruction, à l'heure actuelle étant la seule personne qui m'aide dans cette voie.

Ayant compris les grandes lignes je me décidais à quitter ce lieu, pour me diriger vers mon endroit favori à l'abri des regards. Un petit abri construit dans un arbre, à l'intérieur j'y ai rangé quelques bibelots venant de mes parents. Aménagé par mes soins il reste mon refuge mon échappatoire, dans lequel j'ai changé le monde de milles et une façon qu'il soit. Pour aujourd'hui je me contenterais de travailler mon chakra, ce qui est pour moi une grosse chose pour un novice. Me rappelant le texte et les images du livre, je sortis la feuille de ma poche et m'accroupis en la regardant. Il me fallait faire le vide dans mon esprit et ne faire qu'un avec mon corps, puis ensuite visualiser ce fluide et le laissé m'envahir. Mes premières tentatives furent des échecs cuisants commençant à désespérer et, me dire que la kunoichi m'avait peut-être dit ça pour me faire plaisir je sentais un semblant de colère monter. En réalité c'était pas la même sensation que d'ordinaire, réchauffant mon corps je sentais en moi une force m'envahir. Un halo bleuté apparaître entre mes mains qui gagnait l'ensemble de ma peau m'en recouvrant entièrement, je pris alors la feuille de papier qui à cet instant précis s'humidifia.

J'ai réussi me répétais-je mais je me retrouvais comme un idiot, ayant regardé comment parvenir à la faire changer d'état je n'avais pas lu à quoi ça correspondait. Plus d'autre choix que de retourner voir Fumiko, ce qui me plaisais sans l'ombre d'un doute.

Cinquième partie

Que va-t-il se passer avec Fumiko que va-t-elle faire par la suite ???....Suspens !!

Quittant le domicile à vive allure j'indiquais à mes parents que je revenais vite, courant dans tout le village les regards se détournèrent vers moi devant ma fougue. J'arrivais à l'académie complètement essoufflé titubant légèrement, je n'avais pourtant pas consommé de l'alcool mais le sang était monté si vite au cerveau que ça en faisait mal. Reprenant mon souffle j'entrepris une marche calme dans l'établissement pour reprendre mes esprits, regardant de salle en salle je n’aperçus pas la kunoichi à mon plus grand désespoir. Arrivé au bout du couloir je me résignais à faire demi-tour et rentrer chez moi, tournant mon corps en direction de l'entrée elle se tenait la face à moi un sourire en coin. Puis m'adressa la parole Ehh salut mister j'arrive au bon moment on dirait, aurais-tu réussi mon petit test à tout hasard ?. J’acquiesçais et fouilla mes poches à la recherche de la fameuse feuille de papier, après quelques secondes je lui présenta ce qu'il en restait.

La prenant dans ses mains et me jetant de petits coups d'yeux complice, elle me gratifia d'un de ses plus beaux sourire. Comment j'avais fait pour ne pas voir quelle sublime femme elle était, ses yeux couleur noisette se mariant avec sa chevelure brune s’épousait à merveille sur son visage d'ange. N'importe quel homme succomberait à ce charme naturel, malgré ma petite dizaine d'année Fumiko ne me laissait pas insensible. Après quelques minutes de silence elle reprit la parole Alors être de la même affinité que moi ça te fais quoi ?, j'avais enfin ma réponse je pouvais employer des techniques de type suiton y étant prédisposé. D'une voix joviale je ne pu me retenir devant cette annonce Ouahouuu je suis comme vous Fumiko, je suis super content que vous m'ayez aidé dans ma quête pour devenir shinobi. il est vrai qu'elle en avait déjà fait beaucoup pour moi. Je ne pouvais pas me permettre de monopoliser son temps encore plus.

Fumiko elle ne l'entendait pas de cette oreille apparemment Je ne vais pas arrêter la bonhomme, j'ai une année pour te préparer à l'académie. Enfin si tu veux que je te mette au moins au niveau, après si tu développes tes capacités ont pourraient aller plus loin. Je t'engage à rien c'est ta décision. Je ne rêvais pas elle me proposait de devenir mon mentor, une pareil opportunitée ne pouvait pas se refuser. Pourtant elle parvenait à lire sur mon visage comme un livre ouvert, voyant qu'il y avait un petit quelque chose qui me tracassait sérieusement. S'approchant de moi elle posa sa main gauche sur mon épaule, puis souleva mon menton de l'autre pour que je la fixe dans les yeux. Prenant une profonde inspiration elle prit une voix si douce, que je m'accrochais au moindre de ses mots Je m'occupe d'en parler à tes parents Kotetsu, ne t'inquiète pas pour ça. Devant cette phrase je reprenais confiance en moi, la remerciant du regard avant de la voir à nouveau disparaître.
Cependant un élément dans sa phrase m'avait interpellé, comment connaissait-elle mon prénom. Je ne lui avait pas révélé mon identité même à notre première rencontre, étais-ce l'étendu de son pouvoir qui lui conférait le fait de savoir ce détail...où alors quelque chose de plus complexe qui me dépassait. J'allais devoir résoudre ce mystère pour savoir qui est vraiment cette kunoichi.

Sixième partie - 1

Je dois dire que bien des choses vont être révélées...mais quoi ?

Avançant jusqu'à cette demeure la jeune femme frappa trois coups secs sur la porte, le seigneur Shinamura ouvrit cette dernière curieux de savoir qui venait lui rendre visite. Dévisageant de la tête au pied son visiteur, un air de dégoût se lisait sur son visage. Un long silence régnait sur le seuil de la porte, puis le seigneur se décida à parler e]]Toi ici je te croyais morte, tu es la honte de la famille Fumiko !![/i]. La jeune femme ne prêtait aucune attention à ses propos, donnant un coup de paume dans le torse du seigneur elle rentra dans l'habitation. Fixant de nouveau Shinamura dans les yeux, la kunoichi sortit de sa veste son paquet de cigarette. Le briquet de l'autre allumant l'une d'elle, pour le défier sur son propre territoire. Fumiko décida enfin à répondre Contente de te revoir aussi grand-frère, si je viens te voir c'est pas par plaisir crois moi. Je suis là pour mon neveu mais tu dois t'en douter, pour faire simple il va suivre un cursus shinobi que tu le veuilles ou non. Son inscription est déjà prévue, il a du potentiel le petit hors de question de gâcher ça.

Ouvrant de nouveau la porte pour sortir de la demeure, Fumiko tomba nez à nez avec moi-même. Alors voilà la vérité m'était enfin dites, même si je n'aurais pas dû l'entendre à mon avis. Cette kunoichi si gentille voulant m'aider, n'était autre que ma tante qui avait vu en moi un futur ninja. Le mensonge était omniprésent autour de moi, mon père m'ayant avoué qu'il était fils unique et qu'aucun ninja n'avait vu le jour dans la famille. Mon père stoppa sa sœur et m'agrippa à lui, me regardant avec un air noir il grinça des dents Écoute moi bien fils si tu choisis de suivre la voie ninja, tu seras renié de ce toit et je considérerais que je n'ai pu de fils. Reculant devant ce qu'il venait de dire je posais mes yeux sur Fumiko, elle ébouriffa mes cheveux et me fit un clin d'oeil. Je compris alors qu'il était temps pour moi de faire mon choix, prenant la main de la kunoichi je quittais mon père pour regagner le centre du village.

Sixième partie - 2

Voyons la suite maintenant.

Je vous est dit que ma mère était stricte, une enfant de cœur à côté de Fumiko. Réveils aux aurores pour m'entraîner physiquement, course à pied, abdominaux, pompes, combat à mains nues taijutsu. L'année qui venait de s'écouler n'avait pas été de tout repos, je connaissais mon corps et ses limites grâce à ma tante.
Je revenais à l'académie pas en tant que visiteur cette fois-ci, mais bien comme élève en vue de décrocher mon grade de genin. Je n'étais pas le seul à avoir pris du galon, Fumiko était passé junin et avait quitté son poste à l'académie. D'un côté une certaine tristesse m'avait envahie devant cette annonce, le fait de ne pas suivre ses cours pour progresser plus vite. De l'autre un sentiment de joie immense, pour sa promotion qu'elle méritait tant après des années d'effort.

Je m'étais promis de réussir pour cette femme, pour la confiance qu'elle m'avait donnée. Le temps passait à m'enseigner sont savoir faire, ainsi que certaines de ses techniques suiton pour augmenter ma panoplie du parfait petit shinobi. Bien sûr pas de rang S ou A je vous l'accorde, mais de quoi me défendre et utiliser mon chakra comme il se doit.

Sixième partie – 3

On avance on avance

La grande fête avait débuté banderoles et confettis partout, ne sachant pu ou donner de la tête je fixais mon regard sur Fumiko. M'applaudissant avec la plus grande fierté, une larme coulait le long de ma joue. Deux ans étaient passé et me voilà diplômé de l'académie, j'étais enfin devenu un genin du village de 9999. Mon plus grand regret fut l'absence de mes parents, même si cela faisait trois ans que je ne les avaient pas vu. J'espérais tout de même leur présence en ce jour exceptionnel, mais bon les gens ne changent pas d'avis et d'opinions je venais de le comprendre.

Quelques jours étaient passés depuis la grande fête, on m'avait assigné mon équipe et un sensei. Un nouveau jour et une nouvelle étape se dessinait ne voulant pas perdre une seule seconde, je me rendis au point de rendez-vous pour faire connaissance avec le reste des membres. Je reconnu les deux autres genin ayant suivi les cours à l'académie avec eux, quand le sensei fit son apparition je ne pu m'empêcher de crier de joie Fumiko sensei !![/i]. très vite elle m'expliqua qu'elle garderait toujours un œil sur moi, la meilleur des solutions en devenant mon chef d'équipe.

Les missions de rang D s’enchaînèrent pour que l'équipe soit complètement soudée, bien qu'étant de jeunes shinobis notre envie de progression était la. Fumiko le compris mais attendit quelques années avant de nous présenter à l'examen des chunins, elle voulait être sûr de notre niveau et ne pas risquer de nous faire tuer.

Sixième partie – 4

[i]On avance...

Me voilà alors de dix-sept ans et présentait à l'examen consistant en une unique épreuve, pour cette année une nouvelle règle venait de voir le jour. Les sensei pouvant participer à cette épreuve, en y réfléchissant peut importe de quoi il s'agissait. Ce qui est sûr c'est que le niveau serait sans nul douter relevé, très vite les organisateurs nous donnaient le ton et ce à quoi nous allions faire face. Chaque équipe se voyait confié la protection d'une personne, devant être emmené d'un point A à un point B. Jusque là rien de bien méchant au premier abord, ne serais-ce que le lieu dans une zone interdite du village. La nature y ayant pris tous les droits les hommes ne pénètrent que rarement, voilà donc le fin mot qui laissait un frisson nous envahir. Mes deux autres coéquipiers eurent la même réaction, seule Fumiko semblait plus qu'enchantée de faire le voyage.

Les premières heures étaient déjà passées dans ce semblant de forêt, ayant marécages et aussi des zones arides. Un sacré mélange qui allait faire de la survie une rude épreuve, une nouvelle fois nos talents étaient soumis aux regards de notre sensei. Bien qu'une certaine complicité s'était noué entre nous, le rapport élève professeur ayant disparu ne plaisant pas à la kunoichi. Considérant ses genins comme des frères d'armes tout simplement. La personne à escortée avait pour mission de ne pas adresser la parole à qui que ce soit, ce qui rendait le voyage encore plus long connaissant déjà la vie de mes compères.

Combattant quelques créatures allant au bout de nos forces, le fameux lieu de rassemblement se dressait droit devant nous. Pénétrant à l'intérieur une autre équipe y était déjà, d'un rapide regard on en comptait quatre membres. Tout ce qu'il y a de plus normal me direz-vous, puis sans comprendre pourquoi ils lancèrent l'assaut sur nous. Pris de surprise et à cours de force un combat s'entame avec eux, Fumiko s'occupant de leur sensei sans chercher à comprendre la raison de l'attaque. Les secondes passèrent semblant des heures, les coups tombèrent et les rares jutsus aussi usant quasiment tout notre chakra. Soudain une voix retentit Il suffit l'équipe de Fumiko
les shinobis adversaires reculèrent auprès de leur mentor, qui tenait en joue la kunoichi avec son kunai. Ordonnant à la personne qu'on devait escorter de venir auprès de lui, il expliqua alors qu'il avait malencontreusement laissé mourir leur personne. Ne voulant pas risquer la vie de Fumiko notre équipe ne fit rien pour tenter de l'arrêter, puis sans raison apparente il planta son kunai dans la gorge de la jeune femme. J'hurlais toute ma colère envers cet homme qui venais de m'être fin à la vie de ma tante, mon cri vu étouffé par une explosion qui nous propulsa à l'autre bout de la salle. Sentant la mort approcher la kunoichi avait eu le temps de coller un parchemin explosif sur son assassin, en me relevant j'aperçus mes coéquipiers qui se redressaient aussi. La partie adverse avait été décimé par la déflagration ainsi que la personne que nous devions escorter....

Septième partie

...et ça se termine

Cela fait maintenant sept ans que cette douloureuse épreuve a eu lieu, chaque jour mes pensées vont à cette femme qui s'est sacrifiée pour nous. Suite à ce tragique incident l'équipe fut dissoute et, l'épreuve de survie des chunins revus à la baisse. En interdisant la participation des senseis....

De ce jour j'ai gardé des séquelles de l'explosion, mon visage ainsi qu'une partie de mon torse a été brûlé. Laissant apparaître de grandes cicatrices suite aux nombreuses opérations de greffes de peau, la plupart des gens détournent les yeux comme gêné par mon physique. Cette différence ne m'empêche pas de vivre, bien au contraire je me rends compte de la chance que je sois encore en vie.