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| Un oiseau sur votre épaule | |
| Hansha ToshiyaAspirant de Konoha | Sujet: Un oiseau sur votre épaule Mer 18 Juil - 5:49 | |
| Plusieurs déjà c’étaient écoulés depuis la disparition d’Ookami, et c’est dans une attente grandissante qu’Aiko attendez des nouvelles du village sur l’enquête, à part pour lui poser quelques question au sujet de l’apparente disparition du jeune aspirant on ne lui avait donné aucune nouvelle de l’avancement de la situation. La genin passait l’essentiel de ses journées à marcher pensivement dans le parc, ou sur la plage près du lac ou ils s’étaient rencontrés, elle ne pouvait s’empêcher de se demander ce qu’il s’était passé et pourtant elle avait d’autre chose à réfléchir, elle devait se concentrer sur ses objectifs propres, mais pour le moment elle ne pouvait s’y résigner à s’y abandonner totalement. C’est parmi une de ses journée ou elle marchait sur la plage qu’elle vit l’oiseau qui s’approchait volait en sa direction. Un oiseau de grande envergure aux larges ailes blanches et noirs s’approchait d’elle rapidement, il semblait avoir quelque chose enserrait autours de pate. Lorsqu’il se posa enfin près d’elle, elle put voir de quoi il s’agissait, un petit cylindre à parchemin portant le sceau du village. Au départ elle pensait que le village lui envoyer de nouvelles mais elle fut déçu de constater que c’était loin d’être le cas, il s’agissait en fait d’une simple convocation à l’académie, le message non codé et concis ne contenait pas d’information sur la raison de cette convocation mais la sommation prenait effet immédiatement. - Spoiler:
Un oiseau d'une race quelconque vous apporte un message. Nullement codé, il est parfaitement compréhensible.
" Shinobi, vous êtes immédiatement convoqué à l'Académie. Veuillez-vous rendre dans les plus brefs délais au secrétariat de l'établissement.
Les autorités du village"
Se demandant de quoi il retournait, la jeune shinobi commençât à se redirigé vers le village lentement. L’air était frais en cette matinée, et elle frissonnait sur la route, un vent nouveau semblait s’être levé sur le village, frais et mordant. Mais ce vent nouveau n’avait pas changé le regard que l’on portait sur elle, toujours celui qu’on porte sur une étranglèrent non-invité , malgré qu’elle soit là depuis quelques semaines déjà et qu’elle possédait son propre logement on ne la considéré toujours pas comme une habitante de ce village. Il lui manquait quelque chose, toujours pour devenir membre à part entiére de kiri no Kuni. Elle observait attentivement les personnes qui vaquait à leur occupation dans la rue populeuse du marché, un garde qui discutait avec la boulangèrent en souriant, un père rabrouant son fils puis lui offrant une friandise pour faire passer ses larmes. Voilà ce qui lui manquait, un lien, une famille, une attache, des connaissances, des relations … *C’est vrais après tout, pourquoi suis-je dans ce village, à cause d’un traité qu’on conclut d’autre personne que moi… Je ne suis rien ici, rien n’est rattaché à moi. Qu’elle chaîne me retiennent donc à cette vie puisque je suis rien ici. Mais je dois continuer car même si je ne suis rien, c’est tout ce que j’ai pour le moment* C’est dans ses sombres pensées qu’elle arrivait en vue de l’académie ninja. Après avoir soupiré une dernière fois elle ouvrit la porte battante, qui menait dans le hall. Elle s’approchât d’une secrétaire assise derrière un bureau submergé de paperasse. « Bonjour, on m’a envoyé cette convocation me disant de me rendre ici immédiatement, il y a un problème ? »« Ha,Aiko Katsuni, je vous attendais, non non aucun problème je vous rassure, mais on vous expliquera. Il y a eu un remaniement dans la gestion des cours et apparemment cela vous concerne, mais on vous expliquera tout ça. Il y à la haut quelqu’un qui doit vous donner de plus ample information, il vous expliquera. Salle 13 à l’étage. »Elle quitta la femme pour se dirigé vers les escaliers, qu’est-ce que c’était encore que ça ? Un changement dans les cours, en quoi cela la concernait –il, enfin elle n’aller pas tarder à être renseigné, on lui expliquerait comme dirait une certaine secrétaire de l’académie. Trainant toujours les pas jusqu’à se rendre dans la salle, elle s’attendait déjà à ce qu’on lui annonce une information d’une importance mineur qui l’avait tirée de ses pensée pour rien lorsqu’elle ouvrit la porte de la salle … |
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| Sujet: Re: Un oiseau sur votre épaule Jeu 19 Juil - 20:41 | |
| Sa main caressait lentement et avec délicatesse cette peau satinée. Ce bronzage si rare dans cette région du monde donnait une teinte vanillée qui allait très bien avec son parfum. Il voulait y gouter, il y gouta. Et non, ça ressemblait plus à du chocolat. Quel délice. De sa langue un peu humide, il parcourait cette peau de tout son long. S’il avait dévoré la bouche en premier et pendant un long moment, il s’attardait sur ce torse, sur ces hanches et ces seins. Ça avait l’air de lui plaire. Le rouge sur ses joues était révélateur. Ils s’étaient introduits rapidement dans une salle inoccupée, au bout d’un couloir jamais visité. La pièce, quoiqu’un peu poussiéreuse, possédait un bureau. C’était parfait pour ce qu’ils avaient à faire. Ils ne seraient pas dérangés… Mais l’Académie s’était habituée à ces absences à répétition car oui, Daishi aimait les répétitions, ça permet de se perfectionner. Et quand l’Académie cherchait à le contacter, elle savait comment faire… Un petit bruit, comme un tiquement au niveau des fenêtres arriva au moment où Daishi descendait sur le nombril. D’abord inaudible, la répétition et les battements d’ailes firent arrêter le geste du shinobi. Il ouvrit les yeux, écarquillés, et écouta. La jeune fille ne comprit pas. [Jeune fille] « Qu’est-ce que tu attends ? Descends… »Il se redressa, cherchant doucement son pantalon. Il n’était ni énervé ni pressé. Il fallait y aller, c’est tout. La jeune femme à la peau bronzée n’avait pas le même état d’esprit. Elle se redressa avec insistance, tentant de ramener ce corps musclé près d’elle. [Jeune fille] « Tu ne vas pas me planter là, si ? »Elle jouait de ses formes généreuses. Même si Daishi était le premier à succomber à ce plaisir de la chair, il savait aussi se contrôler quand il le fallait. [Daishi] « Désolé peau exquise, le boulot m’appelle. »Il montra l’oiseau qui cognait encore à la fenêtre. La fête était finie. Pas de panique, des femmes, il en trouverait d’autres. ***
Assis sur cette chaise, ce document en main, il feuilletait cette paperasse lentement, très lentement. Pour chaque feuille tournée, il prenait une gorgée de ce café amer mais revigorant. Il avait besoin de reprendre des forces. Plus le temps passé, plus les pages tournaient rapidement. Aucune photographie présente, il ne cherchait en fait qu’une seule et unique information. Et ça commençait à l’énerver. [Daishi] « Fille ou garçon… Fille ou garçon… »Et la porte s’ouvrit rapidement sans ménagement. Le corps qui entra dans cette pièce leva ses doutes les plus profonds en une fraction de seconde. [Daishi] « Femme ! »Et il lança ce formulaire maudit en l’air, semant les feuilles à terre dans une pagaille sans nom. Oui, elle était sublime, il n’en croyait pas ses yeux. Il s’avança lentement et, se courbant quelque peu, il prit sa main avec une grande douceur. Il vola un baiser du bout des lèvres sur le dos de sa main. [Daishi] « Je m’appelle Daishi. Dites-moi que c’est vous que j’attendais et vous ferez de moi le plus heureux des hommes. » |
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Hansha ToshiyaAspirant de Konoha | Sujet: Re: Un oiseau sur votre épaule Jeu 19 Juil - 23:00 | |
| Après une profonde inspiration elle ouvrit la porte, elle fut accueillie par une voix forte venant la personne qui se trouvait au fond la pièce derrière le bureau, cette vois avait déclamé quand elle était entrez « femme ». Oui Aiko était bien une femme à n’en pas douter, une femme d’une beauté époustouflante d’ailleurs et aux courbes généreuses. Un feuillet s’envola et aiko regarda avec amusement le jeune homme s’approcher d’elle lentement avec tout de même une certaine prestance il s’inclina en une révérence et prit la main de la jeune fille. Il lui fit un baisemain à la mode de l’ancien temps ce qui l’amusa en son for intérieur, sa peau était cependant d’une douceur exquise et il faisait du bien d’être ainsi accueillit surtout quand l’homme était plaisant à regarder. Il était assez grand et avez une musculature prononcé, il devait certainement pratiquez un art ninja physique, il avait de long cheveux bruns qui entourait un visage pâle au nez aquilin et aux yeux rouges.
« Je m’appelle Daishi. Dites-moi que c’est vous que j’attendais et vous ferez de moi le plus heureux des hommes. »
« Oui vous avez bien deviné je suis une femme enfin me semble-il en tout cas, non ? »
En disant cette phrase elle découvrit rapidement le haut de sa tunique comme pour regarder deux de ses atouts rebondis de tentatrice qu’elle était.
« Oui, je confirme. Enchantée, je suis Aiko, de la famille Katsuni. Je suppose que je dois être celle que vous attendiez puisque l’on m’a dit de me rendre dans cette salle. Cependant je ne sais toujours pas pourquoi je suis ici, on ne m’a rien expliqué et je serais heureuse d’en savoir rapidement la raison. Vous semblez prompt à vous déclarer, et il en faut bien peut pour que vous soyez heureux à ce que je vois, ne préfériez-vous pas en savoir plus sur moi avant de vous déclarer comme cela ? »
Ce faisant, elle passât sa main dans ses longs cheveux pour les ramener derrière son visage dans un geste gracieux, elle bomba le torse et mis en avant ses deux atouts pour donner une cible ou posé son regard à l’homme qu’elle avait en face d’elle. Évidemment il ne tarda pas à poser son regard sur sa poitrine. Il semblait attiré par ses charmes et cela lui plaisait, après tout la dernière personne à l’avoir convoité était ookami et cela remontez déjà à quelque jours, elle n’avait pas l’habitude d’être laissez seule si rapidement et si elle pouvait s'amuser un peu ça ne serait pas de refus et peut être cette homme pourrais lui fournir des informations sur lui s’il le connaissait.
« Mais il ne serait pas poli qu’après votre révérence je n’en fis pas de même moi aussi »
Elle s’inclina assez as pour montrer son décotée au jeune homme, puis se releva lentement en courbant son dos, faisant ressortir sa chute de reins. Il buvait ses paroles avec attention. Quand il se releva il reprit la parole.
"Je répondrez volontiers à vos interrogations, mais ne préféreriez vous pas avoir cette discutions dans un bar , autours d'un verre ? J'en connais un parfait justement..."
"Hum, ne pourrez t’ont venir au fait ici ? Et puis ce serais allez un peut vite en besogne que de d’invité directement sans me dire après m'avoir fait demande de me rendre ici urgemment"
L'homme visiblement gêner de la réponse de la femme de ne se démontât pas et insista.
"Mais je vous assure que ne serions mieux la bas et je ferais la lumière sur vos interrogations.Je connais un endroit vraiment charmant ou il serve un thé exquis. Et puis nous serions mieux installé dans ces confortables salons"[/color]
"Hum, je suppose que je n'aurais mes réponses que si je vous suis et puisque cela semble vous tenir à cœur j'accepte mais que si vous m'invitiez évidement
Elle suivit donc le ninja dans les couloirs, en sortant de la salle une employé de l'académie qu'Aiko avait déjà aperçue dans ses couloirs arriva en furie et commençât en enguirlandé son guide.La femme en question insultât aiko de toute sorte de nom d'oiseaux qui venait par sa bouche. Cela remontât aiko à qui il insupportai qu'une femme qui ne la connaissait même pas ose l'insultait comme elle le faisait.
"Et bien que de mot disgracieux dans la bouche d'une femme, surtout quand ceux-ci touche une personne qui n'a rien à se reprocher.Est ce votre façon naturelle d'aborder les gens que vous ne connaissez pas? Chez moi quand on est en présence de quelqu'un que l'on ne connait pas on se présente avant toute chose, et on insulte pas les personnes dont on ne sait rien mais peut être votre éducation vous fait elle défaut pour agresser ainsi les personnes du même village vous. Par ailleurs il me semble que les garces sont celles qui emplois leur vilaine langue dans des insultes inconsidérées."
Ces ainsi qu'aiko rétorquant sans ménagement en ajustant sa cible d'un regard a la fois assassin et dédaigneux. |
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| Sujet: Re: Un oiseau sur votre épaule Ven 20 Juil - 15:51 | |
| Le déhanché de cette femme avait de quoi le rendre fou. Il sentait le sang monter et il eut du mal à se redresser sans rien laisser paraître. Mais pourquoi cacher une chose aussi évidente, il était hypnotisé par tant de grâce. Il laissa la jeune femme passer la porte la première, il avait des manières, une bonne éducation, c’était un réel talent qu’il possédait et il en usait avec abondance. D’un pas léger, il lui reprit la main doucement, la levant assez haut comme il est d’usage. Le but n’était pas de paraître complice mais plutôt gentleman, il conduirait la belle en lui montrant le chemin comme il se doit. Seulement, ce qui n’était pas prévu était l’apparition de peau exquise à souhait. Peut-être avait-elle mise du temps pour se rhabiller ? Ou avait-elle décidé de finir seule la tâche qu’ils avaient commencée à deux ? L’endurance de ses passions n’avait d’égale que l’impulsivité de ses propos envers Aïko. Mais cette dernière, qui ne devient pas comprendre et c’était tout à fait normal, ne se laissait pas démonté pour autant. Il aperçut tout de même un léger accent et une pointe d’argot. Etait-elle encore jeune dans sa tête ? Intéressant. Alors que la femme à la peau la pllus satinée des deux pensait y venir aux mains, Daishi décida que ce n’était pas un spectacle qu’il voulait observer, en tout cas pas ici et pas pour ça. Il attrapa cette main ravageuse, non sans remarquer une nouvelle fois la douceur de cette peau, avec autant de délicatesse que de fermeté. [Daishi] « Peau esquise chérie, je te présente ici Aïko, ma nouvelle apprentie affectée par l’Académie ! Tu vois bien que je travaille donc. »Et il y avait autant de mensonge et de vérité dans tout cela. Car, pour une fois, à un fastidieux travail se couplait un somptueux plaisir des yeux. Il continua en lui susurrant à l’oreille. [Daishi] « Nous nous reverrons un peu plus tard, d’accord ? »Et toujours en accompagnant Aïko, ils n’attendirent pas leur dû pour sortir du bâtiment et se dirigeait vers le salon de thé de sa connaissance. ***
Après le brouillard de Kiri, l’atmosphère tamisée, embuée et chaleureux du salon de thé était le bienvenu. Il y faisait chaud contrairement à l’extérieur. Et les brumes ici étaient emplies d’odeurs de menthe poivrée et de safran. La lumière tamisée et les couleurs chaudes des tissus et fauteuils exaltaient les sens. Les deux compères furent installés dans un coin tranquille du salon. Les fauteuils en velours et les tissus de soie donnaient une touche chic et confortable à l’ensemble. C’était aussi intime que dépaysant. [Daishi] « Alors dis-moi tout. Comment une beauté pareille a pu se cacher si longtemps à Kiri ? Je t’ai cherché partout. » |
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| Sujet: Re: Un oiseau sur votre épaule | |
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