Située au centre d'une rue pavée de dalles, dont les trottoirs largement rehaussés laisseraient aisément deviner qu'il s'agit d'une mesure prise par la ville par le passé dans le but d'éviter que diverses inondations n'atteignent le seuil des habitations, on distingue une maison qui visiblement à vécu son lot d'années de par sa peinture blanche abimée en divers endroits, et au bon nombre de fêlures qui parsèment sa paroi. Elle est constituée de deux étages, c'est du moins ce que laisse paraître sa façade, affichant une large poutre peinte minutieusement d'un bleu turquoise. Le toit affiche une certaine propreté ainsi qu'une conception quasi-parfaite, pas une seule tuile n'est cassé ni même fissurée, laissant deviner qu'il à été rénové récemment. La porte d'entrée est entièrement faite d'un bois très dur, et est ornée de deux verrous. Lorsque l'on passe cette porte, on se retrouve instantanément dans un joli petit vestibule, monté sur un parquet visiblement très bien entretenu, comme le reste de la pièce d'ailleurs. Admettant que nous restions sur place, en ne bougeant que la tête, on peut voir une commode sur notre droite, surplombée d'un petit aquarium hébergeant à vue d' œil une vingtaine de poissons rouges. Il est décoré de quelques algues et d'un petit château comme on en trouve traditionnellement dans ce genre d'aquariums. La commode, dont son bois verni donne l'illusion qu'il brille naturellement, est d'un rouge bordeaux assez sombre, plus près d'un marron basique que d'un rouge bordeaux. Les murs sont tapissés d'une tapisserie couleur sépia très claire. En face de nous, un petit portique intérieur qui donne sur une salle dont il suffit de distinguer la table entourée de six chaises pour deviner qu'il s'agit de la salle à manger.
A notre gauche se situe la petite pièce que nous ne visiterons pas, par respect pour l'intimité de la famille Ibizu.
Nous nous dirigeons à présent vers la salle à manger. La première chose qui attire irrémédiablement le regard est sans doute ce lustre qui semble accueillir une trentaine de bougies, dont les finitions en ce qui semble être de l'or démontrent une certaine part de richesse au sein de la famille. Le sol est recouvert d'une fine moquette d'un rouge bordeaux, ce qui se marie aisément avec les murs crépis peints d'un beige qui offre toute sa luminosité à la pièce. La table, ornée d'une nappe qui affiche plein de petits shurikens sur un fond bleu, est le seul élément du décor qui offre une touche d'immaturité à la scène. Les chaises sont soigneusement placées autour de la table, laissant paraître le caractère maniaque de la famille. La encore, si l'on se tient immobile juste après avoir franchi la porte qui donne sur le hall d'entrée, un escalier d'angle se situe au fond à gauche de la pièce, et sous cet escalier se situe une petite porte donnant sur une pièce que Monsieur Ibizu souhaite garder secrète. Sur cette petite porte, l'on peut voir un katana exposé. Une bibliothèque décore le mur se trouvant sur notre gauche, recelant d'un grand nombre de livres, nombreux révèlent l'histoire de Konoha. De nombreux trophées de combat ornent les murs de la salle, démontrant le nombre élevé de combats qu'à livré Monsieur Ibizu. Sur notre droite, une baie vitrée donnant sur la terrasse, donnant elle même sur un chemin qui dirige vers l'arrière de la maison et sur un jardin d'une centaine de mètres carrés. Mais nous les visiterons un autre jour car malheureusement, aujourd'hui, il pleut. Revenons donc à notre position initiale, au seuil de la salle à manger. Au fond de la pièce, on distingue une porte vitriolée qui laisse deviner le décor d'une cuisine, ondulant à travers la porte.
Une fois cette porte franchie, on est accueilli par une jolie petite cuisine. Le sol, plus froid, est en effet constitué d'un carrelage défini par de grandes dalles blanches. Les murs sont peints en blanc également, ce qui donne ce sentiment naturel d'être dans une cuisine. La salle s'étend de sa longueur sur notre gauche, et au fond une porte donne sur le jardin. La chatière qui y est située donne la preuve de la présence d'un chat dans la maison. Effectivement, la litière située non loin de la nous en confirme la trace... *se pince le nez* Face à nous, un frigidaire, un établi de cuisine, un double évier, sous lequel est situé un placard. Une grande étagère située directement à notre gauche est remplie de denrées alimentaires, et au centre de la pièce se trouve une petite table blanche entourée de quatre chaises de la même couleur. Une corbeille de fruits décore la surface de la table, celle-ci étant dépourvue de nappe.
Dirigeons nous à présent vers l'escalier vu précédemment dans la salle à manger. En haut de cet escalier, un petit couloir. A gauche, deux portes. Au fond, une porte, et à droite, deux portes également. Nous allons les visiter dans l'ordre, à commencer par la premier porte de gauche: il s'agit de la chambre d'Ashiriki.
On est accueillis par une jolie moquette bleue, assez épaisse, donnant cette sensation de confort et de chaleur. Y marcher pieds nus se doit d'être un plaisir. Le lit, fraîchement défait du matin, laisse paraître un tee-shirt chiffonné, une paire de chaussettes noir...blanches, un caleçon... Bon nous devinerons sans mal qu'il s'agit la du linge sale d'Ashiriki. En revanche, rien ne traîne sur le sol. Le bureau, donnant sur la fenêtre, est correctement rangé; il est décoré d'un petit cactus, visiblement originaire du village caché de Suna. Un livre fermé est habité par un marque page vers son centre, démontrant qu'il s'agit visiblement du livre que lit actuellement Asiriki. L'armoire, située juste à la droite du bureau, est assez grande. Un immense tableau, représentant la mappemonde, est déchiré à l'endroit où devrait se trouver la région de Kumo. On finit la visite en posant le regard sur l'étagère qui semble contenir d'avantage de livres que celle de la cuisine. Mangas, recueils historiques, documents divers... On y trouve de tout. Nous nous dirigeons à présent de nouveau vers le couloir, puis on continue sur la pièce située directement à notre gauche.
Ici se trouve une salle remplie d'appareils de musculation, il y en à de tout genres, ainsi que de nombreuses altères, les plus lourdes atteignant les cent kilos. Les murs sont pratiquement entièrement tapissés de miroirs, donnant l'illusion totale d'être dans une salle de sport à part entière. Cette salle ne dispose d'aucune fenêtre, mais est éclairée par de nombreuses bougies. Un petit tatami fait l'angle du fond de la salle, les déchirures s'y trouvant ici et la démontrent le nombre élevé de combats qui s'y sont déroulés. Une petite commode située directement à l'entrée de la pièce est remplie de serviettes et de tapis d'entrainement. Souhaitant peut être imiter intégralement une salle de sport classique, un distributeur d'eau se trouve à côté de cette commode. Le sol est fait d'un parquet renforcé, affichant toutefois quelques séquelles certainement dues aux diverses chutes d’ altères. Dirigeons nous à présent vers la pièce située au fond du couloir.
Il s'agit ici d'une petite pièce divisée en deux bureaux: celui de Madame et celui de Monsieur Ibizu. Celui de Madame Ibizu est décoré de quelques petites plantes, et les dossiers soigneusement rangés démontrent qu'elle est vraisemblablement fleuriste. Quelques petits sachets remplis de poudre rangés dans les tiroirs du bureau dégagent une odeur très forte. Une lampe murale éclaire ce dernier afin que sa propriétaire puisse y travailler le soir. Une fenêtre, située face à l'entrée, donne sur le jardin. Le bureau du père d'Ashiriki est simplement décoré d'un stylo, rangé dans son coffret qui est visiblement un cadeau du passé. Il n'y à rien d'autre sur le meuble, et les tiroirs qu'il contient sont soigneusement fermés à clés. Le sol est ici décoré du même parquet que celui de la salle de musculation.
L'avant dernière porte, située au fond à droite du couloir, donne sur la salle de bains. Le sol est décoré d'un carrelage bleu, semblant s'étendre sur les murs, qui sont ornés d'un carrelage plus large de la même couleur. La baignoire, constituée de bois, semble très accueillante. Particulièrement grande, on pourrait aisément y tenir à trois. Un petit hublot situé tout en haut du mur se trouvant à notre droite est fait d'une vitre floue empêchant les regards pervers. Un pot situé au fond de la pièce, non loin de la baignoire, contient trois magnifiques branches de bambous prenant pour hauteur toute celle de la pièce. Un lavabo, surplombé d'une petite armoire sur laquelle se trouvent trois miroirs, est entouré en son pied d'un petit tapis blanc.
La dernière pièce est bien évidemment la chambre des parents d'Ashiriki. Lorsque l'on y pénètre, on se trouve face à un magnifique lit à baldaquin, entouré de radieux rideaux rouges. Le sol est recouvert d'une épaisse moquette, de consistance identique à celle de la chambre d'Ashiriki, et de couleur grise. Une armoire encastrée dans le mur situé à notre droite, dont le seul indice nous permettant de nous en rendre compte est la présence de trois grands miroirs muraux, contient les vêtements de Monsieur et Madame Ibizu, ainsi que les armes de Monsieur Ibizu. De chaque côtés du lit se trouvent une table de chevet, sur chacune se situe un livre. Pour finir, les murs de cette chambre sont tapissés d'un rose pale, certainement exigé lors de la décoration de la pièce par Madame Ibizu.
En espérant que vous ayez passé une agréable visite, Merci d'être restés jusqu'au bout et à une prochaine fois pour la visite du jardin!