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| | Sujet: Le départ Jeu 13 Mai - 20:50 | |
| A peine avait elle posé le pied au sein de l’édifice militaire qu’était Kumo que les environs s’agitaient. Elle était attendue, c’était une certitude. Cela faisait à présent cinq mois que la Juunin surveillait les frontières entre Kumo, pays de la foudre, et Yuki, pays de la neige. Aucun signe d’hostilité avait était révélé entre les deux pays mais il fallait se montrer prudent et c’est pourquoi le village l’avaient envoyé elle. Experte de la traque et de l’interrogation, Soya Kimeno faisait partie de ce que l’on pouvait appeler l’élite à Kumo. Ayant enchainé les missions d’espionnage, de recherche d’information et bien souvent d’assassinat, la jeune femme avait délaissé sa vie privé. Aujourd’hui elle rentrait enfin à la maison en espérant changer la donne mais un mauvais pressentiment lui disait de ne s’attendre à rien de tout cela.
Elle et son équipe se tenait droit devant les portes du village qui tardait à ce refermer. Chacun portait un lourd sac à dos contenant toutes les affaires utilisé pendant ces longs mois. Le voyage de retour avait été long et pénible et Soya était d’humeur équivoque. Il ne lui faudrait pas grand-chose pour mettre un violent croché et cet ahuri qui se dirigeait droit vers elle, le souffle coupait par le long effort effectué semblait condamné par ses dirigeants. Ils avaient choisi de lui envoyer un simple messager plutôt que de la convoqué cela signifiait que la situation serait clair.
[Messager] « Soya Kimeno… Un message du haut conseil. »
La femme ouvrit sans tarder cette fine enveloppe cachetée du signe du conseil. Et ce qu’elle craignit arriva. Son équipe était renvoyée à la frontière pour cette fois une période indéterminé. Son visage se transforma de marbre. Tout ce qu’elle ou les autres membres de son équipe avaient pu prévoir tombait à l’eau en ces quelques mots. Non… Cela ne se passerait pas comme ça. Du moins pour les autres. Soya était le leader de cette équipe. Elle savait les forces qu’il restait en chacun de ses soldats et malheureusement, la déprime avait commencé à ronger leur moral. Hors de question pour eux de retourner des mois encore loin de tout.
Elle se tourna finalement vers son équipe et d’un faux sourire qu’elle avait le secret annonça la bonne nouvelle.
[Soya] « Le conseil nous souhaite un bon retour. Bienvenu à la maison. »
Les rires furent de bon train mais Soya ne pouvait s’attarder. Avec hâte, elle gagna la cour ou se rassemblait le conseil. Elle déambulait dans le couloir majestueux, fonçant droit vers la salle du conseil ou des paroles résonnaient. Elle laissa tomber son sac qui s’écroula lourdement sur le sol. Soya avait l’habitude de se lieu, elle y avait accédé si souvent pour ses ordres de mission. D’un pas assuré, elle s’avança jusqu’au centre de la pièce, son regard se baladant de visage en visage avant de se figer sur Shigeo.
[Soya] « Vous ne pouvez pas renvoyer ses hommes après cinq mois d’absence dans leur foyer. »
Des murmures retentissaient partout dans la pièce, certain cachant leurs paroles à l’aide de la main par peur que la Juunin ne lise sur leurs lèvres. S’ils savaient qu’elle n’avait pas besoin de cela. Seul Shigeo continuait de fixer cette femme. Ils connaissaient tous son tempérament, ce n’était pas la première fois qu’elle s’opposait à un ordre direct et par moment avec raison.
[Soya] « Ses hommes sont tous épuisés. Ils méritent du repos. »
Un parchemin tombe finalement au sol et roula jusqu’au pied de la jeune femme. Elle s’empressa de saisir la réponse du conseil avant de faire demi-tour. Elle ne s’attendait à aucun mot de ces politiciens mais juste des actions. Reprenant son sac au passage, la juunin déroula sa réponse et comprit d’un coup d’œil ce qu’elle avait entre les mains. Si son équipe ne lui convenait plus, elle devait en rassembler une nouvelle. Mais cette fois se serait avec des genins. Les rapports ayant tous montré que les frontières étaient tranquilles, le conseil ne pouvait se permettre de gâcher des forces dans un travail bénin.
Tout ce qui était disponible était noté sur ce bout de papier. Nom, age, spécialisation et par moment état mental. Soya devait faire les bons choix et ne pas se gourer. La mission serait longue et la passer avec des emmerdeurs, très peu pour elle. Le mieux serait d’être le même nombre que sa précédente équipe, elle devait donc choisir quatre genin tout en équilibrant le tout. Un ou deux eisei seraient indispensable tandis que les maitres en genjutsu pouvaient être dispensés. Elle était là elle, cela suffirait.
Son regard allez de haut en bas et les noms défilaient. Dans sa tête, des croix apparaissaient, elle élimina certain qui était dernièrement promu ou d’autre à la mentalité faible ou au attache trop influente. Et finalement plus que quatre personnes avait la chance ou le malheur de devoir l’accompagner. Elle alla elle-même chercher ses genins. Certains avaient été difficile à trouver mais lorsque le soleil ce couchait, ils étaient tous devant la porte du village. Tous avaient leurs sacs. Il y avait un garçon et trois filles. Le pauvre allait peu être souffrir, ou non, tout dépend le point de vue. Mais espérons pour lui qu’il n’était pas pervers ou Soya l’enverrait droit dans la tombe.
Elle regarda sa montre, il était temps. Finalement, elle ne serait restait qu’une petite journée dans son village natal. Par moment, elle pensait à tout abandonner mais comment pourrait elle vivre sans cet endroit ? Impensable, sa vie était ici même si celle-ci l’envoyait à l’autre bout du pays. Mais les temps étaient au départ et en bon chef qu’elle était, elle aurait le mot de la fin.
[Soya] « Nous sommes envoyé à la frontière entre le pays de la foudre et le pays de la neige. Inutile de vous dire que vous ne reviendrez pas à Kumo avant des mois. Alors préparez vous des maintenant. Là-bas, pas le droit à l’erreur. Les premiers jours vous paraitront longs mais à prêt tout se passera bien. Vous avez des questions. » |
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| Sujet: Re: Le départ Ven 14 Mai - 3:51 | |
| .:: Le départ ::. Chapitre 4 : Départ - Mission inattendu –
Elle avait un rouleau dans les mains. Elle avait de longs cheveux violets. Elle, c’était une fille. Elle était juunin et elle avait le prénom de Soya. Enfin, c’était ce qu’elle m’avait dit[Soya] – Bonjour, je suis Soya Kimeno. Puis-je entré? Les règles de politesse disaient de la laisser entrer, mais je savais au fond de moi que l’envie n’y était pas. En règle général, lors qu’un Juunin venait te voir avec un rouleau à la main, ce n’était pas une simple visite de courtoisie.
[Seiki] – Très certainement, entré je vous prie Sans perdre une seule seconde, elle déroula le long rouleau qu’elle avait. Sans dire un seul mot et sans me regarder, elle s’appuyait sur le mur et pris un crayon. Puis, elle y inscrivit quelque chose. Loin de moi l’idée de regarder par-dessus son épaule, mais la tentation derrière tant de mystère y était plus forte. Au moment où j’allais regarder pardessus ladite épaule. La juunin ce retourna sec et me fixa.
[Soya] – Vous êtes bien Seiki Naru ? N’est-ce pas? Qu’une juunin connaissait mon nom, cela ne m’impressionnait pas du tout, mais le ton avec lequel elle l’avait demandé me donna des frissons. Allez savoir pourquoi, cette Kunoichi me faisait peur, j’avais peur qu’elle vienne me voir pour me dire qu’il était arrivé malheur à quelqu’un dans ma famille. La sueur perlait sur mon front et le stress pouvait ce sentir jusqu’au bout de mes doigts, même le dernier des imbéciles verrait que je ne me sentait pas très bien.
[Seki] – Que ce passe-t-il? Elle roula le rouleau d’un coup et me jetai un regard. Un regard non pas désagréable, mais pas agréable non plus, un regard qui vous dit que vous avez dit une connerie.
[Soya] – Vous avez été sélectionner parmi plusieurs candidat pour servir ce village qu’est Kumo pour une mission non pas intéressante, mais importante pour la survie du pays de la foudre. Présentez-vous ce soir au porte du village avec vos affaires. Nous partons au plus tôt et pour une duré indéterminé. Vous en saurez plus une fois sur place
Elle ne m’avais même pas le temps de lui laisser une seule seconde. Elle était repartie aussi, voir même plus rapidement que son arriver. * Une mission… d’une duré indéterminé… comment allais-je expliquer cela à mon père? Et puis, je dois aussi faire mes bagages et en une seule journée…* La plus part de mes affaires étaient chez mon père. Il y avait ici que le strique minimum puisque de toute façon, je retournais voir ma famille toutes les fin de semaines, voir même plusieurs fois par semaine.
*** [Père] – Oh, mais entre ma chérie. Comment allais-je dire à mon père pour cette mission? Lui qui comptait tant sur moi. En même temps, je ne venais pas lui dire que je quittais le village définitivement. N’empêche que cela m’attriste de ne pas avoir plus de temps avant mon départ. Mon père avait compris que quelque chose n’allais pas. Il tout de même pas née de la pluie et j’étais sa fille, il savait quand quelque chose clochait. Avant de fermer la porte, j’avais jetée un dernier regard vers l’extérieur pour m’apercevoir que le soleil ne tarderait pas à ce coucher
[Père] – Qu’est-ce qui ce passe ? Je me retournai le regard bas.
[Père] – Allez, parle ?
[Seiki] – J’ai été choisi pour partir en mission. Je l’ai appris ce matin et je pars d’ici 2 heure et quelques minutes et je ne sais pas quand je reviendrais Mon père souriait, comme d’habitude. D’aussi loin que je me souvienne, il avait toujours été fier de moi et ne m’avait jamais grondé. Il avait toujours eu le sourire au lèvre, comme il l’avais présentement. Ce sourire, voilà la chose dont j’avais besoin. Je n’étais encore qu’une gamine fraichement sortie de l’académie qui ne s’attendait pas à avoir une mission si rapidement. Bon, une mission d’accord, mais pas avec une duré de retour indéterminé. C’était ce sourire là que j’étais venue chercher et je venais tout juste de m’en apercevoir. Inconsciemment, dès que quelque chose allais mal, je venais voir mon père pour lui demander conseil. C’était avec ce sourire là qu’il me regardait et il me répondait toujours avec une de ses phrases bien propre à lui.
[Père] – Je ne comprends pas pourquoi tu a l’air triste. Tu as pensé à ton frère? Il pris une petite pause. Pause qui me laissait penser qu’il m’envoyait une question. Ce n’étais pas vraiment ce que j’avais envie d’entendre et au moment ou j’allais lui répondre. Il ajouta
[Père] – Sans toi, il va être obligée de les exécuter ses stupides tâches. Tel que le gardiennage de l’autre fois. Il ne pourra plus ce rabattre sur sa très chère sœur. C’était ce que j’avais envie d’entendre, ses phrases à lui accompagner de la seule chose qui lui était propre, son sourire. Il me prit le dessus de la tête, il n’avait plus envie de voir le fond de mes cheveux. Au moment où il me la remonta, un immense sourire était fendu jusqu’au oreille était dessiner sur mon visage.
[Père] – Tu m’a fait peur tout à l’heure. Allez installe toi et profite des deux dernières heures avant ton départ derrière une bonne tasse de thé
*** [Soya] « Nous sommes envoyé à la frontière entre le pays de la foudre et le pays de la neige. Inutile de vous dire que vous ne reviendrez pas à Kumo avant des mois. Alors préparez vous des maintenant. Là-bas, pas le droit à l’erreur. Les premiers jours vous paraitront longs mais à prêt tout se passera bien. Vous avez des questions. »
Je m’avançai, le sourire au lèvre [Seiki] – Moi j’en n’ai une, à ce que je peux voir, nous ne sommes que des Genins, je dis cela car les gens qui sont avec moi on été promus dans la même année. Pourquoi des Genins?
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| Sujet: Re: Le départ Ven 14 Mai - 12:22 | |
| [Seiki] – Moi j’en n’ai une, à ce que je peux voir, nous ne sommes que des Genins, je dis cela car les gens qui sont avec moi on été promus dans la même année. Pourquoi des Genins?
Une question simple mais qui avait son importance pour ses gamins, surtout lorsqu'ils étaient personnellement concerné. Soya laissa un léger sourire s'échapper. Et puis après tout, elle n'allait pas faire la tronche pendant des mois, autant mettre le groupe de bonne humeur dès le départ.
[Soya] « Tout simplement que malgré le temps que nous passerons loin du village, cette mission ne comporte que des risques minime que des genin sont en mesure de surmonter. De plus, se sera un excellent entrainement pour vous. N'oubliez pas que nous sommes parti pour plusieurs mois et il peu arriver, non il va arriver que nous n'aurions rien à faire pendant quelques jours. Ce temps libre me permettra de vous entrainer. »
L'idée de revenir plus fort encore de cette mission ne pouvait qu'enflammer le désir de ces jeunes pouces. Ils avaient la chance de participer à cette mission avec l'élite. Rien de tel pour embellir son CV.
La femme commençait à ressentir à nouveau se stress si caractéristiques. Pour la seconde fois, elle s'apprêtait à quitter son foyer pour très longtemps. Il était certain qu'un jour ou l'autre elle le retrouverait mais quand? Elle secoua légèrement la tête comme pour refuser ses pensées. Malheureusement, si elle pensait déjà à cela, la mission serait d'autant plus longue et douloureuse. Elle pivota du buste pour fixer ce village. Les derniers rayons du soleil frappaient encore majestueusement les façades des bâtiments. Mais peu à peu, la lumière naturel laissait place à celle crée par l'homme et le ciel s'assombrissait.
[Soya] « Il est temps. »
A ses mots, tous prirent leurs sac et suivirent la Juunin. Son pied caressa une dernière fois le sol terreux avant de prendre une impulsion et de s'envoler. Plus émotive, la femme aurait versé une larme mais cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait pleuré...
Le rythme se voulait rapide et soutenu. Peu être même trop pour des genins. Mais ils n'avaient le choix. L'équipe avait déjà prit du retard à cause de l'intervention de la juunin. Il fallait trois jours pour rejoindre la frontière et ils en avaient déjà perdu un. Pour rattraper le temps perdu, Soya maintenu la cadence toute la nuit, faisant quelque pose toutes les trois heures histoire de faire souffler les jeunes. Il était tard, très tard. Environ trois heures du matin et l'équipe courait encore. Certain était totalement épuisé et avaient déjà assez de mal à rester debout. On pourrait qualifier cela de sadisme mais loin d'elle cette idée.
Vers quatre heures du matin, il était temps de stopper. Les jeunes s'écroulaient au sol dans le petit plateau qu'avait choisi Soya. Elle laissa les jeunes dormir tandis qu'elle rassembla des branchages pour allumer un feu. Les alentours étaient généralement calme mais elle ne pouvait se permettre d'être attaquer par une meute de loup ou des brigands. Elle effectua alors deux rangées de signes et étala deux sceaux bien distinct au sol. Grâce à cela tous pouvaient profiter de cette courte nuit de sommeil.
A dix heures, Soya réveilla son monde. Ils avalèrent rapidement quelque boucher de pain avant de reprendre la route. Les stigmates de la veille n'avaient pas disparu et Soya du ralentir un peu la marche mais cela ne l'inquiétait pas. Ils avaient à présent rattrapé leur retard.
Les communications dans le groupe étaient rare. Tous devait encore penser à cette mission et réfléchir à ce qu'ils les attendaient. Malheureusement pour eux, il n'y aura pas de trésor ou d'aventure à gogo. Juste une ligne à surveiller et quelque bandit à terrasser. Non ce n'était vraiment pas la grande aventure et c'était peu être mieux ainsi. Pas de mort...
Se fut Soya qui commença en premier la discutions. Le fait qu'elles étaient quatre filles arrangeaient pas mal même si le garçon devait se sentir seul par moment. C'est pourquoi Soya s'arrangeait toujours pour l'avoir à ces côtés. Elle lui parlait sur la route et faire passer le temps plus rapidement.
Le trajet était long mais ils y arrivèrent enfin. A première vue, rien ne semblait faire la séparation entre les deux pays. Au loin des montagnes comme derrière. La seul différence était les monts enneigés bordé par un épais nuage grisâtre qui n'en finissait pas de cacher les sommets. Soya regarda dans les alentours, les traces de son groupe était encore présent. Au fil des mois, son équipe avait emménagé une petite baraque à l'abandon. Les températures dans la région était souvent proche de zéro alors une bonne coordination était important.
[Soya] « Nous sommes arrivé. Bienvenue au paradis. Ou en enfer. C'est selon votre point de vue. » |
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| Sujet: Re: Le départ Ven 14 Mai - 17:31 | |
| .:: Le départ ::. Chapitre 4 : Départ - Maison Temporaire – [Soya] « Nous sommes arrivé. Bienvenue au paradis. Ou en enfer. C'est selon votre point de vue. »
Je ne voyais pas tellement en quoi cela allais être l’enfer. L’enfer aurait été de rester enfermer plusieurs jours tous empiler les uns sur les autres. En ajoutant a cela des coups de fouet au gens qui gémissent et/ou qui faisaient trop de bruit. Enfaite, cela n’allais pas être le paradis non plus. Je ne voyais pas de petit ange avec des grappes de raisin à la main. C’était probablement une façon que la Juunin avait pris pour nous indiquer que nous étions arrivés à destination.
Devant moi il y avait, des montagnes, un commencement de neige, une juunin, une cabane – qui serait probablement celle dans laquelle nous allons habiter – et quelques arbres par-ci, par-là. Après trois jours de marche, nous étions épuiser et impressionner. Épuiser en majeure partie par la première journée, les autres n’étaient rien en comparaisons, mais le fait de toujours marcher nous avait empêcher de récupérer, malgré les nuits de sommeil plus longue que ce que j’avais prévu. Nous étions impressionner parce que c’était la première fois que nous allions exécuter une mission hors du village ,et qui plus est, avec une kunoichi de force. D’accord, nous étions impressionner, car la Juunin n’avais même pas un semblant d’épuisement. Aucun souffle irrégulier, aucun tremblement, rien.
Cette cabane m’intriguait, elle n’était pas très vieilles. Elle devait dater de plusieurs mois voir année, je n’étais pas très bonne pour dater un bâtiment, mais les gens qui l’avaient construit avait utilisé les matériaux qu’ils avaient trouvé autour d’eux. Pierre, boue ainsi que le bois. Ce que je me demandais, c’était si nous allions habiter là
[Seiki] – C’est là que nous allons dormir ?
Avais-je dit en pointant du doigt. Doigt que la juunin suivi des yeux
[Soya] – Bien sûr. Je vous conseil d’allez-vous installer
Conseil judicieux, plus le temps passait, plus les bagages que je trainais me semblaient plus lourd. Chose normal, cela faisait trois que nous marchions, je n’avais plus la même force qu’à mon départ. Je relevais mon sac d’un coup sec au niveau de mon épaule et pris la direction de la cabane. Une fois entré, il était aisé de deviner l’inconfort qui y régnait. Il y avait deux pièces. L’une très grande. Assez pour tous nous accueillir. Elle était vide et attendais nos sac de couchage. L’autre, c’était les toilettes avec en guise de porte, du bois tout pourrie. C’était vraiment ici que nous allions passez les prochains mois.
Je mis un pied dehors et pris une grande inspiration. Inspiration que j’eus gardé plusieurs secondes. L’air était fraiche, la place était calme et la nuit allait bientôt commencer. Il fallait que je m’habitue à cette nouvelle place, car j’allais rester ici … Très longtemps
***
Cela devait faire près de trois mois que nous étions là, dans ce minable taudis à y vivre. Comme l’avait-dit Soya il y à bien des lunes, c’est l’enfer. L’inconfort et l’ennui nous épuisait tous. Une chose était sur et certaine, les genins qui était ici allais en ressortir plus fort et plus fier. En trois moi, il ne c’était presque rien produit. Quelques chasses plus ou moins compliqués et des interrogatoires pouvant durer des heures à regarder un suspect nous fixé dans les yeux, le sourire aux lèvres sans dire un seul mot pour finalement nous faire dire de partir. C’était toujours ainsi, nous quittions la salle et laissons la «victime» aux mains de Soya. Quelques heures plus tard, c’était en larme que la pauvre personne nous dévoilait tout ce que nous voulions savoir.
Cela avait duré près de trois mois et quelques semaines, nous avions arrêté de compter les jours passés, cela nous déprimais tous. «Tous» définissaient les genins. Soya avait un petit plaisir à ce retrouvé ici. Je ne saurais dire pourquoi. Enfin, revenons-en au principal.
***
[Seiki] – Que ce passe-t-il Soya ? Pourquoi nous avoir tous faire venir ici
Ce matin, nous avions reçu un message. Enfin, nous… Soya avait reçu un message d’un chuunin de Kumo et nous avais aussi tôt appelé. Tous les Genins c’étaient empresser de venir ici. Nous formions une ligne devant Soya tous prêt à entendre ce qu’elle avait à nous dire. Je devais avouer que j’avais vraiment envie qu’elles nous disent que notre mission était terminé et que nous pouvions retourner au village. Je ne devais pas être la seule à le penser. J’avais terriblement hâte de serrer mon père dans mes bras.
[Soya] – Ce matin, le village de Kumo m’a apporter une lettre nous disant que nos service était suffisant et que nous pouvions rentrer au village.
Sec comme cela ? Je m’attendais à plus de mystère histoire de nous torturer un peu plus. Peut-être avait-elle compris que cet endroit avait été assez dur pour nos nerfs et qu’aggraver les tensions n’était peut-être pas une bonne chose. Elle restait une Juunin et savait comment traiter avec des genin au bord de l’épuisement. Un petit doute avait envahis mon esprit elle serait assez tordu pour avoir crée toute cette mise en scène juste pour voir notre réaction. Des genins en pleuraient de joie, cela serait vraiment son style de nous faire de fausse illusion après tout, le genjutsu était son domaine de prédilection et nous l’avions su à nos dépend. J’ai arrêté de compte le nombre de personne que j’ai du soigner à cause de ses entrainements tyrannique
[Seiki] – Pardonnez-moi, mais est-ce que c’est vrai tout cela ? Je commence à douter vu tout ce que vous nous avez faire endurer. Ne prenez pas mal ce que je viens de dire, mais je ne peux m’empêcher de doute
Elle me regardait avec un petit sourire
[Soya] – Vous avez 30 minutes et ce n'est pas une blague
Elle ne mentais pas, cela faisait longtemps que j'attendais cette instant.
.:: Fin ::. |
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| Sujet: Re: Le départ Lun 14 Juin - 12:45 | |
| Soya ( as Hakai ) : +20 XP ( bonus MJ inclus ) Seiki : +15 XP ( bonus genin )
C'est dommage que vous n'ayez pas pousser l'idée plus loin car au final, il y a beaucoup d'incohérences et la fin est somme toute assez bâclée. Malgré tout, l'idée était sympa.
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| Sujet: Re: Le départ | |
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