Vient de: Montagnes de Kumo: Aire d'entraînement de Takeshi

Takeshi rentrait au bar après son premier entraînement du soir, concernant le chakra. La journée était maussade. Pourtant, Takeshi devait encore travailler au bar pour gagner un petit peu d’argent, et surtout pou payer son maigre loyer. C’est ainsi que toute la soirée, il passa son temps à servir, ranger, faire la plonge, etc… Sa première soirée au bar se passa bien, et personne ne vint lui chercher des problèmes. A la fin de la soirée, Takeshi s’adossa contre le mur, derrière le comptoir. Il soupira. Il était épuisé. Il était minuit, mais il y avait encore quelques personnes buvant du saké au bar. Le patron arriva :

« Allez, ta soirée est terminée. Je vais te montrer où tu vas dormir. Suis-moi. »

L’homme se retourna, et fit quelques pas. En face de lui se trouvait une porte fermée. L’homme sortit une clé de sa poche et l’enclencha dans la serrure. Il tourna, et on entendit un cliquètement. L’homme reprit sa clé et ouvrit la porte. Il passa devant. Takeshi le suivit, sur ses talons. Il grimpèrent quelques marches, et débouchèrent sur une autre porte. Celle-ci n’était pas fermée à clé. Le patron n’eut qu’à ouvrir la porte, et un couloir se présenta à eux. On appuya sur un bouton. La lumière éclaira la pièce. On avança. On ouvrit une troisième porte. On alluma une nouvelle lumière. Une nouvelle pièce se révéla.

Mais cette pièce était différente. Par terre, il y avait un matelas, une table, et un coffre. Rien de plus. La pièce proposait un confort spartiate, comme on dit.

« Ici, c’est ta chambre. Désolé, mais j’ai rien de mieux.
-OK, merci, monsieur.
-Vas-y, installe-toi. »

Takeshi s’y attela. Il déposa sa bourse d’argent dans le coffre, et posa son sac sur la table. Il n’avait rien d’autre, donc ce ne fut pas long. Le maître du bar, ferma la porte, laissant Takeshi tranquille. Celui-ci s’endormit rapidement, épuisé par la journée de travail.

[HRP : Désolé pour la longueur, mais j’ai pas d’idée.]

Réponses possibles.

[ Takeshi : +3 XP | Tu n'as pas à t'excuser, tu écris ce que tu veux et comme tu le peux ]