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| Assis sur un des bancs publiques... | |
| | Sujet: Assis sur un des bancs publiques... Lun 22 Fév - 21:42 | |
| Chinmei venait tout juste de sortir de l'académie ninja, de l'amphithéâtre de médecine pour être plus exacte, avec un livre à la main. Il voulait apprendre une nouvelle technique mais le cour d'aujourd'hui ne portait pas à proprement parler d'une technique en soit. Le cour n'avait pas était long car il s'agissait de la technique "Gakuryoku Kaibougaku" et le meilleur apprentissage d'après le professeur était simplement de lire le livre que fournissait l'académie ninja et surtout de bien le retenir car avec les connaissances qu'il y a à l'intérieur, certaines techniques de médecine pouvaient être amélioré et d'autre ne pouvaient s'apprendre qu'avec des bases solide de la "Connaissances Anatomiques".
Livre à la main, Chinmei avait décidé qu'il le lirait au "parc de Kumo", à la "plaine Céleste" car l'environnement y était relaxant. Il ne restait que peu de place de libre car le soleil chauffant avait ramené quelques couples et quelques familles à se détendre. Il pris place sur un banc occupé et fixa le ciel illuminé avant de plongé sa tête dans l'étude de son livre. Ses yeux ébahis par sa soif de connaissance ne laissaient pas s'échapper ne serai-ce que quelques mots du livre. Il le dévorait comme un fauve dévore sa proie mais le savourait comme un chef de gastronomie savoure un bon plat.
Le premier quart du livre portait sur "le corps humain", domaine auquel Chinmei excellait depuis le temps qu'il l'étudiait avec ses parents dans le passée et seul depuis qu'il était ninja, mais il le lut quand même entièrement.
La deuxième partie concernait "les mouvements du corps humain", et là, il n'avait vraiment pas un grand niveau de science dans le domaine car les mouvement sont complexe et surtout variées. C'est une partie très importante dans l'apprentissage de l'Eisei offensif. Par exemple le livre mentionne que chaque coureur développe individuellement son propre style de course et que la tenue du corps et la manière de courir reflétaient ce qu'on appelle "le langage du corps". Beaucoup de mouvement de bases y étaient référé car tout les mouvements possible et inimaginable ne pouvais être répertoriaient dans un seul livre. La lecture de ce chapitre dura environs 1 heure mais cela lui en avait pris deux car la relecture était une méthode d'apprentissage efficace qu'utilisait souvent Chinmei pour bien tout retenir dans sa mémoire.
la troisième et la quatrième partie du livre portaient sur "les muscles du corps humain" et "les organes du corps humain", lesquels Chinmei avait de bonne connaissance. A la lecture de ces chapitres, il en avait appris plus que ce qu'il aurait cru, surtout dans le domaine des muscles. Il appris par exemple que le corps humain possédait environ 600 muscles de tailles et de formes très différentes, que la masse totale de ces muscles représentait plus de la moitié du poids du corps d'un adulte, alors à chaque fois qu'il apprenait quelque chose de nouveau, il en déduisait ce qui lui serait le plus profitable en combat.
La lecture du livre lui pris entre 3 et 4 heures au total et il ne s'était même pas rendu compte que la plupart des gens présent à son arrivé étaient pour la plupart partis. Il devait restait une petite heure avant que ne se couche le soleil ce qui donnait une vue plutôt magnifique de l'endroit. Il posa le livre sur le banc maintenant libre, et s'étira fort content de ce qu'il venait d'acquérir.
*J'ai fini cet excellent livre, faudra que je le relise dans quelque jour pour ne vraiment rien oublier*
Parti dans ses pensées, le jeune Genin n'était plus là, il était dans sa petite sphère. Il voulait apprendre beaucoup de techniques mais il n'y avait personnes au village avec les compétences pour être un formateur médicale à plein temps. Alors il s'imaginait toutes sorte de scène pour pouvoir être l'élève d'un puissant Eisei. Après quelques minutes à fixer le sol en pavé, il sortit de sa gamberge, pris du tabac de sa poche pour le mettre dans sa pipe puis l'alluma. Son ventre lui réclamant quelque chose de nutritif, les premières bouffer de fumer qu'il aspira lui avait dissiper faiblement son appétit. Regardant sur sa gauche, il aperçu au loin une personne venant dans son sens mais il n'y prêta guère attention car celle-ci était encore éloigné de lui.
Dernière édition par Chinmei le Mar 23 Fév - 17:02, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Assis sur un des bancs publiques... Mar 23 Fév - 3:50 | |
| Le soleil brillait dans un ciel limpide. Le jaune solaire et le bleu azur était en harmonie avec le vert soutenu du parc que parcourait Ishiki. Une telle vision aurait fort bien pu être qualifié de paradisiaque, du reste le jeune jounin approuvait partiellement cette perception. Il s’interrogeait néanmoins sur la nature même de ce que pourrait être nommé "paradis". Bon nombre y voyait un endroit de récompense, une contré de plaisir sans fin, un canton de non-effort, un lieu de seule rétribution. La carotte après de durs labeurs terrestres. Ishiki rit tout bas. Il n’aimerait pas résider dans un tel paradis, oh que non, tout parfait qu’il fût. Non cette perfection était figée, nulle évolution n’y était permise, le plaisir dans le non-effort étant la règle.
Figé donc mort.
Ironique pour l’après vie. Non le repos du guerrier n’était point pour les braves. Le seul paradis, la seule source de bonheur, c'était le perpétuel effort. Un effort pour grandir, aller toujours plus haut vers ces propres sommets intérieurs. Car là résidait le véritable paradis qui n’était point dans un quelque lieu extérieur accessible dans le futur pour les seuls méritants. Non il était au plus profond de soi, dans le présent ce simple bonheur d’être là. Cette joie toute simple au cœur de la conscience. Qui nous accompagnait quotidiennement dans la prospérité et la disette, qu’il vente ou qu’il pleuve. Une allégresse fondamentale qui suffisait à elle seule à transcender l’impermanence du monde.
La panacée.
A bien y méditer, cette verte végétation et ce soleil étincellent au milieu de ce ciel azur pouvait être qualifié de paradisiaque. Non comme cadre à de divers plaisir mais comme support de contemplation. Ishiki se pencha pour caresser une fleur. Cette petite merveille de la nature offrait beaucoup à l’humanité. Souvent en la regardant des hommes arrêtaient un instant de penser au seul "utile". Le court de leur pensées les transportant vers le passé ou l’avenir s’arrêtaient pour faire une petite place au présent. Il était triste de constater que bien que la vie ne se déroulât qu’au présent, ils le fuyaient tous tout occupé au passé ou à l’avenir, tous fuyant donc la vie.
Le jeune jounin continuait sa progression, il aperçut bientôt un adolescent assis sur un banc. Un grand sourire perla alors sur son visage. Bon nombre trouvait leur bonheur dans la contemplation de la végétation ; Ishiki lui préférait encore la contemplation des êtres humains. Il était plus difficile de renoncer à toute vision utilitariste avec ces confrères du quatrième règne qu’avec le deuxième règne. Néanmoins il fallait s’en affranchir, cela en valait la peine. Au-delà quelle beauté ! L’on pouvait apercevoir la richesse d’un être au potentiel infini, la noblesse de son essence. Tout être humain pouvait changer le monde, le sublimer. De ce point de vue, l'on ne pouvait que donner raison à ceux qui disait que les hommes étaient les fils de Dieu. Ah un tel potentiel, une telle beauté encore inexprimées ! Le Cetana éprouvait le besoin vital de les voir libres. Libres de toute entrave, de tout chaîne, de toute limitation, aspirant à se dépasser eux-même, à transcender ce qu’ils sont, comme leur propre condition, en s’ancrant à l’Eternel Présent au lieu de se ramener sans cesse aux seuls résultats de leur passé ou à leurs seules espérances futures.
Lorsqu’il fut à cinq mètres de l’inconnu assis sur un banc, le jeune jounin planta son regard dans ses yeux et l’aborda vivement d’une voix pleine de joie et d’allégresse :
[Ishiki Cetana] – Hé bien le bonjour ! Une journée magnifique qui s’ouvre à nous, n’est-ce pas ?
Des propos bien banals une apparence mais si fondamentaux en réalité. Le risque subsistait néanmoins que l’inconnu sur son banc lui fasse une réponse elle bien banale ; il fallait y palier. Tout en continuant de regarder l’adolescent dans les yeux, le jeune jounin aperçut, grâce à sa vision périphérique, le bandeau et le titre du livre posé à ces côtés. Médecin ? Très bien. Sur le ton de la conversation, il ajouta rapidement :
[Ishiki Cetana] – Le soleil apportent généralement l’allégresse chez les êtres humains. Crois-tu que cela soit biologique ?
Voici une approche sans doute peu banale de la pluie et du beau temps. Oui sans nul doute l’exposition au soleil était bénéfique pour les hommes, grâce à lui il secrétaient des vitamines et toutes sortes de molécules. Mais pouvait-on réduire l’allégresse à une simple résultante d’une production de vitamines et d’hormones ? Quelle que soit la réponse de ce genin, l’échange qui en résulterait avait de bonne chance d’être enrichissant pour les deux parties. Ainsi Ishiki aurait peut-être l’opportunité d’apporter modestement sa pierre à l’évolution de l’être humain qu’il avait devant lui. Il l’espérait de tout son cœur. |
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| Sujet: Re: Assis sur un des bancs publiques... Mar 23 Fév - 19:56 | |
| La silhouette que Chinmei aperçu au loin il y a quelque seconde s'était rapproché de lui afin de lui parler. Il ne l'avait jamais vu et à vrai dire le jeune Genin ne fréquentait que peu de monde. S'il connaissait bien son professeur de l'amphithéâtre de médecine, la femme d'accueil de la bibliothèque et le chef-cuistot du restaurant rapide qu'il fréquente quotidiennement, il en était tout autre des ninjas ou des civils du village de Kumo. Son écart avec la population était dû surtout au faite qu'il passait beaucoup de son temps à étudier des livres médicale et qu'il ne voulait pas que qui que soit puissent découvrir ses véritables aspirations chaotique. Ce jeune gamin posté devant lui le regarda directement dans ses yeux et malgré ses lunettes teintés, Chinmei sentait que ce regard pourtant bienveillant franchissait quand même cet obstacle. Il compris alors qu'il n'avait pas affaire à n'importe qui, qu'il devait s'agir d'un ninja de niveau supérieure mais au vu de son jeune âge c'était miraculeux qu'il soit déjà si puissant. Les questions commençaient alors à bombarder l'esprit du jeune ninja médical mais son visage restait normal ne laissant rien paraitre. Lui faisant son sourire habituel pour se cacher derrière une image de quelqu'un de bon il écouta ce que l'inconnue avait à lui dire.
- Hé bien le bonjour ! Une journée magnifique qui s’ouvre à nous, n’est-ce pas ? - Le soleil apportent généralement l’allégresse chez les êtres humains. Crois-tu que cela soit biologique ?
Chinmei ne s'attendait vraiment pas à une approche comme celle-ci de la part de cet étrange garçon, ce qui le pris de court. Il avait dû voir son bouquin sur le banc pour poser une tel question. Chinmei lui répondu comme n'importe quel professeur de l'académie l'aurai fait. Il le fit en toute sincérité car il se doutait bien qu'un tel ninja même si jeune, percevrai rapidement ses manipulations éloquente pour détourner la conversation et s'en aller. Il devait jouer le jeu pour ne pas éveiller les soupçons de son interlocuteur afin de vite se séparer de lui. Imitant son professeur, il se leva et commença sa thèse sur la question en prenant un petit air de scientifique.
- bonjour à toi ! non, je ne pense pas que l'allégresse chez les hommes dû au temps soit biologique, je pense plutôt que cela est dû à la psychologie humaine, le cerveau étant un domaine si complexe que je ne pourrai te dire avec exactitude quelle partie de celui-ci active cette sensation. Cependant le soleil procure d'innombrable effet bénéfique et néfaste, je vais t'en citer quelques un. Par exemple le soleil produit ce qu'on appelle "des rayons UV", ce qui représentent entre 95 % et 98% des ultraviolets qui arrivent à la surface de la planète. Leurs effets sur le corps humain permettent de fortifier la structure osseuse, de produire plus de vitamine D, cela joue aussi un rôle dans la régulation du taux de cholestérol et sur la division cellulaire. Pour les effets néfastes qu'engendrent ces "rayons UV", il y a le bronzage rapide ainsi que le vieillissement et les rides de la peau car ils pénètrent profondément dans les tissus de la peau qu'ils endommagent. Leur action négative ne sont pas toujours immédiatement visible car elle sont lente et cumulative donc il faut éviter une surexposition au soleil. Des doses régulières et courtes sont suffisantes pour produire une quantité nécessaire de vitamine D, vitamine qui d'après des expériences effectués sur des animaux semblent indiquer que celles-ci freinent la division cellulaire. Bon, j'ai essayer de simplifier afin que tu puisses mieux comprendre et je ...
Ne lui laissant pas le temps de continuer à converser, le ventre de Chinmei gargouilla subitement coupant ainsi son discours. Cela tombait à pique car il ne voulait pas s'éternisait longtemps ici. Se grattant le haut de sa tête d'un air un peu gêné il fit un sourire au ninja avant de reprendre la conversation.
-Pardonne moi, je ne me suis pas présenter. Je m'appelle Chinmei Hakoki, je suis Genin, ninja médical comme tu l'avais sans doute observé. Et toi, t'es qui ?
Chinmei espérait finir leur conversation sur des présentations mutuel et qu'avec la bienveillance qu'inspire cet enfant, il pourrai partir pour aller manger. Cependant il craignait que sa gentillesse ne l'emmène à lui offrir de quoi se nourrir auquel cas il n'avait aucuns arguments crédibles pour refuser. Malgré ces seulement 14 ou 15 pige, ce ninja était bien trop puissant pour Chinmei qui le savait très bien, de plus il était paranoïaque quand au fait que cet individu était capable de lire en lui comme dans un bouquin et cela le perturbait intérieurement. Ce qui le perturber aussi était qu'il ne savait pas si c'était un espion envoyait par "la conclave" pour savoir si le jeune ninja avait des aspirations malsaines identique à celle de ses parents ou s'il était simplement venu causer pour passer le temps. Attendant que son interlocuteur se présente il tendait bien l'oreille pour ne pas oublier ce nom. |
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| Sujet: Re: Assis sur un des bancs publiques... Lun 1 Mar - 1:56 | |
| Ishiki fut légèrement déçu de la réponse de l’adolescent. Celui-ci n’avait fait qu’esquiver lâchement sa question, prétextant qu’elle relevait d’un domaine trop complexe, et avait ensuite vainement tenté de camoufler son ignorance par un petit exposé hors sujet où il faisait fièrement étalage de ses connaissances fraîchement acquises. Non décidément il était de ceux qui préféraient la récitation à la réflexion. Un mal courant qui était en grande partie du à un dysfonctionnement récurant du système éducatif. C’était désolant de voir à quel point il privilégiait une si plate acquisition de savoir. A quoi bon accumuler une myriade de données si l’on ne comprenait pas comment les utiliser pour synthétiser de nouveaux concepts ? Les donnés n’était rien si l’on ne s’en servait pas comme d’une ressource à partir de laquelle l’on tirait des conclusions. En l’occurrence régurgiter quelques connaissances sans les exploiter pour résoudre le problème était vain.
Le jeune jounin attendit patiemment la fin de son exposé, restant tout de même attentif au cas –improbable mais existant- d’une révélation de l’inconnu. Il pouvait par un heureux hasard lui dévoiler une information qu’il ignorerait. Malheureusement ce cadeau improbable ne tomba pas du ciel. Le discours de l’adolescent n’était qu’une régurgitation des faits les plus connus. Seul imprévu une plaisanterie involontaire. Le « j'ai essayé de simplifier afin que tu puisses mieux comprendre » était de trop. Ishiki laissa échapper un rire léger. Un rire qui exprimait toute sa dérision. Monsieur esquivait sa question sous prétexte qu’elle était trop complexe pour lui et après se lançait dans une ressassement simpliste des données banales. D’aucun aurait pu trouver une telle réplique quelque peu injurieuse. Assurément il l’était, d’un certain point de vue, mais le jeune jounin avait bien conscience que c’était l’opprobre était involontaire. Non en réalité il était vraiment amusé de la situation. Dire à un Cetana que l’on simplifiait ses propos pour qu’il puisse comprendre c’était tout aussi ridicule que de tenter de vendre un briquet à un Senjago. Si d’aventure un Cetana ne comprenais pas un propos, il en serait presque enthousiaste. Avoir ainsi l’opportunité d’acquérir de nouvelles connaissances, de faire progresser sa faculté de compression, en un mot d’évoluer. C’était vivifiant. Certainement le plus puissant stimulant pour un Cetana. Une telle occasion d’apprendre ! L’inconnu était roboratif au plus haut point pour les Cetana. Un tel potentiel de progression ! Rien que d’y songer, Ishiki se sentait, ragaillardit, dynamisé, tonifié. Un nouvel éclat étincela dans son regard et un franc sourire illumina son visage.
*Défi relevé mon petit.*
L’adolescent passa ensuite aux présentations où il ne brilla guère par son originalité, après un tel exposé de platitude, il s’en était douté, mais il ne se lassait point d’espérer. Dans un élan de naïveté, le jeune jounin faillit donner la réponse du berger à la bergère : « Je suis Ishiki Cetana, jounin du corps diplomatique. » mais, remarquant sans peine l’intérêt évident que portait ce Chinmei Hakoki à son nom –intérêt qui l’étonna quelque peu, mais il ne perdit pas de temps en vaines spéculations sur sa causalité- il décida d’en faire une carotte. Monsieur n’avait point répondu à question, et bien il répondrait à la sienne tant qu’il n’était point satisfait de la réponse du genin. Donnant-donnant. Une bonne initiation à la diplomatie élémentaire.
En d’autres circonstances il aurait sans doute commencé par donner son nom avant de revenir sur sa question –il est plus judicieux de donner d’abord pour obtenir ensuite plutôt que l’inverse- mais comme Monsieur se montrait réticent et l’avait gratifié si généreusement d’un « j'ai essayé de simplifier afin que tu puisses mieux comprendre », Ishiki adopta une approche plus …sportive. Ou plutôt plus pédagogique. Il fallait que l’adolescent se rende compte qu’il était en train de lui donner des leçons. Oh il le faisait en permanence, enseigner était sa vocation. Mais envers les personnes les plus réticentes comme ce Chinmei Hakoki, il fallait parfois donner des formes. Sinon il ne s’en rendait pas compte que cela en était et risquait fort de les oublier.
[Ishiki Cetana] – Je suis …un être humain… plein d’allégresse !
Il gratifia le genin médecin d’un petit sourire taquin.
[Ishiki Cetana] – C’est psychologique paraît-il. Est-ce mon cerveau le responsable ? Ou bien c’est mon esprit qui en cause, mon cerveau ne faisant office que de récepteur. Suis-je la résultante d’échanges chimico-électriques entre un amas de cellules ? Ou bien suis-je un être immatériel incarné dans ce tas de chair et commandant à l’encéphale ? Qui suis-je ? ...Une très bonne question.
Tout en conservant son attitude bienveillante, Ishiki affichait à présent en expression de défi qui signalait clairement à cet adolescent qu’il ne devait pas se défiler. Il était temps pour cet eisei-nin en herbe de réfléchir. Il lui fallait utiliser ses connaissances pour synthétiser de nouveaux concepts, s’en servir comme d’une ressource à partir de laquelle il allait tirer des conclusions. En bref, il devait aiguiser son intelligence pour donner vie à son savoir. Et ainsi progresser, grandir, évoluer.
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| Sujet: Re: Assis sur un des bancs publiques... Mer 3 Mar - 21:00 | |
| Chinmei venait de faire son court résumé sur les quelques connaissances qu'il possédait à un ninja qui apparemment en savait bien plus sur le domaine que lui mais qui écouta quand même jusqu'à la fin. Le ventre de Chinmei commençant à gargouiller, son impatience pour partir arriva tout aussi vite que sa faim. Après s'être présenté, il espérait que le jeune ninja en face de lui fasse de même avant de se retirer afin de le laisser seul. Cependant la tournure qu'allai prendre l'évènement était tout autre.
-Je suis …un être humain… plein d’allégresse !
La réponse de son interlocuteur le mis en colère et le petit sourire taquin qu'il lui fit était de trop. Étant quelqu'un d'orgueilleux, il n'admettait pas facilement qu'un enfant de quelques années de moins, soit bien plus fort que lui, que ce soit au niveau de la puissance ou de l'intelligence et qu'en plus de tout ça, qu'il se permette de le taquiner d'un sourire.
*Espèce de sale mioche, si je pouvais te découper en petites rondelles pour ensuite te hacher, je le ferai.*
-C’est psychologique paraît-il. Est-ce mon cerveau le responsable ? Ou bien c’est mon esprit qui en cause, mon cerveau ne faisant office que de récepteur. Suis-je la résultante d’échanges chimico-électriques entre un amas de cellules ? Ou bien suis-je un être immatériel incarné dans ce tas de chair et commandant à l’encéphale ? Qui suis-je ? ...Une très bonne question.
A vrai dire Chinmei n'avais pas écouter la fin des nombreuses questions qu'il recevait car le sang était en train de lui monter à la tête à cause de ce mioche et le défi lancé par ce dernier quelques seconds plus tard ne venait qu'accroitre son énervement. Pourtant ce sourire, certes pour taquiner, ne venait point d'une mauvaise intention mais Chinmei ne l'apprécia guère venant d'un gosse. Tandis que la colère du jeune Genin augmentait sans frein, ce qui perturbait son jugement de la situation, son aura devenait de plus en plus hostile à l'égard du jeune ninja supérieure. Chinmei ne pouvant plus rester en place, retira la pipe de sa bouche, la tapa contre le banc pour enlever le tabac à l'intérieure et la rangea dans sa sacoche qu'il portait au niveau de la taille. Ensuite il leva sa main droite à hauteur de son front pour la faire claquer délicatement contre son bandeau. il baissa ensuite sa main sur ses lunettes qu'il tira légèrement et inclina sa tête pour fixer yeux dans les yeux cet étrange gamin. L'aura qu'il dégageait était belle et bien meurtrière et c'était à cause de cette colère, colère qui l'aveugla au points de ne plus songer qu'il allait ramasser une sacré rouste. Il était prêt pour un combat, qui s'il avait lieu d'être; ne durerai pas plus de quelques instants, Chinmei pris la parole sur un ton froid et sans le moindre sourire.
-Bon écoute moi bien sale mioche, avant de poser 50 questions à la seconde, commence par répondre à la mienne... ok...?
Lui qui s'était retenu de faire le moindre faux pas depuis son inscription à l'académie un ans auparavant, venait de compromettre tout le travail dont il avait fait preuve jusqu'ici. Il savait très bien que s'il voulait pouvoir faire des expériences illégales sur des cobayes, il ne devait pas se faire remarquer comme étant l'héritier des projets malsains qu'entreprenaient ses parents. Il savait qu'il n'avait pas droit à l'erreur sous peine de subit un interrogatoire "spécial" qui ruinerait ses ambitions étant donné que les forces de polices de Kumo arrivaient toujours à tout savoir. Ce fut là sa première erreur qui allait certainement lui couter cher mais cela seul la suite nous le dira.
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| Sujet: Re: Assis sur un des bancs publiques... Lun 15 Mar - 19:53 | |
| Ishiki regarda un arbre derrière Chinmei. Parfois, sous le coup de la fatigue, quand il était particulièrement las de la boue dans la quelle la majeure partie de l’humanité s’étalait, il lui arrivait de contempler les autres règnes. Loin des soucis des hommes, les arbres affichaient une sérénité certaine. Un calme inespéré pour la majeure partie de l’humanité. Ils étaient là, enraciné à la Terre, au-dessus des tumultueux mouvements de l’histoire humaine. Comme tous les Cetana, Ishiki se sentait attiré par la richesse, le potentiel des êtres humains, mais il lui arrivait parfois de songer que c’était justement ce potentiel qui leur permettait de tomber aussi bas. Les arbres quant à eux n’avaient pas cette possibilité. Aussi pouvait-on les observer tranquillement sans devoir regarder au-delà d’une épaisse couche de négativité. La plupart des végétaux paraissaient plus purs, plus innocents, moins souillés par toutes ces pensées de basses catégories. Ils n’avaient point l’orgueil et l’impatience de cet adolescent à l’ego surdimensionné. Non ils étaient en deçà de l’ego. Ishiki voyait l’ego comme une sorte de passage initiatique, un plongeon dans la polarité négative : peur, haine, culpabilité, cupidité, orgueil, impatience, morgue… Ceux qui en sortaient, ceux qui parvenaient à la dépasser, à transcender tout cela en sortait grandis. Néanmoins cette épreuve se soldait par un grand nombre d’échec et d’aucun ne parvenait jamais à transcendait leurs propres limitations mentales. L’arbre que contemplait Ishiki lui semblait bien plus vivant à cet instant que le genin qu’il avait devant lui. Toutefois tout état supérieur demande un sacrifice et l’on ne peut peux parvenir à la vraie vie sans une mort initiatique. Ishiki espérait que cette mort serait courte.
En attendant, il observait l’arbre fleurit.
Après quelques minutes de silence l’esei-nin en herbe semblait relativement calmé. Le jeune jounin en fut heureux, le silence était un test. Il voulait voir si le genin allait continuer à s’énerver, auquel cas il aurait du employer des méthodes coercitives et il était ravi de ne pas avoir à sortir le fouet. Le médecin débutant pris son livre et s’apprêta à partir. Le jeune jounin se posa une question très simple mais fondamentale qui revenait sans cesse à lui : Que faire ? Cette question fondamentale appelait toujours deux réponses. D’une part agir conformément l’éthique ; et d’autre part d’acquérir une bonne connaissance de la situation pour agir au mieux. Quelque part on tenait là l’essence des Cetana, l’amour de la vie et celui du savoir, dans le fond les membres de son clan était des hommes d’action en dépit des apparences (toujours s’en méfier). Ces deux voies, parcourues ensemble, menaient à la Liberté.
Le simple fait d’y songer arracha un sourire au jeune jounin. La situation ne s’y prêtait guère mais il était fondamentalement joyeux, c’était un trait de caractère qu’il avait du mal dissimuler longtemps en dépit tous les masques qu’il pouvait s’appliquer. Se mettant en quête de connaissance pour agir, il scruta méthodiquement le genin, se mettant pour la première fois à l’observer de manière analytique. D’ordinaire par une curieuse pudeur quelque peu déplacée pour un Cetana, il se refusait à analyser froidement le comportement de ses compatriotes préférant leur accorder d’entrée gratuitement sa confiance. Néanmoins en agissant comme il le faisait ce Chinmei Hakoki venait de la trahir. Ishiki devait faire son devoir de jounin envers un élément qui était désormais à surveiller. Il déduisit clairement que ce genin avait quelque chose à cacher et que son cœur était plein de ressentiment. Une bonne séance de psychologie s’imposait. Il faudrait rattraper tout cela avant qu’il ne devienne vraiment nuisible. De nombreux déserteurs parmi les plus dangereux auraient pu être arrêté à temps si l’on avait judicieusement recouru à ce genre d’analyse et peut-être même sauver de leur égoïsme maladif. Chez cet adolescent il fallait rapidement réparer les tares de son psychisme sous peine de le voir se transformer avec l’âge et l’expérience en un poids pénible alors qu’il aurait pu être un élément utile. Ishiki se livra en silence à une analyse détaillée du genin en vu d’un prochain rapport, avant qu’il ne s’éloigne.[Ishiki Cetana] – Bonne journée.Murmura-t-il quand il se fut un peu éloigné. Il sortit une feuille et une plume et écrit en vitesse. Lorsqu’il fut à plusieurs mètres de lui, le jeune jounin lui envoya un message sous la forme d’un avion en papier. Une partie était codée pour exercer son intelligence et exciter sa curiosité.- Spoiler:
- Citation :
- La maîtrise de soi est essentielle. SNEAL DAETE CNVGR TDIMN EAUUN USEMO CSEOA ENODI SVTHI ESSSE AUPLM GEUSD SALIM UOUTT SNMIQ NOSNE UULEF ?
TKIAW ISNCT HAEIQ, jounin de Kumo
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Ishiki poursuivit tranquillement son chemin. Il était venu jouer une partie de go avec une femme qui n’avait pour habitude de s’énerver quand on lui souhaitait une bonne journée et lui posait une question simple. Un jour sans doute l’humanité de la colère. En attendant, il devrait ce soir même faire un rapport sur ce Chinmei Hakoki à qui il souhaitait intérieurement une bonne continuation sur son chemin de vie. L’erreur est permise, elle est utile pour apprendre, encore faut-il se relever et continuer à avancer. |
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| Sujet: Re: Assis sur un des bancs publiques... Mar 16 Mar - 22:22 | |
| Après la réponse de Chinmei, les deux ninjas se regardèrent pendant quelques minutes, minutes qui pour eux pouvait paraitre bien plus longue. La tension était énorme et le moindre faux pas pouvait les amener dans un combat, cependant, le silence calma un poil les nerfs tendu de Chinmei. En faite le silence lui permis de retrouver sa raison qu'il venait de perdre pour pas grand chose et il était frustré de ne pas avoir réussi à garder son calme comme habituellement. Il faut dire que Chinmei n'avait jamais eu affaire avec un tel gamin qui le surpasse dans tout les domaines. Voyant que le jeune ninja supérieure divaguait son regard tantôt sur lui et tantôt derrière lui, Chinmei se résolu à partir sans faire le moindre geste hostile. Il respira un grand bol d'air qui fit gonfler ses poumons au maximum et laissa s'échapper un bruit de vent lorsqu'il expira montrant qu'il en avait marre d'être ici présent. Il commença par récupérer son livre de médecine et le rangea dans sa veste, ensuite avec son index il remonta ses lunettes ne laissant plus paraitre ses yeux et engagea sa marche en direction d'un restaurent. Des paroles lui traversèrent alors l'esprit.
*On se recroisera je pense... sale gosse*
Les mains dans les poches, il marchait d'un pas lent mais déterminé lorsque un petit avion en papier le dépassa en volant au dessus de sa tête. Il le réceptionna et ne se retourna même pas pour savoir qui l'avait lancé car cela lui était évident. il déplia l'avion en papier et s'aperçut qu'il s'agissait d'un message codé. Cela l'intrigua un instant car au début du message il y avait un conseil très utile disant que "la maîtrise de soit est essentielle" mais Chinmei ne voulais pas de conseil venant de ce gamin et à la suite du message, il y avait un charabia incompréhensible, c'était la partie codé. Un chose attira plus l'attention de Chinmei que le reste, c'était après la partie codé, il y avait marqué "jounin de Kumo".
*Alors donc ce gosse est Jounin, hum... voila qui n'arrange pas mes affaires et voila pourquoi il a l'air si puissant*
Le cerveau du jeune ninja travaillait à toute allure pour savoir comment se sortir de cet impasse car ce Jounin avait perçus sa véritable nature. Il se disait donc que les autorités de Kumo seraient vite averti du danger que représente Chinmei et que donc il allait obligatoirement passer par un interrogatoire où il lui était impossible de mentir. Ce sentant directement en danger, Chinmei accéléra le pas, soucieux de ce qui pouvais lui arriver. Il s'imaginait toutes les scènes possible qui pouvait lui arriver et il se disait qu'il devrai rester discret prochainement. Cependant, le fait qu'il y avait "Jounin de Kumo" sur le bout de papier était une preuve suffisante pour Chinmei de réagir rapidement à cette situation et c'était pour lui la seul erreurs qu'avait commise ce Jounin car maintenant il le prenait très au sérieux. Non loin d'être arrivé au restaurant situer à "Asakura" dans les bas-quartiers de Kumo, Chinmei entendu une conversation entre deux Genin qui allait changer ses futures objectifs.
- "T'as entendu parler du mec qui à déserter il y a quelque jours ? - Oui, j'en ai entendu parler."
*Déserter..., la voila la solution, il faut que je parte d'ici rapidement*
-"Et à tu entendus comment il a fini ? - Non, je ne sais pas. - Il s'est fait tuer l'imbécile, pourtant c'était un Chuunin à ce qu'il parait. - A bon... ça lui apprendra de vouloir partir de notre village.
La fin de la conversation fit des frissons à Chinmei. Il savait qu'il devait être très vigilant s'il souhaitait fuir le village caché de Kumo mais il savait aussi que de rester ici, il ne ferait pas long feu sous les questions-pièges des autorités du village. Il devait agir vite, Il décida donc d'aller chercher de l'équipement sur le champs à la place du marché. il y alla en courant car les magasins et les marchants ambulant risquaient de ne plus tarder à fermer boutique mais une fois arrivé sur place tous les magasins avaient fermé. Il alla ensuite, toujours en courant, à l'hôpital et aperçus une amie de sa mère qu'il salua au loin ne se souciant pas vraiment d'elle. Il y acheta avec son bon d'achat de 50£ que lui avait offert le village, une pilule de soins légers de type 1. Il retourna par la suite au restaurant pour manger quelque chose car il comptait partir juste après le repas quand la nuit serai bien installé. Arrivant devant la porte du restaurant, il fit un petit sourire nostalgique.
*Ce sera mon dernier repas ici*
Dernière édition par Chinmei le Mer 17 Mar - 0:34, édité 1 fois (Raison : le marchant de passage était en faite parti donc il faut que je le retrouve ce sal*** ^^) |
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| Sujet: Re: Assis sur un des bancs publiques... | |
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