Voilà les maisons dans lesquelles je vais RP . Au lieu de faire plusieurs sujets je fais tout dans le même . Si ça ne va pas dites le . ( il se peut que de nouvelles maisons se rajoutent )




La maison dans laquelle Youso habitait étais petite comparée à celle qu'il avait à son village natale. Elle était sur le coin d'une rue ou plusieurs marchands et plusieurs passants traînaient ici et là. Elle comptait deux étages et un sous-sole qui contenait une seule salle. Cette salle servait à garder les patates au frais, on l'appelle donc : Chambre à patate. lorsque Youso était fatiguant ou faisait des bêtises sa tante l'enfermait une bonne heure dans cette salle. Bien sûr, Youso mangeait les patates pour punir sa tante qui l'avait enfermer dans la chambre à patate sans lumière et sans fenêtre. Au rez-de-chausser il y avait la cuisine, la salle à manger et une petite chambre de bain. Au deuxième étages il y avait deux chambres, une pour sa tante et une pour Youso. Ils n'avaient pas besoin de grand, car ils étaient deux. À l'arrière de la maison, il y avait plusieurs plants de fleur et un jardin pour y faire pousser des légumes que sa tante cuisinait par la suite. Ils mangeaient souvent un ragoût de porc avec quelques légumes que sa tante avait fait pousser dans le petit jardin.

La tante de Youso était vieille et ridé. Disons que Cathimaru, l'amie à Youso, ne voulait pas lui ressembler plus tard. En plus d'être laide, elle était méchante et n'aidait pas Youso a réalisé ses rêves et ne l'encourageait pas. Elle dit que devenir ninja est une perte de temps et que tôt ou tard nous allons mourir en mission. Youso savait que la cause de son comportement était que son marie soit mort en mission. Alors, Youso la pardonne d'être comme ça, car lui-même, est devenue méchant et égoïste après la mort de sa mère et de son père. Le véritable nom de celle-ci est Takana Shi. Elle à souvent honte de le dire, car elle porte le même nom que sa mère et à peur que les gens la prennent comme un fantôme. Youso savait qu'elle avait un problème mental autant que physique. Youso lui avait déjà proposé d'aller voir un médecin, mais elle a horreur des ninjas médicals et a donc enfermer Youso dans la chambre à patate cinq minutes, mais revint vite pour s'excuser. Youso comme d'habitude, l'avais pardonné. Cette femme peut être très égoïste, mais peux être aussi tendre et amoureuse. Depuis quelque temps même, elle fréquente un homme qui travaille à un petit marché au coin de la rue. Ils s'étaient rencontrés lorsque ma tante, inondé par la pluie qui avait fait rage sur elle sans prévenir, maudissait le ciel et insultait la vie. L'homme se nommait Shingen Akimoto et avait aidé Takana a traversée la rue sous un parapluie. Celle-ci le remercia et l'invita à prendre un café toujours dans un petit restaurant au coin de la rue.

Maison de Cathimaru Hiroki et sa famille

C'était la maison de ces rêves. La mère de Cathi s'appelle Maya Hikori et habite seul avec sa fille. Son marie est aussi mort dans une mission et quelque temps plus tard Cathi est née . Elle avait passé tout son temps lorsqu'elle était enceinte à manger de la crème glacée ett plein de sucre et de gras pour se consoler de sa mort. Quand Cathi est née, elle avait un petit handicap, mais tout ça c'est réglé avec le temps. Une fois sa fille dans ce monde, Maya décida d'arrêter de se ''bourrer'' et consacra sa vie à aider et à s'occuper de sa fille. Maya, malgré la mort de son marie, encourage sa fille à devenir ninja et ne veut pas d'autre homme dans sa vie. Elle aime sa petite vie qu'elle passe avec sa fille adorer et veut continuer à vivre dans le bonheur. Les deux femmes de la famille sont très belle et toujours très à la mode. Les garçons, autour d'eux, sont tous fous et les filles toutes jalouses. Cathi qui prenait l'exemple sur sa mère est devenue superficiel. La jeune fille devient de plus en plus forte et gagne de la rapidité . Jamais sa mère aurait pensée avoir une fille avec autant de talents .

Oui, s'était belle et bien la maison de leurs rêves . Elle était grande et comptait de nombreuse chambres et de couloirs . Il y avait deux étages et un sous-sole . Comme dans plusieurs maisons, les chambres à coucher étaient en haut et la salle à manger et cuisine au rez-de-chaussé . À l'avant, il y avait une belle grande terrasse et une petite table pour prendre le thé et pour déjeuner. À l'arrière, il y avait deux balançoire ou Youso et Cathi allait souvent pour parler de leur vie et de leur talents . Cathi avait pitié de Youso, car il était sans talent. Elle ne voulait pas s'entraîner avec lui, car elle avait peur de le rendre jaloux. Même si celle-ci est superficiel, elle a toujours un bon coeur et se soucie des autres.


Tokohiri, le grand frère de Youso, depuis six ans, habite à l'académie dans un petit appartement qui compte trois pièces . Une chambre, une cuisine et une salle de bain. Tokohiri a maintenant 16 ans et voit son frère Youso de temps en temps. Il va sûrement le voir plus souvent, car il vient maintenant à l'académie. Le frère de Youso pratique le Taijutsu et se débrouille bien . Il habite avec sa petite amie et l'aime beaucoup . Elle était dans la même classe que celui-ci lorsqu'il avait douze ans .

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Les premiers pas (Part 3)

Maison de Takana

Youso revenait de son entrainement qui l'avait complètement épuisé. Mais, ce soir, il devait aller avec Cathi s'entraîner sur son air d'entrainement. Il fallait reprendre des forces. Son frère allait sûrement venir l'aider à maîtriser La Tornade De Konoha. Il avait appris cette technique depuis longtemps et connaissait beaucoup de trucs pour réussir cette technique. Youso enleva ses souliers avant d'entrer et ouvrit la porte qui craquait et s'avança dans le couloir pour aller voir sa tante. Quand il entra dans la cuisine, il vit un homme aux cheveux bruns et avec une longue barbe de la même couleur. Sa tante avait l'air très contente aujourd'hui. C'était rare que Youso la voyait comme ça. Sa tante dit avec un grand sourire.

[Takana] Bonjour Youso ! Et puis ta première journée à l'académie. C'était bien ?

[Youso] Bonjour, oui c'était bien. Nous avons eu quelques embûches mais c'était bien. Tu sais, Cathi est dans la même classe que moi.

[Takana] Ha oui ! C'est une bonne nouvelle, tu n'auras pas à te faire d'amis. Je te présente Monsieur Shingen Akimoto. Il va manger avec nous ce soir. C'est l'homme dont je t'avais parlé l'autre jour. Que j'ai rencontré au marché.

Bien sûr, Youso le connaissait. C'était lui qui l'avait accompagné pour se rendre à Konoha lorsqu'il avait six ans. C'était donc lui que Takana lui parlait !

[Youso] Euhh bonjour, dit Youso en rougissant. Tokohiri viens manger ce soir ?

[Takana] Oui, il vient. Il plus tard et je veux que le souper( dîner pour les Français ) soit prêt. Tu viens m'aider ? Nous allons manger le ragoût de porc. Ton plat favoris.

Sa tante changeait vraiment lorsque ce vieux barbu était là. D'habitude elle n'aurait pas proposé de l'aider à faire à manger. Elle l'aurait ordonné. Elle aurait dit quelque chose comme '' YOUSO ! VIEN FAIRE À MANGER TOUT DE SUITE '' ou elle aurait dit '' VIENS FAIRE À MANGER TOUT DE SUITE SI TU NE VEUX PAS ALLER DANS LA CHAMBRE À PATATE ''. Et oui, elle ne le lâchait pas avec sa chambre à patate. Youso n'était plus un bébé et si sa tante le forçait à entrer dans cette chambre noir, il pourrait très bien se défendre. Il pourrait utiliser la base de la technique tornade de Konoha et lui donner un coup-de-pied en plein dans la figure. Bien sûr, l'attaque ne feras pas l'effet qu'elle serait censée donner, mais le coup-de-pied serait assez fort pour lui mettre l'oeil au beurre noir.

Youso alla prendre un chaudron dans l'armoire et le remplis d'eau chaude et le plaça au-dessus du feu. Ce ragoût était une spécialité de la famille Shi.

[Youso] Ils sont où les légumes ma tante ?

[Takana] Dans le jardin Youso, désoler, je n'es pas eu le temps d'aller les chercher.

Pas eu le temps d'aller chercher les légumes, mais elle a le temps d'être avec le vieux barbu ridé. Pensa Youso.

Il sortit par la porte de l'arrière et alla dans le jardin. Sa tante et lui avait une petite maison, mais un immense jardin. La famille vivait presque seulement de ces légumes. Takana plantait des tomates, des concombre, des radis, du céleri, des piments verts et rouges, des carottes, de la salade, des poivrons et des patates. Celle-ci passait son temps dans le jardin. C'était en fait sont travaille. Elle revendait ces légumes et arrivait à un petit budget, mais elle avait assez d'argent pour faire vivre sa petite famille. Youso se pencha vers les carottes qu'ils étaient assez grosses pour se faire manger et tira pour les faire sortirent de la terre. Après les carottes, il se dirigea vers les poivrons ensuite les tomates, les patates et les radis. Il avait remplit son panier de légumes pour pouvoir faire le ragoût au porc et entra chez lui. Takana coupait des petits filets de porc pour mettre dans le ragoût. Takana dit en tendant un couteau.

[Takana] Peu tu couper les légumes.

Youso pris le long couteau et se mis à couper les légumes. Il coupa les carottes en rondelle et les mis dans l'eau qui bouillait. C'était le tour des poivrons qu'il coupa en petite languette et les patate qu'il pilla et y ajouta les radis dans les patates. Après avoir terminé d'avoir coupé le porc, Takana pris les tomates et prépara un sauce avec celle-ci. Elle méta le tout dans le chaudron. Quelques temps plus tard, Tokohiri, le frère de Youso arriva.

[Youso] Salut grand frère. Moi et ma tante avons fait le souper ( dîner pour les Français ). Tu arrives à temps.

[Tokohiri] Très bien, j'avais justement le ventre qui gargouillait.

Les deux frères s'assirent à la table, suivi de Shingen et de Takana. Ils prièrent ensemble pour remercier dieux de leur offrir ce repas et commencèrent à déguster le ragoût.

[Youso] Tokohiri, veux tu venir tout à l'heure avec moi et Cathi nous aider à nous entraîner pour apprendre la Tornade de Konoha ? Le professeur Ayame nous as appris la base et elle nous a demandé de se pratiquer le soir. Mais sa irait beaucoup plus vite si quelqu'un était avec nous. Tu veux ?

[Tokohiri] Je vois que la première journée c'est bien déroulé. Mais ce soir, je ne peux pas, je sort avec Karen ce soir.

Karen était la petite amie du frère de Youso. Ça faisait déjà un bout de temps qu'ils se voyaient et ils ont finalement décidé de sortirent ensemble. Karen est très belle, elle a 16 ans et vas à l'académie avec Tokohiri depuis l'âge de douze ans. Elle aussi se perfectionne dans le domaine du Taijutsu. Elle a les cheveux d'un brun clair et les yeux vert forêt. Depuis leur première rencontre, c'est deux là sont inséparables.

[Youso] Mais invite la avec toi

[Tokohiri] Ouais, je pourrais lui demander. Mais rien n'est sûr.

Ils finirent de manger ensemble. La tante de Youso lui demanda de faire la vaisselle. Après quelques temps, Cathi cogna à la porte.

[Youso] Salut tu es prête.

[Cathi] Oui je suis prête, j'espère que tu as bien mangé.

[Youso] Bien sûr que j'ai bien mangé. Mon frère vas peut-être venir avec sa petite amie avec nous. Mais il n'est pas sûr. Il m'a dit de ne pas l'attendre et de commencer à s'entraîner et que s'il peut, il viendra.

[Cathi] Bon d'accord, j'espère que Miyako ne sera pas là !

[Youso] Oué... Bon, je prends mon sac et j'y vais.

Youso pris quelques bouteilles d'eau et une serviette et mis le tout dans son sac. Les deux amis sortirent donc de la maison et marchèrent en direction de l'académie.

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Youso : +17 XP RP

Les premiers pas (Part 6)

Maison de Cathimaru Hiroki et sa famille

Cathi était en chemin vers chez elle après le dur entrainement que Madame Ayame lui avait fait faire. Elle dînait et après retournait avec Youso pour faire l'entraînement du soir. Le jeune garçon aux cheveux bruns lui avait dit que son frère viendrait peut-être les aidé, car lui aussi avait appris la Tornade de Konoha. Mais cela faisait plusieurs fois qu'il ne venait pas quand il avait promis de venir.

La maison était en vue. Elle n'était pas très difficile à voir, car c'était une des plus grandes. La mort de son père avait laissé beaucoup de dette et Madame Hiroki devait payer ceux-ci. Elle prévoyait de déménager dans un petit village en laissant Cathi habiter à l'académie. Sa fille était contente en même temps de ne pas l'être, car elle pourrait afin vivre sa vie sans sa mère dans les jambes. Elle voulait devenir ninja et n'avait pas besoin de l'aide de Madame Hiroki. Mais non, Cathi aimait bien sa mère, mais elle se disait que prendre ses responsabilités était encore mieux que d'être le chouchou à sa maman.

Elle ouvrit la petite grille qui s'éparait la rue de son terrain et marcha jusqu'à sa maison. Une fois arrivée sur le seuil elle trouva une petite lettre posée sûr le petit banc de la galerie. Dessus, il était marqué en rouge clair :

Ceci est un message du centre de formation des ninjas de Konoha venant d'Otawara Ayame. Il est adressé à Hiroki Cathimaru, aspirant à l'académie ninja de Konoha.

Elle l'ouvrit délicatement pour ne rien abimer et lit le paragraphe que son sensei avait écrit.

Bonjour ma chère. Cela ne fait pas longtemps que tu es à l'académie, mais je suis fier de t'annoncer que tu fais dès maintenant partit de l'équipe six. Nous avons pu voir, moi et l'équipe ninja de l'académie, ta maturité et ta détermination à devenir ninja et nous t'avons choisi avec fierté. Viens donc demain à l'académie pour un rassemblement d'équipe vers 10h où nous pourrons, toi et tes coéquipiers, parler de l'avenir qui nous attend tous ensemble. Informe-toi à la secrétaire pour savoir la salle. Tu es belle et sensible et je t'aime beaucoup.

Ayame, maintenant ton sensei.

[Cathi] Oué ! Je suis membre d'une équipe. Super !

Cathi était tellement contente quelle dansa jusque dans sa chambre. La fierté qu'elle pouvait avoir d'être choisi en si peu de temps ! Elle se demanda si ses amis étaient eux aussi accepter dans une équipe. S'ils ne l'étaient pas, comment se sentirons t-il ? Ils seront sûrement jaloux d'elle et Cathi détestait quand les autres étaient jaloux. Devait-elle le cacher ? Ses deux amis avaient tous les deux de sacré caractère. Youso, quand ça ne faisait pas son affaire, pouvait très bien faire la crise pendant des heures et insulter Cathi pendant des heures. Mais Miyako n'était pas mieux. Cela faisait peu de temps qu'elle le connaissait et quand il est jaloux, il peut faire tout pour être meilleur que l'autre. Cathi avait bien dit tout !

Elle perdit rapidement le sourire en pensant à cela. Toujours couché sûr son lit, la lettre à la main, elle se demandait quoi faire. Ce n'était jamais facile de faire des choix. Même si ceux-ci étaient ridicules. Elle se leva et fouilla dans son sac pour prendre son journal intime qu'elle ouvra. Elle pesa sur le bouton du stylo pour faire sortir la pointe et le glissa sûr la feuille pour y écrire des mots.

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19 juillet. 18h

Cher journal ! Aujourd'hui, j'ai une super nouvelle à t'annoncer. Mais avant, je voulais te dire que j'adore écrire sûr tes feuilles qui sentent le parfum. Depuis que j'écris dans ce journal je me sens beaucoup plus libéré. Quand il y a quelque chose qui me tracasse je me jette tout de suite sûr toi pour me sentir mieux. S'il y a un dieu quelque part. Je veux qu'il m'aime, je veux qu'il sache qui je suis... Non, je veux qu'ils sachent qui je suis.

Commençons du début de la journée, veux-tu ? Tout d'abord, j'ai commencé ma journée en déjeunant. J'ai mangé une tartine avec un grand jus d'orange. C'était tout à fait délicieux. Comme tu peux le voir dans les autres pages, je mange cela à chaque matin. Mais je n'y peux rien j'adore les arachides. Une chance que je ne suis pas allergique, car je me vois mal vivre sans, mais pendant que je mangeais mon délicieux petit déjeuner, ma mère m'a demandé d'aller faire ma chambre avant de partir m'entraîner. Elle m'énerve ! Si tu lis mon journal maman, sache que je t'aime même si tu m'énerves quelquefois. Revenons à nos moutons. Je suis donc monté dans ma chambre et j'ai ramassé le bordel que j'avais fais. J'ai rangé tout mon linge par ordre de couleur et mis toutes mes paires de soulier dans mon armoire, au fond de ma chambre. J'ai fais le tout en écoutant ma chanson préférée... Je voudrais déjà être un roi du roi lion. Quelle bonne chanson... Sa ressemble un peu à ça.

C'est moi Simba.

C'est moi le roi

du royaume animal.

C'est la première fois que je vois un roi

avec si peu de poils.

...

Je ne l'écrirai pas tout sinon je vais prendre beaucoup trop de place dans mon beau journal. Après avoir fini je me suis fait une couette et mis mes cheveux devant mon oeil gauche. Enfin je me comprends... Peut importait de ma beauté, j'étais prête. Je me suis mis plusieurs bouteilles d'eau dans mon sac pour ne pas avoir à prendre celles de Youso et je suis sortit en courant. Ce qui débuta mon entraînement. Car oui, Madame Ayame nous a dit de courir pour se rendre à l'académie. Cela a pour but de nous échauffer. Elle à de très bonnes idées, mais depuis que nous avons commencé nos entraînements, nous faisons que courir et pratiquer la technique Tornade de Konoha. Cette technique porte bien son nom. Je trouve ça trop ridicule de mettre le nom d'un village dans une technique. Si nous allons dans un autre pays par exemple et que nous voulons garder notre identité secrète, nous avons clairement dit de quel village nous venons en l'utilisant. N'empêche que je trouve ça très ridicule.

Une fois rendue à l'académie j'ai pris le temps de boire un peu d'eau et nous avons commencé l'entrainement. À Chaque fois que nous réussissons à casser un épouvantail, Madame Ayame nous en monte un autre plus solide. Nous pouvons alors, progresser à notre rythme. C'était beaucoup trop difficile cette technique. Cela fait une semaine que nous nous entraînons et à chaque fois que nous pensons avoir défait le dernier épouvantail, Ayame en construit un nouveau et toujours plus fort. C'est I.M.P.O.S.S.I.B.L.E. Nous avons donc décidé moi, Miyako et Youso d'aller dans un Amphi de ninjutsu non élémentaire demain. Pour faire une petite pause d'Ayame et de la Tornade de Konoha.

Cela devrait être plus facile. Le ninjutsu non élémentaire est la base du ninja. Tout ninja qui se respecte connaît la plupart des techniques non élémentaires. C'est mon devoir d'apprendre cela. Ça ne feras pas de mal à personne si nous prenons une petite pause d'environ une journée. J'espère que Youso ne seras pas comme hier, car il n'était vraiment pas positif.

Depuis qu'il connait Miyako il change beaucoup. N'empêche que je commence à l'aimer de plus en plus. Ce petit coter rebelle est vraiment excitant. Je ne sais pas si un jour, nous nous aimerons et allons avoir beaucoup d'enfants. Quoi... une fille a le droit de rêve tout comme un garçon peut s'essayer. Pourquoi ne viens t-il pas me voir. C'est toujours moi qui dois aller de l'avant. Peut-être qu'il ne m'aime pas. En plus nous sommes copains depuis six ans. Ça serait vraiment étrange que l'on sorte ensemble. Ma mère me dit que toute fille qui se respecte doit avoir un garçon en vue. Bah moi, le garçon que j'ai en vue est Youso. Un jeune brun aux yeux bruns avec un coter rebelle que c'est beau ! En plus il n'est pas imbécile comme ce stupide Miyako. Il n'a jamais eu de bonnes idées sauf bien sûr le truc du Taijutsu.

Bon, voilà la grande nouvelle cher journal, aujourd'hui, j'ai été accepté dans une équipe.. L'équipe 6. Cette équipe va être la meilleure, car bien sûr je suis dedans ! Non, je ne t'abandonnerais pas... Je n'abandonnerais pas mon amour non plus... Je vais donc aller à Amphi demain même si j'ai une réunion de groupe. J'ai décidé que je n'en parlerais à personne que je suis dans une équipe, sauf bien sûr à ma mère. Justement, je te laisse, ma mère m'appelle pour aller dîner et après j'ai un rendez-vous avec Youso. Enfin... Je vais m'entraîner, mais ce n'est pas grave. Je viendrais donc écrire cette nuit. Il est en ce moment 18h30.
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Cathi descendu de son lit et regarda son journal secret. Elle l'avait tellement bien décoré. Il était rose et elle avait dessiné de jolis lapins sur la couverture. Elle referme le cadenas et mis la clef en dessous de la pile de linge qu'elle avait rangé le matin même et sortit de sa chambre pour aller manger avec sa mère.

*Je vais avoir rendez-vous avec toi, mon beau Youso*

Hiyori arrivat vers 20 heures à l'adresse que lui avait fait mémoriser Cathi.
Il était accompagné de Kosumi son ami d'enfance, qu'il était allé prendre chez lui. Ils avaient mis pas mal de temps à arriver car Kosumi avait une jambe dans le plâtre, et aussi parcequ'ils s'étaient un peu égarés dans le village. La maison de la tante de youso était située dans un quartier où ils n'allaient que rarement. Cette maison était en hauteur et un peu plus grande que celle que Hiyori partageait avec sa grand-mère.
Kosumi arrivat en claudiquant derrière le jeune Hyuga.

"Je suis pas sûr que c'est une super idée de venir le chercher chez lui. Après tout il nous connait à peine et n'a pas l'air de nous porter dans son coeur."

Il sourit à son ami, celui-ci n'avait jamais fait preuve d'un grand courage, on pourrait même le dire peureux, mais Hiyori avait l'habitude de voir son ami apeuré par l'inconnu, c'est pour cela qu'il lui sourit.
Kosumi rosit légerement, car il savait ce que voulait dire le sourire de son ami, et il rougissait de sa propre couardise.
Contrairement à lui Hiyori était d'un naturel curieux, et bien qu'il était d'une certaine maturité dans bien des domaines, sa curiosité maladive rappelait à tout le monde qu'il n'était encore qu'un enfant.
Sa curiosité empêchait Hiyori de penser à l'éventualité que Youso ne les reçoive pas bien, après tout, il n'aillait pas les manger.
Hiyori sourit et s'adressat à son ami:

"Ne t'inquiète pas tout va bien se passer, je ne vois pas pourquoi il s'énerverrait de nous voir, après tout c'est Cathi qui nous a dit de venir le chercher, il est prévenut. Et puis entre nous, je ne pense pas qu'il est un mauvais fond, il faut juste qu'on apprenne à se connaitre tous ensemble."

Hiyori se rendit alors compte que lui et son ami avaient parlés très fort et que la rue autour d'eux était silencieuse, il éspérait que toute la rue n'avait pas entendue ce qu'ils disaient. Il sourit alors à son ami qui lui rendit un sourire mal assuré puis indiquat à son ami, d'une geste de la main, de passer devant. Hiyori sourit, décidement son ami ne serait jamais un grand courageux, mais c'était comme ça qu'il l'aimait.
Hiyori farnchit donc rapidement les quelques mètres qui le séparait de la porte de la maison de la tante de Youso.
Juste avant de frapper il se remémorat encore une fois tout ce qu'il avait mît dans son sac à dos avant de partir de chez lui, pour être sûr de n'avoir rien oublié. Il avait prît son bandeau frontal, des bandages au cas où, des petites bouteilles d'eau, les deux kunais qu'on lui avait remit à l'académie, deux tablettes du chocolat dont il raffolait avec kosumi, et que Youso avait l'air d'aprécier, et un téléphone portable.

* C'est bon j'ai tout, alors c'est partit....*

Il frappat alors deux coups à la porte et sentit Kosumi se raidir derrière lui. Apparement son ami appréhendait la suite des évênements, alors que Hiyori lui, était tout sourire, et impatient de voir Youso et d'aller à son premier entraînement de ninja.

[Le lendemain de l'hôpital]

Rencontre avec Hiyori (Part 1)

Youso faisait un adorable rêve avant que sa tante le réveille. Il rêvait à tout ce qu'il avait vécu avant de faire la plus grande erreur de sa vie, devenir ninja. Comment avait-il pu vouloir devenir Shinobi. Avant, il vivait en paix, dans sa petite maison, sans stress et sans rien en étant heureux. Heureux, n'exagérons rien. Vivre quand on doit cacher notre vraie personnalité ne le rendait pas heureux. Mais maintenant, il ne l'était pas plus. Au fond de lui il savait que c'était de sa faute. La relation qu'il avait avec Kenji était plus que mauvaise. La relation qu'il avait avec son sensei était de même. La relation qu'il avait avec ses deux amis empirait. La relation qu'il avait avec Oni n'a jamais été bonne. La relation avec sa tante ne l'était vraiment pas. Résumer, il n'avait presque plus personne. Il fallait y remédier avant que les émotions que Youso gardait cacher explosent. La pression que tout le monde m'était sur lui était plus que lourde. Ils voulaient tout de suite voir du changement dans le comportement de Youso sans savoir ce que celui-ci ressentait. Ils pensaient sûrement que tout était facile pour le petit Shinobi, mais ils se trompaient.

Youso se leva, les yeux fatigués pour ensuite enfiler ses pantoufles et aller vers la salle de bain. Devant le miroir, il plaça ses cheveux même s'il allait rester dans la maison toute la journée. Il allait se brosser les dents, mais il avait oublié de manger son petit déjeuner. S'il ne le mangeait pas, sa tante lui ferait une syncope. Pas une petite, une grosse. Il descendit lentement les escaliers et pris une tranche de pain et la mise dans le grille-pain. Lorsque la sonnerie de celui-ci sonna, il la prit immédiatement en la faisant voler dans les airs, car elle était très chaude. Il prit la confiture aux framboises qu'il mit à volonté sur sa toast. Il avait l'eau à la bouche qu'à y penser. Ce petit-déjeuner allait être un régal. Il avala sa toast, presque d'un coup sec et monta se brosser les dents. Sa tante ne lui avait même pas parlé. Même si elle n'avait pas l'air de l'être, elle était là, à coter de Youso.

Une fois monté en haut, il se rappela qu'il avait rendez-vous avec Cathi. Hiyori venait le chercher cet après-midi. Mais lorsqu'il constata qu'il était une heure, il se recoucha confortablement dans son lit. Il n'avait pas le goût d'aller s'entraîner. Cela serait une vraie corvée pour lui. Yosuke avait bien dit : Un moment de repos. Mais il lui fit un clin d'oeil qui voulait dire que Youso devait s'entraîner. Il devait faire ce que son sensei lui disait maintenant. Au fond, Yosuke n'était pas réellement méchant et encore moins un mauvais sensei, il entraînait ses élèves à sa manière. Mais Youso avait de la difficulté à se faire une idée sur celui-ci. Son sensei faisait tout pour avoir une bonne équipe. Il voulait le bien de Kenji et de Youso et tout ce qu'il recevait en échange, c'était des insultes. Cela fendait le coeur à Youso même si c'était lui qu'il faisait endurer cela à Yosuke. Peut-être qu'un jour, lui et Kenji deviendrait de bons amis.

*Tu peux toujours rêver*

Dit Youso à lui-même. Yosuke, peut-être, mais Kenji, impossible. Hiyori, fort probablement, car il avait la patience et la capacité à supporter Youso. Cela était bon signe. Même s'il ne voulait pas, il allait aller à son entrainement.

Il se releva et s'habilla. Il prit sa brosse à dents et commença à utiliser la technique que nombreux faisaient en début de journée, il se brossa les dents.

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Sa tante venait de finir la vaisselle. Comment ce jeune rebelle pouvait il laisser tout traîner. S’il ne faisait pas attention, une bonne correction le mettrait à sa place. Ici c’était sa maison, son territoire et si il ne faisait pas ce qu’elle voulait, il allait bientôt déménager. Elle avait autre chose à faire que de ramasser le bordel que celui-ci foutait dans la maison. Quelqu’un cogna à la porte. Mais qui pouvait venir cogner sur le seuil de sa maison à une heure pareille. Elle marcha le plus fort possible pour faire entendre à ses inviter qu’elle n’était pas d’humeur à parler. Elle ouvrit la porte furieusement en regardant de haut en bas les petits mômes qui attendait devant la porte.

[Takana] Ce n’est pas l’halloween les jeunes, en plus votre déguisement laisse à désirer. Vous ressembler étrangement à Youso. Surtout toi !

Elle pointa violement Hiyori.

Youso regardait en haut de sa fenêtre avec amusement la scène. C’était plutôt Takana qui était déguisé. Quelle l’aideur. Elle avait un vrais masque de Freddy Krueger.

[Takana] Vous voulez le voir, c’est ça ?

Elle se passa la langue sur ses dents jaunes.

[Takana] Youso. Il y a des gosses devant ma porte ! Vas chercher les bonbons pour qu’ils nous foutent la paix !

Elle s’enfuit plus profondément dans la petite maison en laissant les deux gamins devant la porte.

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Sa tante venait de finir la vaisselle. Comment ce jeune rebelle pouvait-il laisser tout traîner. S'il ne faisait pas attention, une bonne correction le mettrait à sa place. Ici c'était sa maison, son territoire et s'il ne faisait pas ce qu'elle voulait, il allait bientôt déménager. Elle avait autre chose à faire que de ramasser le bordel que celui-ci foutait dans la maison. Quelqu'un cogna à la porte. Mais qui pouvait venir cogner sur le seuil de sa maison à une heure pareille. Elle marcha le plus fort possible pour faire entendre à ses inviter qu'elle n'était pas d'humeur à parler. Elle ouvrit la porte furieusement en regardant de haut en bas les petits mômes qui attendait devant la porte.

[Takana] Ce n'est pas l'halloween les jeunes, en plus votre déguisement laisse à désirer. Vous ressembler étrangement à Youso. Surtout toi !

Elle pointa violemment Hiyori.

Youso regardait en haut de sa fenêtre avec amusement. C'était plutôt Takana qui était déguisé. Quelle laideur. Elle avait un vrai masque de Freddy Krueger.

[Takana] Vous voulez le voir, c'est ça ?

Elle se passa la langue sur ses dents jaunes.

[Takana] Youso. Il y a des gosses devant ma porte ! Vas chercher les bonbons pour qu'ils nous foutent la paix !

Elle s'enfuit plus profondément dans la petite maison en laissant les deux gamins devant la porte.

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Youso descendit les marches violemment comme le faisait sa tante. Comment pouvait-elle parler comme ça à ses nouveaux amis. Il la regarda avec ses yeux de tuer et continua le chemin menant vers la porte. Il avait toujours la brosse à dents à la bouche et il écarta la porte pour voir mieux Hiyori et Kosumi. Il dit en souriant :

[Youso] Salut.

Les deux gosses avait l'air d'être effrayés, voir même traumatiser. Youso les regardait avec amusement.

[Takana] Avant de t'enfuir et ne revenir tard ce soir, vas donc ramasser ton foutu bordel que tu as laissé trainer dans la chambre de bain ! Tu veux vraiment que les visiteurs nous prennent pour des mal élevés !

Youso tapa dans le mur et lui dit en criant aussi fort qu'il le pouvait, car bien sûr, sa tante était tête dure et ne comprenait rien. C'était plutôt à cause d'elle que les visiteurs les prenaient pour des mal élevés.

[Youso] Tu n'es pas capable de te pencher et de ramasser une serviette pour une fois ! Vous, attendez-moi.

Dit Youso en claqua la porte. Hiyori et Kosumi devait entendre la disputent que Youso et sa tante avait. Mais Youso s'en contreficha et ramassa sa serviette et prit, au passage, son sac remplis de provision.

Il ouvrit la porte et on attendit très clairement Takana dire : Ne revient que demain ! Avant que la porte se ferme brutalement.

[Youso] On peut y aller.

Dit calmement Youso avec un petit sourire.

Hiyori fût d'abord éffrayé par la vieille dame qui lui ouvrit la porte. Et il eut raison, elle les insultas, surtout Hiyori puis fît demie tour en appelant Youso. Hiyori les yeux lançant des éclairs, la regardait s'éloigner doucement et s'enfoncer dans la maison. Il sentit Kosumi derrière qui frémissait encore de terreur, décidement quel froussard. Kosumi lui chuchotat alors à l'oreille.

"Tu vois je t'avais bien dis que je le sentait pas trop ce coup là...."

Il se tut car son ami venait de se retourner, er son regard était meurtrier, il semblait pas mal en colère. Quelqu'un venait d'insulter son meilleur ami et ses cheveux, Hiyori détestait cela, c'était l'une des rares choses qui pouvait le mettre en rogne, et si la vieille était restée un peu plus longtemps elle en aurait prit pour son grade, car on ne pouvait pas dire qu'il s'agissait d'un mannequin, elle était assez laide. Mais Hiyori se reprit, il ne voulait pas insulter les gens sur leur apparence physique, il se l'était promit il y a longtemps et ne voulait pas revenir la dessus. Son visage se radoucit alors qu'il voyait Youso dévaler l'escalier une brosse à dent dans la bouche.

* Son comportement est compréhensible si il passe la journnée avec cette folle*

Youso les saluat puis rebondissant sur une remarque de sa tante, commençat à s'engeuler avec elle. Hiyori n'aimait pas assister à des scènes de ménages, et Kosumi non plus d'ailleur, il se sentir donc tout les deux gênés.
Youso revint avec un sac, et fermat la porte sur une dernière pic de sa tante.

"On peut y aller"

Youso leur décrochat un petit sourire. Hiyori se dit qu'il était plus fort qu'il n'y paraissait aux premiers abords, car il venait de se facher avec sa tante et parvenait à sourire. Ou alors c'était quelque chose qui était devenus habituel pour lui, ce qui n'était pas pour déplaire à Hiyori. Comment pouvait-on traiter son neveu comme ça.
Hiyori décrochat un sourire à Youso, alors que Kosumi lui tendait la main pour le saluer.

"Salut Youso, content de te revoir. On est parés pour l'entraînement, j'espère que tu es prêt."

Hiyori sourit au jeune ninjà, et lui décochat un clin d'oeil complice, puis il prît un air inquiet, conscient qu'il avait oublier que la veille, Youso gisait dans un lit d'hospital.
Il regardat son visage blessé et constatat que les plaies guérissaient bien.

"Au fait comment te sens-tu, ça va mieux depuis hier?"

Rencontre avec Hiyori (Part 2)

[Hiyori] Salut Youso, content de te revoir. On est parés pour l'entraînement, j'espère que tu es prêt. Au fait comment te sens-tu, ça va mieux depuis hier ?

Youso afficha un sourire. Il était prêt. Il avait sortit de cette maison, alors il était prêt et ça allait plus que bien.

[Youso] Mais oui, je ne me suis jamais senti mal.

Il regarda Kosumi, il avait un plâtre. Il était signé dessus : Hiyori. Quelle bande de gamin. Qui, sauf eux, signe les plâtres. Quand Cathi verras ça, elle va tous simplement sursauter. Elle est tellement à la mode et eux tellement ringards. Youso n'avait qu'une envie : Ses baisser et signer le plâtre pour faire savoir que cela ne lui plaisait pas. Il voulait marquer en gros : RINGARD sur toute la circonférence de la jambe pour que tout le monde le voit. Quelle stupidité.

Ils descendirent les trois escaliers qui les séparaient de la rue et marcha vers l'académie. Youso, malgré qu'il fût loin, pu apercevoir Miyako, la tête basse. Lorsqu'il la leva, il fit un grand signe de la main avec un grand sourire. Il courra jusqu'au petit groupe en regardant les deux autres mômes d'un air qui voulait dire qu'ils n'étaient pas le bienvenue et pris Youso dans ses bras pour lui gratter le fond de la tête avec ses jointures. Youso détestait sa façon d'agir, mais il ne pouvait rien faire. Il se prenait pour son frère et cela dérangeait quelque peu Youso. Le petit Shinobi fît les présentations.

[Youso] Miyako, Hiyori, Hiyori, Miyako, Kosumi, Miyako, Miyako, Kosumi, Hiyori, Kosumi... Euh...

Miyako fît un signe de la tête pour leur faire bonjour, mais il n'avait pas l'air intéressé par eux. Il entoura le cou de Youso avec son bras et commença à marcher. Le châtain avait le goût de le repousser, car c'était un peu trop.... Enfin... Cela ne lui plaisait pas.

[Youso] Alors, voilà...

Dit Youso en soulevant le bras de Miyako.

[Youso] Ce n'est pas loin d'ici, vous verrez. Cathi doit déjà être là. Au fait... Quelle technique maîtrises-tu Hiyori ?

Hiyori suivit Youso dans les escaliers puis dans la rue. il avait vu le regard réprobateur qu'il avait posé sur la signature que Hiyori avait faite sur le plâtre de son ami, mais il avait préféré ne pas relever, il était sur que ce ninja avait un bon fond, et ne voulait pas le faire s'énerver pour faire ressurgir le mauvais côté de sa personnalité, youso n'avait pas de ça en ce moment si l'on s'en fiait à ce qu'il avait dit à propos de son équipe, et du discours de sa tante.
Un jeune garçon vint vers eux alors qu'ils étaient dans la rue. Il jetat un regard de pure indéfférence à Hiyori et Kosumi, puis commençat à taquiner youso, au grand déplaisir de celui-ci si l'on s'en fiait à la grimace qu'il faisait; youso présentat son ami, il s'appelait Miyako, c'était donc lui qui allait s'entraîner avec eux, comme l'avait dit Cathi.
Laors qu'il passait un bras autour du cou de youso, Miyako les saluat d'un bref cou de tête, sans même les regarder dans les yeux, Hiyori répondit de la même façon avec un moue réprobatrice sur le visage tandis que Kosumi murmurait un faible:

"Enchanté....."

Youso écarta le bras de son ami tout en disant:

"Ce n'est pas loin d'ici, vous verrez. Cathi doit déjà être là. Au fait... Quelle technique maîtrises-tu Hiyori ?"

Ainsi ils n'étaient plus très loin, et Hiyori allait revoir cathi, la seule qui semblait vraiment les apprécier ne serais-ce qu'un peu; Bien que Youso avait l'air beaucoup plus détendut aujourd'hui qu'il l'était la veille.
Hiyori sourit à Youso tout en lui disant:

"Voyons Youso tu devrais savoir qu'un ninja répugne à dévoiler ses techniques, tu le verras bien assez tôt."

Voyant que ni Miyako, ni youso ne semblaient montrer qu'ils avaient compris que c'était une blague, hiyori eut un petit sourire gêné:

"Heu..... c'était pour plaisanter. De toute façon vous le saurez dans quelques mètres donc autant vous le dire tout de suite si ça nous permet de gagner du temps. Je commence à maîtriser mon Byakugan, et ne suis pas trop mauvais au corps à corps, hormis cela je ne sais pas faire grand chose d'autre, et ne veut pas faire d'autres chose que du taijutsu."

Parler du byakugan, refît jaillir à la surface des souvenirs que Hiyori aurait préféré oublier. Les longues séances d'entraînements avec des personnes de son clan qui ne possédaient pas le byakugan, mais en connaissaient la théorie. Ils lui avaient appris des techniques pour mieux comprendre son don, etcommencer à le maîtriser. Même exclu de chez lui, Hiyori avait continué à s'entraîner avec ces techniques, et il commençait à bien maîtriser ses pupilles.
Il revint à l'instant présent. Pendant quelques secondes il avait eut les yeux perdus dans le vagues, et une expression douleureuse sur son visage. Penser à toutes ces personnes qui avaient prétendues l'aimer, et l'avaient rejetées comme une vieille serpillère le hantait.
Il jetat un coup d'oeil aux alentours, car il ne sentait plus Kosumi dans son dos. Il le vît assis à quelques mètres d'eux sur un banc. Hiyori eut un petit sourire plein de compassion pour son ami qui devait se fatiguer rapidement en marchant avec des béquilles. Puis il tournat son regard blanc ivoire et le planta dans les yeux de Youso, avec une expression décidée dans son regard, une expression de combattant pur et dur qu'on lui voyait rarement.

"Alors on y va?"

Et il eût un petit sourire carnassier à la fin de sa phrase. Il avait attendut cet entraînement avec impatience et était déterminé à donner le meilleur de lui même.

Rencontre avec Hiyori (Part 3)

[Hiyori] Voyons Youso tu devrais savoir qu'un ninja répugne à dévoiler ses techniques, tu le verras bien assez tôt.

Youso le regardait d'un air perplexe. Mais il arrêta tout de suite en comprenant que c'était le moment de rire. Hahaha... La blague ! Petit farceur. Youso ne savait pas vraiment s'il devait se forcer pour rire, mais heureusement, Hiyori reprit la parole.

[Hiyori] Heu..... C'était pour plaisanter. De toute façon vous le saurez dans quelques mètres donc autant vous le dire tout de suite si ça nous permet de gagner du temps. Je commence à maîtriser mon Byakugan et ne suis pas trop mauvais au corps à corps, hormis cela je ne sais pas faire grand-chose d'autre et ne veut pas faire d'autres chose que du Taijutsu.

Miyako ria de bon coeur. Non, mais vraiment, ce ninja ne connaissait rien à la vie de ninja. Il ne savait même pas ce qu'il était bon pour lui.

Youso pensait la même chose. Voilà un autre garçon qui voulait que devenir plus fort. Mais Youso était habitué puisque tout le monde alentour, sauf lui bine sûr, voulait devenir plus fort. Bande d'imbécile ! La force n'arrangeait rien, sauf au combat et personne n'en avait besoin pour aimer ou pour tout simplement vivre. Une personne handicapée pouvait très bien être heureuse sans bras ou sans pied. Tout ce qu'il faut c'est un bon coeur. Même si parfois il est bien caché, il faut avoir un coeur.

[Miyako] Oui on le savait, mais ta plaisanterie n'est tout simplement pas drôle. Tu sais que, tout ninja qui se respect, doit connaître les techniques de base. Comme le Henge le multi clonage... Mais toi, on dirait que tu n'y connais rien. Je suis même très surpris que les autres ninjas de Konoha t'ont choisi pour devenir Ninja... Non mais t'as vue tes cheveux.

Ça sentait le brûler. C'était peut-être Hiyori qui chauffait de l'intérieur. Youso était surpris par la réponse de Miyako. Il le trouvait tellement stupide d'avoir dit ça. Comme si ses cheveux étaient plus beaux. Mais il n'avait pas tort à propos des techniques. Mais Miyako était tellement méchant... Plus que Youso. D'habitude, ont dit : l'élève dépassera le maître. Mais Youso était sûr de ne pas être aussi méchant que lui. C'était inutile de provoquer comme ça Hiyori.

[Youso] La ferme Miyako, je vais le dire à Cathi et elle va te flanquer une fessée dont tu vas te souvenir.

Il avait peur de la réaction de Hiyori. Il savait que cette conversation allait mal finir, car Hiyori était doux comme un chaton. Mais Youso savait qu'au fond il était un tigre, affamer et assoiffer de sang. La colère qu'il garde au fond de lui pouvait surgir d'un moment à l'autre et Youso se mettait en défensive pour recevoir son attaque. En plus, il pouvait voir de petite étincelle dans les yeux de Hiyori lorsqu'il voyait Cathi. Même si elles étaient petites, elles étaient là. Miyako en avait aussi et elles étaient grosses. Le lion allait t-il combattre le tigre ? Cela pourrait devenir intéressant, mais finir en drame.

Les deux garçons fixèrent bizarrement Hiyori pendant quelques instants, qui compris qu'il avait fait une gaffe. Miyako rit de bon coeur avant de lui sortir à la figure:

"Oui on le savait, mais ta plaisanterie n'est tout simplement pas drôle. Tu sais que, tout ninja qui se respect, doit connaître les techniques de base. Comme le Henge le multi clonage... Mais toi, on dirait que tu n'y connais rien. Je suis même très surpris que les autres ninjas de Konoha t'ont choisi pour devenir Ninja... Non mais t'as vue tes cheveux."

Hiyori encaissat le coup quelques secondes. Puis fixat d'une regard dédaigneux Miyako. Décidement ce shinobi n'était pas très interessant, et contrairement à ce qu'il prétendait, il n'avait vraiment pas compris le vraie sens de la vie d'un shinobi.

"La ferme Miyako, je vais le dire à Cathi et elle va te flanquer une fessée dont tu vas te souvenir. "

Hiyori écoutat à peine ce qu'avait dit Youso et éclatat d'un rire monstrueux, comme dénué de toute joie.
Il plongea alors son regard dans celui de Miyako sans sciller, ses yeux plus blancs que la neige était plantés dans ceus du jeune homme et ne s'en décroceheraient pas, comme les dents d'un requin attendant d'avoir fait assez de dégats avant de lacher sa proie.
Il déclarat alors:

"Vraiment Miyako, c'est bien ça? J'ai vraiment de la peine pour toi, si tu crois que maîtriser les techniques de bases, ou plus de techniques que moi fait de toi un meilleur ninja, c'est que tu n'as rien compris et que tu t'es trompé de voie. On ne reconnait pas un bon ninja aux nombres de techniques qu'il possède, maisnà ses tripes. Un bon ninja est réfléchit et prépare soigneusement ses mission, pour mieux attaquer un adversaire, et quand l'heure sonne il regarde la mort en face pour le combattre. Un ninja n'est pas comme tu sembles le croire une bête assoifée de puissance et de sang qui se jette dans la bataille en faisant l'étalage de ses techniques. Un tel ninja est un ninja mort, qui se ferat rapidement tuer par des adversaires beaucoup plus futés et courageux que lui, car un tel ninja lorsqu'il se rend compte qu'il n'est pas si fort et qu'il va mourir, supplie souvent ses adversaires de l'épargner, il troque sa vie contre des informations vitales pour son village ou des choses dans ce genre. C'est vraiment un ninja comme cela que tu veux devenir, libre à toi, mais alors tu es un pion mort pour le village, et un boulet que le village devrat traîner tant que tu n'aurat pas compris la vraie valeur d'un ninja, ou tant que tu ne seras pas mort."

Hiyori s'arrêtat deux secondes, son visage était relativement calme et sa voix aussi, si ce n'était ses yeux qui semblaient lancer des éclairs sur son interlocuteur.

"Permet moi quand à moi de choisir la deuxième définition du ninja, celle que tu ne comprends pas mais que j'espère que tu parviendras à appréhender un jour. Je ne me dis pas encore assez courageux, ou assez fûté pour être un bon ninja, mais ce que je sais c'est que je vais tout donner pour le devenir. Biensur maîtriser des techniques utiles est quelque chose d'important pour un shinobi, mais secondaire par rapport à sin courage et à son intellecte. Toi tu juges de la puissance des techniques, mais en plein désert un ninja qui pourrat créer de l'eau douce serat bien plus util qu'un ninja qui maîtrise parfaitement le chidori. Il ne faut pas uniquement voir la puissance destructrice ou encore le nombre de techniques qu'un ninja possède, mais comment il les utilise, et comment elles peuvent aider dans un groupe.
Après à toi de choisir ton nindo, mais j'espère qu'un jour tu comprendras ce que j'ai voulut te dire, bien que j'en doute.
Enfin je ne te connais que depuis quelques secondes et je te juge déjà, mais enfin ne vient tu pas de faire la même choso, en disant que je n'aurais jamais dut être accepté à l'académie, et que je ne serais pas un bon ninja."

Les yeux de Hiyori lançaient toujours des éclairs, mais son sourire avait disparut quand il dit:

"Et tu manques aussi de maturité mon ami. Car pour insulter comme cela un ninja de ton village, juste parceque sa plaisanterie ne t'avait pas fait rire, il faut vraiment être encore un enfant. Ne peux-tu donc pas maîtriser un minimum tes émotions, et après tu me prétend un mauvais ninja?
Peut être un jour serons nous amenés à nous entraider sur un champs de bataille, j'espère que lorsque ce jour arriverat tu seras pret, et tu auras changé."

Le visage de Hiyori se radoucit rapidement et son regard redevint normal, comme d'habitude, puis un petit sourire nostalgique s'affichat sur son visage.

"Quant à mes cheveux tu n'es pas le premier à me dire des choses blessantes à leur sujet. Mais les autres avaient beaucoup plus d'imagination que toi, tu ne me blesse donc pas énormément en me disant. Mais par contre tu me fais vraiment de la peine, juger d'un ninja ou même de quelqu'un sur son physique, si tu en es encore à ça c'est qu'il n'y a pas seulement la vie de shinobi que tu n'as pas compris."

Hiyori avait parlé vite tout le long de sa tirade, et n'avait pas laissé Miyako le couper. Son regard avait été dur et froid au début mais il était maintenant de nouveau doux et bienveillant comme il l'était d'habitude. Sa voix quand à elle, était rstée sur le même ton du début à la fin, il n'avait pas haussé le ton de sa voix, il était resté calme, mais d'un calme froid comme la glace. Il se surprit de ne pas s'être énervé d'avantage par rapport à la remarque faite sur ses cheveux, car c'était l'une des choses qui l'énervait le plus. Mais tout ce qu'il avait dit était sincère et ça se lisait dans ses yeux quand il parlait, il avait vraiment de la peine pour ce jeune homme qui ne comprenait rien à la vie, et ça risquait de lui jouer des mauvais tours.
Puis il se tournat vers Youso qui lui aussi était silencieux à côté et semblait étonné de la réaction du jeune homme.

"Désolé d'avoir parlé ainsi à ton ami mais je penses qu'il le fallait."

Puis il sourit à Youso:

"Alors on y va."

A quelques pas de là, Kosumi avait assisté à la scène et souriait. Il le savait lui, et les deux autres étaient prévenus, Hiyori était quelqu'un de bienveillant et doux comme un agneau, mais il pouvait aussi être un lion déchaîné quand cela s'imposait.

Rencontre avec Hiyori (Part 4)

Youso prenait un air d'incompréhension. Il le manipulait en prenant de fausse émotion. Aucune autre personne que Miyako et Cathi pouvait s'en apercevoir. Il se mordait les lèvres. Il avait le goût de rire et de lui arracher la figure qu'il portait si fièrement avec ses cheveux roses Barbie. Il souriait bêtement et cela l'énervait. Il se le ferait agrandir sur les champs de bataille s'il continuait comme ça. Il ne savait pas pourquoi, mais il avait le goût d'insulter. De le remettre à ça place et de lui mettre une pomme dans la bouche pour qu'il se la ferme.

Miyako avait entendu bien attentivement le récit de Hiyori. Il trouvait cela intéressant, mais il avait tort sur plusieurs points. À quoi cela lui servirait de lui dire s'il s'énervait si facilement sur la moindre critique. S'il se croyait temps mieux.

[Miyako] Hum hum... Tu as raison. Sur tous les points en plus.

Il affiche un petit sourire regarda Youso du coin de l'oeil. La tactique fonctionnera-t-elle sur ce petit Shinobi venu de nul par qui pense tout savoir sur la vie de ninja, alors qu'il vient d'être accepté à l'académie ? Il avait l'air tellement fier de son discours, comme Kenji. Youso savait que cela allait tourner mal avec lui et il aimait mieux ne pas répondre. Mais il le fût quand même.

[Youso] Gagne d'imbécile... Vous voulez tous les deux avoir raison et vous avez tort. Vous ne savez même ce que c'est qu'être un ninja, vous débutez. Dites votre point de vue lorsque vous ferez au moins une mission. Alors, là vous serez en mesure de discuter de ce sujet. Mais je peux vous dire que vous avez tous les deux tort. En plus, Miyako, tu n'es même pas dans une équipe. Tu n'as même pas de Sensei ni même de coéquipier. Toi, Kosumi, tu approuves ton ami, alors que tu n'y connais rien. Toi, Hiyori, tu débutes et en plus tu m'as posé des questions hier pour en savoir plus sur la vie de Shinobi. Alors, je te demande pourquoi tu expliques si bien, alors qu'hier tu n'y connaissais rien ? Je pense que la meilleure pour nous expliquer cela est Cathi. Cela fait plus de deux semaines qu'elle est Shinobi et elle a eu le temps de faire une petite mission. De toute façon on arrive.

On voyait clairement l'académie et la petite forêt qu'il l'entourait. Il fallait maintenant retrouver l'air d'entrainement de Youso et s'y pratiquer. Cathi devait être là à les attendre impatiemment.


[ Allant vers l'air d'entrainement de Youso]

Youso : +21 XP
Hiyori : +17 XP

Venant de Équipe 4 : Yosuke, Kenji, Nara

La réunion d’équipe l’avait complètement épuisé psychologiquement. Toutes ces surprises en une heure étaient trop pour lui. Commençant à apprécier son Yosuke, il venait d’apprendre que son Sensei allait quitter Konoha pour une durée indéterminée. Quelques secondes plus tard, le Chuunin annonça à l’équipe quatre qu’ils passaient d’étudiant en Genin.
Il s’écroula sur le fauteuil. Le feu crépitait toujours dans la cheminé. Personne d’autre que Youso et Eimi n’était venu ici depuis un bon bout de temps. Comme si la tante avait abandonné les lieux. Comme si elle lui avait donc donné l’entière responsabilité de la maison. Il se leva de pas lourd et alla chercher dans le réfrigérateur deux pommes légèrement verte. Il en donna une à Eimi, et en croqua une autre savoureusement.

La question que Kenji avait gentiment posée à Yosuke tournait dans son esprit. Est-ce que l’équipe quatre pouvait participer à l’examen des Chuunin ? Si oui, est-ce que Youso était réellement prêt à faire ce genre de chose. Il avait, depuis son acceptation à l’académie, rencontrer des gens beaucoup plus fort que lui tel que Oni et Sabi. Dans ce tournoi, aura-t-il à les affronter ? Était-il prêt ? Il laissa ses questions de coter et s’occupa d’autre chose.

Qu’allait-il faire de sa journée ? Grace à son nouveau grade et aux encouragements de son Sensei, il était beaucoup plus déterminé à devenir fort et à augmenter son réservoir de techniques. S’entraîner lui vint donc à l’idée. Mais s’entraîner sur quoi ? Une nouvelle technique de Taijutsu peut-être ? C’était assurément la bonne décision pour développer ses habilités. Il jeta le cœur du fruit sucré par la fenêtre entre ouverte, faisant voler le rideau en dentelle jaunis. Il dit d’un ton décidé.

[Youso] Je retourne à l’académie. On y donne quelques cours, tu veux y assister avec moi ?

Eimi, en entra dans la maison, s’était elle aussi écrouler sur le fauteuil de couleur beige. Youso ne savait pas exactement ce qu’elle avait fait pendant son exploration dans le bâtiment des Shinobi. Et, pour tout dire, il s’en foutait. Mais elle avait l’air si fatigué.

[Eimi] Mais tu m’avais promis de m’entraîner ce soir ! De plus, tu sais que je pratique la médecine, un Amphi Taijutsu ne m’intéresse pas.

Elle se tourna et croisa les bras pour dire qu’elle n’était pas d’accord avec son idée. Le Genin émit un long soupire. Elle ne faisait qu’à sa tête et avait un énorme caractère. Un peu comme lui à son âge. Même si, à neuf ans, il habitait toujours la maison de sa mère. Le bon vieux temps…

Il prit le temps de regarder ce qui avait changé chez la jeune fille. Ses yeux bleus brillaient toujours aussi intensément qu’avant. Ses cheveux étaient toujours aussi doux. Par contre, ils étaient beaucoup plus longs que dans le passer. Elle portait toujours de petites robes blanches. Parfois on pouvait penser qu’elle portait toujours la même tenue, mais quelques détails montraient le contraire. Le Shinobi était persuadé qu’elle deviendra une jolie jeune femme.

[Youso] Fait comme tu le désires. Aujourd’hui, c’est certain que je ne resterais pas là à te regarder t’entraîner. J’ai peut-être monté en grade, mais je ne suis toujours pas un Chuunin instructeur. Je vais aller apprendre une technique, ensuite nous irons dans la forêt pour performer en même temps. De toute façon, rien ne t’oblige à rester à la maison. Et rien ne t’oblige de ne pas aller aux Amphi de médecine.

Il prit son sac (emmena bloc-notes, plume, encre et quelques cahiers.) et sa veste et ouvrit la porte avant de pénétrer dans l’air humide. Il prit une bonne respiration avant de courir dans plusieurs propriétés privées, en prenant soin de ne rien briser au passage. Les raccourcis servent parfois.

Va à : Amphi Taijutsu

Youso : +4 XP

[Je sais que j'ai plusieurs Rps en cours, mais j'avais trop le goût de faire celui-là ! Dites moi si c'est mieux lorsque je parle en ''JE'' ou lorsque je parle en ''il''.]



[?]Ont dit souvent que les jours de pluie sont les plus difficiles à tolérer. Mais je ne peux m’arrêter de me demander malgré tout, que sans eau, où serions-nous. Dans un monde aride et sec ou dans un monde remplit de bonheur ? Question idiote ou existentielle ? Vous êtes vous déjà demander ce que serait le monde sans guerre ? Et bien dites-vous que sans pluie serait exactement comme la vie sans combat. C'est-à-dire, un monde sans vie.

Quand les gens me regardent, je ne sais pas ce qu’ils pensent de moi. Je ne sais pas s’ils me craignent, s’ils m’aiment, s’ils me détestent ou s’ils ressentent de la pitié. Je ne sais rien des autres. Et pourtant, les autres s’amusent à croire qu’ils me connaissent. Que chaque particule de ma vie a été dévoilée. Que je suis un livre ouvert. On dit souvent qu’on est ce qu’on laisse paraître. Réalité ou mensonge ? À vous de voir.

Et bien moi je m’amuse à croire que la vie est fausse. Que tout ça n’est que mirage. Que rien n’est réel et qu’après la mort commence la vie. Et que ce monde n’est qu’un combat pour être ensuite récompenser. Aujourd’hui, je pense que vivre sur la terre et comme vivre sur la mer. Il y a ceux du mauvais coté de la rambarde qui s’apprêtent à sauter. Mais ils se rendent compte quand le navire coule que leur vie est un cadeau donner par les dieux. Ils essaient donc rester le plus longtemps possible sur le navire. Il y a ceux du bon coter de la rambarde qui pense avoir tout vue, qu’ils ont franchit tout les obstacles de la marré haute et des cyclones. C’est lorsque le navire chavire qu’ils sautent à l’eau pour mettre fin à leur jour le plus rapidement possible pour ne pas souffrir.

[?] Dans un sens, vous êtes soit du bon coté de la rambarde ou du mauvais coter. Mais il y a un groupe plutôt rare. C’est-à-dire, celui du capitaine qui veut et qui persiste à mourir avec son navire. À couler dans les eaux sombres et froides de l’hiver glacial, ne lâchant pas son gouvernail. Qui aura tout fait pour sauver son équipage et ses passagers. Qui n’a pêcher aucune poisson mais qui meurt avec le sentiment d’avoir accomplit des choses. Des choses que les deux autres groupes ne prennent pas le temps de remarquer. C’est ce qui arrive lorsqu’on demande trop. On meurt aimer par les autres, mais pas par soi-même.

***

Il pleuvait abondement lorsque je me suis enfin décider à emmener Eimi s’entraîner dans la forêt. J’étais trop occupé ces derniers temps à essayer d’être fiable à l’objectif que Yosuke m’avait donné. Mais c’était assez difficile de surveiller deux crétins qui s’amusent à se cacher derrière des arbres et à s’enferment dans la douche pour ensuite inventer des défaites bidons comme par exemple :

[Nara] N’entre pas dans la douche, je suis nue et je me lave.

J’étais frustré. Oui, je l’étais. Nara était en danger et entrer dans une douche sans surveillance était dangereux. J’ai donc décidé de démissionner de mon grade en tant que garde du corps pour me consacrer à la jeune Eimi. Contrairement à moi, elle avait des rêves. Elle rêvait de devenir Ninja médecin qui sauverait les Shinobie revenant de mission. Elle avait même déclaré qu’elle ne voulait pas être un ninja de terrain, elle voulait un poste dans l’hôpital. Tranquille comme nindo, mais s’en était un beau.

Je me rappelais même la première fois que je l’avais rencontré, son ballon dans les mains demandant de l’aide pour retrouver son petit frère. Je lui avais demandé si elle voulait devenir Ninja et elle m’avait répondu :

[Eimi] Papa dit que si je devenais Ninja, je pourrais m’acheter plein de jouets. Et toi, tu as des jouets ?

C’était une manière plutôt étrange de définir le mot Ninja. Rare était ceux qui devenait Shinobi pour avoir des jouets. Mais il ne fallait pas oublier que ce jour là, elle n’avait que six ans.
Maintenant elle était prête à s’entraîner comme une grande. À persévérer et à devenir plus forte. Je ne voyais pas pourquoi j’aurais répondu non à sa requête qu’était de l’aider à maîtriser son Jutsu médical. Même si j’y connaissais rien en ce domaine, l’aider à maitriser son Chakra l’aiderait grandement lors des cours à l’académie.

[Eimi] Je suis prête Youso-Kun.

Dévalant les escaliers comme un felin habile, la jeune étudiante vint se poster devant moi. J’avias emmené mes armes, ma nouvelle armure étudiante et quelques pommes que ma tante m’avait laissée dans le fond du réfrigérateur. En fait, il ne restait que ça. Sauf une boîte de laid périmé à souhait. Je pris le carton en faisant attention à ne pas toucher la croute épaisse qui s’était former autour du bouchon et le jeta à la poubelle avec dégoût.

[Youso] C’est bon, je vais chercher quelque chose à l’étage et je te rejoins.

Dis-je en souriant à la petite. Je couru jusqu’aux escaliers et les monta par bond de deux. J’aboutis dans un couloir. Trois portes étaient postées sur tout les coter. Je pris celle de droite et entra dans la chambre de ma tante. Son lit n’était toujours pas fait. Qu’elle ne compte pas sur moi pour qu’il soit propore à son retour. (Si jamais elle revenait)

Lorsque j’étais jeune, j’avias l’habitude de prendre le petit banc posé à coter de la porte pour voler quelques pièces dans une boîte au dessus du placard. Maintenant, j’en n’avias plus bvesoin. S’étirer faisait amplement l’affaire. Je pris au moins vingt dollars espérant faire les courses plus tard. Je n’osais tout de même pas fouiler dans ma bourse pour faire les courses de la famille. L’argent que je gagnais était rare et précieux. Pourquoi le gaspiller alors qu’on n’avait qu’à se servir ?

Je descendis les escaliers et prit ma veste au cas où il ferait frois. De toute manière, il pleuvait et ventait. Mais ce n’était tout de même pas de petites goûtes qui allaient nous arrêter. Ha ça non. Je sortis de la maison suivit de Eimi pour aboutir dans le village des marchands. Évidemment, s’était désert. Quelle sorte d’imbécile allait se poster là espérant voir un client ?
Je mis ma capuche et dis d’un ton décidé.

[Youso] Tu sais ce qu’on va faire hein ? Je te l’ai expliqué. Je ne connais rien à la médecine vas falloir faire un détour.

Je regardait Eimi comme si j’attendait un réponse.

[Eimi] Oui, oui Youso-kun, je sais où on va !

***

[?] Si vous sautez et qu’il n’y a pas d’eau, vous mourez plus rapidement. Je sais qu’il y a quelques secondes de différences entre mourir noyé et mourir en sautant d’un immeuble de cinquante étages. Mais ces quelques secondes peuvent être très importantes pour certain. Profiter donc des jours de pluie puisque sans eau, vous mourrez plus vite. Le navire ne flottera pas et vous vous rendrez compte d’avoir sauté pour rien.

[ Allant à Bibliothèque Ninja De Konoha]

Youso : +4 XP

[Venant de Le rocher de marbre ]

[Correcteur d'orthographe complètement bousillé]



[Yora] Pourquoi ne veux-tu pas jouer avec moi ?

Youso tenta d'empêcher sa soeur de prendre le bout de vitre, mais il resta figer sur place. Ses mouvements étaient paralysés et il resta impuissant face à la subite rage de la fillette. Elle finit par prendre fermement le bout de vitre, ne faisant qu'abimer davantage ses petites mains fragiles. Elle leva le bras, prête à attaquer son propre corps. Elle cria la phrase qui fît parcourir un frisson dans tout le corps du Genin.

[Yora] Tu... Tu ne m'aimes plus ?

Elle frappa violemment le bout de vitre sur son bras. Le sang ne faisait que gicler sur le rocher. Elle criait encore d'une frayeur et d'une extase incontrôlable. Ensuite, elle fît la même chose que la dernière fois. Elle se pencha et se cogna férocement la tête contre le rocher. Déformant petit à petit son visage d'ange. Sans crier gare, elle se stoppa net et arrête de se fracasser le visage. Elle se remit debout et regarda Youso dans les yeux et lui dit tout en s'élança vers le bout de la falaise.

[Yora] Rejoins-moi, Youso-Chan.

Elle sauta en bas, le Genin pût entendre les os de sa soeur se briser. Il resta muet contrairement à la dernière fois. Il ne bougea pas. Dans un murmure à peine perceptible, il pût entendre une petite voix lui souffler :

[Yora] Saute, saute comme maman l'a fait.

Bippp bippp bippp.

Youso se réveilla en sursaut lorsque le cadran sonna. Il se gratta la tête et regarda la pièce où il se trouvait. Il était dans sa chambre. Qui pouvait donc l’avoir emmené jusqu’ici. Comment avait-il pût le traîner du Rocher de Marbre jusqu’à la maison ? Karen ? Non, c’était impossible, elle s’était volatilisée. Alors qui ?
Il regarda sa fenêtre entre-ouverte. Une petite brise froide faisait voler les rideaux. Une petite lueur de soleil pénétrait dans la pièce sombre. Un chien aboyait très fort et il fût surprit de ne pas s’être réveillé avant. Il regarda l’heure. Il était Midi.
D’habitude, le réveille matin sonnait vers six heure. Il se souvint subitement que le réveille matin avait sonné à midi la journée où il avait fait son entrer au Rocher de Marbre et s’était fait attaqué par Karen. Étrange ce réveille... Youso le prit et l’ajusta pour qu’il sonne à six heure pile. Le Genin le déposa et resta figé quelques instants, pensant à sa journée d’hier. Cette dernière était plutôt flou. Youso avait l’impression de s’être battu seul pendant un bon moment. Il s’étira, ses muscles étaient endoloris par la nuit agiter qu’il venait de passer. Il avait fait le même rêve qu’il avait fait dans la forêt, mais cette fois-ci, il avait pût entendre la phrase qui avait été couvert par son hurlement la dernière fois. La voix de Yora raisonnait dans sa tête.

*Saute, saute comme maman l’a fait.*

Il secoua la tête pour reprendre ses esprits. Il mit un pied hors de son lit et le posa par terre. Il fit de même avec l’autre et continua vers les toilettes. Ses yeux était d’un rouge éclatant. Soudain, il baissa les yeux. Où était la fuite ? Il se souvenait très bien de l’énorme inondation qu’il y avait eu quelques jours plus tôt. Ou était passé l’eau ? Il n’y avait aucune trace de la catastrophe qu’il avait remarqué la dernière fois. Il marcha d’un pas rapide vers le salon et ouvrit la porte d’entrer à toute vitesse. Il prit le journal et les enveloppes adressées à sa tante et les posa rapidement sur la table à manger. Il ouvrit rapidement la première page du journal et regarda la date du jour. Elle indiquait la même date que le jour où il était partit en forêt. Le jour où il avait affronter Karen.

[Youso] Merde ! C’est quoi mon problème ?!

Il tapa violemment sur la table et respira profondément. Qu’est-ce qu’il se passait ? Pourquoi avait-il l’impression que quelqu’un se foutait de lui, que quelqu’un l’espionnait. Il jeta le journal par terre et regarda les autres lettres.

*Factures... Factures... Factures...*

Elles indiquaient tous la même date. Il s’était écouler deux jours et tout le monde l’avait oublié ? À moins que tout ce qu’il s’était passer la nuit dernière n’était qu’un rêve. Impossible, c’était beaucoup trop réel pour être un rêve.
Il se dévêtit rapidement, à la recherche d’un indice indiquant qu’il s’était belle et bien battu contre Karen hier. Aucune blessure, rien. Même pas une égratignure. Il s’habilla et ouvrit furieusement la placard. S’il avait combattu, son Bolas et ses Shurikens ne seraient plus à leur place puisqu’ils avaient été laissés au Rocher. Ce qu’il vit ne le surprit pas. Toutes ses armes étaient à leur place.

[Youso] Karen !

Il appela la jeune femme, mais celle-ci ne sortit pas de sa cachette.

[Youso] Arrête de jouer avec tes foutues illusions !

Il grogna de mécontentement et prit son équipement. Il sortit de chez lui et avança furieusement vers le restaurant de ramens qu’il avait côtoyé quelques jours plus tôt. Il ouvrit la porte subitement, le chef sursauta et sourit à pleine dents.

[Chef] Bonjours mon cher monsieur ! Vous revenez manger des ramens ?

Youso pointa le chef d’un air triomphant !

[Youso] HA HA ! Alors vous avouez que je suis venu deux jours plus tôt.

Le chef se pinça la moustache et dit d’une moue triste.

[Chef] Bien sûr, et nous sommes désoler du petit dérangement que nous avons eu. Cela ne se reproduira plus.

Youso dansa sur place, fier de savoir que tout ceci était une illusion. Alors pourquoi le journal n’annonçait pas la bonne date ?

[Youso] Nous sommes quelle date aujourd’hui ?

Le chef lui dit la date. Youso regarda le journal. Il indiquait toujours la mauvaise date.

[Youso] Alors pourquoi le journal indique t-il cette date ?

Le chef mit ses lunettes et prit les feuilles dans ses mains.

[Chef] Mais c’est la bonne date mon cher monsieur. Voyez.

Il lui pointa le journal.

[Youso] Quoi.

Youso voyait toujours la mauvaise date. Le Genin sortit, frustrer et se dirigea vers sa maison. Il claqua la porte et tourna en rond pendant une dizaine de minutes. La journée d’hier était toujours aussi flou. L’énorme inondation était belle et bien présente dans sa tête, mais ça, il savait que c’était une illusion. Mais le problème était : Est-ce que Youso était présentement en train de marcher dans l’eau sans s’en rendre compte ou il avait cru marcher dans l’eau quelque jours plus tôt sans savoir que ceci était en fait une illusion. Et la question la plus difficile à accepter était : Combien de fois Youso a cru que quelque chose était réel et que c‘était faux ? Il se rappela de tout ce qu’il avait pût faire depuis qu’il était arriver à Konoha et tous les rêves qu’il avait fait. Les hallucinations qu’il avait eu à l’examen Chuunin était-elles causées par cette fille étrange.

Pourquoi est-ce que les autres ne voyaient pas ce qu’il voyait ? Le chef avait vue la bonne date tandis que Youso avait vue la mauvaise. Les autres ne seraient pas sensés être dans la même illusion que lui ?

*Calme toi, ne saute pas au conclusion aussi rapidement.*

La peur d’avoir été constamment leurré se faisait sentir dans tout son corps. Youso commençait même à douter de sa propre existence. Il tenta de se calmer en respirant profondément. Il s’assit. Le jeune homme avait vraiment besoin d’une journée de repos avant de reprendre l’entraînement.

[Allant à Les cascades chaudes ]

Youso : +7 XP