|
|
| Présentation de Liori Satsubatsu - Accepté | |
| | Sujet: Présentation de Liori Satsubatsu - Accepté Jeu 10 Avr - 16:32 | |
| Psaume 23 :
J’ai tué un homme. Il me regarde. Nos regards se croisent. Je vois mon reflet dans ses yeux. J’y vois un homme aux cheveux blanc, un regard dur, vêtu de noir et de rouge. Je vois autre chose. La peur remplie le regard de cet homme. Il comprends rapidement que la vie le quitte, que cette rencontre fut sa dernière, que la dernière chose qu’il pu voir fut son bourreau. Finalement, une ombre s’abat sur le regard de cet homme, la mort le rend aveugle. Maintenant, ses yeux fixes le ciel, sans le voir. J’enjambe le cadavre de l’homme et avance dans la brume.
Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort je ne crains aucun mal car tu es avec moi. Je regarde sur ma droite, tandis que nous amorçons prudemment la pente nous ramenant prêt de notre objectif. Si la brume la cache à mes yeux je peux sentir son parfum, entendre les battements de son coeur. Cette magnifique femme à qui je suis unis. La pente s’adoucit, une vie vient d’être prise. Je range mon kunai est dégaine un long katana qui glisse sans bruit hors de son fourreau métallique. Je le tiens fermement de ma main droite. Une grande inspiration. Les cœurs battent de plus en plus vite, une respiration paniquée. Combien ? Dix mètres ? Peut-être quinze… Soudain la brume se lève. Au loin nous entendons tous un hurlement. Devant nous se trouve notre objectif.
Nous sommes en l’an 32 du renouveau… La guerre a lieu entre les villages ninja de Kiri no kuni et Kumo no kuni. C’est pour raison, et à cause du bandeau qu’il porte, qu’un gamin meurt la gorge transpercée par mon sabre… Pas le temps pour s’apitoyer. Je dégage ma lame en décapitant à moitié le ninja de Kumo, et je bloque un coup venant d’un ennemi. Visiblement, l’effet de surprise n’a pas duré. Mon nouvel adversaire décide d’engager un combat rapproché, il sort un deuxième Kunai se colle à moi. Il veut me poignarder sans que je puisse utiliser mon sabre. Mon poing gauche vient le cueillir au niveau de son œil droit. Le coup le fait reculer, j’enchaîne avec un coup de pied dans son genou gauche. Il se brise avec fracas. Le shinobi de Kumo chute, et sa tête est à nouveau accueillie par mon poing gauche. Son crâne est propulsé contre une paroi de bois, et il y laisse une magnifique tache de sang, avant de tomber dans la boue.
Les chariots ! Faites sauter les chariots !
Ah oui. Cette paroi en bois appartient a un des chariots du convoi kumorien. Du ravitaillement à détruire faute d’être capturable. Je saute sur le chariot m’ayant servis à achever mon premier adversaire et y colle un parchemin explosif. J’en descend est cours vers les suivants tandis que les sept autres individus composant notre troupe d’harcèlement font de même de leur côté. J’avance droit devant moi, un de mes coéquipiers est déjà au prise avec les deux gardiens de ce chariot. Je passe à côté de lui, et m’occupe des autres ninja arrivant en renfort. L’un me saute tout simplement dessus, tandis que son adversaires compose une série de Kanji. Le nez du premier shinobi est écrasé par mon poing gauche, puis son crâne est transpercé par une giclée de sang. Le corps s’effondre tandis que le sang revient dans ma main gauche et prend la forme d’un sabre rouge. Le second Kumorien suspens ses kanjis, n’en croyant pas ses yeux.
*Des gamins…*
Mes deux sabres s’abattent sur l’enfant, tandis qu’un autre chariot explose. Tandis que mon coéquipier passe derrière moi pour s’occuper du chariot suivant et de ses occupants, je place un autre parchemin explosif sur le chariot. Et je recommence à courir vers ma prochaine cible.
Retraite ! C’est un piège !
*Ils auront mit du temps à réagir…*
Un affreux frisson parcours alors tout mon corps. Cette voix, elle appartient à notre capitaine. Je me retourne et n’est que le temps de lever mon arme pour bloquer un sabre qui allait me décapiter. Je riposte avec mon sabre de sang, l’ambu passe sous le coup et m’enfonce un kunai entre les cotes. Je crache du sang. Je laisse tomber mon sabre, et m’accroche à mon adversaire. Il fait passer d’autre kunai entre mes cotes. Je pousse un hurlement et lève mon bras droit. Du sang en coule en abondance à travers les bandages qui le recouvre, et se rassemble au dessus de ma tête. Je l’abats sur mon adversaire tout en le solidifiant, et un grand craquement m’indique que plusieurs de ses os n’ont pas résisté. Je tombe à genoux, à bout de souffle. J’entends mon coéquipier me supplier de me relever. J’essaye de lui répondre mais lorsque j’ouvre ma bouche je vomis. La boue prend une teinte rougeâtre, tandis que je serre les dents pour ne pas hurler. Mes deux bras me font horriblement souffrir et sont agités de convulsion. Finalement, je ne tiens plus, et j’hurle. Une grande gerbe de sang provenant de mes bras éclabousse le chariot, les corps, le kirien et le sol tout autour de moi. Je me relève, tout tremblant et entreprend de retirer les kunai que m’a planter l’Ambu. Ils n’ont touché aucune point vitaux et provoquée aucune hémorragie. Je suis rassuré, la crise n’a pas affecté mon contrôle interne. Je reprend mon sabre commence à tourner les talons pour fuir, profitant du fait qu’aucun Ambu ne viennent nous attaquer. Mon cœur manque un battement. Je me retourne, le temps semble s’être arrêté. Qui a empêché les Ambu de m’attaquer ? Une femme, une très belle femme. De longs cheveux noirs, de magnifiques yeux en amande, noire, contrastant avec son doux visible blanc. Son visage éclaboussé de sang. Le sien.
Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort je ne crains aucun mal car tu es avec moi. A nouveau un hurlement. Sabre en main, et sang accompagnant mon bras gauche je fonce vers elle, souillée par la boue, le sang, et les lames de mes ennemis. Je veux tous les tuer. Ils me font face, je tranche, j’abats, mon sang danse dans et hors de mes veines, tout mon être s’accorde pour tuer ces monstres. Les autres disparaissent. Soudain, tout ce renverse. Le sol me saute dessus, et je me retrouve au sol. Je regarde autour de moi, mon bras gauche est là, à quatre mètre de moi, épinglé au sol par un sabre.
*Reviens ici saloperie ! J’ai encore besoin de toi.*
Quelque chose de froids pénètre mon dos. Je pousse un grognement et commence à ramper vers elle. Sa tête est tournée vers moi. Ses yeux me fixe sans me voir. J’hurle à nouveau, et trois autres lames mettent fin à ma vie.
Papa et Maman sont... :
...Morts ? Liori a 5 ans quand il apprend cela. En général pour les enfants normaux de cet âge, la notion de mort est encore abstraite ou est un sujet maintenu tabou par sa famille. Seulement, Liori n'est pas un garçon normal, et ne vit pas dans une famille normal. Dans sa famille, la mort est un sujet bien connu. Personne ne peut ignorer le sens de ce mot, même à son plus jeune âge. Seulement, ce n'est pas pour cette raison qu'on en devient insensible. Le soir où des messagers vêtus de noir frappèrent à la porte de la demeure Satsubatsu, Liori venait de se réveiller d’un horrible cauchemar. Grâce à cela, il fut réveillé à temps pour aller soulager sa vessie avant qu’un accident fort humiliant puisse avoir lieu. En revenant de sa commission il remarqua que de la lumière filtrait en dessous de la porte d’une pièce utilisé habituellement par le chef du clan pour discuter de sujets importants, avec des gens extérieurs au clan. Poussé par la curiosité et par un sentiment d’angoisse, il s’approcha de la porte jusqu’à entendre la conversation.
[Messagers] -…Reconnaissant pour l’aide que vous apportez au village, Jikkei’ji sama.
[Jikkei’ji] –Essayez pas de lire, c’est mauvais pour vos yeux … (Sa voix est assourdi).
[Messagers] – Malheureusement, cette guerre est coûteuse pour tous.
[Jikkei’ji] - Franchement, si vous lisez ça, c’est que vous êtes pas net.
[Messagers] – Nous avons le regret de devoir vous informer de la mort des membres de votre clan, Geki Satsubatsu, et Shira Satsubatsu.
[Jikkei’ji] - Honnêtement, j’avais la flemme de le faire parler ?
[Messagers] – Ils sont morts en mission, leurs deux équipes devaient attaquer un convoi de ravitaillement ennemi. Malheureusement c’était un leurre, gardé par un groupe de prisonniers. Une troupe d’Ambu les ont attaqué dans le dos.
[Jikkei’ji] - Son nom est un mélange entre frère aîné de sang et nourrisson .
[Messagers] – Une troupe Kirienne qui avait était envoyée un manœuvre dans les environs est arrivée pendant l’attaque. Il était trop tard pour eux… Je sais que c’est une piètre consolation, nous avons pu récupérer le sabre de...
C’est à ce moment la que Liori fit coulisser la porte. Il se tenait les poings serrés dans l’encadrement de la porte, les larmes aux yeux. Les trois hommes présents dans la pièce tournèrent la tête vers lui. Jikkei’ji, le chef du clan, était assis en tailleurs sur un cousin, recouvert de la tête au pied de bandage légèrement rougi. Les messagers eux étaient apparemment des membres des forces spéciales, reconnaissables par leurs masques. Ils étaient assis dans la même position que le chef et l’un d’entre eux tenait un long katana qu’il présentait au chef. Liori s’avança dans la pièce et prit le katana des mains du messager. Il le sera contre lui, et fut surpris par son poids, qui faillit l’entraîner à terre. Il se tourna alors vers le chef du village, et se colla contre lui, tournant le dos au deux étrangers pour qu’il ne le voit pas sangloter.
Des pleurs et des cris de désespoirs retentirent la nuit qui suivi. Mais personne n’y prêta attention.
… Mais ils restent à mes côtés : Année 33 du renouveau
Des cris et des pleurs retentissent dans la nuit. De nombreuses personnes se précipitent vers la chambre d’où ils sont issus. Liori a 6 ans quand cela ce produit, et il est le centre d’intérêt de toutes ces personnes. Il ne comprend toujours pas ce qu’il lui arrive. Ses parents sont morts, il s’est sentit abandonné par tous. Maintenant, depuis quelques mois son bras gauche lui fait mal et voila que tout le monde s’occupe de lui. Les adultes lui semblent si bizarres maintenant, surtout quand ses parents ne sont plus là pour lui expliquer. La douleur est insoutenable. Il hurle à nouveau à s’en déchirer les cordes vocales. Il aimerait se débattre mais il est attaché à son lit. Il voudrait s’échapper des liens qui l’empêchent de saisir son bras gauche, mais des mains ferme le maintiennent en place. Des voix et des mouvements surgissent de chaque côté de son lit. -En fait, ce n’est même plus son lit. Il a était placé sans qu’on ne lui en explique la raison dans une sorte de maison hôpital où cohabite Satsubatsu et médecins Kirien- Il aperçoit des silhouettes à travers ses larmes mais il n’en reconnaît aucune. Il n’arrive plus à crier, sa gorge lui fait presque aussi mal que son bras. En fait, il sent à peine son bras mais il a conscience de la douleur qui y réside. D’ailleurs, il hésite à dire si la masse rouge qu’il aperçoit sur sa gauche et bien son bras, ou autre chose. Quelqu’un soulève délicatement cette chose, et ça tire sur son épaule. C’est bien son bras… Quelqu’un lui oblige à tourner la tête et à ouvrir la bouche. On lui fait avaler un liquide qui lui brûle et humidifie la gorge, il tousse un peu puis il se rend compte qu’on l’a lâché. Pourtant il n’arrive toujours pas à bouger. Son corps est lourd, sa tête aussi… Il sent quelque chose de froids contre son corps. Les draps se sont gorgés d’un liquide rouge, collant. Il trouve que cette texture est agréable et elle lui parait douce et rafraîchissante contre sa peau. Il sombre dans un profond sommeil en se disant qu’il ne quitterait ce lit pour rien au monde…
Il ne resterait ici pour rien au monde ! Il ignorait où il était, il ignorait où se trouvait cet endroit, il ignorait tout de ce lieu, mais il ne voulait absolument pas y rester. Tout était frappé par la lumière. Cette lumière le transperçait, le brûlait, et lui inspirait une terrible douleur issue de la tristesse. Cette lumière d’une blancheur inouïe, ce blanc qui symbolise le deuil pour son clan. Ce blanc, cette lumière qui est le pire prédateur du monde. Cette horreur qui brûle les chair, empêche le repos en s’imposant à travers les paupières closes. Ce lieu est un enfer… L’enfer pour les Satsubatsu.
Liori... Mon fils.
L’enfant tourna la tête vers la voix, et alors il hurla.
Description : Année 42 du renouveau
Quelle sale tête ! Décidément le jeune garçon ne se trouvait pas photogénique. De ce fait, il observa la photo avec un oeil critique. La photo datait de cinq ans, dessus se trouvait un garçon d'une dizaine d'année. Liori se regarda et se détailla sur ce miroir retardant de cinq années. A l'époque il portait un kimono blanc, chose assez rare dans son clan, mais un deuil qu'il n'avait toujours pas fait en était la cause. Il n'avait pas que le kimono de blanc. Ses cheveux aussi avaient prit une teinte semblable à la neige qui tombe sur kiri, cela à cause du lègue de sa famille -Une image poétique pour désigner les effets d'une maladie qui a fait crever de douleur des générations entière de Satsubatsu, et qui n’avait toujours pas fini son œuvre-. Liori n'aimait pas les photos, surtout quand il devait être dessus. Mais celles qu'il détestait par dessus tout étaient celles prise il y a plus de cinq ans. Et pourtant c'était des photos datant de cette époque là qu'il lui restait pour compléter son formulaire d'inscription à l'académie ninja. Il regarda un peu plus attentivement la photo. Son visage était la partie qu'il aimait le moins, pas vraiment à cause des marques de coups qu'il portait sur le visage -il était très bagarreur à cette époque-, c'était son regard qui le dérangeait. Ses yeux bleus semblaient exprimer une haine sans borne envers n'importe qui ou quoi. Il reposa la photo, image contre terre et soupira tout en s'allongeant, les bras en croix, sur le sol de sa chambre. Ce regard il avait dû le perdre quelques jours, peut être semaines, après avoir pris cette photo. C’était il y a cinq ans, jour pour jour. Un livre, un insignifiant texte, assemblage de trait formant des lettres, et par extension des mots et pour finir des phrases. Cela avait transformé cet enfant violent, avide de réconfort mais persuader que personne ne pouvait l'aider car personne ne pourrais comprendre ses problèmes et encore moins les résoudre, en un adolescent normal ou presque. En cinq ans, il est vrai qu'il avait changé. Il avait grandi, s'était musclé, ses cheveux avaient poussé devenant totalement blanc et lui arrivant maintenant au niveau de la nuque. L'héritage familiale lui avait prit tout le bras gauche, entièrement bandé, et s'occupait à présent de lui dévorer la main droite, ce qui est d'ailleurs l'une des raisons pour laquelle il y portait désormais un gant renforcé d'une plaque d'acier sur le dos et lui remontant environs au tiers du poignet. En revanche, ses doigts étaient à l’air libre. Ses yeux bleus, cachés derrière des petites lunettes noires et rondes, n'exprimaient plus une colère inutile. Néanmoins sa tristesse demeurait. Bien que cachée par l'espoir de voir son rêve accompli.
[Liori] - Tu me manques maman... Papa aussi...
Je sais mon fils. |
| |
| Sujet: Re: Présentation de Liori Satsubatsu - Accepté Jeu 10 Avr - 16:33 | |
| Il était un si gentil garçon : Année 35 du renouveau
Lorsque que Liori était avec ses parents, il adorait lorsqu’il se baladait avec eux. Les connaissances de ses parents qu’ils croisaient disaient toujours de lui qu’il avait l’air d’être un gentil garçon, et ses parents le regardaient amoureusement à chaque fois. Oui. Quand il était petit, il était un gentil garçon, aimant ses parents, et prêt à tout pour défendre leur nom. Quand il était petit… Mais l’enfant a grandit.
Liori sourit lorsqu’il sentit le os du nez, que son poing gauche venait d’écraser, se briser. La tête du gamin parti en arrière, et bientôt tout son corps suit le mouvement pour finalement s’écraser à un mètre du Satsubatsu. Ce dernier constata avec plaisir qu’un flot abondant de sang coulait du nez cassé de son adversaire. En revanche une douleur dans la main lui indiqua qu’un de ses doigts s’était aussi cassé. Ravalant les larmes qui lui montaient aux yeux à cause de la douleur, à peine pire que lors de son coup de poing, il se tourna vers les deux acolytes de son ancien adversaire et pointa son bras gauche vers eux. Les deux gamins reculèrent devant le mouvement, d’autant plus que le bras qui les avait autant amusé à cause des bandages qui le recouvraient en totalité était maintenant trempé de sang.
Alors, vous en voulez vous aussi !
Cette bagarre qui n’était pas sa première depuis la mort de ses parents, il y a maintenant deux ans, avait commencé par quelques plaisanteries douteuses sur l’étrange bras gauche de Liori. Il faut dire qu’un garçon de huit ans s’obstinant à écrire de sa main gauche, alors que cela lui arrachait parfois des larmes, amusait les autres enfants de sa classe. Et comme en plus de tenir tête au professeur lorsqu’il essayait de lui « corriger ce défaut de naissance » et que certains élèves l’avaient surpris à parler seul, il était devenu l’attraction de la classe. La majorité des garçons de sa classe se moquaient donc de lui. « La joie de l’éducation primaire », c’était comme ça qu’était appelé ce phénomène par son tuteur légal. Et c’est donc à la sorti des cours qu’il fut suivit par un groupe de trois gamins de son âge, qui se moquait copieusement de lui dans le cadre d’un test très scientifique; déterminer si c’était bien une « chialeuse ». Dès que le groupe avait commencé à le suivre, Liori avait serré les poings. Lorsqu’ils commencèrent à se moquer de lui il avait dû faire un gros effort pour penser à autre chose. Sa mère n’aimait pas le voir attaquer d’autres enfants. Mais lorsque qu’une phrase ayant de toute évidence un sens insultant dirigé vers sa mère fut prononcé par le chef du groupe, il lui sauta à la gorge et ils allèrent rouler au milieu de la rue déserte qu’ils venaient d’emprunter. Une fois relevé, Liori lui avait brisé le nez.
Depuis la mort de ses parents, Liori en avait après le monde entier. Il en voulait à tous les survivants du raid Kiriens qui avaient coûté la vie à ses parents, il en voulait au Mizukage pour ça, il en voulait à Kumo no kuni. Mais par-dessus tout, il s’en voulait. Il s’en voulait d’autant plus que depuis que ses parents étaient revenus auprès de lui, il ne pouvait rien faire pour les aider à supporter la souffrance qu’ils éprouvaient et que Liori avait accepté de ressentir à leur côté. Au moins, il pouvait défendre leur mémoire et leur nom.
C’est pourquoi il voulu se jeter sur l’un des deux camarades du « nez brisé », qui avait déjà commencé à s’enfuir.
Liori, ne fait pas ça !
[Liori] - Mais, maman... Ils ont osé…
Cela n’a pas d’importance, si tu continus t’as punition sera doublé, et je ne veux pas que tu souffres inutilement.
[Liori] - Maman...
Abandonnant le gosse au nez brisé L’enfant termina le chemin jusqu’à la demeure Satsubatsu.
Note de Geki Satsubatsu : Année 17 du renouveau.
« Quelque soit la puissance d’un shinobi, il sera toujours confronté à des défis lui demandant de ce surpasser. Cela est vrai dans les combats, dans les missions ou même à l’entraînement. Actuellement, le défi le plus difficile auquel je faire due faire face est me maintenir en vie… Malgré les problèmes médicaux dont j’ai hérité via mon clan, cela ne m’a jamais posé de vrai problème. J’ai, en toute modestie, un talent certains dans l’art du combat, aussi bien le ninjutsu que le kenjutsu. Néanmoins, je suis tombé récemment sur un adversaire de taille… Si quelqu’un pose les yeux sur ces lignes, qu’il sache une chose. Il ne faut jamais se faire repérer par une femme lorsque l’on teste nos capacités de camouflages dans le bain réservé aux dames, aux sources thermales. Cela peut… » (Le texte s’interromps brutalement).
Flot de haine : Année 37 du renouveau
Liori était assis dans une des cours intérieur de la demeure Satsubatsu. Plongé dans la lecture d’un petit livret noir, il ne faisait plus attention au monde extérieur. Il était en communion avec les pensées de son père –qui parfois lui échappées- au moyen du petit carnet. Cet ouvrage à la couverture noir était l’héritage que lui laissait son père.
Liori l’avait retrouvé quelques jours après le retour de ses parents. Sur les conseils de sa mère il était allé fouiller dans un petit coffret dans la chambre de ses défunts parents, et avait soulever une des lattes cacher sous leur futon. Il y avait trouvé une petite clé permettant d’ouvrir un petit coffret de bois noir. A l’intérieur il avait trouvé quelques « trésors » appartenant à ses parents. Une boucle d’oreille qu’il portait maintenant à l’oreille gauche, une petite paire de lunette noire, et le carnet qu’il tenait entre ces mains. Liori fut heureux d’avoir découvert un lien avec les pensées de son père. Si sa mère lui était revenue au moyen du sacrifice de son bras gauche, une preuve d’amour envers ses parents. Son père n’avait pas pu le rejoindre, et il son être ne résidait qu’au travers de son arme et de ce carnet.
Malheureusement, le monde extérieur a ses contraintes et réclame beaucoup d’attention.
Liori sut qu’il allait avoir mal avant de sentir le coup l’atteindre. Une sorte de pressentiment… Un bokken s’abats sur son crâne, le propulsant à moitié à terre, et le faisant lâcher son livre.
[Kaïz'er] – Alors Liori, si tu passe ton temps à rêver tu ne deviendras jamais un vrai guerrier !
Liori se relève tant bien que mal, ayant l’impression qu’une dizaine de galaxie se sont données rendez-vous devant ses yeux. Il se met à genoux dans la boue et ramasse son précieux livret, à peine entaché. Tout en le glissant dans la veste de son kimono blanc il observe son agresseur. Kaïz’er, un Satsubatsu de petite taille, il avait la tenu habituelle des Satsubatsu, le pantalon noir bordé de rouge, ainsi que la veste. Même si Liori le voyait de face, il savait que dans le dos de sa veste était cousu son nom. Autre detail, il portait aussi un brassard au bras gauche, portant les symboles du clan. Cet homme était devenu le tuteur légal de Liori après la mort de ses parents.
[Liori] – Bien sur que non ! Tu m’auras déjà défoncer le crâne avant, abruti !
Cette remarque lui valu en coup de pied dans le ventre, qui expulsa tout l’air des poumons de Liori et l’envoya à nouveau s’allonger dans le boue.
[Kaïz’er] – Fait attention à ce que tu dis. (des bruits de sucions, il marche vers Liori) Tu risquerais de manquer de respect envers tes années. Compris petite merde ?
Liori eut tout loisir d’observer le visage le visage de son maître. Le bokken négligemment posé sur son épaule, ce dernier se pencha au dessus de lui pour le regarder dans les yeux. Son visage était dur, ses yeux marron semblaient foudroyer tout ce qu’ils voyaient, et des poches s’étaient formées en dessous. Il avait aussi une moustache, extrêmement fournis étant donné sa petitesse. Le dernier point était ses cheveux. Bien qu’atteins de la maladie, ses cheveux étaient restés noirs. Il avait une raie ridicule et ramené une partie de ses cheveux vers la gauche.
[Liori] – T’as toujours pas viré la merde qui est sur ton crâne ?
Un nouveau coup de pied. Se tordant de douleur, Liori n’amorça aucun mouvement pour rattraper le bokken que lui lançait Kaïz’er.
[Kaïz’er] – C’est bien, tu as toujours de la colère en toi. C’est le nerf du combat tu sais.
Pas de réponse.
[Kaïz’er] – Tu sais, tu me fais penser à notre village. Il est mou, faible. Il ne s’est remis sur un chemin à peu prêt acceptable, mais pour combien de temps ? Quand retomberons nous dans la déchéance ? Il faut un chef solide à la tête de ce village, quelqu’un pour prendre le relais quand le Mizukage perdra ses capacités… Quelqu’un pour débarrasser le monde de la pourriture qui l’a envahis !
[Liori] – *Mère, combien de temps devrais-je encore le supporter ?
Autant qu’il te le faudra pour devenir fort…
[Liori] – *Cela prendra t-il beaucoup de temps ?*
Encore un coup, visiblement, son éducateur s’était lassé de parler seul.
[Kaïz’er] – Encore cet insolence ! Mais à quoi pensais tu ? Laisse moi deviné… Les jours heureux que tu passais avec tes bons à rien de parents ? (Les poings de Liori se serrèrent) Sans doute pensais tu as ton père… Un bon à rien, incapable du moindre coup d’éclat en combat. Aucun style, aucune puissance… Il était la honte du clan sans aucun doute ! (les dents de Liori grincèrent) Et que dire de ta mère… Cette idiote qui le suivait aveuglement… Elle a connu la fin qu’elle méritait cette catin.
Liori poussa un hurlement et se rua droit sur Kaïz’er, laissant le bokken qui lui était destiner gire dans la boue. Il fut accueilli par un sourire moqueur et un coup de sabre en bois sur le sommet du crâne. Liori fut stoppé net dans son élan, et commença à chanceler. Mais son adversaire ne lui laissa pas le loisir de s’effondrer au sol et enchaîna par un coup vicieux dans les cotes. Peu à peu, Liori sombra dans l’inconscient.
Ses parents lui manquaient de plus en plus… |
| |
| Sujet: Re: Présentation de Liori Satsubatsu - Accepté Jeu 10 Avr - 16:33 | |
| Résurrection : Année 38 du renouveau.
Son tuteur s’était absenté pour plusieurs mois. Liori se trouvait donc contraint d’effectuer une liste d’exercice physique concocté par Kaïz’er. La dîtes liste se retrouva rapidement éparpillé dans une flaque d’eau. Liori comptait profiter des moments de liberté qu’il possédait, et sur les conseils de sa mère se rendit à la bibliothèque du clan. C’était la première fois qu’il y mettait les pieds, et il dut avouer que cela l’avait impressionnée. Il n’avait aucune idée de la taille de la pièce, mais il savait qu’elle était suffisamment grande pour abriter plusieurs dizaines, voir vingtaine d’étagères surchargées d’ouvrages Satsubatsu plus ou moins récents.
L’enfant de dix ans se glissa entre les étagères, la tête penchée pour lire les titres des livres. Parfois il promenait sa main frôlant les couverture et saisissant un des ouvrages. Finalement, et sur les conseils de la voix de sa mère, il vint s’asseoir à une des tables se situant parmi les étagères. Il y posa une dizaine de livres et commença à lire le premier. Les mémoires d’un ancien Satsubatsu de la branche médicale qui racontait toute ses observations concernant leur maladie. Le texte était assez compliqué, du moins pour le garçon de 10 ans, et il passa à un suivant. C’était encore un récit d’un médecin Satsubatsu, qui parlait des tentatives de guérison de leur don au fil des âges, et des raisons de leur échec. Le texte n’apprenait rien de nouveau au jeune Satsubatsu, et lui donnait mal au crâne. Il passa au suivant, encore écrit de la main d’un médecin Satsubatsu.
[Liori] – Mère, pourquoi me faire lire tout ça ?
Continu, tu comprendras…
Guère Satisfait de cette réponse, mais ne voulant pas aller à l’encontre des paroles de sa mère, il obtempéra. Les livres s’accumulaient sur la table tandis et les yeux du Satsubatsu faiblissaient. Le sommeil lui sauta dessus, comme un chat sur une souris. Et de la même manière, il s’amusa à tourmenter l’enfant.
La guerre a lieu entre les villages ninja de Kiri no kuni et Kumo no kuni. C’est pour raison, et à cause du bandeau qu’il porte, qu’un gamin meurt la gorge transpercée par mon sabre… Pas le temps pour s’apitoyer. Je dégage ma lame en décapitant à moitié le ninja de Kumo, et je bloque un coup venant d’un ennemi. …
J’entends mon coéquipier me supplier de me relever. J’essaye de lui répondre mais lorsque j’ouvre ma bouche je vomis. La boue prend une teinte rougeâtre, tandis que je serre les dents pour ne pas hurler.
…
Quelque chose de froids pénètre mon dos. Je pousse un grognement et commence à ramper vers elle. Sa tête est tournée vers moi. (Maman) Ses yeux me fixe sans me voir. J’hurle à nouveau, et trois autres lames mettent fin à ma vie.
[Liori] – Maman !
L’enfant se réveille en hurlant. Encore un cauchemar. Il tremble, de la sueur froide lui coule dans le dos. Il a mal. Son bras gauche le brûle. Il serre son poignet gauche de sa main droite. Il grogne, réprime d’autres hurlements. Sa main droite lâche son poignet. Il fouille dans la veste de son kimono, sa main en sort une petite bourse fermée par un fil. Son bras gauche refuse de répondre. La douleur l’engourdi, ses doigts lutte face au nœud. Finalement, il se défait. Liori renverse le contenu sur un des livres ouvert qu’il avait commencé à lire. Des petites boulettes vertes, visiblement faite à partir de plante, se retrouvent éparpillé un peu partout. Il en prend une et l’avale, s’étranglant à moitié. Il se raidit. Puis finalement, se détend, il se sent fatigué et se rassoit. Les bandages de son bras gauche sont devenus rouges et poisseux de sang. Sang qui s’écoule le long de son bras pour former une flaque sur le sol autrefois propre de la bibliothèque.
Liori était dans un état second. L’effet de la drogue et de la crise qu’il venait de subir. Il balançait sa chaise, d’avant en arrière, un sourire béat au visage. Il était plongé dans ses anciens souvenirs. Il se revoyait avec ses parents. Lors de repas, de promenade, ou assistant à un kata au sabre de son père. Plus il se souvenait, plus il se balançait. Et finalement, sa chaise chuta, l’emportant au passage. Il senti le bois dur d’une des étagères lui cogner le crâne. Cela le sorti de son état, et il eut le temps de se poser deux questions. Pourquoi était il par terre… Et pourquoi cette étagère était en train de lui tomber dessus ? Il n’eut que le temps de lever les bras pour se protéger. L’étagère fut stoppée dans sa chute par une autre, mais tout le contenu se déversa sur Liori. Des dizaine d’ouvrages lui tombèrent dessus, il eut le souffle coupé, mais il fut heureux d’avoir développer un certaine résistance au choc avec l’enseignement de son tuteur. Quand l’avalanche s’arrêta, Liori n’osa pas bouger, de peur qu’autre chose lui tombe dessus. Il attendit quelques minutes, mais rien ne se passa. Il se releva donc, et pesta copieusement contre les « écrivains débiles qui compense leur manque physique par le poids de leur bouquin ». Alors qu’il allait sortir, pour ne pas se faire découvrir à une heure tardive de la nuit au milieu de ce bordel, Liori fut attiré par un texte. C’était une référence aux cultures des autres pays, et notamment aux techniques médicales.
« … Si cela ne rentre pas forcément dans le domaine médical, j’ai entendu des rumeurs concernant une technique interdite aussi horrible qu’intéressante. La résurrection partielle d’un être humain semblerait possible au moyen de cette technique. Elle consisterait à ramener dans notre monde un défunt sous l’apparence qu’il avait avant la mort. Le défunt ramené dans notre monde, au moyen de ses cendres et d’un sacrifice humain, conserverait ses connaissances d’origine… »
Liori n’eut pas le temps de tout lire, des bruits de pas dans le couloir menant à cette pièce lui indiquèrent qu’il allait avoir des problèmes. Il déchira la page qu’il l’intéressait et la cacha dans son kimono. La porte s’ouvrit. Il avait des problèmes.
5 ans plus tard : Année 42 du renouveau
Un adolescent vêtu de noir range des photos et se prépare. Il porte la tenu Satsubatsu, Pantalon noir bordé de rouge, et veste sur le même modèle. Dans son dos est cousu en rouge le mot « sang » en japonais. Son bras gauche est recouvert de bandage, il porte un gant à la main droite, qui lui remonte au tiers du poignet et laisse ses doigts à l’air libre. Il a les cheveux blancs, formant plusieurs mèches, lui donnant un air décoiffé. Ses yeux bleu sont à moitié caché par des petites lunettes noires, sans branche, qu’il porte au bout de sont nez. Et pour compléter, un petit anneau d’argent pendouillé à son oreille gauche. Un long katana dans un fourreau métallique noir est visible à son côté droit.
Liori Satsubatsu se diriga vers la porte de sa chambre, mais il se retourna avant de l’ouvrir et alla dans un des coins de la pièce, où se trouvait une petite table sur laquelle trônait une tablette funéraire et une perruque. Liori sourit. Il se souviendrait toujours du jour ou son tuteur lui était revenu. C’était il y a un an, lors de la guerre face à Suna. Kaïz’er avait était envoyé au front pour les besoins de la guerre. Il en était revenu dès sa première mission. Du moins, seul son bien le plus précieux était revenu.
Le chef était venu voir Liori alors que ce dernier était en train de s’exercer au maniement du sabre –Il avait acquis les bases, mais n’avait pas encore pu vérifier s’il avait un réel potentiel ou non.
[Jikkei’ji] – Liori Satsubatsu… J’ai une bien triste nouvelle à t’annoncer… Ton tuteur, Kaïz’er Satsubatsu, est mort au combat la semaine précédente…
[Liori] – Oh… Comment est-il mort ?
[Jikkei’ji] - Lors d’une attaque sur un campement ennemie… Les pertes furent terribles pour nous… Les chiffres parlent d’une victime… Ecoute, je sais que tu adorais cet homme… Il était un exemple pour nous tous. Je sais que ça ne diminuera pas énormément ton chagrin mais… Voici le dernier souvenir qu’il voulait –j’en suis sur- te laisser… Sa moumoute.
Il y eut un instant de flottement, Liori dévisageait son chef (même si à part des bandages, y n’y avait pas grand-chose à voir), puis toutes les émotions qu’il semblait contenir depuis l’annonce de cette mort firent surface. Un rire sonore retentit dans la demeure du clan Satsubatsu, bientôt rejoins par un deuxième. Lorsque Liori et le dirigeant du clan eurent calmé leur fou rire, Liori s’essuya une larme –uniquement dû au rire- et répondit.
[Liori] – Tu n’imagines pas combien je souhaité entendre ça depuis que tu me l’as collé en instructeur.
Le chef lui fit signe, tout en continuant à rire, d’aller se recueillir seul. Au passage il lui donna la perruque et lui dit de dresser une tablette funéraire pour respecter la mémoire du bon maitre qu’il avait était. Cette remarque avait de nouveau fait éclater de rire Liori.
Liori adressa donc ses respects matinaux à son ancien maître.
[Liori] – Salut vieux con. J’espère que tu t’éclates bien, quelque soit l’enfer où tu te trouves. Comme chaque jour, je viens te remercier pour l’immense cadeau que tu m’as fait en allant te suicider au cours d’une mission. Ah, au fait, je vais aller m’inscrire à l’académie ninja aujourd’hui…
Il ébouriffa la perruque, puis sorti de sa chambre en sifflotant. Cinq ans avaient passés depuis sa découverte dans la bibliothèque, et depuis il avait radicalement changé. Il avait fait son deuil et s’était mit à porter le noir des Satsubatsu. De plus il avait compris que sa haine envers le monde entier ne le mènerait à rien. Il savait qu’il devait devenir puissant pour ramener ses parents, et devenir un vrai ninja était déjà une des étapes à franchir. C’était pourquoi il avait décidé de suivre les « cours » de Kaïz’er, même s’il n’avait pas appris grand-chose de ce dégénéré mental, il avait due s’en contenter. C’est pourquoi il s’était décidé à s’inscrire à l’académie ninja. (en réalité l’aurait fait plus tôt, mais son tuteur légal, Kaïz’er l’en empêchait).
C’est donc d’un pas léger qu’il se dirigeait vers l’académie.
[Liori] – *Papa… Maman… Je vous sauverais !* |
| |
| Sujet: Re: Présentation de Liori Satsubatsu - Accepté Dim 13 Avr - 12:48 | |
| Les premiers rayons de soleil paraissaient à travers les rideaux transparents. Ils me réveillèrent. Je me rendis compte que j’avais passé la nuit au bureau, et que je m’y étais endormi. J’avais la marque de la paperasse sur la joue. Je regardais l’heure, il était tôt. Pourquoi ne pas se rendormir ?
Des bruits de pas, cette fois, me réveillèrent. Il me sembla qu’on ouvrit la porte du bureau, et mes paupières se soulevèrent. Oui, en effet, quelqu’un pénétrait dans la pièce. Il s’agissait d’une de mes collègues, une de ces charmantes – et pourtant ô combien dangereuses – brunes. Aujourd’hui elle n’était pas venue tôt, et pourtant elle fut étonnée de me voir déjà dans la salle. Elle me parlait, mais je ne comprit qu’à moitié ses paroles, rentrants par une oreille et sortants par l’autre. Des fois, j’avais l’impression qu’il s’agissait simplement de grognements.
Je relevais mon buste, lentement, pour faire meilleure figure. Mais c’était un fait, je manquais clairement de sommeil ces derniers temps. Des poches se dessinaient sous mes yeux. Et je faisais toujours le même cauchemar, toujours à propos de cet homme grassouillet, vêtu d’un costume blanc. Cela m’obsédait, mais je n’osais pas en parler à quiconque. C’est louche quelqu’un qui rêve chaque nuit du même bonhomme.
Mes sens semblaient ne plus être engourdis par le sommeil, d’ailleurs, mes picotements matinaux dans le bras s’estompaient. Les paroles de ma collègue devenaient audibles.
[Miss] « …ait ici ? »
Je n’avait pas saisi le début de la phrase. Faisant mine de ne pas avoir entendu car elle ne parlait pas assez fort, je lui demandai de répéter.
[Miss] « Je disais donc : Qu’est-ce que tu fait ici ? Il est bien trop tôt pour qu’un manchot comme toi travaille. »
Elle n’a jamais été tendre pour les appellations douteuses. Heureusement pour moi, j’ai bien mes deux bras. Je lui répond d’un signe du troisième doigt qui signifie : j’accepte ta critique. Elle ne semble pas le voir, ou bien peut-être s’en moque-t-elle out simplement ?
[Miss] « Il y a un nouveau aujourd’hui. Enfin, comme tous le sjours. Ce que je veux dire, c’est que c’est un Satsubatsu. Tu sais, un de ces mecs…sanglant. » Elle sembla fière d’elle.
Ma pensée s’éveilla pleinement à ce nom. Mon regard fut d’autant plus sévère envers elle que je n’acceptais aucun commentaire sur cette famille. Je me levai de mon siège, silencieusement, et sortit de la salle, en direction du hall. Ma tête semblait embuée de souvenirs.
J’avais connu des Satsubatsu, auparavant. Plus particulièrement, un homme.
J’arrivai à l’entrée de l’académie, et reconnut immédiatement le petit de la lignée : il portait les habits traditionnels de cette famille, et son bras gauche était mal en point. Son kimono noir et rouge fit ressurgir un brin de nostalgie en moi. Je m’en approchai.
« Bonjour, tu t’appelles comment ? » Approche peu délicate, il est vrai. Etrangement, son visage réveillait au fond de moi une foule de sentiments antérieurs à ma dégradation. Oui, j’avait été Jounin d’élite auparavant…
Mon mentor, je ne l’oublierais jamais, manipulait son sang… |
| |
| Sujet: Re: Présentation de Liori Satsubatsu - Accepté Dim 13 Avr - 16:39 | |
| [C'est le bras gauche qui est mal en point.]
Liori avait due traverser mainte et mainte épreuve pour arriver où il en était. Les épreuves avaient été douloureuses, voir quasi insurmontable. Mais cela avait forgé l'individu que Liori était devenu. Oui, car maintenant Liori était devenu un adolescent râlant après "le temps de merde de ce foutu" pays.
La journée s'était pourtant annoncée ensoleillée. Lorsque Liori était sorti de la demeure Satsubatsu, le soleil était radieux dans le ciel et aucun nuage n'était visible à l'horizon. Liori avait donc attaqué plus de la moitié du chemin le menant à l'académie lorsqu'un flash l'avait aveuglé soudainement. Le flash fut rapidement suivit par un grondement sourd et le Satsubatsu n'eut que le temps de cacher son bras gauche sous sa veste pour le protéger de l'eau, qui ne tarda pas à s'abattre tel un véritable torrent. Il avait néanmoins continué sa route.
Il arriva finalement aux portes de l'académie, où il savourait d'avance le plaisir de se mettre au sec. Seulement, lorsqu'il atteint son objectif, il eut l'immense plaisir de constater que les portes refusées de bouger. Visiblement il était arrivé trop tôt...
Il prit son mal en patience et s'assit au pied des doubles portes. Au moins l'eau ne l'atteignait pas ici. Tout en observant l'eau tombé et perdre peu à peu en intensité il conversait avec sa mère.
[Liori] - *Mère, j'ai une question...*
Qu'y a t-il Liori ?
[Liori] - *Pour la tenu Satsubatsu est-elle si mal adapté à ce foutu climat ? On crève de froids avec !*
Ton père ne s'en est jamais pleins...
Liori n'eut rien à répondre. Trouvant le temps long, il sorti un montre à gousset d'un poche situé à l'intérieur de sa veste et la consultât. Il était vraiment parti trop tôt.
Une dizaine de minute passèrent, et la pluie s'arrêta et le soleil revint. Liori en fut content, même si il faisait toujours aussi froids. Heureusement, une femme finit par venir, jolie brune. Elle jeta un regard dédaigneux à Liori, puis sorti une clé qui lui permit de déverrouiller la porte, qu'elle ouvrit. Avant de rentrer dans l'académie, la brune jeta un dernier regard au Satsubatsu.
[Miss] - La momie, soit tu t'en vas, soit tu rentres. Mais tu ne restes pas à saloper l'entrée avec ton cul !
Liori se releva et regarda la brune et eut un petit rire.
[Liori] - Il m'est difficile de résister à une telle invitation. Mais je vous préviens, ça ne pourra pas coller entre nous. J'en aime une autre.
La brunette ne releva pas la remarque Liori et rentra, suivit par le Satsubatsu. Elle lui dit d'éviter de saloper le sol en dégoulinant et lui jetta un serviette. Puis elle partit lui indiquant que quelqu'un devrait s'occuper de lui bientôt. Le Satsubatsu s'essuya et fut rapidement sec, ou presque, grâce à la chaleur du lieu. Il inspecta soigneusement son bandage au bras gauche, en quête d'une trace d'humidité. Il fut heureux de constater que le bandage était sans doute la partie la plus sèche de son corps à l'heure actuel. Il fit la même inspection à celui de son poignet droit, en retirant le gant qui dissimulé le bandage.
[Takeo] - Bonjour, tu t’appelles comment ?
Liori se retourna dès qu'il l'entendit, trop absorbé par son inspection pour se s'être rendu compte que quelqu'un s'était approché. L'individu, un humain masculin de toute évidence, semblait manquer de sommeil, à en juger par les poches sous ses yeux.
[Liori] - Bonjour. Je suis Liori... Liori Satsubatsu (Il renfila son gants) Je viens pour rejoindre les bancs de l'académie... Et vous êtes ? *Pourquoi il me regarde comme ça ? J'ai un truc sur le visage ?* |
| |
| Sujet: Re: Présentation de Liori Satsubatsu - Accepté Lun 14 Avr - 23:53 | |
| [Dude ! I thought it was the right one >< ‘cause daddy always hit with his left hand. ] Il avait les cheveux blancs. Ils avaient tous les cheveux blancs, de toutes façons. Et cette coiffure, dont les premières mèches pendaient sur le front, me rappelaient aussitôt mon maître disparu. Je me surpris à sourire à cette vision. Le jeune homme remit son gant pour cacher sa main droite. Il cachaient tous leurs mains, de toutes façons. En avaient-ils honte ? Ma question le surprit. Enfin, il me semble. Il se retourna vivement et balbutia une réponse. [Liori] – « Bonjour. Je suis Liori... Liori Satsubatsu. »* Liori ?* Son prénom ne me rappelait rien. Malgré cela, je ressentais à son contact une sensation de déjà-vu. *Satsubatsu ? Oui… oui ça, je m’en doutais.*[Liori] – « Je viens suis venu pour rejoindre les bancs de l'académie... Et vous êtes ? »A mon tour, sa question me surprit. Pourtant, elle n’avait rien d’anodin. Je n’avais seulement pas pensé que cette question avait de l’intérêt. Ce manque total de tact me révolta. Pourquoi est-ce que je rêvassais ce matin ? J’étais incapable de me lever, de travailler, et même de réfléchir. La fatigue n’y était sûrement pas innocente, mais je me demandais si je ne couvait pas une quelconque maladie… Et ce rêve qui m’obsèdait ces derniers temps ne me laissait guère de répit. « Excuse moi, je ne me suis même pas présenté. Ce n’est pas très poli. Je suis Takeo. »Et là, j’aurai dû rajouter un nom de famille ? Non, il s’en fout. Ils s’en foutent tous, de toutes façons. Il me regardait, curieux. Qu’est-ce que j‘ai sur la face ? Tu me fixes parce que je suis pas rasé, c’est ça ? En effet, en passant ma main sur mon menton, je sentis qu’une barbe de trois jours avait poussé. Mince, quelle négligence ! Il veut entrer à l’académie. C’est ce qu’il a dit, il me semble. Je n’avait pas vraiment prêté attention à ses paroles. Je ne vois pas pourquoi je refuserai un petit des Satsubatsu. Toutefois, je ne vois pas non plus de raisons pour ne pas le tester. « Satsubatsu, hein ? Ce serait pas par hasard la famille qui manipule son sang ? » Je connaissais la réponse, mais je voulais l’entendre de sa bouche. J’avaits besoin de lui parler, de l’approcher. Etait-ce l’âge qui me faisait agir ainsi ? Mon recul sur la situation ? Mes souvenirs, sur mon mentor…? Il me répondit, mais je ne ressentis rien émanant de lui. Il n’avait pas de charisme, ou tout du moins, pas encore. Par chance pour nous, le charisme se travaille et s’acquiert, parfois au profit de dures épreuves et de dures heures de travail. Le garçon, c’était simplement un adolescent. On pouvait deviner son mauvais caractère cent mètres à la ronde. Il fronçait régulièrement les sourcils. On ne pouvait cependant pas douter de la lueur d’intelligence qui éclairait son regard. « Tu sais, j’ai connu un Satsubatsu, aussi. Mais il est mort il y a déjà quelques années. On s’entendait plutôt bien. Tu me fais penser à lui, mine de rien, à cause de tes vêtements et de tes cheveux. »Ses yeux s’agrandirent. Tiens ? Aurait-il quelque chose à se reprocher ? Ou bien peut-être qu’un de ses proches parents était mort il y a quelques années lui aussi. « Tu veux entrer à l’académie. je n’y voit pas d’inconvénients, mais j’y pose quelques conditions… » Il boit mes paroles. « Premièrement, tu changes de vêtements. Deuxièmement, tu changes de coiffure. Troisièmement, tu seras rattaché à mon équipe. Si tu as des questions chiantes, je sais qu’une jolie fille brune te répondra avec amabilité (sourire en coin). Pour les autres questions, pose les moi. Je suis à ton écoute, et à ta disposition. »J'espère qu'il acceptera mes conditions. J’ai été rapide, concis. J’aime ce qui est rapide et concis. Enfin, c’est à ne pas déplacer du contexte. |
| |
| Sujet: Re: Présentation de Liori Satsubatsu - Accepté Mar 15 Avr - 1:25 | |
| [Takeo] - "Excuse moi, je ne me suis même pas présenté." *C'est pour ça que je te demande ton nom...* "Ce n’est pas très poli. Je suis Takeo."
Ainsi cet être mal rasé, et n'ayant visiblement dormit que trop peu ces derniers temps avait un nom. Takeo. Liori se demandait si cet homme n'avait pas quelques difficultés dans ses relations avec autrui, il semblait avoir était réellement surpris par le fait que le Satsubatsu lui demande son nom. D'ailleurs, même si cela était un détail pour lui, l'individu ne lui avait fournis que son prénom. Takeo enchaina sa réponse à la question de Liori par une question destiné à la momie.
[Takeo] - "Satsubatsu, hein ? Ce serait pas par hasard la famille qui manipule son sang ?"
La question aurait pu sembler anodine, surtout si elle avait était posé à quelqu'un ne possédant pas les attributs Satsubatsu ; la tenu, l'apparence et l'odeur du sang. Seulement, Liori possédait tout cela et il fronça légèrement les sourcils.
[Liori] - *"Par hasard", mon oeil... Balances ta question mais épargne moi les entrées maladroite !* "Effectivement, on peut même rajouter qu'on a le plaisir de pourrir avant notre heure !"
Liori guetta une réaction du shinobi face à cette remarque, mais il n'en décela aucune. Visiblement, ce n'était pas le don Satsubatsu qui l'intéressait...
[Takeo] - "Tu sais, j’ai connu un Satsubatsu, aussi. Mais il est mort il y a déjà quelques années. On s’entendait plutôt bien."
L'adolescent aux cheveux blancs sentit son expression se radoucir, et l'homme en face de lui venait de monter quelques échelons dans l'échelle de son estime. Ce type valait mieux que ce que son introduction laissait penser.
[Takeo] - "Tu me fais penser à lui, mine de rien, à cause de tes vêtements et de tes cheveux."
Le bruit que fit Takeo en s'écrasant au sol après avoir loupé un des barreaux aurait pu faire rire Liori, s'il n'était pas, quelque part, consterné par cette raison.
[Liori] - *Pourquoi ne pas aussi me dire que je lui ressemble car j'ai deux bras et deux jambes ?*
Néanmoins, la remarque de Takeo laissa Liori songeur. Et s'il avait connu cet homme ?
[Liori] - Mère ? Il te dit quelque chose ?
Non... Cet homme ne m'évoque rien.
Takeo reprit la parole.
[Takeo] - "Tu veux entrer à l’académie. je n’y voit pas d’inconvénients, mais j’y pose quelques conditions…"
Liori lui accorda une oreille attentive. Redoutant des conditions du genre "occupe toi de la paperasse à ma place" ou encore "récure les chiottes à ma place". Qui sait quelles autres corvées pénibles ou humiliantes pouvait s'être fait confier ce ninja à la tête chômeur alcoolique. Remarque, si c'était ça, il n'était pas obligé de s'exécuter, quelqu'un d'autre pourrait le faire rentrer à l'académie. Bref, la sentence fut prononcé.
[Takeo] - "Premièrement, tu changes de vêtements. Deuxièmement, tu changes de coiffure. Troisièmement, tu seras rattaché à mon équipe."
Liori leva un sourcil, interrogateur. Les conditions étaient moins redoutables que ce qu'il imaginait, mais elles étaient tout de même étrange. Pourquoi réclamer un tel changement d'apparence ? Il avait quelque chose contre le noir et les gens mieux coiffé que lui ? (Liori fixait un épis visible depuis que Takeo avait légèrement bougé la tête, sans doute était il apparut durant ses dernières heures de sommeil). Ou alors, peut être ne voulait il pas avoir de souvenir de son défunt amis auprès de lui. Mais dans ce cas pourquoi réclamer sa présence dans son équipe. D'ailleurs, un étudiant pouvait être placé dans une équipe ?
[Takeo] - "Si tu as des questions chiantes, je sais qu’une jolie fille brune te répondra avec amabilité[/color] (sourire en coin). Pour les autres questions, pose les moi. Je suis à ton écoute, et à ta disposition."
Liori comprit à qui il faisait allusion.
[Liori] - *Il veut me dissuader de lui poser trop de question avec une menace pareil ?... L'enfoi**...*
Mais malgré le risque, Liori posa les questions qui lui brulaient la langue.
[Liori] - "Premièrement ; Quelles sont les raisons de ces conditions ? Secondo ; Quel était le prénom du Satsubatsu que vous aviez connu ?" (Liori marque un temps de pause, semblant réfléchir.) Tertio ; Les conditions à la con, c'est par plaisir ou c'est lié à un problème récent ?
La dernière question était accompagné d'un regard voulant signifié quelque chose du genre "Je suis au courant de tout, vous ne pouvez rien me cacher". |
| |
| Sujet: Re: Présentation de Liori Satsubatsu - Accepté Sam 19 Avr - 0:11 | |
| [@Liori: C'est Iba. Comme promis je prends le relais, désolé du retard.]
Il avait son caractère, le petit. Impulsif, il ne se laissait pas marcher sur les pieds. On pouvait aller loin avec une telle mentalité, une mentalité de combattant, de vainqueur et d'idiot. Des fois, il vaut mieux se taire et passer pour un abruti, plutôt que de l'ouvrir et de ne laisser plus aucun doute à ce sujet.
Le Satsubatsu ne semblait pas connaître l'adage.
Et le fait de faire face à l'un des ninja les plus impressionnants physiquement ne semblait pas l'intimider le moins du monde. Qu'avait donc vu ces yeux pour être déjà à ce point blasés de tout ?
[Liori]"Effectivement, on peut même rajouter qu'on a le plaisir de pourrir avant notre heure !"
Sarcastique avec ça! Il s'agissait sans nul doute d'un élément les plus en marges des conventions. D'habitude, les postulants viennent quasiment à genoux, presque demandant l'aumône, pour qu'on daigne les accepter, mais lui... Moi, aussi, je peux être cynique.
"- Je ne l'ai pas rajouter parce que ça crève les yeux."
Oui, je suis pas rasé, je dors mal en ce moment, et j'ai toujours trop de paperasse à remplir; alors même un ours mal léché sortant trop tôt d'hibernation serait plus courtois et patient que moi.
Mon attitude n'influençait toujours pas sur le comportement du garçon. Il avait été bercé trop près du mur ou quoi ? Normalement, un mot de travers de ma part, et ça y est, c'est les cris de désespoirs, les larmes, les suppliques. Mais pas lui...
[Liori]"Premièrement ; Quelles sont les raisons de ces conditions ?"
Je me grattais mon menton, il était râpeux. Il allait vraiment falloir que je fasse quelque chose. Le garçon me partageait entre admiration pour son détachement et une violente envie de lui en coller une pour insubordination. Non mais, je vous jure, depuis quand on réponds à son supérieur ?
"- Aucune, c'est moi qui décide. Point."
Il posait des conditions, à moi, Takeo, ex jounin d'élite. Il moi posait des conditions, mais c'est le monde à l'envers !
[Liori]"- Secondo ; Quel était le prénom du Satsubatsu que vous aviez connu ?"
"- ..."
D'anciens souvenirs remontaient à la surface. Je les chassait immédiatement. Mon silence fut vite passé par la question suivante du garçon.
[Liori]"- Tertio ; Les conditions à la con, c'est par plaisir ou c'est lié à un problème récent ?"
Pardon ?! J'ai pas dû correctement entendre. Pouvais-je laisser pareille remarque. C'est vrai que mon ancien mentor était lui aussi crû, mais c'était mon maître. Lui ce n'est qu'un gamin...
D'un geste expérimenté, je le balayais. Instantanément, il perdit l'équilibre. Je plaquais ma main gauche sur son épaule droite et accentuait sa chute, puis je viens fracasser mon poing gauche, dans le sol, juste à côté de sa tête. Ce dernier explosa, laissant place à un trou d'une bonne dizaine de centimètres de profondeur. Mon visage était redevenu vif, incisif, mes traits s'étaient durcis. J'avais ouvert le sol, sans même avoir eut besoin d'utiliser une technique, cette démonstration, montrait sans nul doute ma force.
"- C'est la première et dernière fois que tu me manques de respect ainsi. S'il devait y avoir une prochaine fois, tu resterais les six mois suivants à l'hôpital pour rééducation. Compris ?"
Je me relevais... M'époussetait légèrement. Je n'étais vraiment plus présentable.
"- A l'Académie, il y a des règles, et la première, c'est que l'on ne manque pas de respect à son professeur."
Je me retournais, fis quelques pas en direction d'une salle. Liori ne bougeait toujours pas. Etait-il toujours choqué ?
"- Je vais pas t'attendre cent sept ans pour remplir ta paperasse d'admission. Alors tu viens ?!" |
| |
| Sujet: Re: Présentation de Liori Satsubatsu - Accepté Sam 19 Avr - 22:29 | |
| Liori n'était pas vraiment satisfait. Les réponses de Takeo n'étaient pas vraiment celles qu'il aurait voulu espérer. Même si c'était prévisible. Au moins, le shinobi lui avait montré qu'il pouvait se montrer cynique lui aussi, même si selon le Satsubatsu, sa réplique laissé à désirer. La suite s'avéra plus intéressante. Liori souriait intérieurement quand il sentit ses jambes se faire faucher par Takeo. Lorsqu'il resta un court instant sans toucher le sol, et que la main gauche de l'homme mal rasé fit pression sur son épaule gauche, il exultait. Lorsqu'il se fit plaquer au sol et qu'il vit le visage de Takeo, il se dit que celui-ci était sans doute meilleur que ce que son apparence négligé du moment laissé à penser. Lorsqu'il vit le poing de Takeo se refermer, monter dans les airs et descendre vers son visage, Liori se dit qu'il avait peut être était allé trop loin.
[Liori] - *Si je me le prends, ça va faire mal...*
Tu ferais mieux de l'éviter...
Trop tard. Liori émit un "aoutch" à peine audible, tandis que Takeo retirait son poing du trou qu'il avait créé.
[Takeo] - "C'est la première et dernière fois que tu me manques de respect ainsi. S'il devait y avoir une prochaine fois, tu resterais les six mois suivants à l'hôpital pour rééducation. Compris ?"
Liori ne dit rien, tournant seulement la tête pour mieux voir le trou qu'avait creusé Takeo. La force brute du ninja l'avait plus impressionné que effrayé. Liori remis en place ses lunettes, et fixa le plafond. Il était heureux d'avoir constaté que celui qui deviendrait son professeur valait quelque chose.
[Takeo] - "A l'Académie, il y a des règles, et la première, c'est que l'on ne manque pas de respect à son professeur."
[Liori] - *Je ne suis même pas inscrit à l'académie, donc vous n'êtes pas mon professeur...*
Liori aurait bien voulu répondre quelque chose comme ça, mais la promesse de six mois de rééducation -même s'il était persuadé d'y passé moins de temps- ne l'enchantait pas vraiment.
[Takeo] - "Je vais pas t'attendre cent sept ans pour remplir ta paperasse d'admission. Alors tu viens ?!"
Liori se releva lentement, faisant jouer l'articulation de son épaule droite jusqu'à la faire craquer.
[Liori] - J'arrive Takeo-san.
Il rejoignit l'ex Juunin, et pénétra à sa suite dans la salle pour se plonger dans les mystères et la joie des formulaires d'inscriptions.
Quelques temps plus tard :
Liori était devenu genin. Sa période d'étudiant à l'académie serait sans doute l'un des souvenirs les plus étranges qu'il conserverait. Notamment par les professeurs qu'il avait rencontré, les cours qu'il avait suivit, et le professeur qui l'avait suivit... Oui, maintenant, Liori ne regarderait plus les peluches du même œil. Surtout maintenant qu'il savait qu'au moins une peluche dans ce monde savait quasiment tout de sa vie privé...
Malgré la question qu'il n'aurait pas dû poser concernant Mr.T, son apprentissage des bases ninja s'était assez bien passé. Une fois habitué aux manies et aux caractères des professeurs, Liori avait suivit comme un élève normal et assidu. Du moins quand certains prof ne le larguait pas en cours de route. Au niveau du contact avec les étudiants, il se sentait quelque peu rejeté, du moins au début. Il fallut quelques semaines pour que certains accepte de se mettre à côté de lui et supporter l'odeur de sang émanant de son bras gauche. A ce propos, Liori eut la chance de ne pas subir de crise au beau milieu d'un cours, à la déception de Nimuro, l'un des professeurs qu'il avait eut concernant les cours de médecine. Il aurait voulu examiné le phénomène de près.
Finalement, il obtint son grade de genin assez rapidement. Il passa une épreuve écrite qu'il réussit, sans se démarqué, et ensuite une épreuve pratique consistant en un combat de Taijutsu aux points. Le combat fut court et pas très difficile. Il était tombé sur un élève appartenant à une autre classe que la sienne, et qui visiblement ignoré tout des Satsubatsu. Il avait rit en voyant le bras gauche de Liori, que ce dernier faisait pendre le long de son flanc, comme un fardeau inutile. Il n'avait toujours pas compris comment il avait pu se faire déboiter une épaule et brisé quelques dents par un manchot. "L'ignorance de l'ennemie est une faille à exploiter."
Finalement, il sorti de l'académie, un bandeau frontal tout neuf passé au front.
[Liori] - *Un objectif de passé... Maintenant je dois me concentrer sur l'essentiel...*"J'ai la dalle !" |
| |
| Sujet: Re: Présentation de Liori Satsubatsu - Accepté Dim 20 Avr - 16:57 | |
| Liori : +55 XP RP Takeo (as Darok): + 15 XP RP (bonus inclus) Takeo (as Iba): + 7 XP RP (bonus inclus)
Félicitations! Tu es officiellement genin de Kiri. Je m'occupe de tes fiches dans les heures qui viennent (envoies moi tes caractéristiques et level up par MP)] |
| |
| Sujet: Re: Présentation de Liori Satsubatsu - Accepté Ven 25 Juil - 23:13 | |
| Histoire du clan :
Les dates utilisés lors de cette histoire correspondent au calendrier Satsubatsu, qui diffère du calendrier standard.
Commencement :
Le clan Satsubatsu n'est pas un clan ninja d'origine. En effet, les premiers vrais Satsubatsu n'étaient que des nomades, rejetés par les villes et les villages à cause de l'apparence dû à leur maladie. Imaginez une troupe d'une centaine d'hommes et de femmes sortant du désert. Couverts de bandage -laissant les hommes normaux imaginer les horreurs cachées en dessous-, portant pour la plupart des armes et empestant le sang, qui se présentaient devant les portes des villes du désert. En général les nomades étaient repousser armes en mains car ont les considéraient comme des envahisseurs, des bandits ou encore des parias que leurs anciennes villes auraient rejeté. Plus rarement, certains villages leurs accordaient le droit de rester quelque temps sur les terres alentours. Mais si un incident survenait, on leur en attribuait la responsabilité et ont les rejetés tout aussi violemment que d'habitude. Les Satsubatsu de l'époque avaient appris à se contenter de cette viet malgré les violences qu'ils devaient couramment subir et aussi le taux élevés de mortalité aussi bien dû à la maladie qu'aux combats. D'ailleurs ils s'efforçaient de ne jamais user de la violence pour autre chose que se défendre contre les attaques dont ils étaient les cibles. Mais malgré cela...
[Extrait des mythes des Satsubatsu. [...] Et lorsqu'elle rendit son dernier souffle sur la tombe de sa famille, le démon qui la convoitait sorti des ténèbres. La créature au sourire démoniaque rongé par tous ses péchés recouvrit de son ombre la vierge blanche. L'absurde être à la tête de femme s'empara alors du corps et s'accoupla avec la morte. C'est alors que déchirant les chairs de l'ancienne vierge Un enfant sorti de son ventre. Le premier Satsubatsu naquis dans un cimetière, Fruit du désir d'un Démon envers une femme morte...]
[L'année 132 avant le renouveau.] Ce jour fut considéré comme un nouveau départ pour le calendrier du clan. Alors que le clan s'était vu autoriser à loger dans une ville pour s'abriter d'une terrible tempête de sable, un terrible incident eus lieux. Un Satsubatsu fut attiré dans une bagarre qu'avaient provoquée des hommes saouls, sortant d'une taverne proche. Bien évidement, le Satsubatsu essaya de s'esquiver mais malheureusement, un des ivrognes réussi à lui arracher les bandages que le pauvre homme portait au visage... Son apparence inspira en premier lieu de la terreur à l'homme qui venait de le dévoiler. Mais rapidement, cette peur se mua en colère.
« Sale monstre ! »
Ce fut la phrase historique du moment, phrase qui fut reprise par tout les habitants passant dans les environs et ayant assistés par la scène, puis par tout le quartier, et pour finir, par toute la ville. Le "monstre" fut lapidé sur place par des habitants devenus surexcités à l'idée de partir à la chasse aux monstres. Le cadavre fut dénudée et utiliser comme étendard pour montrer à tous quels monstres ils avaient fait l'erreur d'accueillir. Les Satsubatsu durent fuir une fois encore pour survivre, mais cette fois ci, ils le savaient, plus jamais ils ne pourraient se réfugier dans une ville. Ils partirent donc vers le cœur du désert, et personne ne les revis jamais.
Cette période fut nommée, l'Errance.
Deuxième période :
[Extrait des mythes des Satsubatsu. [...] L'enfant survécu, et chercha son père. Les dieux qui avaient assisté à la scène décidèrent d'intervenir. Ils expliquèrent à l'enfant que son père n'était qu'un démon, Qu'il ne devrait pas chercher à le revoir, Et qu'il devrait se faire pardonner auprès de sa mère pour avoir oser naître. L'enfant demanda comment pourrait-il faire cela. Les dieux lui donnèrent 3 choix pour cela, La privation, la douleur et la religion L'enfant choisi la douleur.]
L'apparence des Satsubatsu, et donc leur maladie, étaient les causes de leurs souffrances. Voila pourquoi les Satsubatsu après avoir longtemps erres dans le désert pour finalement s'installer dans leur propre village décidèrent de se pencher d'avantage sur l'étude de leur maladie. De nombreuses générations se succédèrent pour résoudre ce problème. Beaucoup abandonnèrent, ne trouvant aucune solution, et se plongèrent dans le mysticisme pour justifier cette maladie incurable. D'autres cherchèrent encore et toujours. Perfectionnant leurs techniques médicales. Cultivant certaines plantes pour leurs propriétés curatives. D'autre générations succédèrent aux générations qui avaient suivis les autres générations, mais aucune solution n'avait encore était trouvée... Néanmoins, le clan acquis toujours plus de connaissance médicale, délaissant leurs aptitudes guerrières, et s'ils ne trouvèrent pas le moyen de guérir la maladie, ils purent au moins aider les membres du clan à la supporter au moyen de plante du nouvelle espèce, ainsi que d'onguent spéciaux. Les rares contacts avec les autre peuples du désert étaient tendu, ici aussi on avaient entendu parler des "monstres" même si le temps avait fait son effet et que depuis cette histoire s'était transformée en une sorte de légende. Cependant, la guerre arriva dans les pays limitrophe, et elle alla même jusqu'au cœur du désert.
[L'année 43 avant le renouveau.] Les Satsubatsu se trouvèrent une fois de plus confrontée à la violence qui avait était coutumière à leurs ancêtres. Les troupes ennemies avaient détruits leur village, le clan avait juste eus le temps de s'enfuir, emportant quelques bien précieux et de la nourriture. Ayant entendu parler d'un village Ninja qui devait se trouver dans les environs, les Satsubatsu décidèrent de s'y rendre. Malheureusement, au bout de quelques jours de fuite, ils furent rattrapés par les soldats qui avaient détruit leur village. Les rares Satsubatsu qui avaient choisi de conserver une voie guerrière se sacrifièrent pour que leur peuple survive, mais malheureusement cela ne suffit pas. Heureusement, les dieux semblèrent se montrer cléments car une aide inespérée vint vers eux. Des Ninja du village caché du pays du vent. Les soldats furent mit en déroute par une poignée de Shinobi du sable, et les Satsubatsu survécurent et ils purent être conduit jusqu'au village. Ils s'y réfugièrent étant enfin à l'abri... Mais le Kazekage de l'époque exigea un prix pour que le clan bénéficie de sa protection... Les Satsubatsu étaient passés de Nomades à monstres, puis de monstres à villageois, de villageois à réfugier. Voila maintenant qu'ils allaient passer de réfugier à Ninja. Pour leur survie ils acceptèrent de mettre leurs connaissances médicales au service de leur nouveau maitre.
Ainsi le village se dota de très bon médecin, et en contrepartie le clan reçut le droit d'accéder à une formation de Ninja. Les médecins purent aussi avoir accès à un meilleur matériel médical et donc continuer de manière encore plus performante leurs recherches pour trouver un remède contre la maladie. Et grâce à cela, quelques années plus tard : La mortalité infantile due à la maladie diminua. La mortalité due aux combats augmenta de façon alarmante. Bien que devenu un clan Ninja à part entière au bout de quelques années d'existence dans le village, la réputation de monstre qu'avaient acquis le clan fini par les rattraper même aux seins du village ninja. Ceci ajouté au fait qu'ils avaient abandonnés la voie du combat au profit de celle de la médecine, ils étaient devenu les membres sacrifiables au cours du mission. Des voix grondèrent parmi la population Satsubatsu, mais aucun réel mouvement de révolte n'avait eus encore lieux.
« Quand nous possèderons le remède, nous serons acceptés !» C'était ce qu'ils affirmaient, une fois qu'il n'y ressemblerait plus, ont finirait par oublier qu'avant on les avait pris pour des monstres. D'ailleurs, les médecins du clan n'avaient jamais était aussi proche que ça de la solution. Grâce aux enseignements Ninja ils avaient appris l'existence des canaux de chakra, ainsi que leur rôle dans le corps humain. Selon eux, leur maladie était dû a une fusion entre ces canaux et ceux de leurs systèmes sanguins... D'après les Satsubatsu, il leur suffirait juste de les dissocier pour arrêter la progression totale de la maladie. Et un jour, un illustre Satsubatsu réussit à guérir un membre de son clan atteint de la maladie... Il parut étrange qu'aucun cri de joie n'accueillit cette nouvelle... La guérison avait entrainée la mort du patient... Le clan Satsubatsu était abattu.
Cette période fut nommée, la soumission.
Troisième période :
De nombreuses années passèrent, quelques décennies même. Le Kazekage céda sa place à un autre, la guerre céda sa place pour la paix, puis la paix pour la guerre. Mais rien ne changea pour le clan Satsubatsu. Les membres du clan étaient toujours employés dans des missions suicides ou demandant en général un sacrifice dans l'équipe. Depuis qu'ils avaient découvert que leur malédiction -c'est comme cela qu'ils avaient décidés d'appeler leur maladie- était incurable, les Satsubatsu avaient délaissés la médecine pour se tourner vers les arts de combats. Grâce à l'héritage laissé par les anciens nomades, notamment des écris concernant l'art du combats et des techniques de forge, les Satsubatsu réussir un regagner un statut de guerrier digne de ce nom. Durant quelques années les Satsubatsu ne furent plus qu'un clan composé quasi exclusivement de combattant, notamment d'expert en sabre jusqu'au jour ou l'un des rares Satsubatsu appartenant encore à la branche médicale se plongea dans l'étude de la "malédiction" et non de sa guérison. Ses recherches intriguèrent une partie de son clan, en mécontenta d'autre qui pensait qui ce n'était qu'une perte de temps inutile, et dans l'ensemble, attira l'indifférence. Tout du moins au début.
[Extrait des mythes des Satsubatsu. [...] L'enfant devint adulte, La douleur de son expiation devint sa marque. L'enfant mort, car tel était son nom, Parcouru le monde, Souffrant toujours, physiquement, mentalement, et aussi par sa solitude. Il parcouru tout les Océans, toutes les Terres, Avant de s'arrêter au ciel. La haut, il couru après le soleil, cherchant sa compagnie. Le soleil voyant les ténèbres de l'existence, de l'enfant mort, S'enfuit a chaque fois que le sang coulant des blessures, teintait le ciel de rouge. Laissant ainsi place à l'âme de l'enfant mort.]
Les recherches de Liori Satsubatsu avaient débutés relativement normalement. Le médecin avait cherché tout les ouvrages médicaux rédigés par des générations de Satsubatsu à propos de leur maladie et avait commencé à tous les lire activement. Il passa des livres de médecine au livre de mythe Satsubatsu, puis des mythes à n'importe quel texte faisant référence à son sujet d'étude. Bientôt, ce ne fut plus les livres que recherchait l'ancien médecin, mais des Satsubatsu rongés par la maladie et volontaire pour l'aider dans ses recherches. Au début, selon les dire des volontaires, il leur fit passer des séries de test pour mieux encore comprendre la maladie, puis les tests se firent de plus en plus complexe et bientôt étrange. Au bout de quelques mois, les sujets d'expériences ne voulurent plus rien dire à ce sujet. Encore quelques mois plus tard les familles n'eurent plus de nouvelles concernant leurs enfants, frère, sœurs, ou parents participant aux recherches de celui qui était désormais considéré comme un fou par ses pairs. Une certaine agitation régnait dans le quartier de Suna "réservé" au clan Satsubatsu. Beaucoup souhaitaient connaitre la vérité concernant les recherches de l'ancien médecin, mais personne n'osaient rentrer dans sa demeure malgré l'odeur forte et familière qu'elle dégageait, l'odeur du sang.
Finalement, le Kazekage dépêcha une équipe de Shinobi pour découvrir ce qu'il s'y tramait, l'agitation devant sans doute lui faire penser qu'un mouvement de révolte pourrais avoir lieu ou que dû moins une quelconque trahison était à prévoir.
[Extrait des mémoires de Iuka Satsubatsu. L'année du 11 avant le renouveau. [...] Le dernier souvenir que me laissa mon vénéré maitre, Liori Satsubatsu, furent toutes ses recherches et un aperçu d'une puissance guerrière qu'il n'avait jamais voulu assumé. Cela s'est passé il y a déjà plus d'une dizaine d'année, mais je peux encore vous racontez ces quelques minutes avec une certaine précision...
Le maitre me fourra un épais ouvrage dans les bras. Je le reconnus tout de suite, c'était dans ce livre qu'étaient consignées toutes ses recherches sur ce qu'il appelait "notre don". Suite à cela, il m'ordonna de fuir. Je m'y opposais malgré tout le respect que je lui vouai, je ne pouvais me résoudre à l'abandonner. J'ai honte de l'avouer même maintenant, mais contrairement à ce que l'histoire raconte, le maitre et moi ne nous sommes ni séparer après des adieux déchirant, et je ne me suis pas non plus enfui après avoir combattus à ses côtés... Malgré sa faible constitution physique, mon vénéré maitre m'avait agrippé par le col et la ceinture pour me jeter à travers une fenêtre restée ouverte. Pendant mon vol, et j'ignore comment, je réussi à me retourner pour voir la vrai nature de notre maitre. [...] Les gens disent de nous que nous sommes des monstres. Ils ont tort. Nous sommes des bêtes sanguinaires.]
Le lendemain, les journaux de Suna annoncèrent la mort d'un Satsubatsu renégat coupable des crimes suivants : -Meurtres de trois Juunins de Suna dans l'exercice de leur fonctions -Meurtres de six membres du clan Satsubatsu -Expériences illicites menées sur des sujets humains.
Cette nouvelle fit disparaitre l'agitation qui régnait sur le quartier Satsubatsu, mais elle laissa place à un nouveau sentiment. Un sentiment de liberté et de puissance. Un sentiment provoqué par un ouvrage que tenait dans ses bras un disciple sans maitre.
Cette période fut nommée, le réveil. |
| |
| Sujet: Re: Présentation de Liori Satsubatsu - Accepté Ven 25 Juil - 23:14 | |
| Quatriéme période :
Les Satsubatsu avaient de nouveau dû fuir...
Après avoir parcouru les immensités désertique du pays du vent, les Satsubatsu se tournèrent vers celle des océans, pour finalement arriver dans le pays où est niché le village cacher de la brume, Kiri no Kuni. Peu de Satsubatsu sont encore capable de dire comment ils ont réussi à fuir de Suna no Kuni pour arriver dans le pays de l'eau. Mais tous peuvent encore vous expliquez Pourquoi...
[Mémoire de Iuka Satsubatsu, XXIIIéme chef Satsubatsu, et disciple de Liori Satsubatsu. (A l'année 1 avant le renouveau). [...] 10 ans après votre mort ô mon vénérer maitre, j'ai réussi à succéder à notre ancien chef. En profitant de cet position j'ai partager avec tout le clan les précieuses connaissances que vous m'aviez confiés, maitre. Si à l'heure actuelle notre clan a réussi à relever la tête, c'est grâce à vous, Sensei. J'ignore si cela était ce que vous souhaitiez. J'ose seulement espérer avoir réussi à accomplir ne serais ce qu'une infime partie de vos projets. Malheureusement aujourd'hui est un triste jour. Sur les ultimes conseils que vous donniez dans votre livre, j'ai tout fait pour empêcher que votre découverte soit connue par le monde extérieur. Mais malgré cela, nos ennemis en prirent connaissance. Nous sommes à nouveau considérés comme des monstres, et bientôt, les Ninja de Suna vont venir chasser les monstres, non, les bêtes que nous sommes. Mais rien n'est plus dangereux qu'une bête acculée. [...] A l'adresse de mon successeur.
Toi qui récupéreras ce livre, je te charge d'amener ton clan, ta famille, en lieux sûr. Dans ce livre est contenu toute les recherches de celui qui fut en un sens, notre maitre à tous. Libre à toi de le lire ou de t'en débarasser. Sache uniquement, qu'il devra être le dernier lien avec ces terres maudites.
Iuka Satsubatsu, XXIIIéme chef Satsubatsu, disciple de Liori Satsubatsu, et Guerrier sacrifiant sa vie pour celle des siens.]
Cette page fut le dernier morceau d'histoire conservé par le nouveau chef Satsubatsu. Les circonstances de la fuite de Suna restent toujours floues, même à notre époque. La seule certitude est qu'une partie des guerriers du clan étaient restée à Suna pour empêcher les Shinobi de donner la chasse au clan. Nul ne sut comment ils réussirent cela.
Errant maintenant aux abords de Kiri no Kuni, les restes du clan furent repérés par les shinobis locaux. On les prit en premiers lieux pour une troupe d'attaque ennemies, mais il apparut bien vite que vue leur état ce n'était tout au plus qu'une bande de déserteurs... Seulement, quels déserteurs pouvait être aussi nombreux, d'un état aussi pitoyable et accompagnés de femmes est d'enfants. Le chef de l'équipe Kirienne qui trouva les survivants du clan Satsubatsu décida contre toute attente de les amener au village de Kiri. Sur place ils furent mit sous bonne garde, leur sort étant des plus indécis. Le lendemain de leur capture on amena le chef Satsubatsu devant le Mizukage. Le chef actuel ne savait pas à quoi s'attendre, il sortait d'un enfer et il espérait ne pas avoir amené son clan dans un autre. Lorsqu'il fut présenté devant le Mizukage, ce dernier lui fit raconter toute son histoire. Après de longues heures de discutions, le Mizukage fit une proposition étrange au chef Satsubatsu. Devenir habitant de Kiri et laisser un clan médecin originaire de Kiri no kuni les étudier.
Quelques années passèrent.
La nouvelle génération Satsubatsu qui n'avait pas connu tous les malheurs de leur ancêtre avait prit pour habitude de résumé leur histoire, -ou plutôt l'évolution sociale de leur clan- en disant qu'ils avaient d'abords était nomade pour ensuite devenir des monstres, puis de monstres ils étaient passés à villageois normaux, de villageois normaux à Shinobi de Suna, de Shinobi de Suna à déserteur, et de déserteur à Ninja de laboratoire. Oui, des ninja de laboratoire. Sujets d'expérience et de recherche favoris des médecins Kiriens. En réalité le clan Satsubatsu ne due sa survie, lors de leur arrivée sur le terre de Kiri, qu'au fait d'être tombé sur une patrouille shinobi diriger par un médecin relativement influant au sein du village. Ce dernier avait vu dans les représentants du clan un sujet d'étude ô combien passionnant. Il ne s'était pas tromper.
Les Satsubatsu connurent d'abords un temps d'adaptation au sein du village de l'eau. Peu d'entre eux avaient foi en l'avenir. Ils n'avaient était que trop déçus par le passé. Les deux premières années furent assez semblables à ce qu'ils avaient connu. Une méfiance partagée entre le clan et les habitants du village. La seule différence était le fait que cette fois ci ils n'étaient pas considérer comme des être totalement nuisible ou des monstres, mais comme des grands malade à étudier. Cela n'empêcha pas le Mizukage d'envoyer de nombreux Satsubatsu sur les différents fronts, des guerres mineurs ayant lieux un peu partout dans le monde à cette époque. Cette initiative du Mizukage avaient fait grogner beaucoup de membres du clan, même si elle était compréhensible. Un clan étranger était moins dangereux dispersé dans le pays et entouré d'autre ninja vétérans, que concentré au sein du village. Et de plus, contrairement à ce que les Satsubatsu avaient cru. Les leurs ne servirent pas de chair à canon. Les pertes étant minime comparée à celles qu'ils avaient subit du temps de Suna.
"Serions-nous finalement considérés comme des être humains ?"
Beaucoup se posèrent la question. Beaucoup estimèrent que oui. Après tout, malgré l'apparence des Satsubatsu, les Médecins Kirien n'avaient jamais cessés de les considérer comme des patients. Allant jusqu'à leur fournir de nouveau médicament contre la douleur, qu'ils avaient développés suite aux recherches et expériences effectuées sur eux. Même lorsque les villageois de kiri prirent connaissance de leur pouvoir, personne ne sembla le leur reprocher. Cette indifférence générale surpris ceux qu'on qualifiaient autrefois de monstres.
[Mémoire d'un ninja Satsubatsu, aux environs de la 15éme années du renouveau
Un jour je demandai à un de mes coéquipiers pourquoi personne ne nous considéraient comme des monstres malgré notre apparence et notre pouvoir. Ce qu'il me répondit changea à jamais ma vision des choses.
« Si tous ceux qui avaient des pouvoirs spéciaux devaient être des monstres, alors les villages ninjas n'existeraient certainement pas. »]
De nombreuses années s'écoulèrent, des décennies même, et ce fus lors de la dernière guerre shinobis, entre Kumo et Kiri, que le clan Satsubatsu fut réellement considéré comme un clan appartenant à Kiri no Kuni pour son utilité militaire et médicale. Son appartenance au village ne fus que grandement renforcé quand lors de la guerre avec Suna, faisant parti des Shinobi mettant le plus d'entrain à vaincre leurs anciens tortionnaires.
Cette période fut et est nommé, l'âge d'or
Généralités : Les Satsubatsu se distinguent sur plusieurs points, notamment leur physique et leur sens moral.
Commençons par le physique. Un Satsubatsu se distingue généralement d'un humain normal grâce à ses cheveux, ces derniers ont en général une couleur blanche, due à la douleur provoquée par la maladie. Il est à noté qu'avant d'arriver à Kiri no Kuni, les Satsubatsu étaient aussi démarqué par un teint très pâle, lui aussi lier à la douleur. Et pour finir les nombreux bandages, destinée à cacher leur maladie et à protéger les parties qui sont atteinte par celle ci sont sans aucun doute l'une des marques de reconnaissance les plus flagrante du clan. Le clan a aussi une tenue et des sigles qui lui sont propre. "L'uniforme" Satsubatsu est ainsi composé d'une veste noire ou bleu nuit bordée de rouge au niveau des manches qui sont courtes en large. Au dos de la veste sont soit dessinés le mot "sang" en japonais, soit le symbole de kiri en rouge sang. En dessous doit se trouver un T-shirt rouge lui aussi, sur lequel est dessiné un crâne surmontant une croix de vie japonaise. La tenu est complétée par un pantalon noir, dont le bas des jambes et bordée de rouge.
Les Satsubatsu on aussi un sens moral qui met très en avant le respect envers les parents et leurs autorités. Un enfant Satsubatsu vénère quasiment toute sa vie ses parents et se plie au moindre de leurs désirs. Ainsi, on considère qu'un Satsubatsu ne passe à l'âge adulte qu'une fois qu'il a décidé de renier ses parents pour les faire venir au stade de rival et qu'il a réussi son examen ninja. Là encore, c'est une particularité du clan. Bien qu'étant à l'origine tous de la même famille, à partir d'un certain âge et une fois passé l'examen genin, il n'y a ni frère ni sœur ni oncle ni tante, juste de potentiel adversaire ou coéquipier. Le clan Satsubatsu poussant au maximum leur nouveau promu à s'entrainer au combat, peut importe contre qui, afin d'en faire les meilleurs guerrier possible et de leur donner une volonté d'acier, chose indispensable pour vivre quand on est atteint par la maladie. Ensuite il est à noté que beaucoup de Satsubatsu utilise des coups bas, au propre comme au figuré, lors des combats.
Etant un clan guerrier, les Satsubatsu se sont tournés vers l'utilisation des armes blanches, notamment les sabres en tout genre. Bien qu'une très grande majorité du clan utilise le sabre, il n'y a pas "d'école Satsubatsu" à proprement parler. Chaque utilisateur adoptant un style qui lui est propre, on y retrouve une grande diversité de style de combat. Un Satsubatsu non atteint par la maladie avait un jour essayé de regrouper tous les différents styles utilisés par le clan, ainsi que les techniques majeur de chaque style. Il mourut avant d'avoir achevé son travail et les nombreux livres qu'il avait remplis à ce propos disparurent lors de la fuite de Suna no kuni. -Il parait qu'un Satsubatsu actuel tente de refaire cette œuvre, et serait devenu à moitié fou-. Mais considérer le clan Satsubatsu comme un clan pur d'expert en sabre serait une erreur, car malgré la grande majorité de ninja Satsubatsu adepte du Kenjutsu on y retrouve quelques puissants utilisateurs de Taijutsu ou encore de très rare médecin.
Quelques grands Satsubatsu :
Hokkinin Satsubatsu : Un Satsubatsu considéré comme une légende, il serait le premier née de l'enfant mort des Mythes Satsubatsu et aurait fondé le Clan.
Liori Satsubatsu : Médecin longtemps considéré comme fou. Fut le premier à réaliser le potentiel qu'apporte la maladie du clan. Il est mort en emportant de nombreux secret.
Iuka Satsubatsu : XXIIIéme chef Satsubatsu, célèbre pour avoir était le disciple de Liori Satsubatsu et pour avoir partager les recherches de son maitre parmi le clan. Il est mort en retenant les Shinobis de Suna lors de la fuite du clan.
Yomigaeru Satsubatsu : Le XXIVéme chef Satsubatsu. Il est célèbre pour avoir réussi à mener le clan au village de Kiri no Kuni est pour sa durée de vie exceptionnelle chez un Satsubatsu atteint par la maladie. (103 ans).
Jikkei’ji Satsubatsu : Le XXVI chef Satsubatsu, et celui actuel. Il est considéré comme le Satsubatsu le plus puissant qui est existé, depuis Liori Satsubatsu. C'est aussi le chef le plus jeune qui soit monté à la tête du clan. (13 ans lors de sa monté au pouvoir).
(Ces nom, sauf celui de Jikkei'ji, sont des noms célèbres pour les Satsubatsu, il est donc normal de voir certains Satsubatsu porter l'un des nom cité.)
Certains prétendent qu'une autre branche du clan Satsubatsu existe, les Ketsueki. Aucun écrit des Satsubatsu n'y fait officiellement référence, et aucun échange entre les deux clans n'a pu être observé. Mais certains disent que leurs pouvoirs sont semblables. Peut être étaient-ils issues de la même famille, mais se seraient séparé dans un très lointain passé. |
| |
| Sujet: Re: Présentation de Liori Satsubatsu - Accepté Ven 25 Juil - 23:14 | |
| Don : Le don des Satsubatsu est issue d'une maladie génétique étrange. Cette maladie provoquée par une fusion du système sanguin avec les canaux de chakra à pour effet de faire pourrir les chairs d'un Satsubatsu. Bien évidement la douleur que cela provoque est insoutenable, c'est pour cela que les membres du clan on souvent recourt à diverse drogue pour calmer les douleurs, ou tout simplement sombrer dans l'inconscient et fuir ces douleurs. Les plus efficace des drogues qu'ils ont eus l'occasion d'utiliser ont étés fournis par les médecins Kirien, diminuant ainsi leur calvaire. Cependant, si la douleur est atténuée, beaucoup de Satsubatsu préfère éviter d'y avoir recours, notamment la veille de mission périlleuse. La drogue émoussant leur capacité à user de leur don.
A ce propos, un médecin avait écrit une note disant que la longévité de vie d'un patient atteint de la maladie et prenant couramment les drogue fournis par les Médecins Kirien, était rallongée d'une dizaine, voir d'une vingtaine d'année. Il conclut que ce qu'ils considéraient comme une "mort par maladie" ne devait être en fait qu'une sorte de suicide pour fuir la douleur de la maladie.
Pour en revenir à la maladie en elle même. Si la maladie offre de terrible douleur, ainsi qu'une apparence peu agréable à ceux qui en sont victime, elle permet aussi deux chose : -Une régénération ultra rapide du sang, sans doute provoqué par l'énorme quantité de chakra contenu dans le sang. -Le fait de pouvoir manipuler et modifier la texture de son sang à volonté.
La régénération a lieu en générale de façon automatique, lors des crises de douleurs qui frappe chaque Satsubatsu. C'est d'ailleurs à cause de cette régénération que ces crises se produisent et que le corps de l'utilisateur est peu à peu détruit. Lorsqu'une régénération dit "automatique" a lieu, elle entraine une surproduction de sang que l'organisme rejette d'une façon ou d'une autre. En réalité, un Satsubatsu produit constamment du sang, ce qui fait que son corps en possède en général deux à trois fois plus qu'un corps humain normal. Les crises ont lieu lorsque le corps ne peu plus supporter l'accumulation du sang. Un Satsubatsu subit environs 3 crises par jour, s'il n'a pas eus recours à son don durant la journée (comprenez «qu'il n'a pas évacué une certaine quantité de sang). Mais même si un Satsubatsu utilise son don régulièrement, une crise se produira, ou son corps lui fera comprendre qu'il a trop poussé.
La manipulation du sang est un pouvoir que la majorité des Satsubatsu actuel possède en lui et qu'il contrôle dès son plus jeune âge. La première utilisation qu'en fait un Satsubatsu est pour stopper les hémorragies qu'il a suite au première crise dû à la régénération, puis pour remplacer les muscles perdues à cause de la maladie, puis ensuite pour reconstituer certaines veines, artères et autres bout de tuyauterie disparues. Cela peut paraitre difficile mais pourtant, n'importe quel gosse de 6 ans arrive à utiliser ce pouvoir de façon plus que correct. Viens ensuite la "Manipulation extérieur". Ironiquement, manier une masse de sang que l'on a sous les yeux pour effectuer des manipulations assez simple, s'avère bien plus difficile que le contrôle interne du sang, sur de minuscule proportion. Mais une fois cette partie là maitriser, sa manipulation en dehors du corps fais du sang d'un Satsubatsu une arme redoutable. Le fait de pouvoir le faire bouger comme on le souhaite et de modifier sa texture permet beaucoup de manipulation en combat. Pour l'exemple, l'une des utilisations les plus courantes consiste à diriger, puis projeter son sang sur l'adversaire et à le solidifier avant l'impact.
Le contrôle du sang se divise en 3 grands niveaux :
Le contrôle basique, qui consiste à contrôler son sang à l'intérieur de son corps, ou à une distance réduite de soit. (La moyenne à ce niveau est de deux centimètre hors du corps). A ce niveau là, un satsubatsu est parfaitement capable de solidifier son sang sous ou sur son épiderme pour diminuer les dommages d'un coup, et cela a une vitesse assez ahurissante. En revanche, il aura du mal à contenir plusieurs hémorragies, même mineur, si elle se trouve assez éloigné l'une de l'autre.
Viens ensuite le contrôle intermédiaire. Ce niveau est assez rapidement assimilé par les Satsubatsu, et se retrouve chez une majorité de genin confirmé. Il consiste à contrôler son sang en dehors de son corps, dans une zone d'une moyenne de quinze mètre. En revanche, cela demande un contact physique avec le corps, et une fois la barre des dix mètres franchie, même un chuunin a des difficultés à donner des formes complexes à ses attaques. A ce stade là, les petites hémorragies ne sont plus un problème, quelque soit leur nombre, elles sont retenu quasiment par automatisme.
Le dernier stade est le contrôle supérieur. Il permet de contrôler le sang à distance, sans contact physique et à stopper la quasi totalité des hémorragies, même importante, sans effort réel. Le sang peut être manié sans contact physique avec une portée de dix mètres pour un grade juunin confirmé. Et la porté de celui avec contact est doublée.
Attention : -Les Satsubatsu peuvent mourir de perte de sang, leur contrôle fait que cela est rare, mais ça s'est déjà vu. Pour l'anecdote, récemment, un Satsubatsu est tombé dans les pommes après une utilisation abusive de son don en entrainement. -Les Satsubatsu ne peuvent contrôler que leur propre sang. -Les Satsubatsu ont un seuil de tolérance à la douleur largement supérieur à la normale, mais ils n'y sont pas insensible. -Contrairement à ce que l'ont peut penser, leur don ne réclame pas de signe astrologique pour être utilisé. |
| |
| Sujet: Re: Présentation de Liori Satsubatsu - Accepté Sam 16 Aoû - 2:33 | |
| |
| |
| Sujet: Re: Présentation de Liori Satsubatsu - Accepté | |
| |
| |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|