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| La cabane d'Akazami ( Suite du : LE LIÈVRE ET LA TORTUE) | |
| AkazamiAspirant de Konoha | Sujet: La cabane d'Akazami ( Suite du : LE LIÈVRE ET LA TORTUE) Dim 5 Juil - 19:25 | |
| - Je peux savoir ce que tu attends ?
Akazami jeta une hache au pied de Saru toujours accoudé a son arbre, qui écarquilla de grand yeux pleins de surprise.
- Qu'est ce que tu croyais hein ? Aller suis moi !
Akazami venait de prendre la direction de la foret, en petite foulées, Siya qui avait comprit la destination avait détallé a grande vitesse, trop heureuse de pouvoir grimper dans les arbres. Il tourna la tête et eut un sourire, Saru le talonnait, le jeune homme avait adopté la même positions que lui, torse bien droit, hache tenue d'une main en appuie sur l’épaule, l'autre bras dansant au rythme des jambes, ils couraient a la même vitesse l'un et l'autre, et Akazami comprit a ce moment précis que Saru était un battant.
C'est aussi ce qui lui donna l'idée, de changer de direction pour faire un détour, et il se lança toujours avec cette meme allure vers le quartier des Toshiya. Lorsqu'ils le traversèrent ensemble, lui le fauve orphelin méprisé au coté de Saru le petit prince, issu d'un grand clan, a l'endurance pittoresque, les regards se firent insistant, et Akazami tout en s'assurant que son compagnon le suivait toujours, reprit la direction de la foret satisfait d'avoir montré une image différente de celui qui l'accompagné.
Lorsqu'ils finirent par arriver dans la foret, ils avaient couru 45 min environ, et Saru s'écroula de tout son long sur le sol mousseux, il respirait si fort et si vite que ses poumons n 'avait certainement pas le temps de s'oxygéné comme il le fallait, c'est pourquoi Akazami s'approcha de lui, et lui posa une main sur le torse.
- Regarde moi ! Et respire comme moi !
Au bout de quelques instants de répétition du geste, Saru parvint a retrouver un souffle plus calme, et il jeta un regard de remerciement a Akazami qui était en train de taper avec force le tronc d'un arbre de sa hache.
- Si tu te sent mieux alors fais comme moi, il nous faut beaucoup de bois.
Saru pleins de courage mais affaiblit, par ce qui fut surement la plus longue course de ses 16 ans, attrapa sa hache et a son tour la planta avec fermeté dans l’écorce d'un vieux chêne. Les deux camarades répétèrent le mouvement encore et encore, la souffrance pour les muscles se faisant ressentir un peu plus a chaque impact avec le bois. Akazami était bien plus résistant que Saru, ne serais ce que de par leurs vécu, mais il était impressionné par la combativité dont le Toshiya faisait preuve, il avait pensé a tord, qu'il allait abandonné très vite, mais non, il était affaibli, ses coups moins juste et fort, mais il continuait de taper.
La journée était bien avancé quand Akazami posa sa hache, l'heure du constat, durant 3h de bûcheronnage acharné, ils avaient a eux deux abattue 8 gros chêne, et 5 pins.
- Je suis impressionné que tu es tenue le choc Saru. Glissa Akazami sincère
Mais il n'eut aucune réaction, Saru c'était adossé a un arbre et c'était endormi. Le fauve eut un sourire, puis se posa également le longs d'une grosse pierre, pour souffler quelques instants.
Un gémissement le fit ouvrir les yeux, Saru avait mal, il avait tant donné que son corps et ses muscles le lui faisait payer. Akazami qui avait espéré ramener les troncs sur son terrains, dut se résoudre a raccompagné son camarade, jusqu’à son quartier de clan.
- Je n'aurais jamais pensé que tu aurai un tel mental, pour un Toshiya tu es réellement impressionnant de courage. Je pense que tu n'aura pas de mal a inverser les commérages si tu continue comme ça. Mais pour le moments il te faut du repos, alors tu pourra revenir quand tu te sentira mieux si tu le désire.
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Saru ToshiyaAspirant de Konoha | Sujet: Re: La cabane d'Akazami ( Suite du : LE LIÈVRE ET LA TORTUE) Dim 5 Juil - 23:47 | |
| Au moins, ce type avait l'avantage d’être concis. Après tout, rien de mieux qu'un bon lancer de hache pour signifier à l'adolescent embourgeoisé de cesser ses pitreries. Prenant le train en route, Saru emboita le pas de son mentor du jour. Il comprit rapidement que s'il voulait survivre à une autre course de fond, qu'il devait changer de technique. Observant son interlocuteur, il mima le moindre de justesse, allant même jusqu'à tourner stupidement la tête lorsque ce dernier regarda son félin. Courir ainsi était éprouvant pour son dos, mais ses jambes se fatiguaient moins vite, tant est qu'il réussissait à garder le rythme. C'était dur, si dur que son exploit du jour lui semblait soudain bien minable. Cependant, il se refusait d'abandonner, et muselant son corps, il concentra toute son attention sur Akazaki. Il suffisait de le suivre, tant qu'il réussissait à rester dans son ombre, il pouvait continuer à avancer. D'ailleurs, il ne pensait qu'à cela. Il ne parlait pas, il n'écoutait pas ses cuisses endolories, ou sa respiration défaillante, il ignorait ce point de coté. Il courrait.
Son compagnon avait sans doute voulu tester sa volonté en le faisant passé par ses propres quartiers, mais en réalité, sous leurs apparences bourgeoises, les Toshiyas étaient bien moins snobes que les Aisus. Ils s'en foutaient des fréquentations de leurs enfants. Ici, seul le résultat avait une importance. Aussi, si personne n'approuvait la compagnie d'un orphelin de mauvaise réputation, personne ne lui en fera l’opprobre.
Ils arrivèrent enfin à la forêt, mais ce ne fut que lorsque son guide s'arrêta que Saru s'autorisa à s'écrouler. Comme s'il venait de reconnecter sa douleur, celle-ci l'assaillit de toute part. Son corps se décomposa tout comme une marionnette à qui on aurait coupé les fils, et il devait être suffisamment pitoyable pour que même son le fauve en fut inquiété. Ses sens étaient aux abois, son corps affolé ne savait plus quoi faire, et il ne dut qu'au contact impérieux d'Akazami de retrouver un peu de lucidité. Il fit un effort pour poser son regard sur ce dernier, et l'imitant, tout comme il l'avait fait jusque là, il tenta de calmer sa respiration. L'opération fut longue et fastidieuse, mais elle fonctionna. Il lui fallut du temps pour se relever, mais l'autre fou furieux était déjà au travail, et il ne pouvait rester derrière.
"Merci."
Ce sobre remerciement cachait bien plus de gratitude, mais vu leur relation, il n'y avait pas besoin de tergiverser. Notre petit prince se mit au travail. Non, il n'était pas bien efficace, et la fatigue n'arrangeait pas les choses. Pourtant, il persistait à frapper sur ses troncs. Son dos n'était qu'une seule et unique contracture, ses mains ne semblaient plus vouloir lâchées leur outil, et pourtant il continuait. Le bruit du métal et du bois perdura plusieurs heures, puis, voyant son compagnon s'arrêter, Saru fit de même. Il entendit vaguement des compliments sur sa ténacité, mais ni endormi ni éveillé, il ne put réagir. Les seuls sons qui sortaient de sa bouche étaient des gémissements. Il ne se souvient plus très bien de ce qui se passe en suite. Il savait que le fauve l'avait pris sur ses épaules, et qu'ils avaient voyagé de la sorte. Qu'importe, il devait se reposer.
"Akazami?"
Il s'était réveillé en sursaut, et qu'elle fut sa surprise de se retrouvé dans un lit confortable, emmailloté dans un fin drap de satin. Pendant un moment, il pensa que tout cela n'avait été qu'un rêve, mais à peine tenta-t'il de se relever qu'il fut rappeler à l'ordre par ses courbatures. Il s'était déshabillé, mais sa puanteur trahissait l'absence d'ablutions. Mieux vaut tard que jamais! Se rendant péniblement jusqu'à la salle de bain, notre petit prince tira sur une manivelle, emmenant par un jeux de tuyauterie une eau chaude et pure. Cela faisait du bien, et lentement mais surement, ses muscles reprenaient du poil de la bête. Ceci dit, il se laissa trop aller, et Morphée le tirait petit à petit dans son royaume. Ceci dit, un choc le tira de sa torpeur, un sac de torpeur, un sac de toile venait de voler près de lui.
"N'abandonne pas en si bon chemin. Si tu dois fréquenter ce vaux-rien pour devenir un homme vas-y, mais n'abandonne pas!"
Cette voix dure et tranchante était celle de son père, et lorsque les yeux émeraudes croisèrent les siens, Saru aurait juré y lire une once de fierté. Évidemment, après leur petit détour par ici, tout le monde devait-être au courant de son nouvel ami. Cependant si les Toshiyas ressemblaient à des opportunistes superficiels, la réalité des choses étaient tout autres. Les apparences servaient à tromper la foule. Bref, il avait le soutien de son géniteur, et cela eut sur lui l'effet d'un coup de fouet. Trente minutes plus tard, il était prêt à partir, et ayant tout juste fini son petit déjeuner, il s'en alla vers la future cabane. S'il marchait, ce n'était pas par fainéantise, mais par sagesse. Une marche soutenu dénouait ses muscles, et lui permettait d'arriver en forme et opérationnel sur son "lieu de travail".
"Attrape ça!"
Il lança un bento soigneusement emmailloté à son partenaire, et ce fut là leur salutation. Saru avait déjà mangé, mais il savait que la situation n'était pas si facile pour les orphelins. Ce n'était pas de la pitié, mais juste un coup de main, et si ce gars ne voulait pas de sa charité, il pouvait toujours lui rendre ce repas. Un rapide coup d’œil lui permit de voir que quelques troncs d'arbres étaient déjà arrivé jusqu'ici. Décidément, ce type ne chaumait pas.
"Je te remercie pour ton aide hier, et je serai ravi de t'aider à finir cette cabane. On va chercher les troncs restants?"
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AkazamiAspirant de Konoha | Sujet: Re: La cabane d'Akazami ( Suite du : LE LIÈVRE ET LA TORTUE) Mar 7 Juil - 21:09 | |
| "Je te remercie pour ton aide hier, et je serai ravi de t'aider à finir cette cabane. On va chercher les troncs restants?"
Akazami attrapa le bento que venait de lui lancer Saru, et sans demander son reste l'avala en deux bouchées. Il avait faim, vraiment faim, et ce geste ne pouvait pas mieux tomber. Il se frotta les mains et s'approcha du jeune Toshiya, pour lui faire une poignée de main.
- Merci beaucoup Saru. Et je suis content que tu sois de nouveau de retour.
Et Akazami après un bref sourire, retourna vers les troncs qu'il avait ramené en fin de soirée la veille.
- J'ai déjà ramené ces trois-là avec l'aide de Siya, mais il faut aller chercher les autres.
Et sans demander son reste, il détacha une corde épaisse de l'un des troncs au sol, l'enroula autour de son avant-bras et prit la direction de la forêt. D'un coup d'oeil rapide il vit Saru le suivre et le rattraper à grands pas.
- Tu es vraiment un drôle de personnage tu sais. Hier le mec le moins endurant du village, aujourd'hui l'un des plus courageux. Tu es plains de surprise.
Akazami avait enfin baissé son armure de gros dur pour parler simplement avec Saru et en tout honnête cela lui fit un bien fou.
Siya fit soudainement son apparition devant le jeune Toshiya, pensant certainement le surprendre, mais à sa grande surprise elle n'eut le droit qu'à un sourire comme réaction et une caresse sur le museau. Elle ne le lâcha pas durant tout le voyage, ce qui fit sourire Akazami.
- Je serais toi Saru, je préviendrai mes parents que ma petite amie est une panthère ^^ je sais pas si Siya Toshiya serait accepté dans ton quartier.
Et les deux garçons rigolèrent de bon coeur.
Arriva enfin le moment de travailler, Akazami se plia sur ses jambes, et les veines de ses bras musclés, donnèrent l'impression d'éclater quand il souleva le tronc d'un pin pour que Saru puisse glisser la corde dessous. Il relâcha doucement la tension qu'il venait d'imposer à son corps et se saisit de la corde pour faire un nœud solide, mais le regard de son partenaire se fit pensant et il le laissa le faire. Après quoi ensemble, de toutes leurs forces ils commencèrent à tirer le tronc vers le village a destination du futur quartier d'Akazami. L'effort à fournir pour tirer l'arbre était conséquent pour les jambes et les bras et la souffrance qu'il endurèrent ne le fut pas moins, mais avec l'aide de Saru, très vite le premier tronc arriva à bonne plaçe. Et ce dernier plein d'enthousiasme, le toisa même en prenant de nouveau la direction de la forêt en premier. Un long moment s'était écoulé quand ils finirent par apporter le dernier tronc, et c'est les jambes lourdes qu' Akazami se laissa tomber lourdement sur son postérieur.
- Il reste les trous à creuser pour les 4 piliers qui seront porteurs, et on pourra commencer à tout construire. Mais il faut que j'aille voir les Isatsu pour leur proposer mon aide, afin de gagner de quoi acheter le minimum pour ma maison. |
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Saru ToshiyaAspirant de Konoha | Sujet: Re: La cabane d'Akazami ( Suite du : LE LIÈVRE ET LA TORTUE) Mer 8 Juil - 23:09 | |
| Que s'était-il donc passé? Le fauve avait-il limé ses griffes? Notre jeune challenger s'était attendu à un peu moins de froideur de la part de son partenaire, mais surement pas à un tel changement de veste. Un remerciement, Un Sourire, UNE POIGNÉE DE MAIN! Cette gentillesse inattendue donna au petit prince l'énergie qui lui faisait défaut, atténuant courbatures et contractures pour ne laisser qu'enthousiasme.
Ceci dit ils avaient du travail, et si la course fut tout aussi difficile que la veille, au moins eut-il une étonnante compagne pour le soutenir. N'importe qui aurait été fasciné par cet animal, et que ce félin daigne lui donner de l'attention rendait l'effort bien plus acceptable. M'enfin... n'exagérons rien. Traîner des troncs d'arbre était loin d'être une partie de plaisir, et bien qu'il n'émit aucune plainte, cela ne l'empêcha pas se retrouver dégoulinant de sueur, le souffle court et les jambes aussi légères d'une famille de phacochères. C'était d'ailleurs l'occasion de montrer qu'il n'était pas un bon à rien, puisqu'afin de relaxer ses muscles, le jeune homme se mit dans un grand écart parfait. Bon d'accord, il était né comme ça, mais cet exercice de souplesse avait en général son petit effet.
"Je ne sais pas exactement de quoi tu as besoin, mais on pourrait peut-être passé chez moi? Les Toshiyas sont en plein chantier, et on trouvera surement plein de truc utile pour ta cabane?"
Il avait dit cela tout naturellement, et ce n'est qu'après coup qu'il se rendit compte que le propos était mal venu. Si son compagnon construisait son propre logis, peut-être était-il de ceux refusant l'aumône et la charité. Ceci dit il n'y avait rien de cela dans la proposition du jeune homme. Il ne s'agissait que d'un ami proposant son aide à un autre ami.
"De toute-façon, je ne te laisse pas le choix, et il faut bien présenter ma nouvelle compagne à mes géniteurs non?"
Pour donner du poids à ses mots, Saru se leva et tendit la main vers la panthère. Ceci dit celle-ci ne répondit pas à son appel, ou du moins pas tout de suite. Il n'était pas son maître, elle n'avait qu'un maître, et ce dernier n'avait pas encore donné son approbation pour la suite. Ce silence commençait à peser, et chaque seconde sans réponse nouait un peu plus l'estomac du Toshiya. Il s'était fait un compagnon fort intéressant, et il ne souhaitait pas gâcher si stupidement leur relation.
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AkazamiAspirant de Konoha | Sujet: Re: La cabane d'Akazami ( Suite du : LE LIÈVRE ET LA TORTUE) Ven 10 Juil - 18:33 | |
| Akazami se sentait bien, il avait enfin un ami sur qui s'appuyer et il n'aurait jamais pensé que cela lui procurerai cette agréable sensation. Saru n'était pas si faiblard que ce que les ragots laissaient sous entendre, bien au contraire, il était vif, drôle, avenant, et courageux, son corps s'adaptait bien plus vite aux efforts que ce qu'Akazami aurait pu croire, bref c'était son ami, son seul ami. C'est donc naturellement qu'Akazami fit un signe de la tête a Siya qui ne chercha pas midi a quatorze heure. Elle se rua vers Saru et se cabrant lui lécha le visage, ce qui fit exploser de rire Akazami qui se releva et s’éclipsa quelques instant profitant que son compagnon et celle qu'il nommé sa sœur, se faisait des papouilles. Lorsqu'il réapparut, il avança vers Saru pensif.
- Ecoute, je t’apprécie sincèrement. Je n'ai jamais eu personne de mon age a qui parler, personne avec qui rire, ou partager des choses, si tout le monde me vois comme un personnage différent, c'est parce que je me suis forgé tout seul, ce corps dur, ce tempérament froid et distant, et mon irrépressible envie de toujours cogner, je comprends que ça peux faire peur mais toi tu es la et tu me tends sans cesse la main, et au début je dois l'avouer j'avais du mal, mais les jours passent et tu continue de vouloir m'aider. Alors j'accepte de venir avec toi dans ton quartier, j'accepte de rencontrer tes parents, mais tu dois aussi accepter quelque chose en retour.
Akazami s’arrêta un moment, et sentit toute la curiosité grandir dans le regard de son ami.
- Tu sais que je n'ai rien de valeur et que par consequent aucun objet que je pourrais t'offrir n'aura de signification particuliere pour toi, vu que tu pourrais les obtenir par le biais de ta famille. Mais tu sais aussi que j'ai une relation différente de tout les gens du village avec la nature, et c'est pourquoi je voudrais que tu accepte ce petit bout.
Le fauve tourna les talons en direction d'une pile de bois qu'il avait coupé la veille, passa derrière et revint avec une petite chose dissimulé dans ses bras. Lorsqu'il arriva a hauteur du jeune Toshiya il lui tendit un petit tigre, tout juste de quelques mois.
- Voila, ça c'est un cadeau que personne d'autres que moi ne peux t'offrir. Je l'ai recueilli ce matin en allant courir dans la foret, c'est Siya qui la trouvé, il airait a travers les arbres seul et affamé, je l'ai nourris, et il est très doux, bon il va de sois que ce n'est qu'un bébé pour le moment, mais les félins grandissent vite, alors voila je te l'offre, si tu ne veux pas ou ne peux pas le garder, tu peux le laisser chez moi, enfin quand ma cabane sera finit, mais dans tout les cas, c'est le tiens alors trouve lui un nom et fais lui partager tes aventures de tout les jours si tu le désire, ce sera aussi notre marque distinctive : "le duo aux félins."
Et c'est sur un clin d’œil et un sourire qu'Akazami toujours les bras tendu vers Saru avec le petit animal dans les mains attendit une réponse. |
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Saru ToshiyaAspirant de Konoha | Sujet: Re: La cabane d'Akazami ( Suite du : LE LIÈVRE ET LA TORTUE) Dim 12 Juil - 16:55 | |
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"BWahoumoimmhhh..."
Ce fut à peu près le son qu'il fit lorsqu'à la fois surpris et amusé, il fut plaqué au sol par l'agile Siya. Non il n'avait pas peur, au contraire, il se laissa prendre au jeux, batifolant comme l'enfant qu'il était encore avec cet étrange compagne. Le félin avait su brisé la tension naissante, et mettre un terme aux préoccupations du Toshiya. Il ne devait pas se soucier de ce genre de chose. Bien qu'il l'ait rencontré récemment, il sentait qu'il pouvait être sincère avec ce garçon. D'ailleurs, s'ils ne pouvaient être désigné en tant qu'amis, leur relation avait belle et bien les couleurs de l'amitié. Confirmant les pensées de Saru, Akazami lui ouvrit son cœur. Dans un monde aussi dure, il n'était pas rare que les gens parlent de sentiments, car n'étant jamais sûr de se réveillé lendemain, il était important de dire les choses. Ceci dit le Fauve ne semblait pas ce genre de personne. Que dis-je, il était l'antithèse de la chaleur humaine, et pourtant, ce fut bien de sa bouche que sortirent ces mots. Notre petit prince en resta paralysé, et son compagnon du sans doute sentir sa stupeur, puisqu'il continua de plus belle. "..."Nous avons tous déjà connu ses moments désespérément long ou notre cerveau refuse de fonctionner. Pareille attention était admirable, mais venant de lui, c'était tout simplement incroyable. Notre jeune bourgeois était si plein d'émotions qu'il n'en exprima aucune, prostré dans la plus totale immobilité. Un jour, il connaitra l'amertume du désespoir, et son seul remède sera de se souvenir de cet instant : un moment de pure humanité. Saru n'allait pas pleuré, mais ses yeux étaient larmoyants, et le sourire qu'il affichait équivalait à une centaine de remerciement. Fixant Akazami dans les yeux, il se releva, et, lentement, prit ce doux cadeau dans ses bras. S'il savait de quoi il s'agissait, le Toshiya n'avait encore jamais vu de tigre, alors imaginez s'il avait déjà songé en possédez-un! Pourtant, l'idée de refuser ce nourrisson ne lui effleura même pas l'esprit. "Tu t'appelleras Yūjō."Alors qu'il semblait ne parler qu'à son nouveau protégé, l'adolescent reporta son regard vers Akazami. Il avait les yeux encore brillant, mais une lueur brillait dans ces derniers. Oui, ils formeront une équipe, et celle-ci ne sera peut-être ni la plus grande ni la plus glorieuse, mais elle sera tout simplement la meilleure. "Cela signifie amitié. Merci beaucoup Akazami. Je m'en occuperai, et tout comme tu m'as, et me feras grandir, j'en ferai un être fort."Sur ces belles paroles, Saru s'inclina gravement devant son nouvel ami. Cela n'avait peut-être pas beaucoup de sens pour ce dernier, mais pour lui, c'était une façon de lui montrer à la fois son respect et sa détermination. Le jeune homme fit alors demi-tour, et commença le chemin d'une toute autre aventure. Il était tout à l'instant présent, pourtant, s'il devait présenter un orphelin à sa famille, il avait largement de quoi se préoccuper. Les Toshiyas pouvaient s'avérer... compliqués. [Suite ici Maison de Saru Toshiya]
Dernière édition par Saru Toshiya le Sam 18 Juil - 21:58, édité 1 fois |
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Kokuryu AisuAspirant de Konoha | Sujet: Re: La cabane d'Akazami ( Suite du : LE LIÈVRE ET LA TORTUE) Mar 14 Juil - 22:45 | |
| C'est une jolie naissance d'amitié ! j'aime beaucoup, attention cependant à certaines fautes qui pourrait être éviter avec une petite relecture Je vous donne +1 en Force pour la coupe du bois et son transport et +10 HP ou +1 en AGI pour le temps de course ainsi que le transport du bois Continuez comme ça ! |
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| Sujet: Re: La cabane d'Akazami ( Suite du : LE LIÈVRE ET LA TORTUE) | |
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